Skull/Bones


hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...

Bush et Skull and Bones - L’élite de l’Empire

  http://www.voltairenet.org/Skull-and-Bones-l-elite-de-l



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L’association des Skull & Bones nourrit une importante littérature conspirationniste, qui rend responsable ses membres du scandale du Watergate, de l’invasion de la Baie des Cochons ou encore de l’assassinat de John F. Kennedy. Par ses connexions avec le milieu des affaires, notamment le secteur bancaire, ces anciens potaches de l’université de Yale contrôleraient la finance mondiale, voire l’avenir de la planète. Les Skull & Bones auraient d’ailleurs noyauté le Council on Foreign Relations, la Commission Trilatérale, la CIA, etc.
Il n’est pas question de discuter dans Voltaire, une publication laïque, de l’ésotérisme pratiqué au sein de cette organisation au cours des rites d’initiation, ou des cérémonies annuelles, mais d’analyser sa fonction sociale et son éventuel rôle politique. Les Skull & Bones illustrent surtout comment, aux États-Unis, s’est perfectionné un système de reproduction des élites par le biais d’une sélection qui, contrairement au mythe du self-made man, ne doit rien au hasard ou aux qualités individuelles. En effet, comme le souligne Anthony Sutton, les membres les plus actifs de l’organisation viennent d’un « noyau d’environ 20 à 30 familles », attachées à la défense de leur héritage et de leur lignée. Il existe ainsi de nombreux mariages entre des représentants des familles membres des Skull & Bones, bien que seuls les étudiants mâles aient pu, jusqu’à une date récente, adhérer à l’organisation.

Yale, une université puritaine et élitiste

Les Skull & Bones sont nés sur le campus de l’université de Yale. Un choix qui, selon la remarquable enquête de la journaliste de l’ Atlantic Monthly, Alexandra Robbins, ne doit rien au hasard [1].
Au début du XVIIIe siècle, l’ensemble des universités états-uniennes, qu’il s’agisse d’Harvard, Dartmouth, Williams, Bowdoin, Middlebury ou encore Amherst, ont été fondées par des Congrégationalistes. Mais ils subissent alors la concurrence des Presbytériens, ce qui incite le président d’Harvard, Increase Mather, à agir. En 1701, il quitte son poste et créée une nouvelle université,« afin que l’Intérêt de la Religion soit préservé, et que la Vérité soit transmise aux générations futures ». Avec l’aide de dix pasteurs, dont neuf viennent d’Harvard, il parvient ainsi à fonder le Collegiate School of Connecticut. En 1711, Isaac Newton, Richard Steel et Elihu Yale sont approchés pour transmettre des livres de leur collection personnelle à la jeune institution. Les contacts avec Yale, devenu extrêmement riche grâce à ses activités au sein de la Compagnie des Indes orientales et en tant que gouverneur de la colonie de Madras, sont particulièrement fructueux. Non content de fournir des livres, il finance également largement l’université, qui lui rend hommage en prenant son nom, à partir de 1720, Yale University.
Les liens avec le congrégationnalisme garantissent le puritanisme de l’enseignement et du mode de fonctionnement de Yale. Les étudiants et professeurs doivent prononcer une profession de foi à leur entrée dans l’établissement, et peuvent être renvoyés si leur sincérité est sérieusement mise en doute. À ce puritanisme s’ajoute un élitisme forcené : les étudiants sont classés, dès leur arrivée à Yale, non pas en fonction de leurs capacités, mais de la position sociale de leurs parents. En tête de classe, les fils ou petit-fils de gouverneurs, de vice-gouverneurs. Puis viennent les membres des familles de juges de la Cour suprême. Un plus bas dans le classement, on trouve les fils de pasteurs et d’anciens élèves. En queue de peloton, les fils de fermiers, de marchands et d’artisans. Ce classement décide de la place attribuée à chaque élève dans les salles de classe, à la chapelle et à la cantine. Le plus étonnant, note Alexandra Robbins, n’est pas que ce classement d’entrée dépende du statut social de la famille de l’élève, chose courante dans beaucoup d’universités au XVIIIe siècle, mais plutôt qu’il n’évolue pas avec la scolarité. Ainsi Yale devient l’exemple idéal-typique d’une institution reproduisant les élites et leur hiérarchie interne. Le déclassement est en général occasionné par un manquement disciplinaire, et sanctionne le fait que l’élève a ainsi entaché l’honneur de sa famille.
Il faut ajouter à ce mode de fonctionnement peu banal la licence explicitement donnée aux élèves plus âgés de bizuter, voire de brimer et d’humilier les étudiants des classes inférieures. Le règlement prévoit une série de mesures visant à assurer le respect de la hiérarchie la plus arbitraire, fondée uniquement sur l’âge. Lyman Bagg a raconté dans un ouvrage, Quatre ans à Yale, paru anonymement en 1871, comment il analysait les mécanismes mis en place par l’institution. Ces pratiques autorisées reflètent selon lui le « pouvoir énorme des "coutumes" de l’école dans la création d’une folie temporaire qui fait des hommes faibles des êtres cruels et des hommes bons des êtres sans pitié ».
Cette propension à l’élitisme, à la hiérarchie brutale et au puritanisme incite les élèves, à la fin du XVIIIe siècle, à monter plusieurs sociétés parallèles à l’université. Il s’agit au départ d’associations littéraires, telles que Linonia et Brothers in Unity. L’ensemble des élèves est appelé à adhérer à l’une ou l’autre des organisations. Ce qui n’est pas assez élitiste pour ceux qui souhaitent une stricte reproduction de la nouvelle « aristocratie » états-unienne. En 1780 la branche Alpha de l’organisation Phi Betta Kappa est fondée à Yale. Plusieurs autres sociétés fleurissent à l’époque : la Beethoven Society, l’Hexahedron Club... Petit à petit, les salons littéraires perdent de leur importance, remplacés par des sociétés secrètes, plus élitistes et plus fermées. Au milieu du XIXe siècle, on en dénombre trois principales : les Skull and Bones (Crâne et os), les Scroll and Key (Parchemin et clé) et Wolf’s Head (Tête de loup).
Parallèlement, le corps enseignant de Yale décide de suivre le mouvement. Six ans après la création de Skull & Bones, six membres de l’élite enseignante de l’université se réunissent au sein du « Club », bientôt appelé le « Old Man’s Club ». Parmi ses six membres fondateurs, on trouve les professeurs Josiah Willard Gibbs et Theodore Dwight Woolsey. Bientôt, l’organisation comptera dans ses rangs William Howard Taft, le futur chief justice du Connecticut Simeon E. Baldwin, l’universitaire Thomas Bergin, le neurochirurgien Harvey Cushing, et le fondateur des Skull & Bones, William H. Russell. Seuls Thomas Bergin et Harvey Cushing ne deviendront pas, par ailleurs membre des Skull & Bones.

La guerre de l’opium

L’université de Yale était un terreau particulièrement fertile pour qu’y prospère une société secrète aussi élitiste et influente que les Skull & Bones. Mais le succès de cette organisation secrète doit aussi beaucoup à la personnalité de son fondateur, William H. Russell. Celui-ci appartient à la grande famille Russell, dont l’un des membres, le révérend Noadah Russell, membre éminent de l’Église congrétionnaliste, a participé à la création de Yale. La famille Russell s’est également impliquée dans la grande guerre de l’opium qui oppose le Royaume-Uni à la Chine dans la première moitié du XIXe siècle.
À la fin du XVIIIe siècle, l’opium cultivé au Bengale avec la bénédiction de l’Angleterre est soumis à un monopole d’exploitation confié à la Compagnie des Indes orientales, une société qui dépend directement de la Couronne et à laquelle Elihu Yale a participé par le passé. La guerre de l’opium, qui commence vers 1815, vise à introduire de force cette drogue sur l’énorme marché chinois. De 320 tonnes annuelles en 1792, la contrebande d’opium atteint 480 tonnes en 1817, puis 3200 tonnes en 1837. La Chine demande alors à la reine Victoria de faire cesser le trafic. La souveraine fait savoir que les revenus ainsi engrangés par le Royaume-Uni sont trop importants pour qu’elle décide d’y renoncer. La tension monte entre Pékin et Londres : en février 1839, un trafiquant chinois est exécuté devant les représentations cantonaises des commerçants britanniques. En juin 1839, la Couronne accepte de détruire d’importantes cargaisons d’opium. De nombreux Anglais quittent alors Canton et Macao pour relancer le trafic d’un peu plus loin, sous la protection officielle de la marine britannique. Dans ces conditions, l’incident est inévitable : le 4 septembre, c’est la première bataille navale de la guerre de l’opium, qui aboutit à la destruction de nombreux navires chinois. Ces affrontements révèlent « la faiblesse des jonques de guerre chinoise et la sanglante détermination des protestants anglais pour que soient victorieux les principes du libéralisme fondé sur le trafic de l’opium » [2].
Samuel Russell, cousin de William Russell, est un important protagoniste de la guerre de l’opium. De nationalité états-unienne, il est le fondateur de la Russell & Company en 1813, qui va concurrencer, dans les années 1820, la domination britannique sur le trafic de drogue en direction de la Chine. L’un des membres éminents de la société était Warren Delano, Jr, le grand-père de Franklin Delano Roosevelt.

Du club Eulogie aux Skull and Bones

C’est dans ce contexte que William Russell crée les Skull & Bones, en 1832. Il est difficile d’établir avec précision dans quelles circonstances. Il s’agirait, au départ, d’une réaction à l’exclusion d’un membre des Phi Beta Kappa, Eleazar Kingsbury Forster. Indigné par le procédé, et souhaitant redonner sa vitalité à Yale, William Russell aurait condamné Phi Betta Kapa, pris Forster sous son aile et fondé, avec treize autres étudiants de Yale (dont Alfonso Taft [3]), une société encore plus secrète et encore plus forte, originellement intitulée le Club Eulogie, du nom de la déesse grecque de l’éloquence. Sous l’influence d’un récent voyage en Allemagne, Russell importe bon nombre de références germanques dans le rituel. En 1833, les jeunes membres adoptent la tête de mort et les ossements comme emblème. À la même époque, le chiffre 322 devient le « chiffre clé » de l’organisation. C’est en effet en 322 avant JC qu’est mort l’orateur grec Démosthène. Selon la « tradition Skull and Bones », la déesse Eulogie aurait alors rejoint le paradis, avant de redescendre en 1832 et de rejoindre la société secrète.
En 1856, les Skull and Bones sont officiellement incorporés au sein du Russell Trust, propriété de William H. Russell, grâce à Daniel Coit Gilman (Bones 1852), président fondateur de l’Université John Hopkins. Le 13 mars de la même année, l’organisation déménage son quartier général au sein d’un bâtiment impressionnant sur le campus de Yale, pompeusement baptisé « la Tombe ». L’endroit est rapidement submergé de reliques guerrières et morbides : on y trouve, d’après les témoignages de membres recueillis par Alexandra Robbins, une accumulation de drapeaux, de tentures noires, d’armes recueillies sur les champs de bataille. Pour ne pas oublier qu’il s’agit d’une confrérie d’étudiants, une série de balles de baseball provenant des rencontres mythiques remportées par Yale est exposée dans une pièce. Le logo de la tête de mort est apposée quasiment sur tous les endroits vierges, tandis que des ossements de carcasses animales sont accrochées à divers murs. Quelques squelettes et ossements humains sont également exposés. La plupart des tableaux présents dans l’enceinte représentent la Mort rencontrant tel ou tel personnage célèbre. Une atmosphère proche de l’univers de la famille Adams selon Marina Moscovici, conservateur d’art du Connecticut qui a travaillé à la restauration d’une quinzaine de tableaux en 1999.
Une polémique a éclaté au début des années 1980 autour du crâne de Géronimo, que les Skull & Bones prétendaient détenir. Ils le montrèrent même à un chef de tribu apache d’Arizona, Ned Anderson. Alors qu’on leur en demandait la restitution, les membres de l’organisation présentèrent un crâne différent de celui montré précédemment, et dont l’analyse révéla qu’il s’agissait de celui d’un enfant de dix ans, et non de celui du chef indien. L’authenticité de la relique, qui a depuis regagné « la Tombe », reste donc discutable.
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Quartier général des Skull & Bones, situé sur le campus de l’université de Yale et baptisé « la Tombe ».
Le fonctionnement de l’organisation est aujourd’hui mieux connu. Quinze membres sont recrutés chaque année, ce qui permet d’estimer à environ 800 le nombre de membres vivants de l’organisation à n’importe quelle date donnée. Encadrés par des membres plus anciens, les quinze nouveaux impétrants se réunissent deux fois par semaine pendant un an, pour discuter à la fois de leur vie, de leurs études ou de leurs projets professionnels. Des débats sur des questions politiques et sociales ont également lieu. Une fois par an, la société organise une retraite à Deer Iland, une vaste île située dans le fleuve Saint-Laurent, près de New York, où a été construit un club cossu à l’anglaise. Il s’agit bien de Deer Iland et non de Deer Island, conformément à la volonté de George D. Miller, membre des Skull & Bones et généreux donateur de la résidence [4].
Le rituel d’initiation a fait l’objet des interprétations les plus folles de la part des détracteurs de l’organisation. Pourtant, comme le rituel maçonnique, c’est essentiellement le secret qui l’entoure qui en est l’élément le plus déterminant. Et s’il est possible que les cérémonies se déroulant au sein de « la Tombe » aient eu, un temps, des conotations paganistes, voire satanistes, il faut également rappeler que le bizutage des nouveaux élèves de Yale était, par le passé, particulièrement cruel. Cependant, il est improbable qu’on demande aujourd’hui aux étudiants sélectionnés pour entrer dans l’organisation de se prêter à des jeux sexuels morbides devant l’ensemble des autres initiés.

Le réseau

Le plus fascinant n’est pas ce qui se passe au sein de l’organisation, mais plutôt la cohérence de sa liste de membres, qui révèle le talent des membres de Skull and Bones pour constituer les élites de demain. Ainsi, tout président des États-Unis passé par Yale a été membre des Skull & Bones : il s’agit de William Howard Taft, de George H.W. Bush et de George W. Bush. De même on ne compte plus les personnalités membres de l’organisation qui ont occupé, par la suite, d’importantes fonctions dans le monde politique, diplomatique, médiatique, ou même du renseignement.
L’organisation dispose d’importantes connexions dans le milieu diplomatique, et notamment au sein duCouncil on Foreign Relations. Ainsi, Henry Stimson, secrétaire à la Guerre de Franklin Delano Roosevelt, l’ambassadeur des États-Unis en Union soviétique, Averell Harriman, ou J. Richardson Dilworth, gestionnaire des intérêts de la famille Rockefeller, étaient membres des Skull and Bones [5].
Des membres de Skull & Bones ont également joué un certain rôle dans l’univers des médias. Henry Luce et Briton Haden, tous deux membres de l’organisation depuis 1920, auraient notamment eu l’idée de créer le journal Time lors d’une réunion à « la Tombe ». Averell Harriman, de son côté, a fondé le journal Today qui fusionna en 1937 avec une autre revue pour devenirNewsweek.
Les connexions au sein de la CIA sont particulièrement impressionnantes : William F. Buckey, membre ultra-conservateur de l’Agence et propagandiste réputé, a été membre de l’association, tout comme son frère, James Buckley, sous-secrétaire d’État à la Sécurité, aux sciences et aux technologies, dans le gouvernement de Ronald Reagan, un poste où il supervisait l’octroi de l’aide militaire états-unienne à destination des régimes de droite. Hugh Cunningham (Bones 1934) a lui aussi accompli une longue carrière dans les services états-uniens, de 1947 à 1973. C’est également le cas de William Bundy, Bonesman de la promotion 1939, et de Dino Pionzio (Bones 1950), chef de station de la CIA à Santiago en 1970, où il s’employa à déstabiliser le régime de Salvador Allende.
Le fait que l’organisation serve de moyen de reproduction à l’élite économique et politique du pays lui a assuré une bienveillance inhabituelle des autorités. Ainsi, en 1943, un acte législatif spécial adopté par l’État du Connecticut a exempté les associés du Russell Trust Association, qui gère, entre autres, les avoirs de la société secrète, de remplir un rapport d’activité comme n’importe quelle autre société. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, ses avoirs ont été gérés par John B. Madden Jr, membre de Brown Brothers Harriman, une société née de la fusion, en 1933, de Brown Bros & Company et de W.A. Harriman & Company. Madden travaillait alors sous les ordres de Prescott Bush, père du futur président George H.W. Bush et grand-père de l’actuel président des États-Unis. Tous ces personnages sont naturellement membres des Skull & Bones.
Autre source de fonds : les Rockefeller. Percy Rockefeller fut membre de l’Ordre, et lia l’organisation aux propriétés de la Standard Oil. Autre grande famille rattachée aux Skull & Bones : les Morgan. J.P. Morgan ne fut certes jamais membre, mais Harold Stanley, membre de l’équipe dirigeante du Morgan’s Guaranty Trust, appartint à l’organisation depuis 1908. W. Averell Harriman, de la promotion 1913, a également été membre du conseil d’administration, tout comme H.P. Whitney et son père, W.C. Whitney. C’est également de manière indirecte que l’organisation a pu profiter des fonds de la famille Ford, apparemment contre l’avis de celle-ci. McGeorge Bundy, membre des Skull & Bones, fut en effet président de la Fondation Ford de 1966 à 1979, après avoir servi de conseiller pour la sécurité nationale sous John F. Kennedy et Lyndon Johnson.

Présidentielle 2004 : le face-à-face Skull and Bones

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Les Skull & Bones n’ont pas véritablement de discours idéologique. Encore qu’il ne soit pas anodin de révérer un financier de la guerre de l’opium et d’utiliser comme objet rituel le crâne présumé du dernier chef d’un peuple que l’on vient d’exterminer. Contrairement à ce que la littérature conspirationniste a pu évoquer, il ne s’agit pas d’un club de néo-nazis, d’ultra-conservateurs, ni même de faucons. Néanmoins, en tant que représentant de l’élite future (ce qui nécessite déjà d’appartenir à la classe sociale disposant des capitaux socio-culturels suffisants pour réussir dans les différents champs de pouvoir), les membres des Skull & Bones partagent une même vision du monde et des rapports sociaux. Tous sont des capitalistes partisans d’un pseudo-libéralisme et attachés aux valeurs de Liberté prétendument incarnées par les États-Unis. Bien que récemment gagnées par les sirènes du « politiquement correct », en admettant progressivement des représentants des minorités ethniques et sexuelles, puis des femmes en 1991 - à la consternation, entre autres, de l’ancien président George H.W. Bush - les élites réunies au sein des Skull & Bones n’en demeurent pas moins l’incarnation quasi-parfaite de la pensée unique de la classe dirigeante états-unienne.
Le fait que les deux principaux candidats à la présidence des États-Unis en 2004, George W. Bush et John Kerry, soient membres de l’organisation, ne peut être interprété comme la manifestation d’une élection arrangée à l’avance entre deux personnalités de connivence. En revanche, on peut légitimement s’inquiéter de la manière dont s’établit la sélection au sein du champ politique états-unien. Car si les deux hommes peuvent s’affronter durement, il est indubitable qu’ils appartiennent l’un et l’autre à un milieu social étroit et homogène et que, à ce titre, ils défendent, malgré leurs divergences, des intérêts proches. D’une certaine manière, pour paraphraser un politicien français, l’élection présidentielle de 2004 ce sera « Skull and Bones ou Bones and Skull ». C’est d’ailleurs pour cette raison que l’Ordre focalise sur lui autant d’attention : il incarne la quintessence du milieu social le plus favorisé des États-Unis, et dont les vues sont loin de représenter l’idéal démocratique auquel aspire le reste de la population. Individuellement, de nombreux membres de l’organisation ont trempé dans la plupart des « coups tordus » des États-Unis des cinquante dernières années, de l’invasion de la Baie des Cochons à l’élaboration de la doctrine nucléaire, en passant par le renversement de Salvador Allende. Et ils n’ont pu le faire qu’en dehors des institutions démocratiques, dans le secret de leur connivence et sur la base d’une fraternité ancienne. Pourtant, aucune décision de ce type n’a jamais été prise au sein de l’association des Skull & Bones elle-même. Ce n’est pas une structure hiérarchisée, apte à prendre de telles décisions et à les faire appliquer. Quoi qu’il en soit, l’Ordre secret reste la façade la plus immédiatement visible de l’« ennemi de classe » que représente l’« aristocratie impériale » des États-Unis.
Le livre de référence d’Alexandra Robbins sur les Skull and Bones est maintenant disponible en français.
« Skull and Bones, La vérité sur l’élite secrète qui dirige les États-Unis » est en vente dans la librairie en ligne du Réseau Voltaire (18 €).
[1Secrets of the Tomb par Alexandra Robbins, Little, Brown and Company, 2002.
[2Le blanchiment du crime en permet la répétition - L’arme éthique dans les nouvelles guerres occidentales, de Michel Tibon, Mémoire non publié, 1999.
[3] Alphonso Taft, futur secrétaire à la Guerre en 1876, puis Attorney general et ambassadeur états-unien en Russie, est le père de William Howard Taft, le seul homme politique états-unien à avoir été président du pays puis président de la Cour suprême.
[4] Jeu de mots difficilement traduisible : Deer Island est l’« île du cerf », Dear I land signifie « la terre de cher moi-même ».
[5] Anthony C. Sutton, America’s Secret Establishment : An Introduction to the Order of Skull & Bones, Liberty House Press, 1986.

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  Pour y aller directement ... Source : http://www.barruel.com/l-ordre-des-skull-and-bones-antony-sutton.html
INFO - www.barruel.com - INFO
 

   

LE POUVOIR OCCULTE AMERICAIN :

L'ORDRE DES SKULL AND BONES.  

Monsieur Antony Sutton voulait que ses livres soient diffusés en français, dont celui sur l'ordre des Skull and Bones.  
Bush, Kerry, Taft, Harriman, Rockefeller, Bundy... et autres amis de monsieur... Obama. (LIRE)  
 
Du pouvoir occulte américain... qui amène son "nouvel ordre mondial" avec d'autres. Je n'ai pas les moyens financiers pour imprimer ce livre que monsieur Sutton considérait comme son oeuvre majeure. J'ai déjà écrit quelques "modestes" lignes sur le "nouvel ordre mondial" en Janvier 2005. (LIRE) J'avais dit à monsieur Sutton que je diffuserai ses livres en français.  
 
Vous pouvez donc lire en français, son livre sur l'ordre des Skull and Bones, reproduit en grande partie sur ce petit site et un jour... peut être... le livre sera imprimé et édité en totalité... ainsi que d'autres... livres... L'espoir fait vivre. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur l'auteur, lisez ce petit article sur Antony Sutton. => ICI    
 
La première partie intitulée "introduction à l'Ordre" se trouve ICI depuis Janvier 2006.  
 
http://www.barruel.com/introduction-a-l-ordre.html
La deuxième partie sur la manière dont l'ordre des Skull and Bones controle l'éducation américaine se trouve ICI Je la mets en ligne en ce jour de Mai 2009.  
 
http://www.barruel.com/l-ordre-controle-l-education.html
La troisième partie sur la manière dont l'ordre des Skull and Bones crée des guerres et des révolutions pour amener son "nouvel ordre mondial" se trouve ICI depuis Mars 2009 dans l'article intitulé guerre et paix.  
 
http://www.barruel.com/guerre-revolution-skull-and-bones-sutton.html
Puis suit une quatrième et dernière partie consacrée au culte secret de l'ordre des Skull and Bones... culte aux aspects sataniques... J'en avais parlé en Janvier 2005. (LIRE)  
Le tout, historiquement lié aux illuminés de Bavière d'Adam Weishaupt... secte fondée le 1er Mai 1776...  
Mais ça c'est une autre histoire... celle d'une conspiration contre les peuples et contre les religions... (LIRE)  
 
Vous découvrez avec le livre de monsieur Sutton, une partie de ceux qui mènent le monde en enfer avec leur alliés francs-maçons... B'nai B'rith... rose-croix... OTO... théosophes... gnostiques... martinistes... et autres adeptes de satan ou lucifer... Baal... Mammon... et autre Moloch... depuis des lustres.  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La même dictature existe ici en France avec la secte nommée franc-maçonnerie, qui tient TOUT, sous couvert de... "république".  
 
 
Le monde à l'envers...  
Le monde des fous et des lâches... C'est peut être difficile à admettre, mais c'est un FAIT, celà EST. Bonne lecture.           hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...

Histoire du nouvel ordre mondial et de la franc-maçonnerie 

LA FRATERNITÉ DE LA MORT

 
INFO - www.barruel.com - INFO
 

 
FRANÇOIS-XAVIER OBRADOR 

www.barruel.com

présente LA FACE CACHÉE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL : LA FRATERNITÉ DE LA MORT © www.barruel.com  

INTRODUCTION Ces quelques lignes ont été écrites afin d'informer le public sur un sujet tabou, une secte secrète américaine aux pratiques qui sont du « pur » satanisme : l'ordre des Skull and Bones – « crâne et os ». Cette secte de type maçonnique, directement liée au gouvernement américain puisque George Bush Junior en fait partie, dirige, décide, et impose sa dictature occulte en accord total avec la franc-maçonnerie mondiale, française et autres sectes, sous couvert de « mondialisation », de « république » et autres « démocraties ». Par leur POUVOIR, ils dictent leurs "lois" jusqu'ici, en France et en Europe, par leur monnaie - l'euro -, la politique, l'éducation, l'industrie chimique et pharmaceutique, la presse, le pétrole (EXXON)... Les principaux écrivains sur ce sujet sont : - Antony C. Sutton, décédé le 17 Juin 2002, avec « American's Secret Establishment - an introduction to the order of Skull and Bones » en 1986. Une nouvelle édition de son "oeuvre majeure" venait d'être éditée avec une nouvelle introducton disponible chez www.trineday.com Ces quelques pages lui sont dédiées. - Ron Rosenbaum, journaliste au New York Observer, a écrit toute une série d'articles dénonçant les S&B, dont ses premiers textes sur l'ordre date de 1977. Il a pu filmer des scènes bien particulières et enregistrer des propos tout aussi étonnants. - Alexandra Robbins en 2002, journaliste, auteur de « Secrets of the Tomb: Skull and Bones, the Ivy League, and the Hidden Paths of Power », a obtenu son diplôme à l'université de Yale en 1998. - Texe Marrs, spécialiste du mondialisme. - William H. McIlhany, pour l’ Individualist Research Foundation. - Paul Goldstein et Jeffrey Steinberg ont écrit : George Bush, Skull & Bones and the New World Order, A New American View - International Edition White Paper en Avril 1991. Et quelques autres journalistes et journaux américains. En Europe, très peu de journaux ou « historiens » en parlent. De très bons articles sur cette secte des Skull and Bones ont été écrits par un journaliste Hollandais, Daniel de Wit, que vous pouvez retrouver sur son site internet : www.DaanSpeak.com Quelques uns en Allemagne, en Italie, mais rien de bien conséquent. En France, le sujet est méconnu, alors que cette « élite » domine le monde, et finance indirectement la majeure partie de la « grande presse » française. - Monsieur Pierre de Villemarest, ancien ami de monsieur Antony Sutton, a relayé les écrits de ce dernier. Il a écrit sur les complicités des membres de cette secte et autres membres du pouvoir occulte, sur leurs financements des dictatures sanguinaires soviéto-nazis, à l’ombre de Wall Street et ses banques privées aux mains de sectes aux pratiques sataniques. - Monsieur Emmanuel Ratier a consacré deux numéros de sa lettre confidentielle au Skull and Bones en Octobre et Novembre 2000 et a annoncé dans sa lettre de début Juin 2003 que deux « Bonesmen » étaient « opposés » dans la course à la présidence des Etats-Unis. Retrouvez ces articles sur son site : www.faits-et-documents.com Ces quelques pages sont une synthèse de ces différents écrits. Bonne lecture.  

AVANT-PROPOS.

Les membres de cette confrérie sont très puissants et ont tous des façades très honorables. Leur ambition est d'imposer un gouvernement mondial, un « nouvel ordre mondial », par conquête ou consentement. Aujourd'hui, pratiquement aucun chef d'Etat ou de gouvernement, aucun patron de grande institution mondiale ne peut se détacher de l'influence des Skull and Bones, qui n'hésitent pas à abattre tout individu, institution ou pays refusant de suivre leur conception du « nouvel ordre mondial ». Monsieur Georges Bush Junior, comme son père et son grand-père, ont été ou sont, pour le président américain actuel, membres de cette « société secrète » aux pratiques satanique. De ce fait, Antony Sutton, ancien professeur d'université - Hoover Institution of Stanford -, journaliste, ainsi que tous ceux qui ont écrit sur le danger que représentent ces gens là, étaient ou sont tous « muselés », tournés en ridicule, « salis », menacés, voire assassinés. La majorité des « Bonesmen », issus du milieu « WASPS » - White Anglo Saxon Protestant - , incluent les familles Rockefeller, Bush, Lord, Whitney, Taft, Jay, Bundy, Harriman, Weyerhaeuser, Pinchot, Goodyear, Sloane, Stimson, Phelps, Perkins, Pillsbury, Kellogg, Vanderbilt, Lovett. Par leur puissance et leur pouvoir, ils dirigent le monde, la presse, la banque, la politique, l’éducation, l’économie... En voici quelques autres : Henry Luce, fondateur de Time-Life, John Thomas Daniels, fondateur d'Archer, Daniels Midland, Gifford Pinchot, Frederick E. Weyerhaeuser, Harold Stanley, fondateur de la banque d'investissement Morgan Stanley, Alfred Cowles, Cowles Communication, Henry P. Davison, partenaire de la Morgan Guaranty Trust, Thomas Cochran, Morgan, le sénateur John Heinz, Pierre Jay, premier président de la Federal Reserve Bank of New York, George Herbert Walker, Jr., Artemus Gates, président de la New York Trust Company, de l'Union Pacific, Time, et Boeing Company, William Draper III, Dean Witter, Jr., investisseur financier, sénateur Jonathan Bingham Potter Stewart, court suprême de « justice », sénateur John Chaffe, Harry Payne Whitney, mari de Gertrude Vanderbilt, investisseur financier, Russell W. Davenport, éditeur du magazine Fortune, Evan G. Galbraith, ambassadeur américain en France et directeur de Morgan Stanley, Richard Gow, président de Zapata Oil, Amory Howe Bradford, mari de Carol Warburg Rothschild et manager général du New York Times, Winston Lord, président du CFR, ambassadeur américain en Chine et assistant dans l'administration Clinton. L'ordre des Skull and Bones se fait aussi appeler « Fraternité de Mort », aux liens directs avec le communisme et ses horreurs, Adolf Hitler, le Nazisme avec son « ordre noir » - Thulé, Vril - , la franc-maçonnerie et ses ramifications occultes comme les rose-croix, martinistes, théosophes. Mais aussi, ils influent directement sur les clubs ou cercles privés tels le CFR, création des « Bonesmen », qui est plus un acronyme de Carnegie-Ford-Rockefeller que Council of Foreign Relation (lire Caroll Quigley : Tragedy and hope), la Trilatérale, le Bilderberg group, et autres sectes secrètes, et groupements privés, secrets ou « discrets ». Actuellement plus ou moins 600 membres de l'ordre sont vivants. Seulement 150 (un quart ) ont un rôle très actif dans la société. Il est estimé qu'un noyau de 20-30 familles dominent l'ordre depuis sa création. En 1991, ils ont commencé à admettre des femmes parmi leurs membres. Chaque nouvelle recrue perçoit 15,000 dollars et une montre de grand-père. Un nom secret est donné à chaque nouveau « Chevalier », nom sous lequel tous les membres seront connus jusqu'à la fin de leur vie. Les anciens, sont nommés « les Patriarches » et se rencontrent annuellement - les patriarches uniquement - sur l'île de Deer St. Lawrence River. 7 Décembre 1988 : lors d’une allocution à l’O.N.U, Mikhail Gorbachev annonçait que le « progrès mondial » ne pouvait se réaliser qu’avec un « nouvel ordre mondial ». 12 Mai 1989 : Bush, membre des Skull and Bones, invitait le gouvernement soviétique (communiste) à « entrer dans l’ordre mondial ». Août 1990, Georges Bush, franc-maçon (33e) et « bonesman », annonçait l'avènement du Nouvel Ordre Mondial. Juin 1991, David Rockefeller (C.F.R, Trilatérale, Bilderberg) lors d’une réunion à Baden-Baden : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Times Magazine et autres grandes publications dont les directeurs ont attendu notre réunion et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de quatre décennies. ...Mais le monde est maintenant plus sophistiqué, et disposé à marcher vers un gouvernement mondial… La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et des banquiers mondiaux est sûrement plus préférable à l’autodétermination nationale que l’on pratiquait les siècles passés. » (Journal Minute du 19 Juin 1991, repris dans Lecture Française de Juillet-Aout 1991.) Octobre 2001, lors d’une conférence internationale organisée à Madrid par la « fondation Gorbachev », le président, Mikhail Gorbachev, a dit dans son discours qu’il était « pour la création d’un nouvel ordre mondial basé sur les normes de l’ONU. » (Pravda) 2003... Bush junior, lui aussi membre de la secte des Skull and Bones, sous couvert de « guerre contre le terrorisme » et l'O.N.U en bonne entité franc-maçonnique, montrent le vrai visage du gouvernement mondial : une dictature universelle. Vous allez découvrir la puissance, le pouvoir de cette secte secrète aux pratiques sataniques, son influence directe sur l’amérique et sur le monde. Derrière les discours entendus par les « voix » officielles, aux mains de ces mêmes personnes, et sur « l'urgence d'un gouvernement mondial », en voici la face cachée, et ainsi, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. Tout ce que vous allez découvrir sont des FAITS, je me borne à faire ce qui doit l’être : informer. A bon entendeur, et aux autres : bonne lecture.  
 

LE CULTE SECRET DE L’ORDRE.

 
« Les Skull and Bones représentent la MORT ». Antony Sutton.
Quels sont les rituels et croyances des Skull & Bones ? Ils sont formés dans le plus grand secret et toutes leurs activités sont menées secrètement. L’adhésion d’un nouveau membre ne se fait que sur invitation. Les membres potentiels sont soigneusement sélectionnés. Le nouveau membre, appelé initié, jure obéissance et loyauté totales envers la société secrète. Cette promesse est liée par des serments très sérieux, dont certains s’avéreraient mortels s’ils étaient divulgués. La première soirée est également critique en ce sens qu’elle lie l’initié à la société au moyen de rituels, de serments et de confessions. Il est bon de noter que ces rituels sont similaires à ceux pratiqués dans la franc-maçonnerie au travers des différents grades « initiatiques » dans lesquels l’initié est aussi appelé à « mourir » pour mieux « re-naitre ». Les Skull & Bones incorporent aussi des rites de mort dans leurs pratiques. « La mort – symbolique - de l’initié, pour être effrayante, ira jusqu’à l’usage de squelettes humains... » La perversion sexuelle fait partie de la psychologie rituelle. Ron Rosenbaum, auteur de cet article du magazine Esquire, déclare que, le soir de l’initiation, appelée nuit en bière, « ...si quelqu’un pouvait grimper sur la tour de Weir Hall, le singulier château qui surplombe la cour des Skull & Bones, il pourrait entendre des cris et des plaintes étranges provenant des entrailles du tombeau où les quinze nouveaux membres ont été mis en bière par ce qui semble être une épreuve déchirante... » De plus, les initiés « …gisent nus dans les cercueils et dévoilent leurs secrets sexuels les plus profonds et les plus sombres, comme part de l’initiation. » La cérémonie de la nouvelle « naissance » a lieu dans un grand cercueil. Ne vous y méprenez pas : toute organisation qui emploie ce rituel du cercueil pour simuler la renaissance pratique le satanisme, y compris les Skull & Bones. Chez les satanistes d’Anton La Vey, la cérémonie de « re-naissance » se pratique aussi dans un grand cercueil. Les Skull & Bones croient qu’à la soirée d’initiation, l’initié « meurt au monde et naît à nouveau dans l’Ordre...» ( Esquire, septembre 1977). Rosenbaum continue comme suit son exposé de l’expérience de renaissance chez les Skull & Bones : « ...ensuite, c’est dans le cercueil et hors du cercueil, dans un voyage symbolique aux enfers pour renaître, qui a lieu dans la salle numéro 322. Là, l’Ordre revêt de ses propres habits spéciaux le chevalier nouvellement né, sous-entendant que, désormais, il se façonnera à la mission de l’Ordre ». Une des facettes les plus sérieuses de cette contrefaçon de rituel d’initiation à la nouvelle naissance, c’est que l’initié jure une allégeance à l’Ordre secret, serment qui les absout de toute allégeance à une nation, ou un roi, ou un gouvernement, ou une constitution quelconques ; cela inclut la négation de tout serment subséquent qui serait exigé d’eux. Ils ne jurent allégeance qu’à l’Ordre seul et son but d’un Nouvel Ordre Mondial. Selon le serment que fit George Bush père, lors de son initiation dans les Skull & Bones, son serment au poste de président des États-Unis, le 20 janvier 1989, ne signifiait rien. Il avait juré ordre et obéissance aux Skull and Bones en 1948... Idem pour son fils George Walker, actuel président des Etats-Unis, initié à l’ordre en 1968 et élu président des Etats-Unis en 2000, puis ré-èlu en Novembre 2003. Puisque le serment de président est survenu après le serment envers les Skull & Bones, il ne vaut pas le papier sur lequel il est inscrit. Ce genre d’emprise est puissant. Pendant que Rosenbaum commençait la recherche nécessaire à écrire son article pour Esquire, il réalisa les pouvoirs des Skull & Bones. La puissance des « Bonesmen » est incroyable. Ils ont la main sur tous les leviers de pouvoir du pays. Alors que Rosenbaum continuait sa recherche, il trouva de solides liens bien définis entre les Skull & Bones et les Illuminés de Bavière, secte maçonnique pré-révolutionnaire qui désirait renverser tout gouvernement, utilisant sans scrupule le poignard et le poison, pour instaurer des « républiques » régies par eux. Un bel exemple de leur influence, de leur « pouvoir » est la préparation et le déclanchement de la révolution française de 1789. (Barruel – mémoires) Tout d’abord, Rosenbaum découvrit des documents établissant en détails l’origine des Skull & Bones en Allemagne. Ces documents déclarent que les Skull & Bones sont un chapitre d’un corps d’université allemande... « Le document décrit ensuite, en long et en large, ses relations avec cette Société Secrète allemande, ce qui mène à la fondation des Skull & Bones, en 1832. » Deuxièmement, Rosenbaum découvrit que « dans le haut des murs en arche, en haut de la voûte de la salle sacrée - des Skull & Bones -, des crânes sont peints, entourés de symboles maçonniques. Au-dessus de cette peinture, est écrit un slogan, en allemand, qui signifie : « Qui est le fou, qui est le sage, le mendiant ou le roi ? Qu’ils soient pauvres ou riches, tous sont semblables dans la mort. » Cela signifie que seule l’œuvre qu’une personne fait dans sa vie importe ; dans la mort, tous les hommes partagent le même sort. Et Rosenbaum rajoute : « Imaginez ma surprise quand j'ai retrouvé ce slogan dans un texte de 1798 « anti-Illuminati » réimprimé en 1967 par la John Birch Society, Preuves d'une conspiration par John Robinson. ( LIRE) On y trouve des extraits des manuels des Illuminist, rituels confisqués par la police de Bavière quand l'ordre secret a été interdit en 1785. » Chez nous, en France, il y avait Barruel avec ses fameuses « mémoires pour servir à l’histoire du jacobinisme » citées plus haut. Vers la fin de la cérémonie d'initiation au « degré de régent » de l’Illuminisme, « un squelette d’homme, aux pieds de ce squelette est placé une couronne et une épée. Il est demandé si cela est le squelette d’un roi, d’un noble ou d’un mendiant. » (Robinson – Barruel) Puis Rosenbaum continue : « La séance suivante dans la nuit de dimanche est consacrée exclusivement aux histoires sexuelles. Ils n'omettent rien. » Rosenbaum a aussi découvert une « photographie obsédante de la salle d’autel d’une des Loges maçonniques de Nuremberg qui est étroitement reliée à l’Illuminisme. Obsédante parce que, au centre de la salle où est l’ « autel », où l’on se rendait en arpentant une allée bordée de squelettes humains suspendus, il y avait un cercueil surmonté d’un… crâne et d’os croisés qui ressemblaient très exactement à l’agencement particulier des mâchoires et des fémurs sur l’emblème officiel des Skull & Bones. Le crâne et les os croisés étaient l’Écusson officiel d’une autre Loge clé d’Illuminati...» Pour l’initiation, « si le candidat accepte, il lui sera transmis un message emballé avec un ruban noir scellé avec de la cire noire portant l'emblème, crâne et os croisés ainsi que le numéro mystique, 322. Le message nomme un endroit et une date pour le candidat afin de se présenter la nuit d'initiation. » Depuis ses premiers articles dans la revue Esquire, Ron Rosenbaum, lui-même diplomé de Yale, n’a cessé d’écrire sur les Skull and Bones. Cela n’a pas empéché de voir les membres de cette secte continuer à étendre leur pouvoir au travers de toute la société américaine et influer sur la destinée des autres nations du monde, comme elle le fait depuis plus de 170 ans.  
Le 27 Mars 2000, il écrit, pour le New York Observer, un article sur les membres de l'ordre des skull and bones : « Depuis le 27e président, William Howard Taft, au 41e , George Herbert Walker Bush et peut-être le prochain aussi : George W. Bush, Skull and Bones 1968... » « Le lieu – le Temple des « Bonesmen » - où des générations de Bush, Taft et Buckley vomissent, dans un cercueil, les secrets de leur vie sexuelle »... « Le lieu vers lequel convergent toutes les théories conspirationistes. L’endroit où les gens qui ont façonné le caractère de l’Amérique ont leurs propres caractère tout aussi façonné ». « J’ai réussi à confirmer plusieurs rites, la soi-disante « confession sexuelle » par exemple ». «...l’initiation avec ses cercueils rituels, ses squlettes et ses serments mystiques dérivé (je crois que j’étais le premier à le révéler en 1976) de loges maçonniques Allemande au début du 19e siècle. ( Si vous êtes familiers avec les Illuminés de Bavière – Illuminati – vous connaissez la procédure.) » Et des se demander : « Ils n’ont pas besoin de conspirer pour exercer leur pouvoir... Leur pouvoir est « public », face à vous, pas besoin de se cacher ». Alors pouquoi tous ces mystère, ce langage, ces rituels, ces secrets, ces symboles ? L’article de Rosenbaum est sincère, car peu de gens osent dénoncer les dangers de Skull and Bones, quand on connaît leur Pouvoir, comme lui le fait. C’est tout à son honneur. Le 17 Juillet 2000, il écrit un article dans lequel il y dénonce encore les postes occupés par les membres de l’ordre, comme Taft et Bush à la présidence, à la cour de justice, au secrétariat d’état tel que Henry Stimson, les diplomates tels que les Averell Harriman et Robert Lovett, des conseillers à la sécurité nationale (architectes de la baie des cochons et de la guerre du Viet-Nam) tel que William et McGeorge Bundy... » Il parle à nouveau des obligations de tous les candidats, inclus les futurs présidents, des rituels avec cercueil, aveux sexuels dans une crypte maçonnique. Puis de considérer la prédominence de la mort dans les rituels, et de considérer l’emprise qu’ont les Skull and Bones sur des personnes comme George W. Bush. Puis parlant des différents symboles occultes, il dit que l’emblème « crâne et os croisés », ont été adoptés en bonne partie par le général Alfred Russel, et proviennent de loges de la franc-maçonnerie allemande. Et de faire le lien, par les différents symboles utilisés, avec les francs-maçons. Puis il parle des SS de Hitler et leur insigne : crane et os croisés, dont celui-ci est issu de la franc-maçonnerie allemande. Le 23 Avril 2001, toujours pour le New York Observer, il annonce que pour la première fois, le 14 Avril 2001, les rites secrets ont été filmés et les paroles des rituels enregistrées ! Du matériel de vision nocturne a été utilisé pour filmer la cour intérieure du « Tombeau » des Skull and Bones. Il écrit un passage relevant encore de la fixation des Skull and Bones sur la mort : « L’Homme suspendu égal la mort ; le diable égal la mort ; la mort égale la mort ! » Il parle aussi d’un rituel où le néophite se retrouve agenouillé à embrasser un crâne, et fait semblant de couper la gorge d’un personnage désigné ». Et de conclure : « Pensez à tout cela ». Le 15 Juillet 2002, nouvel article de Rosenbaum, du New York Observer, intitulé : « Les Skull and Bones renient leurs rites ». Dans cet article, il annonce que beaucoup de bruit s’est fait autout de son article du 23 Avril 2001, dévoilant les sombres pratiques des rituels utilisés lors des initiations. Alors que Rosenbaum a tout enregistré, dialogues pervers et débiles – lèche mon...-, images de certaines « cérémonies », tout est fait pour dire que ses documents sont falsifiés, truqués ! ( A noter que quelques images et « dialogues » sont disponibles sur internet ). L’intimidation et le discrédit sont, pour les Skull and Bones, leur seul moyen de « défense » face aux faits et aux documents apportés pour la première fois au monde par Rosenbaum, journaliste d’investigation courageux. Mais Rosenbaum, insiste en faisant remarquer, encore une fois, que ces mêmes rituels sont historiquement associés aux différents personnages qui ont formé le caractère de l’Amérique – Taft, Luce, Stimson, Harriman, Buckley, Bundy, Bush, entre autres – et ont eu, eux-mêmes, leur caractère modelé dans « le Tombeau » - surnom donné au temple des « Bonesmen » : The Tomb. Et il termine en disant qu’il aimerait prendre tout cela comme une plaisanterie, mais il y a quelque chose de très laid dans le fait qu’un représentant d’une des sociétés secrètes les plus puissante du monde cible un journaliste parce qu’ils n’aiment pas ce qu’il écrit sur eux ». Et qu’a-t-il écrit, si ce n’est la Vérité ? Venons en maintenant aux écrits de monsieur Antony Sutton, décédé le 17 Juin 2002.  
Né le 17 Janvier 1925, il était diplomé des universités de Londres, de Göttigen, et de Californie. Il a été professeur d’économie à l’université d’état de Los Angeles en Californie, puis chercheur à l’université Stanford. Après 16 livres et 25 années de recherches, il pensait « tout » connaître sur les dessous de l’histoire, l’histoire honteuse comme disait Balzac. Il avait écrit sur la trahison technologique, la « diamond Connection », Wall Street et le pouvoir de Hitler, la guerre de l’or, Wall Street et la révolution Bolchevique, ainsi que sur des groupes privés occultes plus puissants que des Etats, Trilatérale et autres Bilderberg, ainsi que sur l’influence toute aussi occulte qu’il ont sur Washington, à l’ainsu du peuple américain, et des autres car ces cercles d’influence occultes sont « maitres » en France et en Europe. C’est alors qu’en 1982, il reçut une pile de documents, contenant une liste de tous les membres d’une société secrète américaine et celle-ci n’était pas « ordinaire ». Les noms de ses membres signifiaient le Pouvoir avec un P majuscule. A la lecture de ces documents il comprit alors les raisons de tous les évènements qu’il avait lui même dénoncé dans tous ses ouvrages. Pour Sutton, c’est alors que ce monde flou devint limpide comme du crystal. Dans son livre sur les Skull and Bones, qu’il considérait comme son plus « oeuvre majeure », il démontre, documents à l’appui, pourquoi « l’ouest a créé les Soviets et Hitler ; pourquoi les Etats-Unis sont entrés dans la deuxième guerre mondiale ; pourquoi Wall Street aime les Marxistes et les Nazis ; pourquoi certains faits historiques sont « éliminés », supprimés ou étouffés ; pourquoi les politiciens mentent et une centaine d’autres pourquoi ». Suite à ses écrits, dévoilant des vérité interdites aux « profanes », il s’attira beaucoup d’ennuis, fut discrédité, menacé de mort. Il fut « éjecté » de la « Hoover Institution » par des types de la CIA, et devint définitivement « persona non-grata ». La vérité a un prix. « Le chapitre 322 est une société secrète dont ses membres ont jurés le silence. Il existe seulement sur le campus de Yale. Il a des règles. Il a des rites cérémonial. Il n’est pas du tout heureux de fourrer son nez, d’enquêter pour les citoyens – reconnus par les inititiés – des Skull and Bones - comme des « étrangers » ou des « vandales ». Ses membres nient toujours leur adhésion – à l’ordre - ... Par-dessus tout, l'Ordre est puissant, incroyablement puissant. Si le lecteur persiste et examine l'évidence qui va être présentée - dans le livre - qui est accablante, il y a aucun doute que sa vision du monde va soudain devenir nette, avec une clarté presque effrayante. » Antony C. Sutton, A.S.E De 1983 à 1986, Antony Sutton a écrit une série de brochures, d’une centaine de pages chacunes, sur l'ordre des Skull & Bones. Il a commencé en 1983 par une première brochure intitulée : An introduction to THE ORDER – Une introduction à l’Ordre. Il expose sa méthode de travail afin de prévenir les éventuels sceptiques et autres « détracteurs » énervés par la publication de tels documents et autres « révélations ». Il pose la question de savoir s’il existe réellement une conspiration organisée par les Skull and Bones et ses « alliés » du CFR, Trilatérale et autres francs-maçons, qui est membre de cette société secrète, leur chaine d’influence dans l’éducation, l’argent, la loi, la politique, l’économie, l’histoire, la médecine, les médias, les fondations, certaines familles comme les Bundy... Déjà la lecture du premier est de la série suffit à lui seul à faire halluciner ! Puis Sutton récidive à nouveau en 1983 avec une deuxième brochure intitulée : Comment l’Ordre contrôle l’éducation. Il démontre comment l’ordre est capable d’imposer SON système d’éducation. Pourquoi l’éducation décline, et si cela est accidentel ou délibéré, afin d’arriver à une « médiocratie ». Et en 1984, paraît une troisième brochure intitulée : Comment l’Ordre crée les GUERRES et les RÉVOLUTIONS. Alors qu’il avait déjà écris un livre sur les « amours » entre Wall Street et Hitler, il confirme, par d’autres faits et documents, de manière encore plus énorme, la participation à la création de l’union soviétique par l’Ordre, le financement ainsi que les relations privilégiées avec les nazis et Bush dans l’histoire, et sur les cas de l’Angola et la Chine. Ces différentes brochures ont été compilées en un volume, complété par une quatrième partie consacrée au culte secret de l’Ordre des Skull and Bones, et publiées dans un livre paru en 1986. Epoque à laquelle George Bush était vice président des Etats Unis. « Les organisations secrètes politiques peuvent être – et ont été – extrèmement dangeureuses à la santé sociale et à la validité constitutionnelle d'une société. Dans une société véritablement libre, l'exercice du pouvoir politique doit être toujours ouvert et connu. » Ce n’est pas le cas sur les sectes et les sociétés secrètes, Skull and Bones, franc-maçonnerie, martinisme, théosophie, New Age, bilderberg, trilatérale, CFR, pour ne citer que les plus connues... Sutton disait aussi que les mouvements violents, ceux qui renversent les structures politiques ont toujours été, par nécessité, des organisations secrètes. De plus, « l' existence du secret, dans les organisations avec des ambitions politiques, est toujours suspect, » car inconnu de la « masse » obligée de subir bien souvent, voire tout le temps, des décisions prises par des personnages aux origines incontrôlées et souvent incontrôlables. Sutton cite l’exemple des Illuminati - ou Illuminés de Bavière -, fondée à l'Université d'Ingolstadt, par Adam Weishaupt alias « Spartacus », grand conspirateur machiavélique bien connu. Cette société secrète voulait établir une nouvelle société mondiale dirigée par l’élite des Illuminati, ou gouvernement mondial. Puis il expose, documents originaux à l’appui, les pires secret des Skull and Bones, leurs pratiques secrètes et leur attirances pour le satanisme morbide, que l’on retrouve dans les hauts grades de la maçonnerie dite « écossaise » et autres sectes sataniques ou « occultistes », liés entres eux par leurs histoires parallèles. Il nomme les membres, leurs surnoms dans l’Ordre, et son origine. Il expose un vieux et rare document titré « Skull and Bones » de 1876, qui amène des éléments sur la « Tombe – The Tomb», lieu de réunion des « bonesmen ». Puis il cite une revue, The Iconoclast, qui considère les Skull and Bones comme un mal mortel et que ses membres se fixent sur l’intérêt du contrôle politique. Il parle aussi de Ron Rosembaum et son article pour Esquire Magazine en Septembre 1977 intitulé : The last secrets of Skull and Bones. Puis d’autres sources comme la John Birch Society, un article de Lyndon LaRouche, et quelques autres. Et Sutton ajoute : « En Bref, le rituel est destiné à modeler un pouvoir établi aux mains de zombies, d’assurer la continuation du pouvoir dans les mains d’un petit groupe d’une génération à l’autre. Mais derrière ce rituel existent des aspects notablement sataniques. » Avec les documents existants sur les différents rituels internes de la secte des Skull and Bones, il démontre les différents aspects sataniques. « L’évidence photographique démontre l’usage de procédés sataniques avec le crane et les os croisés dans les cérémonies de l’ordre. » Sutton fait figurer quelques photos de certaines classes où l’on y voit les 15 « sélectionnés » de différentes années, 13 debout et 2 assis, regroupés autour d’une petite table sur laquelle est fièrement exposé un crane et des tibias croisés.  
(George W. Bush est debout juste à gauche de l'horloge.)
« En bref, les photographies révèlent le portrait des hommes comme des voleurs de tombes qui rejettent la dignité humaine et la décence et usent de procédés sataniques ». Puis, il parle du symbolisme satanique des Skull and Bones. Il cite un commentaire tiré d’un livre de Elisabeth Stucki sur la définition symbolique du crane dans l’art moderne disant : « Le crane – Mortalité démasquée ». Et enfin, il dénonce les dangers que représente différentes organisations liées directement à la secte des Skull and Bones où aux objectifs similaires tels le « new-age », le bohemian club et autres lucis trust, incluant la franc-maçonnerie dans son ensemble.  
(Influence de l’Ordre des Skull and Bones sur différentes organisations - Antony Sutton)
Sutton cite un excellent livre de Constance Cumbey, The Hidden dangers of the rainbow », dans lequel l’auteur démontre les liens entre la secte des Skull and Bones, la création et la montée du nazisme (Théosophie, Blavatsky, Besant, , Thulé, Vril) et la mort sur l’Europe ! Puis l’auteur démontre que le mouvement « new-age » cherche, lui aussi, à provoquer l’instauration d’un « nouvel ordre mondial ». Monsieur Sutton a noté que « le paradoxe est que ces institutions supposées être consacrées à la recherche pour la vérité et la liberté ont donné naissance à des institutions consacrées à l'asservissement mondial. » Venons en maintenant à Alexandra Robbins, journaliste, diplomée de l’université de Yale. Elle a écrit en Mai 2000 un article, pour le magasine The Atlantic Monthly, un article intitulé : George W. Bush, Chevalier d’Eulogie : rare enquête sur les Skull and Bones, la société secrète de Yale. En 2002, elle a écrit un livre toujours sur les « Bonesmen » intitulé : Secrets of the Tomb – Skull and Bones, the ivy league and the hidden paths of power. Dans son article pour Atlantic Monthly de Mai 2000, elle révèle les pratiques occultes de la famille Bush depuis des générations, l’attirance morbide et permanente de cette société secrète pour les cranes et la mort, les noms secrets pris par les membres – comme chez les Illuminés de Bavière ou Illuminati -, et enfin elle dénonce les liens entre les Skull and Bones et les nazis, le CFR et la trilatérale. « Les hommes de la famille Bush sont diplomés de Yale et « Bonesmen » depuis des générations. Precott Bush, le grand père de George W., diplomé en 1917, était un « Bonesman » légendaire. Il était membre de la bande – de « Bonesmen » - qui vola pour la « société » ce qui devint un des trésor des plus précieux : un crane dont il est dit qu’il est celui du chef Apache Geronimo ». « Prescott Bush, un des « grand Bonesmen », devint un sénateur U.S. George Herbert Walker Bush – Franc-maçon, 33° degré -, le père de George W., diplomé de Yale en 1948, est aussi un « Bonesman ». Le grand oncle George Herbert Walker Jr, l'oncle Jonathan Bush, les cousins George Herbert Walker III et Ray Walker » tous ont fait partie de cette « fraternité de la mort. » « Le nom, Diable Long, est assigné au membre le plus grand en taille ; Boaz (diminutif de Belzébuth) va à chaque membre étant capitaine exemplaire de football ». « Averell Harriman se nommait Thor, Henry Luce se nommait Baal, Mc George Bundy était Odin. Le nom Magog est traditionnellement attribué au nouveau « Bonesman » jugé avoir eu le plus d’expérience sexuelle, et Gog va au nouveau membre avec la plus petite expérience sexuelle. William Howard Taft et Robert Taft se nommaient Magog. » Et Alexandra Robbins se demande, avec intérêt, quel est celui de George Bush. Plus loin, elle dit « qu’il n’y a pas besoin de chercher bien loin pour découvrir des accusations de liens sinistres avec la CIA, la commission Trilatérale, le Council on Foreign Relation, même les Nazis ». Elle rend hommage à Sutton. « Pour une opinion sur la conspiration, le plus utile est de l’écrivain Antony C. Sutton en Février 1983 avec la brochure An Introduction to the Order. » Puis Alexandra Robbins est sceptique concernant « ..., la rumeur la plus envahissante sur les « Bones » est que les initiés doivent se masturber dans un cercueil alors qu’ils racontent leurs exploits sexuel... » A priori, elle est « choquée », trop vulgaire pour les « Bonesmen ». Comme elle est membre d’une société secrète et diplomée de l’université de Yale, repère des Skull and Bones, elle essaie un peu de minimiser les écrits de Ron Rosenbaum du 23 Avril 2001. Mais il reste les faits que, comme nous le verrons par la suite, toutes les sectes sataniques ont de tels rituels comme la magie sexuelle, les cercueils, les décors morbides, les pentagrammes, tous les mêmes que les Skull and Bones. Revenons à l’article de A. Robbins. « Un sénior de Yale dont le nom était William Russel et un groupe de camarades de classe décidèrent de former le « Club de l’Eulogie » en tant que chapitre américain d’une organisation étudiante allemande ». « A l’entrée de la société de Yale figure une image représentant ses symboles – un crâne et des os croisés – sur la porte de la chapelle où ils se rencontrent ». « Des douzaines de squelettes et de crânes, humain et animal, disposés sur les murs, sur lesquels des phrases allemande et latines sont gravées ( pauvre ou riche, tous sont égaux dans la mort ) ». « La pièce la plus secrète du bâtiment connue comme le Temple intérieur ou salle 322. A l’intérieur, une case contient un squelette que les « Bonesmen » disent être celui de madame de Pompadour ». « La cérémonie d’initiation, qui a lieu en Avril, fait participer autant de « Patriarches » que possible, un avec qui pour chaque cas – d’intiation - servira de superviseur, connu sous le surnom d’oncle Toby. Le Temple vidé de tout mobilier sauf deux chaises et une table, et les « Bonesmen » passés et présents se rassemblent : Oncle Toby dans une robe ; le plus petit sénior, ou « petit diable », dans un costume satanique ; un « Bonesman » à la voix profonde dans un costume de Don Quichotte ; un en costume de Pape ; un autre habillé en Elihu Yale ; ... ; et une équipe d’extras portent des costumes de squelettes ». « Quand « U. S News and World Report » demanda au président Bush en 1989 pourquoi il avait choisi d’aller à l’université de Yale, il répondit : « Ma famille a une une tradition majeure à Yale ». En 1999, « George W. Bush mentionne son appartenance aux Skull and Bones. » « Dans la vision conspirationniste, les interconnections de tous genres, spécialement quand se dissimulent dans des mystères et des rituels, constituent des preuves de sombres manœuvres ». Puis en 2002 elle sort un livre su les Skull and Bones intitulé : Secrets of the Tomb – Skull and Bones, the ivy league and the hidden paths of power ; Les secrets de la Tombe – la ligue de lierre et les allées secrètes du Pouvoir. Très bien documenté, ce livre reprend et développe toutes les informations de ses premiers écrits, et apporte d’autres éléments sur l’Ordre des Skull and Bones. Dès les premières pages, le lecteur est informé que « la société secrète est de nos jours, comme un historien l’admet, « une mafia internationale... irrégulière et tous ces objectifs sont inconnus. » Dans sa recherche à créer un nouvel ordre mondial qui réduit les libertés individuelles et place l’ultime pouvoir uniquement aux mains d’un petit culte de richesse, des familles dominantes, les Skull and Bones ont déjà réussi à infiltrer presque chaque recherche majeure, la politique, les finances, les médias, et les institutions dans le pays.» Ce n’est pas pour autant qu’elle est conspirationniste, bien au contraire, car pour elle les Skull and Bones sont une société secrète qui a très bien réussi, mais dont le « Pouvoir », avec un P majuscule comme l’écrivait A. Sutton, est quand même un peu « inquiétant ». A priori, elle n’a pas suffisemment « creusé » assès profond sur l’occultisme, le new-age, la théosophie, le Martinisme, la franc-maçonnerie et autres sectes style Golden Dawn, rose-croix... et le satanisme en général. Concernant les rituels d’initiation, elle parle des articles de Ron Rosenbaum, déjà cités au début de ce chapitre, et commente : « Rosenbaum fait toutes sortes de déductions basées sur ce que son équipe a enregistré ce soir là. Il prétend que l’initiation a obligé des diplomates, de grandes fortunes des médias, des banquiers, durant toute une vie, des associations multi-générationelles si lointaines et bien plus influente que n’importe quelle autre fraternité », que « les fondateur de Time Inc. Et la CIA, aussi bien que plusieurs secrétariats d’état ainsi que des conseillers à la sécurité nationale – les hommes qui ont décidé le bombardement atomique sur Hiroshima, envahi la baie des Cochons et plongea les USA au Vietnam ». Mais Alexandra Robbins , diplomée de Yale, ne croit pas les dires de Rosenbaum, les trouve exagérés dans leurs propos surtout sur les « insanités » débitées lors de l’enregistrement « pirate » de Rosenbaum et son équipe. Pour elle, et certains « Bonesmen », « ils font entrer un candidat dans une pièce, où est exposé un crâne humain et des os croisés et leur demande simplement si le candidat accepte ». Les mêmes symboles que dans le « cabinet de réflexion » des francs-maçons, et même décors que dans certaines loges des hauts grades maçonniques, le 33e par exemple. Cela, elle ne le note pas... Par contre, elle parle à nouveau des nouveaux noms donnés aux « initiés » : Magog, le chevalier qui a la plus grande expérience sexuelle ; Gog, la plus petite expérience sexuelle ; Long diable ; Boaz – du même nom que la colonne maçonnique. Et l’on apprend que « George W. Bush, est d’après ce qu’on dit surnommé Magog »... « William Howard Taft était Magog, ainsi que son fils le futut sénateur Robert Taft ; ... Certains « Bonesmen » très importants qui choisirent leur propre surnom incluent : Averell Harriman et Dean Witter, Jr : Thor ; Henry Luce : Baal ; William et McGeorge Bundy : Odin ». Elle termine son livre en reconnaissant que « si la légende des Skull and Bones reflète une véracité sinistre ou une distorsion prismatique dépend presque entièrement de quel côté l’on désire le percevoir. La grande conspiration environnant la société est une des demi-vérités ainsi que notre propre complicité volontaire. Et ses secrets, énormes et terribles, est que les Skull and Bones, irréels, ont maitrisé les deux ». Comme tous les auteurs sur la secte des Skull and Bones, elle reconnaît quand même l’énormité du Pouvoir et de l’influence occulte des « Bonesmen ». Rosenbaum prévient des dangers d’un telle « société secrète » aux pratiques occultes, aux relents sexuels et morbides, sachant le Pouvoir énorme et l’influence qu’ils détiennent en Amérique et dans le monde. Sutton a conclu que les Skull and Bones sont une menace claire et évidente à la liberté constitutionnelle des Etats-Unis, mais aussi une menace pour le monde. Son secret, son pouvoir et l'usage de son influence sont beaucoup plus grands que celui des franc-maçons, clubs à demi secrets et autres organisations « fraternelles ». Toutes ces sectes, sociétés secrètes, groupements secrets sont tous liés entre eux par une pensée unique, en un vaste plan de domination universelle, organisé, préparé, médité de longue date dans les loges, clubs, cercles et autres cénacles synarchiques. Ce sont des FAITS. Comme l'a dit Mazzini, ancien grand maître du Grand Orient d'Italie, 33e degré conféré par le Grand Orient de Palerme, grade ad honorem dans la hiérarchie écossaise, sataniste notoire : « Peu importe la diversité de rites ou de formes, puisque la pensée est unique. Les sections de l'Alliance Républicaine Universelle et les loges qui, comme la votre, entendent que ce soit là la vraie mission maçonnique, peuvent se considérer comme des légions de la même armée.» Cette « pensée unique » est réunie en une vaste conspiration dont tous les membres sont animés par une même fin : la mise en place d'un gouvernement mondial luciférien ou satanique (idem), avec la complicité de leurs frères et sœurs du Bohemian Club aux rituels sataniques, la Lucis Trust, ex Lucifer Trust, association de « bonne volonté mondiale » enregistrée comme Organisation Non Gouvernementale (O.N.G), et autres Temple de la compréhension « Onusiens ». Il est intéressant de noter la réflexion qui termine le livre de J. Léti, en 1925 : « Nous savons que les prévisions et les prophéties de Mazzini ne faillirent jamais... » En effet, de nos jours, tout y est, tout est en place. Dans une lettre exposée à la British Library de Londres, citée par plusieurs historiens toujours passés sous silence, dévoilait mot pour mot le plan mis en place pour imposer une dictature universelle sous couvert de « gouvernement mondial.» (sources : Jean Lombard, page du livre reproduite ci-dessous + W. Guy Carr, voir bibliographie.)  
Cette correspondance fut échangée entre deux "hauts" francs-maçons, Albert Pike et G. Mazzini, en 1870, qui, encore une fois, étaient des satanistes ou lucifériens notoires... En résumé, la troisième guerre mondiale devra être secrètement préparée par les agents des Illuminati, en utilisant l'opposition entre les sionistes (les partisans de l'Etat d'Israël) et le monde musulman. Cette guerre sera dirigée de sorte que l'Islam et Israël se détruiront mutuellement, tandis que le reste des nations du globe, divisées sur cette question, seront forcées d'embarquer aussi dans cette guerre, jusqu'à l'épuisement physique, mental, spirituel et économique complet. Tout sera alors mis en place pour l'établissement d'un gouvernement mondial. George Bush, membre éminent des Skull and Bones, tient sa parole. Tel père, tel fils. Sans parler de son « ex-rival » de façade aux dernières élections présidentielles américaines de Novembre 2004, John Kerry, lui aussi membre des Skull and Bones, initié en 1966.    

DES ORIGINES SECRÈTES À NOS JOURS.

Ce texte est essentiellement basé sur le livre de monsieur Antony Sutton : American's Secret Establishment - an introduction to the order of Skull and Bones, 1986. « Durant mes études supérieures (à l'université de Yale) j'ai joint les Skull and Bones, une société secrète, si secrète que je ne peux rien dire de plus. » Président George W. Bush, 43e président des Etats-Unis, page 47 de son livre a charge to keep. Il le reconnaitra aussi dans Time magazine le 30 Juillet 2000 et dit que cela est un honneur ! L'histoire des Skull and Bones commence à Yale, l’une des université privées les plus prestigieuse des Etats-Unis, où se mêlent histoire sociale Américaine, espionnage, introduction clandestine de drogue, sectes et sociétés secrètes. Elihu Yale est né près de Boston, élevé et instruit à Londres, fit fortune avec la British East Indian Company (contrôlée par la Barings Brothers Bank), et devint le gouverneur de Madras, en 1687. Après avoir accumulé une grande fortune par le commerce, il retourne en Angleterre en 1699. Sollicité par une jeune école dans le Connecticut, il a envoyé une importante donation. Après plusieurs legs subséquents, l'école est nommée Collège de Yale, en 1718. Depuis trois siècles, l’élite américaine y est passée. Une statue de Nathan Hale préside à l'entrée du vieux Campus à l'Université de Yale. Il y a une copie de la statue devant le siège principal de la CIA à Langley, Virginie. Une autre, identique, se trouve devant la Philips Académy d'Andover, Massachusetts, là où George H. W. Bush fut étudiant avant d’intégrer l’université de Yale. Nathan Hale, avec trois autres diplômés de Yale, était membre du « Culper Ring » ancêtre des premières services secrets américains, maintenant CIA. Etabli par George Washington, franc-maçon, ces « services d'opérations » ont été très actifs pendant la guerre révolutionnaire, ou plus communément nommée guerre d'indépendance. Depuis la création de la République, le rapport entre Yale et la « communauté du renseignement » a été unique. Ce qui fait dire à Gaddis Smith, professeur d’histoire à Yale : « Yale a influencé la CIA plus que tout autre université, donnant à la CIA cette atmosphère. » En 1823, Samuel Russel créa la société Russel and Co. dans le but d'acquérir de l'opium en Turquie et de l'introduire clandestinement en Chine, faisant du Connecticut la plaque tournante du trafic de la drogue dans le monde. La banque majeure, qui « lave » et remplace alors la Barings, est la banque Rothschild. Samuel Russell, associé à d'autres « frères », est alors devenu vers 1830 le contrebandier d'opium le plus important d'Amérique. Beaucoup des grandes fortunes Américaines et européennes ont été bâties sur le « China opium », et autres commerces illégaux. L'un des principaux responsable de la Russell and Co., comme directeur des opérations, était Warren Delano Jr., le grand-père du futur président Franklin Roosevelt. Les autres partenaires de Russell étaient John Cleve Green (qui a financé l'université de Princeton), Abiel Low (qui a financé la construction de la ville Columbia), Joseph Coolidge (le fils de Coolidge a créé la société United Fruit, et son petit-fils, Archibald C. Coolidge, était co-fondateur du Council on Foreign Relations), les familles Perkins, Sturgis et Forbes. William Huntington Russel, le cousin de Samuel, a étudié en Allemagne en 1831-32. Il revint alors imprimé de la philosophie hégélienne. Friedrich Hegel professait à l'université de Berlin en 1817, et était professeur jusqu' à sa mort en 1831. Hegel était la culmination de l'école de philosophie idéaliste Allemande, et surtout essaimait une philosophie révolutionnaire. Pour Hegel, notre monde est un monde de raison. L'état est la Raison Absolue et le citoyen peut devenir libre seulement s'il respecte et obéit à l'état. Pour Hegel, « la guerre est dans l’ordre nécessaire ; elle est raisonnable ; elle est divine ; elle est indispensable à la santé des peuples. » Friedrich Engels, complice de Karl Marx, a dit : « Nous, socialistes Allemands, sommes fiers de descendre non seulement de Saint-Simon, Fourier et Owen, mais aussi de Kant, Fichte et Hegel ». (B. Nicolaïevski et O. Maenchen-Helfen, Karl Marx, 1937.) Samuel Russel fréquente tout ce milieu révolutionnaire, communiste, socialiste, nihiliste, occultiste, lié à la franc-maçonnerie, aux théosophes, aux martinistes, rose-croix, carbonari, illuminés – illuminati et autres sectes. A cette époque l’Allemagne est un véritable foyer pour les « idées nouvelles ». De retour d'Allemagne, Russell a rapporté avec lui au collège, une autorisation, ou patente, afin de pouvoir et d'avoir l'autorité nécessaire afin d'ouvrir un chapitre aux Etats-Unis. Russel a été initié à une société secrète étudiante la même année. Donc, l’origine secrète d’un Ordre aux pratiques fortement teintées de satanisme, admirant la Mort, le sexe morbide et autres symboles occultes, tenant l’Amérique, est d’origine étrangère à ce même pays. C’est à Yale en 1832, que Russel a formé une société secrète supérieure, très fermée, avec Alphonso Taft. Le numéro 322, qui figure sur l'emblème des Skull and Bones, symbolise le numéro attribué à la section « amérique », le 321 étant réservé à la loge Allemande. William H. Russell, avec treize autres « frères », sont devenus les membres fondateurs de l'Ordre de Scull and Bones, puis plus tard, l'Ordre des Skull and Bones. Cet Ordre secret existe seulement à Yale. Un secret total devait être exigé, car, suite à l’assassinat maçonnique d’un ancien franc-maçon de New-York, William Morgan, en 1826, une vague d’anti-maçonnique se déclencha aux Etats-Unis. Suite à son assassinat par ses "frères", 90% des francs-maçons démissionnèrent de leurs loges. Morgan a fait d’importantes révélations sur divers secrets maçonniques, sur le coté caché aux « profanes », sur leurs plans secrets et leurs véritables projets.  
Suite à cet événement, les présidents des écoles et universités devaient connaître l’identité de tous les membres des sociétés secrètes internes. Ce qui entraina la disparition de l’une des plus importante et la plus influente association secrète de l’époque, la Phi Beta Kappa. Chez les Skull and Bones, quinze « juniors » sont minutieusement sélectionnés chaque année par un « supérieur », puis sont introduits dans le groupe l'année suivante. Chaque nouveau membre des Skull and Bones perçoit 15,000 dollars et une montre de grand-père. Ils doivent garder le secret de leur appartenance et de leurs actions, et doivent se soutenir entre eux durant toute leur vie. Les membres des Skull and Bones ont pris rapidement le contrôle de l’université de Yale. Ils ont pu favoriser le recrutement de certains professeurs par le biais de dons, ils ont pu influencer la promotion de tel ou tel. En 1856, ils obtinrent leur propre local, à l’intérieur de l’université, qui comportait plusieurs pièces, dont une en sous-sol, surnommée la Tombe – The Tomb.  
En 1873, une revue, The Iconoclast, dénonce l’emprise des Skull and Bones qui y est surnommée un « mal mortel » et souligne l’ intérêt que porte les « Bonesmen » pour la politique. Déjà, les Skull and Bones ont obtenu le contrôle de l’université et se préoccupent plus de l’Ordre que de l’université. Toutes les affaires sont exécutées par eux. L'argent donné au collège doit passer entre leurs mains, et être réservé à leur bon vouloir. Les Skull veulent tout gouverner, le pays, le monde. (Un nouvel ordre mondial, vulgarisé par Bush en 1991). Ils disent en avoir le droit « moral ». Non pas en se montrant vertueux ou qualifié, mais par des combines de pouvoir, avec le silence, le secret, la menace de mort en cas de trahison. Le 29 septembre, 1876, un groupe d'étudiants opposants a attaqué le bâtiment des Skull and Bones. Dans le bâtiment des Skull, surnommé le « tombeau », ils ont trouvé la loge 324, une salle décorée de velours noir, même les murs étaient couverts de décorations occultes. En haut la loge 322, le « sanctum sanctorium », lieu le plus sacré du temple, tendu de velours rouge avec un pentagramme sur le mur. Dans le couloir sont exposées des photos et images des fondateurs des Skull and Bones à Yale, et de certains membres de la société en Allemagne, datant de l'établissement de l'ordre en 1832. Le « commando » a trouvé une autre scène intéressante dans le salon, à côté de salle 322. Sur le mur ouest, pendu entre les autres images, une vieille gravure qui représente un cercueil ouvert, dans lequel, sur une dalle de pierre, reposent quatre crânes humains, vêtus d'un costume ridicule, un livre ouvert, plusieurs instruments mathématiques, et une couronne royale. Exactement les mêmes « décors » qu’en loge maçonnique, et autres cénacles aux pratiques occultistes, que l’on retrouve décrits dans des livres sur les messes noires... (Pour quelques exemples, reportez vous aux photos de loges et autres symboles ICI.) Propos confirmés dans une brochure anonyme publiée en 1876 sous le titre « la chute des Skull and Bones : crânes humains, ossements, pierre tombale… ainsi que des photos des pères fondateurs de l’Ordre des Skull and Bones, dont celle de D. C. Gilman. Par la suite, le fondateur des Skull and Bones, William Russell, devint général et législateur - ministre de la justice - dans l'état du Connecticut. Son acolyte, Alphonso Taft, a été nommé Ministre de la justice des Etats-Unis, secrétaire d'état à la guerre sous l’administration Grant, poste souvent tenu par des « bonesmen », puis ambassadeur en Autriche, et ambassadeur en Russie qui est in poste tenu par beaucoup de « bonesmen. » Son fils, William Howard Taft, franc-maçon, grand maître pour l’Ohio, est le seul homme a avoir cumulé les postes de Président des Etats-Unis et président de la cour suprême. Malgré quelques controverses diverses et variées, les Skull and Bones ont étendu leurs réseaux de pouvoir. Les membres des Skull and Bones, sont devenus, pour beaucoup, des dirigeants importants dans la société passée et actuelle. Les familles nommées sur les tablettes des Skull and Bones - crâne et os - est un véritable défilé de toute « l'élite », toute la gentry américaine : Rockefeller, Lord, Bush, Whitney, Taft, Bundy, Harriman, Weyerhaeuser, Pinchot, Sloane, Stimson, Phelps, Perkins, Pillsbury, Kellogg, Vanderbilt, Lovett et ainsi de suite. Donc, peu après leur initiation chez les Skull and Bones, Daniel C. Gilman (S&B 1852), Timothy Dwight (S&B 1849) et Andrew Dickinson White (S&B 1853) sont allés étudier la philosophie en Europe. Dwight a étudié à l’université de Berlin et celle de Bonn entre 1856 et 1858. Gilman était à l’université de Berlin entre 1854 et 1855 date à laquelle enseignait Karl von Ritter et Friedrich Trendelenberg, tous deux Hégéliens . White a étudié à l’université de Berlin entre 1856 et 1858. Comme le fait remarquer Antony Sutton, il est bon de signaler que Karl Marx, Friedrich Engels, Moses Hess, ainsi que Hitler et son entourage, professaient les théories de Hegel. Il n’y avait pas de liberté dans l’Allemagne nazie et pas de liberté pour l’individu dans les états marxistes, comme il n’y en aura aucune dans le « nouvel ordre mondial », car ils ont les mêmes racines. Pour que la théorie s’empare des masses, et pour qu’elle devienne donc une force matérielle, il faut s’emparer des postes vitaux dans l’éducation, l’information, l’histoire... Le trio Gilman, Dwight, White joua un role important dans le développement des universités américaines, et à la création des clubs de pensées – think tanks – et autres réservoirs à idées, fondations diverses, qui influent directement et de manière occulte, sur la politique et la société américaine, ainsi qu’elles le font sur la politique mondiale actuelle.
(Ci dessus, l’influence de l’Ordre des Skull and Bones dans différents domaines - Antony Sutton) Gilman est rentré d'Europe, a incorporé les Skull and Bones, dont il a donné une façade légale sous le nom de Russell trust, en 1856. Guilman en était le trésorier et le co-fondateur, William H. Russell, en était président. Durant quatorze ans, Gilman a tout fait pour consolider le pouvoir de l'ordre des Skull and Bones. Gilman a été nommé bibliothécaire de l’université de Yale en 1858. Par différentes manœuvres politique perspicaces, il a acquis des subventions pour le département scientifique de Yale (Sheffield Scientific School) et pouvait recevoir des terres (Morrill land), demande introduite au congrès en 1857, passée en 1859, malgré un veto du président Buchanan, finalement signée par le Président Lincoln. Cette loi, « faire don des terres publiques pour un collège de l'état, pour l'agriculture et les sciences », est maintenant connue sous le nom de Land Grant College Act. Yale était la première école d'Amérique à bénéficier de cette loi fédérale et s'est emparé rapidement de toute action possible dans le Connecticut. De là, Gilman devint le premier président de l’université de Californie, premier président de l’université John Hopkins et premier président de l'Institution Carnegie. Son ami, Andrew D. White, était le premier président de la Cornell University, ministre U.S en Russie, ambassadeur des Etats-Unis à Berlin et le premier président de l'American Historical Association. White était aussi le président de la délégation Américaine à la première Conférence de Haye en 1899, qui a établi le premier système judiciaire international. Timothy Dwight, professeur à la Yale Divinity School a été nommé 12e président de l’université de Yale, en 1886, en faisant de Yale un instrument de conquête du pouvoir américain. Tous les présidents de Yale depuis, ont été « Bonesmen » ou directement lié à l'ordre et à ses intérêts. Le trio Dwight-Gilman-White était aussi responsable de la fondation de l'American Economic Association, la société Américaine de chimie, et l'Association Psychologique Américaine. Rapidement les Skull and Bones ont pu mettre en place des chaines d’influence énorme. Par exemple, W. C. Whitney (S&B 1863) fut secrétaire d’Etat à la Marine, son directeur de cabinet étant Elihu Root, autre « Bonesman ». Ayant engagé comme conseiller juridique Henry Stimson (S&B 1888) à sa sortie de Yale, ce dernier devint secrétaire d’Etat à la Guerre en 1911, ayant été sélectionné par William Howard Taft, autre Skull and Bones. Stimson, par la suite, fut gouverneur général des Philippines sous la présidence de Coolidge, secrétaire d’Etat de Hoover, secrétaire d’Etat à la Guerre de Roosevelt et Truman. Il avait souvent l’habi­tude de dire, en privé, qu’il avait plus appris des Skull and Bones que de sa formation à Yale. Stimson a sevri sept présidents américain : Theodore Roosevelt, W. H Taft (S&B 1888), Woodro Wilson, Calvin Coolidge, Herbert Hoover, F. D. Roosevelt et Harry S. Truman. Vous avez le clan Whitney-Stimson-Bundy d’une importance énorme dans l’importance des différents réseaux de Pouvoir qu’ils sont arrivés à établir, et celui des Harriman-Bush maniant une quantité fantastique d'influences sur les affaires politiques, économiques et sociales Américaines et mondiales, dont voici quelques exemples. Pour centraliser le mouvement financier américain, les plus grosses banquiers privés, liées aux Skull and Bones, franc-maçonnerie, B’nai B’rith, allaient pouvoir controler tout ce volume en créant une loi : la Federal reserve board. Les banquiers étaient qui désiraient fortement ce fait étaient les Warburgs, les Schiffs, les Kuhns, les Rockefellers , les Morgans. De là, vient la création de la réserve fédérale américaine. Le premier directeur de ce nouveau « monstre » financier fut Paul Warburg. (Lire le livre de Eustace Meullins : Secrets of the Federal Reserve, 1952). Un « gouvernement invisible » s’est ainsi installé en prenant le Pouvoir monétaire, avec une belle façade « légale ». Dans son capital, lors de sa création, la Garanty Trust avait comme partenaires exclusivement des membres des Skull and Bones : Harry Payne Whitney (S&B 1894), Percy Rockefeller (S&B 1900), W. Averell Harrimann (S&B 1913) et Alfred Gwynne Vanderbilt (S&B 1899). Les plus importantes holdings bancaires aux Etats-Unis sont fermement tenues dans les mains de certaines maisons bancaires privées, toutes ayant des branches à Londres : J.P. Morgan Company, Brown Brothers Harriman, Warburg, Kuhn Loeb and Co. Donc, comme Sutton, l’on retrouve directement la main de l’ordre des Skull and Bones par la main mise sur la concentration financière : Percy Rockefeller (S&B 1900) était le fils de William D. Rockefeller, et le frère de John D. Rockefeller qui participa à la création de la Fédéral Réserve américaine. Percy a hérité d’une partie de la fortune de la Standard Oil - aujourd'hui EXXON, et a été un des directeur de la Garanty Trust pendant la période 1915-1930. Sutton dit qu’ « une douzaine de membres – des Skull and Bones - peuvent être liés à la Fédéral Reserve », et ainsi tout verrouiller et controler. Notez que la tâche d’ « infiltration » des Skull and Bones était grandement facilitée par le fait que président des Etats-Unis, William Howard Taft (S&B 1878), était membre de la secte aux pratiques fortement « teintées » de satanisme, et aussi franc-maçon. Ce même président William Howard Taft a reçu, au printemps 1912, la médaille de la « tolérance » de la part du grand maitre du B’naï B’rith. (E. Ratier). Le B’naï B’rith est une franc-maçonnerie exclusivement réservés aux Israélites. (Lire : Mystères et secrets du B’naith B’rith, Facta 1993. www.faits-et-documents.com)  
Après la première guerre mondiale, la « Round Table », groupe d’influence occulte politico-financier lié aussi aux Skull and Bones et à la franc-maçonnerie par divers membres et leurs influences, devint connu sous un nouveau nom : Council on Foreign Relations (CFR) aux Etats-Unis et le Royal Institute of International Affairs (RIIA) à Londres « vivant des subsides des banques Lazard, Morgan et Midland ». (Jean Lombard). La toile se tisse sur le monde. Ce milieu anglais, est lié aux Skull and Bones par différents membres, et « grace à l’appui du groupe « new républic », animé par William Straight (lié à la puissante famille Whitney –S&B-) et Walter Lipmann ». (Jean Lombard.) Comme le fait remarquer Jacques Bordiot, dans « une main cachée dirige », « dès leur formation, les groupes de la Table Ronde exerceront une forte influence sur la politique des deux côtés de l’Atlantique, qui se fera sentir notamment dans : la participation des Etats-Unis à la grande guerre à partir de 1917 ; l’aide apportée à la révolution russe d’octobre 1917 ; la fondation de la Société des Nations, de Genève. » Tout détruire afin de reconstruire et ainsi reprendre le pouvoir et s’imposer sur des montagnes de cadavres et de ruines. Fraternité de sang. L’ordre des Skull and Bones a soutenu financièrement la révolution russe de 1917 et les horreurs que l’on connaît, par ses banques privées, la Garanty Trust Company ainsi que la Brownn Brothers-Harriman. Cela n’est pas une nouveauté !!! Depuis des lustres tout se sait ! Certains ont l’air tout étonnés d’apprendre certaines choses !!! Dans une brochure éditée en 1945 intitulée « les causes des guerres avec l’Allemagne », l’auteur Albert Letellier écrit que le 14 Février 1916, lors d’un congrès des organisations révolutionnaires : « soixante douze délégués se sont présentés et le nom de Jacob Shiff, dès qu’il fut prononcé, fut unanimement acclamé », et plus loin, « la direction de la banque Warburg, Kuhn, Loeb et Cie était assurée par Jacob Shiff, en collaboration avec son gendre, Félix Warburg, dont les frères Max et Paul Warburg, dirigeaient à Hambourg la banque Max Warburg et Cie ». Et enfin : « lors du traité de Versailles..., quand se présenta la délégation financière allemande, ayant à sa tête, Max Warburg. Quant à la délégation financière américaine, elle obéissait fait à souligner, aux directives de Paul Warburg, le propre frère du premier ». Ces quelques mots datent de 1945. Réserve fédérale américaine, révolution russe, bénéfices importants à Versailles, Skull and Bones et franc-maçonnerie sont à l’oeuvre. L’on retrouve exactement les mêmes procédés idéologiques, les mêmes racines financières pour le nazisme, ses SS aux mêmes symboles que les Skull and Bones : crane et os croisés. Mais aussi les mêmes réseaux : franc-maçonnerie et leurs grandes loges, satanisme, martinisme, théosophie, rose-croix avec les sociétés secrètes qu ‘étaient « Vril » et « Thulé » et leurs « supérieurs inconnus ». (André Brissaud) Sheldon Prescott Bush (S&B 1917), était associé de la banque privée Brown Brothers Harriman, qui finança Hitler et son national-socialisme, pendant 40 ans et donc directement impliqué dans ces affaires morbides. Ce Prescott Bush est le père de George Herbert Walker Bush (S&B 1949), vice président puis président des Etats-Unis, franc-maçon 33e , membre de la Commission trilatérale et du CFR, futur chef de la CIA, et père de l’actuel président George Walker Bush (S&B 1968). Dans un livre paru en 1933 à Amsterdam, « les sources financières du national-socialisme », « dont tous les exemplaires disparurent et auquel il n’a pas apporté de démenti, dès 1929 la Garanty Trust cherchait un homme pour faire une contre-révolution nationale. Elle trouva Hitler. Son premier versement aurait eu lieu chez les banquiers allemands Mendelshon. La grosse affaire aurait été financée ensuite par la Garanty Trust, Deterding, président de la Royal Deutsh (Shell, B.P, etc.) toujours par l’intermédiaire de Mendelshon puis de la Rotterdamshe Bank et du Banco Commercial Italiano. Ce livre, qui avait pour titre hollandais « Dree Gespreeken met Hitler » avait pour auteur Sidney Warbourg, l’homme dont la banque avait financé, avec d’autres, la révolution russe de 1917 ! »(Pierre Virion - 1967) « Nombre de grands financiers et de gros industriels, Frytz Thyssen, le Dr Schacht ex-président de la Reichsbank aidèrent puissamment le parti nazi. Les grandes banques subvensionnèrent à leur tour le N.S.D.A.P. C’était la Deutsche Bank, la Commerz und Privat Bank, la Dresdener Bank, ainsi que l’Allianz, l’une des plus importante société d’assurances. Les produits chimiques (I.G Farbenindustrie)... Seul Krupp se faisait tirer l’oreille. Il se rattrapera en devenant, selon le mot de Thyssen, un « super-nazi ». (André Brissaud.) Cela n’étant pas encore suffisant, c’est encore un membre des Skull and Bones, Stimson, qui supervisa le projet Manatthan, afin de développer la bombe atomique, sous la présidence du franc-maçon Truman (33e degré). Stimson (S&B 1888), en bon membre de la fraternité de la mort, décida personnellement l’emploi de cette arme « de destruction massive » contre les villes japonaises de Hiroshima et Nagasaki, afin de mieux massacrer des innocents. Hollister Bundy (S&B 1909) fut conseiller spécial de Henry Stimson et le responsable, pour le Pentagone, du Projet Manhattan (bombe atomique). Il mit le pied à l’étrier à ses deux fils, William Bundy (S&B 1939), et McGeorge Bundy (S&B 1940 - président de la fondation Ford de 1966 à 1979), devinrent de hauts responsables de la CIA et de la Défense, assistants spéciaux des présidents Kennedy et Johnson, en charge du renseignement durant la guerre du Vietnam. Par la suite, William devint directeur de la rédaction de Foreign Affairs, l’influent trimestriel du Council on Foreign Relations. Un article du New Republic (repris par Courrier international du 8 juin 2000) donne une assez bonne idée, même si elle est fortement biaisée, de l’influence des Skull and Bones et l’ampleur de leurs projets : «Ce furent effectivement des Bonesmen qui donnèrent sa forme au libéralisme de la guerre froide. McGeorge Bundy, Henry Stimson et Averell Harriman furent les architectes de sa politique étrangère ». (E. Ratier - www.faits-et-documents.com)  
D’après Pierre de Villemarest, c’est « le richissime Averell Harriman, conseiller de Roosevelt et longtemps ambassadeur en U.R.S.S, a lui-même rapporté, au sortir d’un entretien avec le dictateur du Kremlin, en Juin 1944, que Staline venait d’admettre : « Les deux tiers de nos industries de base sont dus à votre aide et à votre assistance technique. » Si Harriman les répète, en 1944, c’est pour persuader que « l’oncle Jo » est un brave homme reconnaissant. » Brave criminel ce Staline, qui avait créé un département spécial nommé : « département du Diable ». (Vladimir Fedorovski, Le département du diable – la Russie Occulte, 1996.) Les cadavres, ne dérangent en rien la fraternité de la mort et ses sinistres complices. D’autres Bonesmen créèrent puis noyautèrent la CIA et ainsi, encore une fois, donner une façade « légale » à leurs activités criminelles et occultes. Ils occupaient aussi des postes clés de la Fondation Ford, qui cher­chait à redéfinir la politique sociale américaine. La propagande et le « lavage » de cervaux à grande échelle. Véritable «faiseur de présidents» du Parti démocrate, Averell Harriman (S&B 1913), prototype même de l’homme d’influence, recruta, par le biais de son frère Roland Harriman (S&B 1917), Prescott Bush (S&B 1917), père de George H. W. Bush. En furent également membres le grand-oncle de George Bush Jr, Jonathan Bush et ses cousins Georges Herbert Walker III et Ray Walker. L’histoire de la famille Bush, est indissociable à la fois des Skull and Bones et des services secrets américains. L’ancêtre de la CIA, l’Office of Stategic Services – OSS -, comprenait tant de «Yalies» (en particulier des Skull and Bones) que le chant de Yale, Whiffenpoof Song, devint l’air officieux de l’OSS. Le terme «spooks », qui signifie dans le langage de la CIA un espion clandestin, provient de l’argot de Yale, qui désigne le membre d’une association secrète. C’est sur les recommandations de Robert Lovett (S&B 1918) que la CIA fut créé, en 1947 par le National Security Act, à partir de l’OSS. La Central Intelligence Agency devint aussitôt une véritable chasse gardée des Skull and Bones, d’autant que son pre­mier directeur du personnel, qui occupa le poste durant 18 ans, F. Trubee Davidson, appartenait à la promotion 1918 des Skull and Bones. Parmi les principaux cadres de la CIA ou étroitement liés au milieu du renseignement également membres des Skull and Bones, on peut citer Sloane Coffin, V. Van Dine, James Buckley, Hugh Wilson, Charles R. Walker, Robert D. French, Dino Pionzo (chef de la CIA au Chili lors du renversement d’Allende), David Boren, John Kerry, etc. En 1951, Averell Harriman fut nommé directeur de l’Agence de sécurité mutuelle, ce qui faisait de lui le principal dirigeant américain de l’Alliance atlantique. C’est lui qui fut à l’origine de nombre d’ « opérations spéciales », comme le projet MK-Ultra ou le Psvcholoaical Strateav Board, dont le pre­mier directeur, Gordon Gray, devint le plus proche ami de Prescott Bush. Il poussa son fils George Bush au sein de la CIA et son propre fils devint par la suite le conseiller juridique et fiscal de George Bush, ainsi que son conseiller pour la covert policy. Considéré par l’Ordre contre son plus brillant espoir, après l’ère d’Averell Harriman, l’ère de George Bush peut être considérée comme la renaissance des Skull and Bones, une espèce de renouvellement de l’ère WASP d’Henry Stimson. Sa carrière fut suivie pas à pas par les Skull and Bones, grâce aux places occupées par les amis de son père, le sénateur du Connecticut Prescott Bush (S&B 1917), qui envoya son fils dans l’école préparatoire de l’élite US, la Phillips Academy d’Hanovre dans le New-Hampshire. C’est là que Bush rencontra pour la première fois Henry Stimson, lorsque celui-ci prononça un vibrant discours intervention­niste en 1940, appelant les Etats-Unis à entrer en guerre contre l’Allemagne. Ironiquement, à cette époque, la majo­rité des « Bonesmen » de Yale appartenait au groupe neutraliste America First. Lorsque la guerre éclata avec le Japon un an plus tard, George Bush s’engagea dans la marine où il fut entraîné comme pilote. Il devait d’ailleurs être abattu après une cinquantaine de missions dans le Pacifique. La légende veut que par la suite, Bush, en self-made-man, suivît la tradition familiale, se lançant dans une carrière d’homme d’affaires et comme spéculateur dans le pétrole au Texas. En réalité, il s’installa à Houston comme respon­sable des ventes de matériel d’extraction de Dresser Industries, dont le président, Neil Mallon, était un membre des Skull and Bones (S&B1917). George Bush, la CIA et les Skull and Bones, sont aussi mêlés à l'assassinat de JFK. J.F. Kennedy, seul président Catholique dans un pays fondé et dirigé principalement par des protestants très hostiles au catholicisme, avait annoncé qu'il allait retirer les forces Américaines de la Guerre de Viêt-nam. En Septembre 1963, le président Kennedy a annoncé qu'il y aurait des garçons Américains à la maison pour Noël. Le président Kennedy avait l'intention d'utiliser les pouvoirs de son bureau de la présidence afin d'informer les Américains du projet des Illuminati, et ainsi allait en terminer avec l’asservissement à la Federal Reserve Board. Kennedy voulait aussi mettre fin à toutes les opérations illégales de la CIA, et voulait terminer son engagement au Vietnam. Seulement, devenu un peu gênant, quelques semaines plus tard, il a été assassiné. Son assassinat a été exécuté par la CIA, sur les ordres des forces secrètes, occultes, qui règlent le gouvernement américain et la presse. Pour Michael A. Hoffman, Dallas, est localisé dix miles au nord du 33e degré de latitude. Le 33e degré est le plus haut dans la Franc-maçonnerie et la loge fondatrice du Rite écossais en Amérique a été créée à Charleston, Caroline du sud, exactement sur la ligne du 33e degré. (Le Symbolisme Maçonnique dans l'Assassinat de John F. Kennedy : Par Jacques Shelby Downard et Michael A. Hoffman .) Assassinat à la symbolique maçonnique, maintes fois utilisée, et télévisé afin de crééer un immense choc « psychologique » à la masse et ainsi, mieux la manipuler. Alors que Kennedy représentait une « menace » éventuelle pour ces personnages occultes, ils l’ont assassiné, et a sa place, ont installé un président plus compréhensif, et ainsi, intensifié la guerre au Vietnam et continuer leurs plans. Après quelques années, Bush monta sa propre société, Zapata Oil, avec son oncle, également « Bonesman », George Herbet Walker. De nombreux « Bonesmen » y participèrent, comme le père de Katherine Graham, directeur du Washington Post, Brown Harriman de Lazard Frères etc. En fait, la société de recherches pétrolières, qui lui permit quand même de lier des relations suivies avec les monarchies pétrolières du Golfe, fut un échec. En 1964, un vieil ami de la famille Bush, William Farrish III, la racheta pour éviter la déconfiture, tandis que George Bush enta­mait une carrière politique, comme représentant au Congrès de Houston, l’une des villes les plus riches des Etats-Unis. Les années 70 furent celles de son ascension (même s’il fut battu en 1970 au Sénat par Lloyd Bentsen), en adoptant des positions considérées à l’époque comme libérales (contraception, eugénisme, etc.), sous l’influence d’un de ses proches conseillers, également membre des Skull and Bones William Draper Jr. Lors de la campagne pour la réélection de Richard Nixon en 1972, il devint président du Republican National Committee. C’est à lui et quelques autres que Nixon fait allusion dans les fameuses bandes enregistrées et rendues publiques dans l’affaire du Watergate lorsqu’il parle de la «bande des Texans» qui l’ont financé et demandent sa démission. Ambassadeur auprès des Nations Unies, il fut envoyé en Chine commu­niste comme Chief Liaison Officer pour l’établissement de relations diplomatiques, avec l’assistance de Winston Lord (également S&B 1959), qui dirigeait la section chinoise de la CIA. Issu de la famille Lord qui fonda Hartford (Connecticut) et dont nombre des membres furent recrutés chez les Skull and Bones, il devait prendre par la suite la présidence de la section de New York du Council on Foreign Relations. C’est à cette époque que George Bush devint un proche de Gerald Ford, directeur de la CIA et qu’il fut recruté au sein de la Commission trilatérale. En 1980, Bush s’engagea, avec l’appui du Council on foreign relations dans la course à la Maison-Blanche, face à un Ronald Reagan ( FM 33e en 1988), l’unique président des Etats-Unis jamais élu sans l’aval du CFR, mais avec d’autres identiques. Son échec à l’élection du New Hampshire sonna le glas de ses espoirs, à une époque où la Trilatérale n’était pas en cours, à la sortie de l’ère de Jimmy Carter, véritable pion de cette organisation mondialiste. L’ensemble de son entourage de campagne était alors constitué de membres de la CIA, six de ses prin­cipaux dirigeants en étant d’anciens membres. L’essentiel de son financement provenait des industriels du pétrole, dont la plupart des dirigeants étaient des Bonesmen (Standard Oil Trust Corporation, Shell Oil of America, Creole Petroleum Corporation, Penzoil Corporation). C’est dans les années 80, sous l’influence des principales fondations américaines (Ford Foundation, Russel Sage Foundation, Peabody Foundation, Carnegie Endowment, Slater Foundation, Rockefeller Foundation, etc.), presque toutes sous l’influence des Skull and Bones, que se mit véritablement en place, de manière opérative, l’idée d’un Nouvel Ordre Mondial (c’est-à-dire d’un monde soumis au pouvoir mili­taire américain et où les Etats-Unis contrôlent l’essentiel des gisements et les mouvements de matières straté­giques), comme le démontre dans ses ouvrages, parus entre 1983 et 1986, le journaliste Anthony Sutton qui eut accès aux archives internes des S&B. C’est d’ailleurs exactement ce que souhaitait Henry Stimson (l’homme qui influença le plus idéologiquement Bush) dans son autobiographie, ln active service in Peace and War (Octagon Press, 1949), où il prévoit un Ordre Mondial dans moins d’une génération. Selon Sutton, après la débâcle dans la péninsule indochinoise, le déficit fiscal qui allait croissant et la chute de production des industries d’armement en raison de la chute du communisme à l’Est, le conflit du Golfe, avec la mise en oeuvre d’armes sophistiquées utilisées pour des massacres de masse (plus de 350 000 soldats irakiens tués) devait permettre aux Skull and Bones de réaffirmer leur prééminence sur le monde. (E. Ratier) Après avoir poussé Saddam Hussein, via son ambassadeur local, à envahir le Koweït, Bush annonçait l’intervention américaine et l’avènement du Nouvel Ordre Mondial. Bush père a été remplacé par Bill (William) Clinton, puis remplacé à son tour par un autre membre des Skull and Bones, le président George W. Bush. Bien que les partis politiques majeurs ont alterné le pouvoir, ces trois présidents ont tous soutenu les mêmes buts de l’élite du pouvoir globaliste. C’est un autre membre de la fraternité qui a soutenu la campagne presidentielle de Bush en 2000. L’une des premières actions du président Bush, quand il est entré la Maison blanche, était d'organiser un dîner avec les membres de sa fraternité... de la mort. Ces fait que vous venez de lire, les « analystes », journalistes et autres historiens européens devraient se méfier des politiciens qui peuvent être reliés à telles associations secrètes comme la franc-maçonnerie, des groupes secrets qui ont des liens avec les partis politiques comme le CFR, le Bilderberg group, la Trilatérale et autres groupements synarchiques secrets. Les journalistes européens n'apparaissent pas troublés par les écrits d’Antony Sutton, des suggestions d’Alexandra Robbins et autres Ron Rosenbaum, que des Bonesmen aient pu financer le Bolchevisme, le national-socialisme, développer et envoyer la première bombe nucléaire, ont pu organiser la Baie d'invasion de Cochons ; ont été lié à l'assassinat de Kennedy et au scandale du Watergate ; ou qu'ils puissent gérer le Council of Foreign Relations (CFR), la Commission Trilatérale ainsi que le Bilderberg. Plus d'une douzaine de Bonesmen ont travaillé à la Federal Reserve. Ce sont encore des Bonesmen qui gèrent les différentes fondations Rockefeller, Carnegie, et autres Ford. Les membres des Skull and Bones ont fondé l'Association Historique Américaine afin d’inculquer une histoire officielle aux américains, l'Association Economique Américaine et l'Association Psychologique Américaine. En 2004 les élections presidentielles américaine se sont déroulées entre le Sénateur John Kerry (S&B 1966) d’un côté et le Président Bush (S&B 1968) de l’autre, tous les deux membres de l’ordre des Skull and Bones aux pratiques fortement teintés de satanisme. Façade républicaine, démocrate, et réalité occulte.  
     

SKULL AND BONES, ILLUMINATI : DENOMINATEUR COMMUN : LA FRANC-MAÇONNERIE.

Antony Sutton dit que « les activités de L'Ordre sont dirigées afin de changer notre société, changer le monde, afin de provoquer un Nouvel Ordre Mondial. Ceci sera un ordre planifié avec de strictes limites à la liberté individuelle, sans protection constitutionnellle, sans limitations nationales ou sans distinction culturelle. » Historiquement, les opérations de l'ordre des Skull and Bones se sont concentrées sur la société, comment changer la société d’une façon spécifique vers un but spécifique à savoir un nouvel Ordre Mondial. Nous connaissons les éléments de la société qui devront être changés pour provoquer ce Nouvel Ordre Mondial. Nous pouvons examiner les actions de l’Ordre des Skull and Bones en examinant les éléments de la société qu’ils ont eu besoin de changer : l’éducation - comment la population se comportera dans l’avenir ; L’argent - les moyens de posséder les richesses ; L'économie - la création de richesse ; La politique - la direction de l'Etat ; médicaments - le pouvoir sur la santé, la vie et la mort ; La presse – ce que doivent savoir les personnes ce qu’ils doivent apprendre sur les évènements courants ; L'histoire – ce que les personnes doivent croire ce qu’il est arrivé dans le passé ; La psychologie - les moyens de controler la manière de penser sur les personnes ; La loi – l’autorité pour appliquer la volonté de l’état, une loi mondiale et une cour mondiale est obligatoire. Sutton a fait de nombreuses comparaisons entre les Illuminati et les Skull and Bones. Par l’organisation très hiérarchisés, quasi identique dans le secret, dans l’initiation et surtout dans les principes « philosophiques ». Chaque membre des Skull and Bones, selon une satire anonyme de 1876, porte un nom ou des noms qui ont une ressemblance remarquable à ceux utilisé par les Illuminati. Vous avez lu que l’Ordre des Skull and Bones était la section américaine de l’ordre des Illuminés de Bavière ou Illuminati. Sur ce sujet quelques explications s’imposent. La secte des illuminés de Bavière - Illuminati - a existée de 1776 jusqu' à 1786. Les buts de cette vaste société secrète étaient l’anarchie afin de détruire toute monarchie, toute religion, toute autorité. En 1786, un des hauts responsable de la secte des Illuminés de Bavière – Illuminati – fut frappé par la foudre près de Ratisbonne. En ramassant son corps, la police trouva sur lui des papiers tellement compromettants que l’on arrêta les principaux membres après avoir saisi et publié tous les documents concernant cette société secrète. Fondée par Adam Weishaupt le 1er Mai 1776, elle n'avait d'autre but que de détruire toute religion, toute société civile, et finir par l'abolition de la propriété. C’était le Marxisme avant l’heure. Cette secte, liée à la franc-maçonnerie, visait à s'emparer de tous les pouvoirs de l'état et cela par tous les moyens : malversations financières, débauche sexuelle pour obtenir le contrôle des personnes occupant déjà de hautes situations, à tous les niveaux, dans tous les gouvernements. La secte des « Illuminés » devait prendre la direction des plus importantes universités, afin d’y recommander des étudiants de bonnes capacités intellectuelles, appartenant à de bonnes familles. Puis progressivement, former ces esprits à l’idée d’un gouvernement mondial, et que seuls, de hauts initiés, les Illuminés, se devaient de « gouverner » la masse du peuple. De plus, tous ces agents, pouvaient, par la suite, infiltrer tous les gouvernements et tous les postes important d’un état. La secte de Weishaupt alias « Spartacus », devait aussi obtenir le contrôle de la presse et tout ce qui informait les gens, afin de mieux orienter les esprits. « Ses projets ne visaient à rien moins qu’à balayer toutes les monarchies aussi bien que toutes les croyances existantes, et à mettre à leur place des républiques. » (J. H. Lepper) L’on sait que l’histoire de l’amérique est entièrement liée à la franc-maçonnerie. « Les pères fondateurs de la « république » - américaine – étaient franc-maçons. » (Revue du grand orient de France, citée par G. Virebeau dans « mais qui gouverne l’amérique ».) « Ainsi, vers 1760 il n’était pas un coin de l’amérique où la maçonnerie n’eût pénétré. Partout elle prêchait la fraternité et l’unité. » (Bernard Faÿ) « A son apogée en 1783,... l’ordre était supposé même avoir atteint l’Amérique ».(Lepper) Georges Washington dans un courrier adressé au révérend G. W. Snyder, en 1798, ne doute pas que cette « diabolique doctrine » se propageait au travers des loges maçonniques. (J. Bordiot) De plus, en 1761, le frère maçon « Stéphen Morin, délégué par le Conseil des Souverains Princes Maçons siégeant à Paris, reçut la mission de propager en Amérique le système d’Hérodom. » (D. Margiotta – Souvenirs d’un 33e – Adriano Lemmi chef suprême des francs-maçons.) Des loges furent fondées à Boston par Moïse Hayes, en Caroline du sud par Isaac Dacosta, et une Sublime Loge de Perfection à Charleston en 1763. En 1801, fut créé un rite maçonnique en 33 degrés, par Isaac Long, aidé par le colonel John Mitchell, Frédéric Dalcho, Abraham Alexander, Isaac Auld, et Emmanuel de la Motta, tous « Souverains Princes de Jérusalem », rite composé des « 25 degrès du système d’Hérodom et y ajoutant 6 grades Templiers, qui complétaient 4 degrés empruntés à l’Illuminisme allemand d’Adam Weishaupt, et deux grades dits d’administration... Isaac Long donna a son œuvre le nom de rite Ecossais Ancien et Accepté ; les premières grandes constitutions furent signées à Charleston, le 31 Mai 1801. » (Margiotta – souvenirs d’un 33e ) « En arrivant à Charleston en 1801, Isaac Long y transporta le Baphomet qu’il affirmait avoir retrouvé, ainsi qu’un crâne qu’il déclarait être celui du grand maître Molay. (Margiotta – souvenirs) « A mesure qu’il avançait, l’Illuminé voyait se lever les voiles qui lui cachaient le but suprême de l’Ordre : la destruction de la société, et son remplacement par une organisation sans classe, sans autre hiérarchie que la « vertu » propre à chaque citoyen. » (Pierre Mariel) « Donc, pour rétablir l’homme dans ses droits primitifs d’égalité et de liberté, il faut commencer par détruire toute religion, toute société civile, et finir par l’abolition de la propriété. Profession de foi résevée aux Epotes, retrouvées dans les archives d’Adam Weishaupt.» (P. Mariel) L'obéissance était de mise sous peine de mort, on enseignait à l'adepte que le but de l'ordre était de faire de toute l'humanité un seul corps gouverné par des supérieurs, des « supérieurs inconnus ». En son temps, la secte de Spartacus-Weishaupt - Illuminati - avait un pouvoir et une influence énorme en Allemagne où ses membres « se comptaient par milliers » (Lepper), en France, mais aussi sur toute l’Europe par le biais de la franc-maçonnerie et autres sectes comme les rose-croix, martinistes, théosophes, alchimistes kabalistes. Malgré l'interdiction de la secte par le Gouvernement Bavarois en 1786, l'illuminisme avait eu le temps de se propager à travers le monde : de l'Allemagne, la secte s'est répandue sur toute l'Europe, et jusqu'aux Etats-Unis, là aussi par l'intermédiaire d'autres sectes, dont la franc-maçonnerie. Le Gouvernement de Bavière a proscrit la société en 1786 et a publié les détails de la conspiration des Illuminati sous le titre « Ecrits Originaux de l'Ordre et de la secte des Illuminés » et publiés en France par l’abbé Augustin Barruel dans son livre intitulé Mémoires pour servir à l’histoire du jacobinisme en 1798, rééditées en 1974 chez DPF en 2 volumes. Les avertissements du gouvernement bavarois, dès 1786, concernant les la secte de Adam Weishaupt , Illuminati, avaient été ignorés, la Révolution française avait éclaté en 1789, comme prévue par Weishaupt. Alors que « Louis XVI n’a pas d’autres titres à leur haine ; pendant un règne de 19 ans, il n’a pas signé la mort d’un seul homme, il a aboli la corvée, les tributs onéreux, il a abandonné ses droits féodaux sur ses domaines, il n’a aucun des vices odieux et coûteux aux nations, il est compatissant, généreux. Peine perdue ! il fut roi, et c’est à la royauté que se fait cette guerre de Vandales. Il montera à l’échafaud... tel est le beau résultat du travail des sectes secrètes, tel est l’ouvrage des Illuminés, francs-maçons et autres. » (Les sectes et sociétés secrètes politiques et religieuse, J.H.E Le Couteulx de Canteleu, 1863.) Dans un rapport lu à la tenue plénière des respectables loges Paix et Union et la Libre Conscience, à l’Orient de Nantes, le lundi 23 Avril 1883, nous lisons : « Ce fut de 1772 à 1789 que la maçonnerie élabora la grande révolution qui devait changer la face du monde... » La secte des Illuminés a survécu à son bannissement. Néanmoins, le groupe avait été prospère, et s’était allié avec tous les vastes réseaux maçonniques : grand orient de France, martinistes, rose-croix, théosophes... Il est intéressant de noter que la secte des Illuminés de Bavière a été fondée le 1er Mai 1776, à l’université d’Ingolstad par Adam Weishaupt, et que le 5 décembre 1776, des étudiants du « William and Mary College » fondent une société secrète, Phi Beta Kappa. Un deuxième « chapitre » a été formé, à Yale, en 1780. Le mouvement anti-maçonnique aux États-Unis des années 1820 a montré les groupes tel que « Phi Beta Kappa » sous un mauvais jour. À cause de la pression, la société est devenue publique. Dans « Cyclopedia of Fraternities », 1896, un graphique généalogique des fraternités dans les collège aux États-Unis, montre Phi Beta Kappa comme « le parent de tous les systèmes fraternels (américains) dans la plus haute éducation. » Ces rituels sont pour beaucoup dérivés de la franc-maçonnerie, templiers, et autres ordres pour certains rituels. (Cyclopedia of Fraternities) Il y a seulement un descendant : le chapitre de Yale en 1780. La ligne continue alors jusqu’au « Skull and Bones » en 1832.  
Afin d'infiltrer les loges maçonniques en Grande-Bretagne, Weishaupt invita John Robison en Europe. Robison était un franc-maçon de rite écossais de très haut degré. Professeur de philosophie naturelle à l'Université d'Edimbourg et secrétaire de la Société Royale d'Edimbourg, Robison ne crut pas au trompe-l'oeil des Illuminati qui voulaient faire croire que leur objectif était de créer une dictature pour aider la population, mais il garda ses réflexions pour lui-même, de sorte que les Illuminati lui firent assez confiance pour lui confier une copie de la conspiration de Weishaupt pour étude, et pour la garder en sûreté. Afin d'alerter les autres gouvernements du danger imminent, et d'informer les franc-maçons que leurs loges avaient été infiltrées par les Illuminati, Robison publia, en 1798, un livre intitulé "Proof of a Conspiracy to Destroy All Governments and Religions" (Preuves d'une conspiration pour détruire tous les gouvernements et religions), mais ses avertissements furent aussi ignorés. « J’ai vu se former une association ayant pour but unique de détruire, jusque dans leur fondement, toutes les religions établies et renverser tous les gouvernements existants.... les dirigeants voudraient gouverner le monde avec un pouvoir incontrôlable, pendant que tous les autres seraient employés comme les outils de l'ambition de leurs supérieurs inconnus. » (Robison ; Mgr Henri Delassus, La conjuration anti-chrétienne, Desclée, 1910.) « Il y a dans Darkness Visible, un document qui intéresse directement notre sujet. Il sagit d’un rituel daté de 1926 et imprimé anonymement pour le « suprême conseil 33e degré », ce qui prouve qu’il avait l’imprimatur de l’autorité. ...La croix du milieu est ornée d’une rose noire entourée d’une couronne d’épines ; les deux autres croix n’ont que deux marches sur lesquelles reposent des cranes et des os croisés... La chambre noire ouvre sur la chambre de D...h (Death, la mort). » (H.T.F Rhodes, la messe noire.) Ces cérémonies, symboles et rituels démontrent très clairement les relations existants entre franc-maçonnerie, rose-croix, Illuminati, Skull and Bones et occultisme. George Washington devait savoir bien d’autres choses car « le 27 Décembre 1776, lorsqu’il fit son entrée à Philadelphie, Washington ne portait pas l’uniforme militaire, mais sa tenue maçonnique, avec tous les insignes et les emblèmes de l’ordre. Lors de la pose de la première pierre du Capitole, en 1795, Washington avait revêtu le tablier rituel et les insignes maçonniques.» (revue maçonnique Humanisme, n° 190, cité par George Virebeau, Mais qui gouverne l’amérique ?) Dans « Preuves d’une Conspiration », Robison a imprimé la cérémonie d'initiation au degré de « Régent » dans l’ « Illuminisme » : « Un squelette lui est montré (à l’initié), aux pieds est placé une couronne et une épée. Il est demandé si cela est la squelette d'un roi, d’un noble ou un mendiant. Comme il ne peut pas se décider, le président de la réunion dit à lui : Le caractère qui fait un homme est la seule chose qui ait de l'importance. » Ceci est identique à l'écriture dans le temple des Skull and Bones surnommé le « tombeau » : « Wer war der Thor, wer Weiser, Bettler oder Kaiser ? Ob Arm, ob Reich, im Tode gleich. » Lequel se lit : "Qui était l'idiot, qui de l'homme sage, du mendiant ou du roi ? Si pauvre ou riche, tous les mêmes dans la mort. » Quand une personne est initiée chez les Skull and Bones, il leur est donné un nouveau nom, lors d’une « re-naissance », similaire à la pratique des « Illuminati. » Beaucoup de membres de la secte des « Illuminati » et des autres comme les rose-croix, les martinistes, ont trouvé refuge en Allemagne et ont pu continuer leurs actions sous d’autres formes, toujours en contact avec le milieu étudiant de Berlin durant des années, puisqu’à l’époque de Karl Marx, Hegel y professait, Gans a pris la suite..., et c’est tout ce milieu maçonnique et conspirateur allemand qui, par la suite, à « inspiré », « éclairé » les futurs « Bonesmen. » Mais qu’est ce que la franc-maçonnerie ? « La Franc-Maçonnerie est une secte religieuse qui s'organisa surtout en Europe, vers 1725, professa une doctrine « humanitaire » internationale et se superposa aux autres religions. La franc-maçonnerie ne tend pas à un perfectionnement des sociétés existantes en tenant compte de leurs origines, de leur tempérament, de leur situation, mais un retour à l'état de nature, à une agglomération d'êtres humains, satisfaits d'une vie végétative, pourvu que ses avantages matériels soient également répartis entre tous les citoyens ». ( Gustave Bord - La F.M en France...) Dans un petit livre intitulé « Ce que doit savoir un maitre maçon », par Papus (Dr Gérard Encausse), on peut y lire les passages qui vont suivre. Dans l'édition de 1952, la préface est écrite par Marius Lepage, 33°. Une autre édition française a été réalisée dans les années 70, complétée par Pierre Mariel, franc-maçon martiniste, grand spécialiste du genre, avec un extrait de la préface à l'édition Italienne signée U. Triaca, 33°. Il y a eu d'autres éditions, dont une en 1986. Page 13, édition de 1952, nous lisons : « La science maçonnique existe, ..., elle constitue une adaptation de la Kabbale hébraïque d'une part et des traditions gnostiques d'autre part, plus ou moins modifiées par les templiers. » Pages 19 et 20, édition des années 70, nous lisons quelques mots sur les obédiences françaises, écrits par Pierre Mariel : sur le Grand Orient de France : « ...vers 1935, le G.O groupait des loges traditionnelles et donnant au rituel la place éminente qui convient. Cette tendance ne fait que de se préciser. » « Templiers, Rose-Croix, Illuminés, Gnostiques... Tous ces noms prestigieux sont là, au rendez-vous des hauts grades ». (Marius Lepage, 33e) Sur la Grande Loge de France, Pierre Mariel dit : « ...ses Hauts Grades restent imprégnés de l'esprit des Rose-Croix. » Les Rose-Croix sont adeptes de magie (sexuelle) et d'occultisme. « C’est en particulier l’attitude gnostique face à la sexualité qui a constitué un thème récurrent chez les rose-croix et qui s’est manifesté à certaines périodes dans l’utilisation de la sexualité à des fins magiques ou mystiques. De façon curieuse, on pourrait dire que l’élément sexuel était un ingrédient indispensable qui tendait à se réaffirmer...» (C. McIntosh, la rose croix dévoilée, Dervy, 1981. Préface de Robert Amadou.) On y retrouve aussi « le rite écossais ancien et accepté de Morin et réformé par Pike. » (page 20, édition 1952.) Simple rappel, Albert Pike était le « rénovateur du culte luciférien - ou satanique - des temps modernes en Amérique. Les cérémonies impliquaient la présence de deux prétresses et un « évangile » écrit à l’encre verte par Lucifer lui-même et signé de sa main. » (dictionnaire de l'occultisme.) Albert Pike était Grand Commandeur du rite Ecossais, Grand maitre universel de la franc-maçonnerie à Charleston, auteur de Morals and Dogma - la « bible maçonnique », mélange d’Eliphas Lévy et résidus d’occultisme. C’est ce même Albert Pike qui prononça sa « Voûte d'Instruction » le 14 Juillet 1889, pour fêter dignement le centenaire de « leur révolution » républiquaine française : « C'est pourquoi, Nous condamnons, de la façon la plus formelle, la doctrine du Satanisme, qui est une divagation de nature à faire le jeu des prêtres. Les Francs-Maçons satanistes, donnent, sans s'en douter, des armes contre la Franc-Maçonnerie (preuve évidente que beaucoup de francs-maçons adorent Satan.) Ce que nous devons dire à la foule, c'est : Nous adorons un Dieu, mais c'est le Dieu que l'on adore sans superstition. A vous, Souverains Grands Inspecteurs Généraux (33e...), nous disons, pour que vous le répétiez aux frères des 32e, 31e et 30e degrés (et non pas aux frères des grades inférieurs) : La religion maçonnique doit être, pour nous tous, initiés des hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Car le Dieu Lucifer, de la théurgie moderne n'est pas le diable Satan de la vieille goétie. Nous sommes Ré-Théurgistes-Optimates, et non praticiens de la magie noire. » Et « feu Albert Pike, le premier pontife lucirérien, ne s’est pas gêné pour affirmer que le gnosticisme est l’âme et la moelle de la franc-maçonnerie. La Gnose était la religion de Satan ; la franc-maçonnerie est donc le culte de Satan ». (Margiotta, Le Palladisme) Et enfin, toujours Pierre Mariel, sur les francs-maçons du " Droit Humain : « obédience mixte. Il y a deux courants. Le premier tire son dynamisme "à gauche" (communisme, socialisme...) L'autre courant émane de la Société Théosophique. » (Hitler, Thulé, racistes et satanistes.) « Son influence est d'autant plus profonde qu'elle est très discrète. » (Aujourd'hui la Lucis Trust - new age -, ex Lucifer Trust à l'O.N.U... Sur ce sujet, il faut lire d’un excellent livre intitulé : Maçonnerie et sectes secrètes, la coté caché de l’histoire, 2000, par Epiphanius.) La Gnose, représentée par la lettre G, « la science du bien et du mal, le symbole de la Gnose, monogramme de l’orgueil spirituel qu’on épèle « Satan-Dieu ». Et les initiés décomposent ainsi les six lettres qui composent le nom gnosis. G(nosticis) N(oscitur) O(mnis) S(cientia) I(n) S(atana). Ce qui s’interprète : le pouvoir gnostique (le savant complet), sait que tout savoir réside en Satan ». (J. Kostka, Lucifer démasqué ) Véritable fraternité de la mort à l'histoire occulte criminelle... dont leur première grande « œuvre » fut la révolution française, réalisée par les "enfants de la veuve"... noire. Installation de la « république jacobine maçonnique » par un coup d’état, dans la terreur, la violence, les massacres… La France devait être « Illuminisée » par la secte. Décapitations de femmes et d'enfants, massacres horribles... pour instaurer, à la place de la monarchie, leur dictature républicaine jacobine, anti-monarchiste, anti-cléricale, malthusienne, criminelle et maçonnique. La république actuelle est la digne fille de la révolution... A noter que le président de la « république maçonnique » française, est franc-maçon, affilié à la loge Suisse Alpina qui « pratique » le rite écossais d'Albert Pike. Illuminés, franc-maçonnerie, rose-croix, magie sexuelle, satanisme ou luciférisme, le tout lié à la politique, l’histoire, les révolutions sanglantes, véritable histoire... démoniaque. Pour en revenir à la franc-maçonnerie, dès le grade d’apprenti, l’on pratique des rites bizarres. Le nouvel « initié » est invité à méditer dans un « cabinet de réflexion » où l’on retrouve déjà... des cranes et os croisés ou, en anglais : Skull and Bones. Puis, le candidat « après une demi-heure de méditation, voit entrer un franc-maçon en grande tenue qui lui tend une feuille de papier au bout d’une épée. Il sagit d’un questionnaire minutieux portant sur son identité et ses opinions. » (J. C Lozac’hmeur) Donc, pour qu’une société secrète conspire, elle a besoin de s’organiser, d’élever des fonds, d’établir leurs projets opérationnels, avec le secret espoir les porter à leur terme. Objectifs faciles à atteindre par l’occupation des positions clé d’un état, et ainsi les peuples sont soumis, contre leur volonté, ou à leur insu, à une forme supérieure d'esclavage par quelques milliers d'individus ayant réussi à disposer, par l'action secrète, de l'ensemble des grands leviers publics et privés d’un pays. La secte des « Illuminés » a disparu officiellement, mais a lentement continué son œuvre en se fondant dans toutes les sectes annexes. « Depuis la grande révolution française, de Gracchus Babeuf à Blanqui, en passant par Buonarroti, elles – les société secrètes – avaient soutenu, sous les formes les plus multiples, la seule idée d’une révolution violente ». (B. Nicolaïevski et O. Maenchen-Helfen, Karl Marx, 1937). A noter que Buonarotti était membre des Illuminés de Bavière. (Les Carbonari, Pierre Mariel, 1971.) Antony Sutton voulait, par son étude, démontrer que les méthodes et les objectifs des Illuminati, sont identiques à ceux de l'ordre des Skull and Bones, et les liens directs avec la franc-maçonnerie mondiale des « hauts grades ». En 1988, Sutton a écrit : les deux faces de George Bush. Dans ce livre, il a osé dire une vérité, à savoir que G. W. Bush était un « Bonesman », comme son père qui allait être président des USA. Après avoir prouvé que l’ordre des Skull and Bones a un Pouvoir immense, quasi total, sur l’amérique et dans le monde par ses différents réseaux – Trilatérale, CFR, Bilderberg - , d’avoir financé le socialo-communisme avec ses monstre Lénine et autres Staline, d’avoir financé Hitler et le national-socialisme aux origines maçonniques avec les sectes occultes : Vril, Thulé, franc-maçonnerie, Rose-Croix, Théosophes, qui se voulaient eux aussi annonciateurs d’une « surhumanité », d’avoir poussé à la deuxième guerre mondiale afin d’étendre leur pouvoir sur des ruines et instituer leur création qu’est l’ONU, et avoir dévoilé d’autres vérités, c’est alors que monsieur Antony Sutton est devenu un fugitif dans son pays adoptif, pour avoir fait des « révélations » aux profanes, malgré les menaces de beaucoup, jusqu'à lui dire qu’avec ces secrets qu’il venait de dévoiler, il ne survivrait pas. Monsieur Sutton est décédé en Juin 2002, et dans la plus grande indifférence générale, alors qu’il a contribué, par ses écrits, à vouloir informer le monde, à prévenir des dangers, et que tous « commencent à se questionner sur cette hypnose nationale », et mondiale. Dans son livre « America's Secret Establishment », Antony Sutton a esquissé la capacité des Skull and Bones à pouvoir établir des réseaux d'influence, par leurs créations diverses : C.F.R, Trilatérale, Bilderberg, CIA, et leurs énormes moyens financiers que l'on retrouve dans tous les mouvements révolutionnaire les plus sanglants de l'Histoire du monde et autres guerres mondiales : Warburg, Oppenheim, Schiff Morgan, Kuhn Loeb and Cie, Rockefeller et autres Rotshilds. La Chase Manhattan bank de Rokefeller, la Bank of America, l'Irving Trust et autres sont autant d'institutions financières mises en cause dans le recyclage des fonds des trafiquants. A ce sujet, je vous recommande le livre de Yann Moncomble : Le pouvoir de la drogue dans la politique mondiale. Ces différents dossiers sont explosifs ! Est-ce un hasard si nombre de dirigeants de ces banques se trouvent être dans le même temps, parmi les membres les plus importants du C.F.R, de la franc-maçonnerie, du bilderberg, de la Trilatérale et de Skull and Bones ? Du fait que les membres de l'ordre soient installés à des postes importants à travers tout les USA, la continuité de leurs arrangements et de leurs schémas conspirationnistes pouvait être assurée. De plus, leurs « adversaires » sont « muselés » ou simplement des lâches. Les « Bonesmen » partagent une affinité pour les idées de Hegel, où l'état est absolu et les libertés des individus sont basées sur leur obéissance à l'état soit un « Nouvel Ordre Mondial. » Les cellules révolutionnaires de toutes périodes, que ce soit pour la France et la révolution maçonnique de 1789, l'Italie avec Mazzini, l'Allemagne avec Hegel ou Marx, la Russie avec Lénine ou Trotski, sont des exemples évidents. C'est de ce même courant de pensée révolutionnaire, que sortiront les Marx, George Jung - marié à la fille d'un banquier de Cologne, et Dagobert Oppenheim - frère du propriétaire de la grande banque Salomon Oppenheim et Cie -, Moses Hess, Camphausen, Mevissen et d'autres capitaines d'industrie. Et tout ce beau monde est lié aux pires mouvements occultistes et satanistes. Marx « adorait » Satan (R. Wurmbrand), Mazzini était un sataniste notoire, Bakounine écrivait « Satan est le premier libre penseur », Proudhon « adorait » Satan lui aussi... (R. Wurmbrand, B. Nicolaïevski et O. Maenchen-Helfen.) Hasards « troublants » ? Ou alors, vérités à dissimuler aux « profanes ». Dans un excellent livre intitulé « Under the Sign of the Scorpion », l’auteur, Juri Lina, démontre documents à l’appui, que la révolution russe de 1917 a été soutenue par différents mouvements subversifs toujours identiques : Illuminati, Grand Orient, B’nai B’rith... Il démontre que l’activité de Lénine a clairement suivi celui d’Adam Weishaupt. La terreur a dominé avec ses horreurs. L’auteur, Jüri Lina est tenace. Il dit être remonté des archives soviétiques à celles disponibles dans les principales capitales d’Europe Centrale relatives à l’origine du complot communiste, ainsi qu’à son prédécesseur et inspirateur direct, le complot des « Illuminés de Bavière » du grand frère ... Adam Weishaupt ! Comme par hasard ! Ainsi que les liens entre les loges américaines et la finance par la famille du banquier Samuel Moses Warburg. En effet, nous confirme Jüri Lina, le contrôle des maçonneries fut solennellement scellé au château de Wilhelmsbad, château propriété de... Mayer Amschel Rothschild, le 16 juillet 1782. A la fin du XVIIIe siècle, la première révolution des illuminati avait secoué toute la planète. L’action des frères redevint secrète mais, selon Jüri Lina, elle se poursuit dans le cadre du même plan jusqu’à l’explosion de la révolution d’octobre 1917. Ainsi il prétend que les illuminati ont oeuvré pour que les U.S.A. s’inspirent du système bancaire des pays européens et confient l’émission et la circulation de leur monnaie à des organismes privés afin d’endetter l’État à des taux d’intérêt non maîtrisables ! Lincoln aurait refusé de confier les rênes de l’économie américaine aux Rothschild. Il aurait donc été assassiné, une fois la victoire sur les sudistes acquise, par un Illuminati - J.W. Booth, manipulé lui-même par un agent du clan Rothschild, J.P. Benjamin. A la même date, Albert Pike achevait l’infiltration de toutes les loges américaines et implantait son organisation secrète à Charleston, aujourd’hui toujours, capitale initiatique des États-Unis, et y introduisait les rites sataniques. Le général assassin pendant la guerre de sécession, massacreur de sudistes et de noirs, fondateur et infiltrateur du Ku-Klux-Klan, le général Pike trône aujourd’hui aux U.S.A. où les « frères » lui ont érigé une magnifique statue au centre de Washington. La plaque insérée dans la statue présente le « brave » général comme un « soldat » et un « poète ». Les onze ministres de Kerensky étaient... francs-maçons. Toujours la même mafia criminelle internationale. Le quartier général des opérations à réaliser afin d’instaurer le communisme, en 1917, se trouvait au 120 Broadway à New York. C’était la même adresse que E.H. Harriman, qui fit fortune dans les transports féroviaire, et qui allait être le père de deux futurs membres très influents des Skull and Bones. Il a négocié avec Theodore Roosevelt, franc-maçon, un financement pour des campagnes politiques et en échange, Roosevelt accepte de faire sénateur Chauncey Depew qui est lui membre des Skull and Bones (1856). Il sera alors un fervent supporter des chemins de fer et sera nommé par la suite embassadeur des Etats-Unis en France. La fraternité à tous les étages. Pour que de telles organisations révolutionnaires secrètes et criminelles puissent fonctionner, il faut absolument qu leur existence soit dissimulée. Ainsi, le secret dans les questions politiques est historiquement associé avec la contrainte et la révolution, toujours sanglante, sous couvert d' « humanisme ». Derrière les évènements du 11 Septembre 2001, se profile le même type de prétexte afin d'imposer au monde, par la guerre, la violence verbale et visuelle, le vieux rêve de leur république universelle. Avec à leur « passif » macabre, guerres mondiales, bombe atomique et autres massacres, croyez vous que ces sinistres personnages soient dérangés par le meurtre de quelques « pauvres » milliers d’innocents ? De simples petit détails, rien de plus. Par contre, le résultat obtenu est des plus efficace. Et encore une fois, derrière ces évènements, l’on retrouve toujours les mêmes acteurs : le CFR, le Bilderberg group, la Trilatérale, la franc-maçonnerie, les Skull and Bones. Le « prétexte » idéal pour légaliser la force face à la « masse » des personnes noyées sous des flots d’informations mensongères. Et cette « information », dans sa majeure partie, est aussi directement liée et tenue par tous ces mêmes milieux !!! Franc-maçonnerie, bilderberg, Trilatérale et autre «Siècle». « Notre secret demeure tel que le révélait un curieux petit ouvrage, aujourd'hui introuvable, publié à Bruxelles en 1774 : la franc-maçonnerie, ou révélations des mystères des francs-maçons (...) Il consiste à construire insensiblement une république universelle et démocratique dont la reine sera la raison et le conseil suprême, l'assemblée des sages. » Albert Lantoine, grand initié, dans : « Hiram au jardin des oliviers », p.300, cité par Jacques Ploncard d'Assac dans sa lettre politique n°202 de Décembre 1986. Seule la finalité de leur « conspiration » est importante. Et l’on peut lire encore sur la « symbolique maçonnique », dans un chapitre intitulé « La légende d’Hiram et l’Esotérisme Luciférien » du livre de Robert Ambelain intitulé « Dans l’ombre des Cathédrale » : « Et à Hiram, il donne alors la tradition luciférienne... Or, la couleur verte est la couleur luciférienne... C’est également la couleur de Vénus. Et il est une tradition Indoue (rapportée par Annie Besant – qui succéda à Helena Blavatski - également), qui a trait à la descente des seigneurs de la Flamme. » Puis, plus loin : « Enfin, cette apparition périodique d’un mage noir symbolique, nous rappelle celle des occultistes des deux lignées, qui, en France comme en Russie, parurent la veille des révolutions en ces deux pays ». (Robert Ambelain, Editions Bussière, 2001, réédition de l’édition de 1939.) Il existe un mal pire et plus meurtrier que la persécution, c'est l'empoisonnement de la pensée. Or, par les moyens les plus « officiels » que sont la presse, l'éducation, les affaires, l'industrie, les syndicats, la banque, les partis politiques, tous infiltrés par des membres de « sociétés secrètes », franc-maçonnerie, trilatérale, bilderberg et autres sectes, ces « sages » imposent leur nouvel ordre mondial. Ils fabriquent l’opinion, créent les intuitions et façonnent l’histoire à leur façon, aux Etats-Unis, mais aussi en France et sur le reste du monde. Pour que leurs théories s’emparent des masses, il faut des moyens importants, techniques, financiers, un contrôle total de la presse, de l’éducation, de la communication, et distribuer l'information au public afin que toutes les informations soient orientées afin que les masses finissent par croire qu'un gouvernement mondial est la seule solution à beaucoup de problèmes. Il ne faut jamais oublier qu’un parti politique reste toujours commandé par ses origines. Les hommes qu’il groupe ont toujours en commun le même fond d’idées, les mêmes tendances intellectuelles, les mêmes instincts et les mêmes réactions. Ils vivent aux dépens de ceux qui les écoutent. Voici ce qu'observe Gary Allen dans son livre "None dare call it conspiracy" p 25-26 : « Karl Marx fut coopté par un groupe mystérieux qui s'appelait Ligue des Hommes Justes pour rédiger le Manifeste Communiste comme un attrape-nigauds destiné à séduire la population... Tout ce que Marx a vraiment fait a été d'adapter au goût du jour et de codifier exactement le programme et les principes révolutionnaires établis soixante-dix ans plus tôt par Adam Weishaupt, le fondateur des Illuminés de Bavière (Illuminati). C'est un fait certain et bien connu des spécialistes sérieux de ces problèmes, que la Ligue des Hommes Justes n'était qu'un succédané de l'Illuminisme, qui avait été obligé de disparaître dans la clandestinité après avoir été démasqué par l'irruption de la police bavaroise en 1786. » Une note de Weishaupt ajoute : « Nous devons tout détruire, sans ménagement, en pensant seulement ceci : le plus possible et le plus vite possible. » Weishaupt s’est fait initier à la loge maçonnique « Theodor zum guten Rat » à Munich, peu de temps après la fondation des Illuminés, et décida de faire des loges maçonniques son terrain de prédilection. Les Illuminés étaient très liés aux Rose-Croix dont ils se sont en grande partie inspirés pour leurs rituels. Dans le cabinet de réflexion maçonnique, se trouve le « mot VITRIOL formé des initiales d’une devise attribuée aux anciens rose-croix. »(J. C. L, fils de la veuve.)  
« En prenant possession de la loge de Bézier, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette agée d’environ sept ans... (Je passe les détails)... Deux trous pratiqués dans le vertax permettait de suspendre ce cadavre au mur, ajoutant à l’horreur du spectacle... », « On pourra trouver deux reproduction photographiques du cadavre de la loge de Bézier dans les Documents maçonniques d’Aout 1942, p.23 ». « ...Mais dans tous les cabinets de réflexion, on trouve des cranes, des tibias, des tentures de deuil, des transparents lumineux faisant apparaître un corps d’homme, des silhouettes en matières luminescentes, des squelettes en fer forgé peint, etc ».(J. P. d’Assac, le secret des francs-maçons, 1983.) « Vers 1650, la rose-croix était puissament organisée en Angleterre. C’est elle qui devait introduire dans la franc-maçonnerie le système des hauts grades, dits écossais. » « C’est un vaste système théosophique, un christianisme ésotérique fortement influencé par l’hermétisme, la kabbale juive, le néoplatonisme et la gnose… On y trouve développés tous les thèmes classiques de l’ésotérisme (notamment la cosmologie sexuelle.) » (Serge Hutin, les sociétés secrètes, P.U.F) C’est sans doute pour cela que l’on retrouve des pédophiles au Bilderberg, à la commission Trilatérale, chez les francs-maçons, au Forum économique de Davos et même à l’OTAN !!! (Jean Nicolas, Dossier pédophilie – www.barruel.com) En 1957, fut publié un opuscule de M. Piaget, dans lequel on peut lire : « l’UNESCO et le bureau international d’éducation lui doivent le respect (à Coménius) et la reconnaissance que mérite un grand ancêtre spirituel. » « La franc-maçonnerie moderne a repris et continué l’ésotérisme des rose-croix, reprenant leurs symboles hermétiques les plus typiques. » (Serge Hutin, les sociétés secrètes.) Coménius (Jean Amos Komensky dit) était l’auteur d’un ouvrage intitulé « la Panorthosie », « manifeste de la rose-croix, car Coménius fut le porte parole, le rapporteur d’une commission de sages dont les membres sont volontairement restés dans l’ombre. » (Pierre Mariel, cité dans H. Coston, la conjuration des illuminés.) A noter que, « de nos jours, l’O.N.U (comme l’UNESCO) est presque entièrement composée de maçons de tous pays. » (P. Mariel, les francs-maçons en France.) Rose-croix, UNESCO, franc-maçonnerie, ONU... gouvernement mondial aux mains des pires sectes dissimulées sous des façades « honnorables », avec sa presse et ses « pseudo-journalistes » et autres « pseudo-historiens », complices par leur silence. L'ordre des Rose-Croix aujourd'hui, a beaucoup de similitudes avec celui des Illuminés. Rituels, symboles... (Mémoires, Barruel ; Robinson, Proofs...) Les dirigeants spirituels des rose-croix sont des sorciers qui ont pour maître Lucifer qu'ils estiment être le Dieu bon. « Le rose-croix, à son tour fait le signe du bon pasteur, ou le signe de l’équerre, en disant : « INRI ». Et, en disant « INRI », le rose-croix dit : « I(n) N(omine) R(egis) I(nferni), Au nom du roi de l’Enfer ! »(J. Kostka, Lucifer démasqué) « Cela explique pourquoi le serpent, inspirateur de désobéissance, d’insubordination et de révolte, fut maudit par les anciens théocrates, alors qu’il était en honneur parmi les Initiés . » (O. Wirth, la franc-maçonnerie, T. II, Dervy) C’est sans doute pour cela, ses gouts lugubres, que l'entourage du président des Etats-Unis (Georges Bush junior), voulait subventionner largement la Scientologie ou les Wiccans (adeptes de sorcellerie), étant lui même adepte de sombres sectes. (MINUTE, 13 Décembre 2000) Toutes les révolutions depuis, ont eu pour origines des conspirations du même type, et des conspirateurs du même genre et des financiers de la pire espèce. La « dictature des Jacobins » a cependant repris vie en 1917 (Russie) où elle a aboutie au communisme brutal et meurtrier que nous connaissons. (Lire le livre « officiel » intitulé le livre noir du communisme.) « Après la guerre européenne de 1914, certaines banques, conscientes du satanisme, rebaptisèrent le bolchevisme de crainte que le monstre ne leur échappât des mains. » (Lady Queenborough, Occult Theocracy, cité par Pierre Virion.) L'objectif final de ces groupes mondialistes CFR et Rockefeller, Trilatérale, Bilderberg, et leurs entités « économiques » ONU et Lucis Trust, Banque mondiale et famines, FMI et dettes nationales, TPI et Soros, OMS et Sida-Ebola, est donc bien d'établir un gouvernement calqué sur le modèle révolutionnaire maçonnique et jacobin, marxiste, socialiste, communiste, que nous avons connu en ex-URSS avec officiellement plus de cent millions de morts et qui continue encore en Chine et ailleurs en toute impunité. Est-ce un hasard si nombre de dirigeants de ces institutions et autres banques privés se trouvent être dans le même temps, parmi les membres les plus importants du C.F.R, de la franc-maçonnerie, de la Trilatérale et de Skull and Bones ? Et le peuple en général, est traité tout au plus comme du bétail que l'on doit diriger en toutes choses. Notez que La famille Rockfeller, membre de la société secrète Skull & Bones, est l'une des plus importante dynastie financière au monde. William Rockfeller fut l'un des inspirateurs-créateurs du Federal Reserve System (la Réserve Fédérale Américaine) en 1910. La Réserve Fédérale fut mise en application en 1913 par le Federal Reserve Act. Nelson Rockfeller (1908-1979) est lié à l’expension de plusieurs entreprises géantes comme Exxon, Mobil et de grandes banques comme la Chase Manhattan Bank. La Rockfeller's Standard Oil, basée dans le New Jersey, fournissait les Nazis en carburant. Les Bush étaient aussi impliqués dans la Standard Oil. La Rockfeller Standard Oil avait à l'époque un partenariat avec le complexe industriel nazi : I.G. Farben. Selon l'Encyclopedia Britanica, I.G. Farben participa à la construction de plus de 40 camps de concentration dont Auschwitz. Nelson Rockfeller fut gouverneur de l'Etat de New-York et vice-président des USA sous Gerald Ford de 1974 à 1977. David Rockfeller, fils du premier milliardaire américain John D. Rockfeller, fut président de la Chase Manhattan Bank, et est membre du comité Bilderberg, et le créateur en 1973, de la Trilateral Commission qui réunit chaque année les élites économiques, politiques, financières, industrielles, du monde pour décider de l'avenir du monde « démocratique »… Et enfin, lors de la sortie de son livre sur « le nouvel âge » - New Age -, le père Jean Vernette accorda à la revue « familles chrétiennes » un entretien dans lequel il dit, sur les mouvements engagés dans la propagation du « nouvel âge » : « La fondation Rockefeller, la commission Trilatérale, les Illuminati, diverses loges maçonniques semblent très engagés dans le propagation de ce courant ». L’on en revient à ce que disait Antony Sutton sur l’entente entre l’ordre des Skull and Bones avec le mouvement « New-Age ». C’est ce même type de personnages qui ont financé les pires révolutions sanglantes, les guerres mondiales, eux qui ont instauré l’euro, qui ont créé l’ONU et ils tiennent, par la franc-maçonnerie, qui « est une secte religieuse » (Gustave Bord), tous les leviers politiques et économiques des USA, mais aussi de la France. Avec l’ordre des Skull and Bones aux pratiques sataniques, ramification de la franc-maçonnerie, vous avez eu un exemple bien représentatif de ce qu’est la réalité du « nouvel ordre mondial. » « Reste à savoir si la franc-maçonnerie est, oui ou non, une religion. Cesserait-elle d’en être une, parce que les autels de ses temples sont consacrés au culte de la liberté, de l’égalité, de la fraternité ? Ayons le courage de nous dire religieux et de nous affirmer apôtres d’une religion plus sainte que toutes les autres. Propageons la religion de la république, qui formera le cœur des citoyens et cultivera les vertus républicaines. » (Oswald Wirth, la franc-maçonnerie…, tome III, le maître ; Dervy) « Ce qui constitue une république, c’est la destruction TOTALE de ce qui lui est opposé. » (Saint-Just, cité par Jacques d’Arnoux, L’heure des héros.) Quelques fois, la place de président est pour un Trilatéraliste-Démocrate, suivi par le fils de Prescott Bush comme vice-président activiste sous Reagan. Le président George Bush, membre des Skull and Bones déclare, en 1990, un « Nouvel Ordre Mondial » pendant qu’il tue impunément le peuple de son ancien partenaire en affaires : Saddam Hussein. Après douze années d'administration « Républicaine », Bush a passé les rênes à son ami, son « frère », Bill Clinton, qui a fait ses études de droit à Yale et tout aussi impliqué dans des trafics de drogue et autres histoires sordides. George Bush junior, membre des Skull and Bones, franc-maçon, président des Etats-Unis, déclare la guerre pour son « nouvel ordre mondial » satanique ou luciférien, vous choisissez. Bush, CIA, drogue, Rockefeller, Skull and Bones, franc-maçonnerie, guerres mondiales, sectes, occultisme, gouvernement mondial, New-Age, satanisme, et « équarrisseurs de chaire humaine » selon les mots de Chateaubriand. Et cela perdure. Juste un petit exemple. Dans leur livre paru en 2001, «Révélation$ », E. Backes et Denis Robert, vous livrent quelques secrets sur la « manière » dont la Morgan Garanty Trust, la Chase Manhattan Bank, le bilderberg, la franc-maçonnerie, la Trilalérale et autres Rockefeller « gèrent » leurs opérations « occultes » sur le dos des nations et de ses habitants, dont nous faisons partie, avec l’aval des politiques « républicains », « jacobins », franc-maçons et donc l’influence directe des Skull and Bones sur tous ces groupes !!! Tout dépouiller, ruiner et ainsi répendre le malheur. En toute impunité. Qui va oser les déranger ? Les lâches et autres menteurs pullulent, ou alors les quelques journalistes ou historien qui osent trop sont « baillonés », menacés, traités de tous les noms d'oiseaux licenciés voire « liquidés ». (Lire un petit exemple avec le livre intitulé « Black List » par Kristina Borjesson et un collectif de journalistes, où se mêlent soucis journalistiques avec leur travail sur des dossiers sensibles (11 Septembre 2001), dans lesquels l’on retrouve encore et toujours Rockefeller, CIA, magouilles, paru aux éditions les arènes, 2003) Ainsi, la « fraternité de la mort » peut tisser sa toile sans soucis pour ses « enfants de la veuve » noire. Ceci est seulement la pointe d'un iceberg, un rapide aperçu, en seulement quelques lignes, de la situation. Vous avez aussi le contrôle de la population par virus volontairement propagés et famines organisées pour éliminer les « sous-races », l’eugénisme, les partenariats profitables avec des dictateurs sanglants, des « affaires » avec des « terroristes », les sociétés secrètes, la magie rituelle, la sorcellerie et autres satanismes. Antony Sutton a été le premier à exposer l’Ordre des Skull and Bones à la face du monde. La Sterling Library à Yale, a refusé de permettre d'autres accès aux chercheur sur les papiers du Russell Trust. Daniel Gilman, comme la plupart des « Bonesmen », ne pas fait mention des Skull ou de la Russell trust dans ses mémoires ou ses biographies. Vous venez de lire ici comment tous ces milieux regroupant les pires sectes ont entièrement pénétré la politique, les banques privées, l’économie, l’histoire, ont une main mise directe sur la presse, et « manoeuvrent » dans l’ombre afin d’imposer leur « république universelle ». « James Paul Warburg, administrateur de la banque Kuhn and Loeb, grand financier de la révolution russe, membre du CFR, et du groupe mondialiste Bilderberg, s’adressant au sénat américain le 17-02-1953 déclarait : Nous aurons un gouvernement mondial, que cela nous plaise ou non. La seule question est de savoir s’il sera créé par conquête ou consensus. » (Epiphanius) « A coté de la politique nationale de chaque état, il existe des organismes peu connus de politique internationale... auxquels prennent part, non pas des politiques de carrière ou des ambassadeurs galonnés, mais quelques hommes modestes, inconnus, quelques grands financiers, supérieurs, par leur conception large des actions sociales, aux politiciens orgueilleux qui se figurent, une fois ministres éphémères, gouverner le monde... » (Article de Papus, cité par Philippe Encausse) Alors, avec les Skull and Bones, sommes-nous juste face à une secte secrète avec ses rituels qui sont du pur satanisme, qui tente de former un gouvernement mondial avec ses « frères » Rockefeller, grand argentier du village mondial, Rothshild, Gorbatchev, et autres sectes aux pratiques toutes aussi sataniques, comme la franc-maçonnerie, la Lucis Trust, ex Lucifer Trust, fondée par A. Besant, « sœur » de Helena Blavatski, la « possésée par excellence » (Jean Kostka), le Temple de la compréhension dont Gorbatchev, en bon marxiste, est membre, et Rockefeller avec son « new-age » aux relants satanistes ? Ou alors, l'ordre des Skull and Bones est-il seulement une petite fraternité de Yale ? A vous de « voir. » Terminons ces quelques lignes par une note optimiste. Dans un entretien qu’il a accordé à Kris Millegan en 1999, texte intégral disponible sur internet, monsieur Sutton répond à quelques questions, puis à celle-ci : K. M : « Que voyez-vous pour l'avenir ? » Réponse de monsieur Sutton : « le Chaos, la confusion et finalement un combat entre L'individu et l'Etat. L'individu est le Plus fort; et gagnera. L'état est une fiction sanctifiée par Hegel et ses disciples pour gérer l'individu. Tôt ou tard, les gens se réveilleront. » Je pense qu’il est temps ou alors, la conspiration est trop avancée et les conspirateurs sont trop puissants, donc trop tard ? Je n’ose y croire, pas même y penser.  

   

SOURCES :

 
Français :
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(www.faits-et-documents.com ) - Epiphanius : Maçonnerie et sectes secrètes, la coté caché de l’histoire, Publication du « Courrier de Rome », 2000. - Jean Lombard : La face cachée de l’Histoire moderne, 1984. - William Guy Carr : Des pions sur l’échiquier, (Pawns in the games), version française aux éditions Delacroix, 1999. - Henry Coston : La conjuration des Illuminés, publications Henry Coston, 1979. - Papus : Ce que doit savoir un maître maçon, avec introduction de Marius Lepage 33e, éditions Niclaus, 1952. - Paul Naudon : Histoire rituels et tuileurs des hauts grades maçonniques, Dervy, 1984. - André Brissaud : Hitler et l’ordre noir, Librairie Académique Perrin, 1969. - Robert-Freke Gould, Histoire abrégée de la franc-maçonnerie, J de Bonnot éditeur, 1996. - Oswald Wirth, la franc-maçonnerie rendue intelligible à ses adeptes, I « le compagnon », II « l’apprenti », III « le maître », Dervy, 1977. - Robert Ambelain, Dans l’ombre des cathédrales, 1939, réédité en 2001 chez Bussière, Paris. - Joseph Léti, charbonnerie et maçonnerie dans le réveil national Italien, Editions Polyglotte, 1931. - Georges Virebeau, Mais qui gouverne l’Amérique ? Publications Henry Coston, 1991. - B. Nicolaïevski et O. Maenchen-Helfen, Karl Marx, Gallimard, 1937. - Jean Kostka (Jules Doinel) : Lucifer démasqué, réimpression de 1895 aux éditions Augustin Barruel, 2000. (www.barruel.com) - Domenico Margiotta : Le Palladisme, culte de Satan Lucifer dans les triangles maçonniques, réimpression de 1895, éditions Augustin Barruel, 2001 . (www.barruel.com) - Richard Wurmbrand, Karl Marx et Satan, apostolat des éditions, 1976. - Athirsata, l’affaire Diana Vaughan – Léo Taxil au scanner, éditions sources retrouvées, 2002. - Vladimir Fedorovski, Le département du diable – la Russie Occulte, Plon, 1996. - Ernest Backes et Denis Robert, Révélation$, éditions Les Arènes, 2001. - Alfonso Leonetti, Mouvements ouvriers et socialistes, l’Italie (des origines à 1922.), Les éditions ouvrières, 1952. - Yvan Galikof, dictionnaire de l’occultisme et de la magie, Jean de Bonnot, 1992. - H. T. F. Rhodes, la messe noire, éditions Pierre Horay, 1958. - Elie-Charles Flamand, Erotique de l’alchimie, Le courrier du livre, 1989. - Jean Nicolas et Frédéric Lavachery, dossier pédophilie, le scandale de l’affaire Dutroux, Flammarion, 2001. - Pierre Gaxotte, Histoire de l’Allemagne, Flammarion, 1963. - Jacques d’Arnoux, l’heure des héros, Résiac, 1980. - Dr Philippe Encausse, sciences occultes, Papus sa vie son œuvre, ocia, 1949. - Paul Castelle, Le secret de la révolution française, éditions littéraires artistiques, 1943. - Yann Moncomble, Le pouvoir de la drogue dans la politique mondiale, Faits et documents, 1990. - J. Heron Lepper, les sociétés secrètes de l’antiquité à nos jours, Payot, 1933. - J. H. E. Le Couteulx de Canteleu, les sectes et sociétés secrètes politiques et religieuses, Didier et Cie éditeurs, 1863. - Pierre Virion, bientôt un gouvernement mondial, éditions Saint Michel, 1967. - Jacques Bordiot, Une main cachée dirige, documents et témoignages, 1974. - Robert Ambelain, Dans l’ombre des cathédrales, éditions Bussière, 2001. 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hibou ecrit Articles      L'ordre des Skull and Bones - Antony Sutton
Première partie : introduction à l'Ordre - pages 1 à 58 de l'original.
PRÉFACE DE L'AUTEUR :
LE POUVOIR OCCULTE AMÉRICAIN. Après 16 livres et 25 années de recherches fondamentales, je pensais que j'avais tout entendu... que le monde était un désordre confus, probablement au-delà de toute compréhension et certainement au-delà de tout salut, et je ne pouvais pas faire grand chose à son sujet. En 1968 mon livre "Technologie de l'Ouest et Développement Économique Soviétique" a été publié par l'Institution Hoover à l’université Stanford. En trois volumes substantiels j'ai détaillé comment l'Ouest avait construit l'Union Soviétique. Cependant, le travail a produit un puzzle apparemment insoluble - pourquoi avons nous fait ceci ? Pourquoi avons nous construit l'Union Soviétique, pendant que nous avons aussi transféré la technologie à l'Allemagne de Hitler ? Pourquoi Washington veut dissimuler ces faits ? Pourquoi avons nous soutenu le pouvoir militaire soviétique ? Et simultanément soutenu le notre ? Dans les livres subséquents, la série des "Wall Street", j'ai posé plus de questions - mais aucune réponses. J'étais arrivé plus ou moins à la conclusion qu'il n'y avait aucune réponse rationnelle qui pourrait être prouvée. Alors il y a à peu près un an, j'ai reçu une fournée de huit pouces de documents - rien de moins que la liste d’adhésion à une société secrète américaine. En jetant un coup d’œil sur cette liste, il était évident que ce n'était pas un groupe ordinaire. Les noms inscrits représentaient le Pouvoir, avec un P majuscule. Plus j'ai cherché à approfondir chaque individu, un modèle a émergé... et un monde autrefois flou est devenu clair comme du cristal. Le livre que vous lirez ici est une version combinée, d'une série qui fait un rapport sur cette recherche. Chaque volume est construit sur le volume antérieur dans un processus logique, pas à pas. Ces volumes expliqueront pourquoi l'Ouest a aidé les soviets et Hitler ; pourquoi nous allons à la guerre, pour perdre ; pourquoi Wall Street aime les marxiste et les nazis ; pourquoi les enfants ne peuvent pas lire  pourquoi les Églises sont devenues des sources de la propagande ; pourquoi les faits historiques sont supprimés, pourquoi les politiciens mentent et cent autres pourquoi. Cette série est infiniment plus importante que les séries originales de "Technologie De l'ouest" sur les transferts technologiques.  
Si je devais avoir une œuvre majeure, c'est ce livre.ANTONY C. SUTTON
Phénix, Arizona, Le 30 juillet 1983.  
 
 
 
Introduction à l’édition de 2002.
Le Pouvoir Occulte Américain a eu une histoire exceptionnelle dans l'édition. Le livre a débuté par une donation anonyme à l'auteur d'un paquet de 8 pouces de documents au début des années 1980. Rien de moins que la liste des membres, et des documents à l'appui, sur une société vraiment secrète : les Skull and Bones - Crâne et Os - de Yale. Le regretté Johnny Johnson, de Phénix en Arizona, a été l'étincelle qui m'a poussé à écrire la première brochure d’une série de quatre parties et plus tard, un volume énorme basé sur ce matériel. Ce volume a eu plusieurs éditions avec différents éditeurs, même une édition russe de 12 000 exemplaires. Probablement, beaucoup ont été vendus en Russie, comme aux Etats-Unis, les années précédentes. Le Pouvoir Occulte Américain a eu peu de publicité, quelques revues - ignoré cependant par les distributeurs principaux, et il s’est vendu régulièrement durant 16 ans à coups de plusieurs centaines d'exemplaires. Cette activité, par la suite, a produit d'autres articles et des livres, écrits par d’autres auteurs. Mais ma vraie intention, produire une exploration de l'influence Hégélienne dans l’Amérique moderne, n'a pas été accomplie. Cela peut être attribué, en grande partie, à un système pédagogique basé sur une philosophie étatiste-Hégélienne, et laquelle a déjà accompli la "dégringolade intellectuelle" de l’amérique. Cette philosophie désastreuse, destructrice, la source du nazisme et du marxisme, a infecté et corrompu notre république constitutionnelle. La majeure partie de cette corruption est due à un groupe élitiste de Yale, des "Bonesmen". Leur symbole, Crâne et Os - skull and bones-, et leur philosophie Hégélienne, dit tout d'eux, bien qu'avec une duplicité typique, ils voudraient que vous en pensiez et croyez autrement. L’Hégélianisme glorifie l'état, le véhicule pour la dissémination d’idées étatistes et matérialiste, et impose ses règles dans l’éducation, la science, la politique et l’économie. Mais alors pourquoi avons nous une "dégringolade intellectuelle" de la société ? Ne regardez pas plus loin que la troïka de "Bonesmen" qui a importé le système éducatif Prussien aux Etats-Unis au 19e siècle. Une philosophie politique en opposition directe au libéralisme classique du 19e siècles de l’histoire anglaise et américaine. Dans le libéralisme classique, l'état est toujours subordonné à l'individu. Dans l'étatisme Hégélien, comme nous le voyons dans le nazisme et le marxisme, l'état est suprême, et l'individu existe seulement pour servir l'état. Notre système de deux partis, Démocrate et Républicain (= un parti Hégélien, personne d’autre n’est bienvenu ou admis), est un reflet de cet Hégélianisme. Un petit groupe, un très petit groupe, en utilisant Hegel, peut manipuler, et dans une certaine mesure, contrôler la société pour ses propres buts. Plus que cela, le symbole sur les drapeau de pirate. L'emblème que l'on trouve sur les bouteilles de poison, le symbole de tête de mort des divisions nazies pendant la seconde guerre mondiale. Non seulement les Skull and Bones sont devenus une force majeure dans la contrebande de drogue (les familles Bush et Prescott dans les 1860), mais la réalité Hégélienne, a produit l'antithèse, la soi-disant "guerre contre les drogues". Cette politique hypocrite maintient le prix des drogues, contrôle les approvisionnements, et met des millions de personnes en prison pendant que les gagnants, en grande partie, ne sont pas autres que les même "Bonesmen" qui votent les lois pour l’interdire (Bonesman Taft, 1904).  
Droite et gauche : Un moyen de contrôle.
Pour les Hégéliens, l'état est tout-puissant, et vu par eux comme "la marche de Dieu sur terre". En effet, une religion d'état. Le progrès dans l'état Hégélien se fait au travers d’un conflit forcé : le fracas des contraires est fait pour le progrès. Si vous pouvez contrôler les contraires, vous dominez la nature du résultat. Nous traçons l’extraordinaire influence des Skull and Bones dans un conflit Hégélien majeur : nazisme contre communisme. Des membres des Skull and Bones étaient à des postes dominants de prise de décision - Bush, Harriman, Stimson, Lovett, et ainsi de suite - tous des "Bonesmen", et ont contribué, en guidant le conflit à travers l’usage de "droite" et de "gauche". Ils ont financé et ont encouragé le développement des deux philosophies, et ont contrôlé le résultat vers une ampleur considérable. Cela a été aidé par la division "réductionniste" en science, le contraire d’"intégrité" historique. En divisant la science et le savoir en segments plus restreints et plus étroits, il est devenu plus facile de contrôler la totalité au travers des parties. En éducation, le système Dewey a été initié et encouragé par des membres des Skull and Bones. Dewey était un étatiste ardent, et un croyant dans l'idée Hégélienne que l'enfant existe afin d’être formé pour servir l'état. Cela exige la suppression des tendances individualistes, et un prudent goutte à goutte des connaissances approuvées. Cette "dégringolade intellectuelle" de l'éducation américaine n'est pas facilement apparente à moins que vous ayez étudié dans les universités américaines étrangères et publiques, alors le contraste devient clair comme du cristal. Cette décadence attire maintenant l'attention. Deux livres excellents "The Deliberate Dumbing-down of America", par Charlotte Thomson Iserbyt (Conscience Press, Revenna Ohio, 2001), et "The Dumbing-down of America", par John Taylor Gotta. Les deux livres tracent ce processus et l'impact sur l’éducation, et les deux donnent des détails remarquables du processus. Nous allons plus loin, en cela que nous traçons l'importance du système des trois "Yalies" - membres des Skull and Bones. Pour Iserbyt, dans "The Deliberate Dumbing-down of America", le système éducatif américain commence avec les Rockefeller et les Gates. Mais en fait, ce système étatiste est une réflexion des idées Hégéliennes apportées aux États-Unis par la troïka de Skull and Bones : Gilman, White et Dwight, alors financés par Rockefeller.  
Contrôle de la population
Aujourd'hui en Californie, on peut voir en temps réel, l'usage du conflit contrôlé pour accomplir un résultat désiré. Le débat sur la crise d'énergie est contenu avec soin à un débat sur les plafonnements et le contrôle des prix. Les républicains ne veulent pas de plafonnement et aucuns contrôles. La plupart des Démocrates veulent un contrôle des prix et un plafond. Mais regardez ce qui n’est PAS discuté, nulle part. Le spectre entier d'énergie presque libre, basé sur une décennie de recherche, est laissé avec soin hors de toute discussion. Est-ce que ce n'est pas très pertinent à une crise d'énergie ? En fait, l'existence de systèmes d'énergie libres, à portée de mains, est la raison du contrôle du débat. Mills Blacklight Power a maintenant ses brevets et quelques utilisations ont déjà été achetées. L’énergie de l’espace MEG de Bearden, est en discussion. Des modèles actifs existent. La fusion à froid, calomniée, a eu une centaine d'expériences prospères, mais aussi loin que nous en savons, elles ne peuvent pas être répétées avec une assurance suffisante. Les autres systèmes sont entrés dans les vues des agences gouvernementales, puis ont disparu de vue. Un public connaisseur demanderait, "pourquoi ne sont ils pas inclus dans la discussion ?" C’est simple. Parce que les services publics savent qu'ils sont réels, et seraient disponibles en seulement quelques années. Le problème pour les services publics n'est pas le prix de l’énergie aujourd'hui, mais comment décharger leurs capitaux immobilisés (usines hydro, lignes de transmission, etc.) sur le public. Ces biens "précieux" auront une valeur nulle si les énergies libres sont disponibles, parce que tous les nouveaux systèmes sont des unités autonomes qui n'ont pas besoin d’avoirs fixes et de lignes de transmission. Si le public est informé du dilemme des services publics, la capacité de décharger des biens sur l'état est grandement réduite. Le débat Démocrate - Républicain est une diversion. La question pertinente est évitée avec soin, combien de temps cela prendrait pour mettre ces nouveaux systèmes en production ? Un autre exemple est Monsanto Corporation et son développement de génie génétique et prédateur de graine, un effort à peine caché pour une domination mondiale de l'agriculture. Le président George Bush Jr., un Bonesman, a nommé le directeur adjoint de Monsanto, le Dr. Virginia Weldon, directeur de la food and drug administration, qui a le pouvoir de bloquer l’étiquetage des nourritures génétiquement modifiées, et fait d'autres efforts pour le contrôle des entreprises. Juste avant ceci, dans New Technology, nous avions en 1989 l’annonce dramatique de la "fusion à froid". Quand cette annonce a été rendue publique, le président George Bush (aussi un Bonesman) a appelé le scientifique physicien Seagrum dans son bureau et a donné des instructions. Nous ne savons pas ce qui a été dit, mais nous savons ce qu’il s'est passé. La fusion à froid, un processus valide pour une énergie libre, comme cela a été révélé par la suite, a été calomniée et harcelée par le pouvoir établi, aucun doute que cette énergie gratuite serait affreuse pour l'industrie pétrolière.
Qu'est-ce qui sera fait ?
Si le public qui vote était vaguement informé de ce scénario violent et caché, il pourrait, et peut-être forcerait le changement. Cependant, ce n'est pas une solution possible. La plupart des gens sont du type à "laisser aller", avec des objectifs personnels limités, et un haut seuil de "tolérance" pour les méfaits officiels. Ce qui a pris plus d’un siècle pour être établi ne peut pas être changé en quelques années. La question initiale est l’éducation. Eliminer le système Hégélien qui étouffe l'initiative individuelle et forme des enfants afin qu’ils deviennent des zombis inattentifs, en servant l'état. Nous avons besoin de beaucoup moins de propagande pour "l’éducation" et une recherche créative plus individuelle pour apprendre. Au lieu de plus d'argent pour l’éducation, nous avons besoin d'en allouer beaucoup moins. Le système existant d'éducation est plus un mécanisme de conditionnement. Il a peu à voir avec l’éducation dans le vrai sens, et beaucoup à faire pour le contrôle de l'individu. Il est plus probable que le temps, plutôt que l'isoloir, érodera le pouvoir secret de ce groupe de Yale, rien de cet outrage ne peut survivre à jamais.  
Antony Sutton
hibou ecrit Bush/Première année
INTRODUCTION A L'ORDRE.
 
 

Mémorandum numéro un :

Y a t il une explication de conspiration pour l’histoire récente ? Le lecteur inquiet d’entrer dans l'histoire de L'Ordre devraient aller directement au mémorandum numéro deux. Cette section concerne les méthodes, l’évidence et la preuve. Essentiel, mais peut-être ennuyeux pour la plupart des lecteurs. Pendant les cent années passées, toute théorie d'histoire où l’évidence historique qui tombe à l'extérieur d'un modèle établi par l'association historique américaine et les fondations majeures, avec leur pouvoir de fabrication subventionné, a été attaqué ou repoussé, non pas d'après toute évidence présentée, mais d'après l'acceptabilité de l’argumentation par le soi-disant pouvoir établi libéral de l'est et sa ligne historique officielle.  
L'Histoire Officielle.
Il y a une histoire du pouvoir établi, une histoire officielle qui domine les manuels historiques scolaires, l’édition commerciale, les médias et les étagères de bibliothèques. La ligne officielle suppose toujours que des événements tels que guerres, révolutions, scandales, assassinats, sont des événements plus ou moins aléatoire sans rapport. Par définition les événements ne peuvent jamais être le résultat d'une conspiration, ils ne peuvent jamais résulter d’un projet prémédité d’un groupe actif. Un excellent exemple est l'assassinat de Kennedy quand, 9 heures après la tragédie de Dallas, les réseaux de la télé ont annoncé que la fusillade n’était pas une conspiration, sans se soucier du fait qu'une proposition négative ne peut jamais être prouvée, et que l'enquête avait à peine commencé. Malheur à tout livre, ou auteur, qui tombent à l'extérieur des directives officielles. Le soutien de la fondation n'est pas là. Les éditeurs deviennent frileux. La distribution est touchée et manquée, ou inexistante. Afin d’assurer la ligne officielle dominante, en 1946 la Fondation Rockefeller a distribué 139 000 $ pour une histoire officielle de la seconde guerre mondiale. Ceci afin d’éviter une répétition des livres historiques et de discréditer ceux qui ont embarrassé le pouvoir établi après la première guerre mondiale. Le lecteur sera intéressé de savoir que L'Ordre sur lequel nous allons enquêter avait une grande prévoyance, avant les années 1880, pour créer l'association historique américaine et l'association économique américaine (la plupart des économistes étaient alors plus historiens qu’analystes) sous leurs termes, avec leurs personnes et leurs objectifs. Andrew Dickson White était un membre de L'Ordre et le premier président de l'association historique américaine.  
Échec de l’Histoire Officielle.
Les temps ont changé. Les faiblesses, les inconsistances et les contre-vérités ordinaires dans l'histoire officielle ont fait surface. Dans les années 1980, il est rare de trouver un lecteur rationnel qui accepte l'histoire officielle. La plupart croit qu'elle a été plus ou moins organisée, pour une consommation de masse, par des historiens naïfs ou avides. Bien qu'un historien qui sortira de cette voie et s'opposera à la tendance soit rare, quelques-uns qui le font sont des victimes d'un même jeu plus profond. La conspiration est alors une explication acceptée pour beaucoup d'événements au niveau de l’intelligence de base, ce niveau a enlevé de l'influence à l'Ordre. Nous pouvons citer au hasard l'assassinat de Kennedy où la théorie du "tireur solitaire" n'a jamais été acceptée par les américains de la rue ; le Watergate, avec un dénonciateur à "gorge profonde" et l’effacement des bandes qui puent la conspiration, et Pearl Harbor, où l’amiral Husband E. Kimmel et le major général Walter C. Short ont pris les coup à la place du général George C. Marshall et du président Franklin D. Roosevelt. L'historien révisionniste a un double fardeau, aussi bien qu'une double tâche. Le double fardeau est que cette recherche probable de questionner la ligne historique officielle ne sera pas financée. La double tâche est que ces recherches doivent être plus qu'habituellement prudentes et précises. Un travail non-officiel ne sera pas jugé sur ses mérites. Le travail sera jugé sur la base de son acceptabilité à un niveau historique prédéterminé. Ce qu’est ce niveau nous l’explorerons plus tard.
Hypothèses et Méthode.
Ce qui nous amène à la méthodologie. Dans ce volume nous présenterons trois hypothèses. Qu’est ce qu’une hypothèse ? Une hypothèse est une théorie, une théorie de travail, un point de départ qui doit être supporté par l’évidence. Nous sommes arrivés à ces trois hypothèses en examinant certains documents qui seront aussi décrits. Les historiens officiels crieront que nos hypothèses sont maintenant présentées comme assertions prouvées, et quoi que nous écrivions ici n’arrêtera pas les cris. Mais encore, ce sont seulement des hypothèses à ce point, elles doivent être soutenues avec des évidences. Elles sont une première étape dans un processus de recherche logique. Maintenant dans la méthodologie scientifique, une hypothèse peut être prouvée. Elle ne peut pas être réfutée. C’est au lecteur de décider si les évidences présentées plus tard supportent, ou ne supportent pas, les hypothèses. Évidemment aucun auteur, critique, ou lecteur peut décider de l’un ou de l’autre chemin jusqu'à ce que toute l'évidence ait été présentée. Nous projetons aussi d'utiliser deux autres principes de recherche scientifique ignorés par les historiens du pouvoir établi officiel. Premièrement, en science l'explication la plus simple à un problème est toujours la solution la plus acceptable. Par contraste, dans histoire officielle établie, une réponse simple est critiquée habituellement comme "simpliste". Ce que la critique implique est "le pauvre écrivain n'a pas utilisé tous les faits", en d'autres termes, c'est un bon moyen de détruire, sans la nécessité de fournir une réponse alternative ou des faits supplémentaires. Deuxièmement, encore en science, une réponse qui convient pour le plus de cas, c.-à-d., la réponse la plus générale, est aussi la réponse la plus acceptable. Par exemple, vous avez 12 événements pour expliquer, et une théorie qui va pour 11 de ces événements. Cette théorie est plus acceptable qu'une théorie qui va seulement pour 4 ou 5 des événements.  
La théorie diabolique de l’histoire.
En utilisant cette méthodologie, nous allons discuter, et présenter l'évidence précise détaillée (y compris les noms, les dates et les lieux), que la seule explication raisonnable pour l’histoire récente aux États-Unis est qu’il existe une conspiration pour utiliser le pouvoir politique à des fins qui sont incompatibles avec la Constitution. C'est connu des historiens officiels comme "théorie diabolique de l’histoire", laquelle est encore un procédé rapide, bon marché, pour dissimuler des faits. Cependant, ces critiques ignorent, par exemple, la loi Sherman, c.-à-d., les lois anti-trust, où la conspiration est la théorie basique acceptée. S'il peut y avoir une conspiration sur la place du marché, alors pourquoi pas dans l'arène du politique ? Est-ce que les politiciens sont plus purs que les hommes d'affaires ? Suivant les lois anti-trust nous savons que la conspiration peut être prouvée seulement d’une manière spécifique. Un modèle semblable d’actions de marché n'est pas une preuve de conspiration. Juste parce que quelque chose ressemble à un canard, marche comme un canard, et que tous les canards agissent de la même façon, n’en fait pas un canard ou une conspiration. Sous la Loi Sherman un modèle semblable de prix, où tous les prix sont les mêmes, n'est pas une preuve de conspiration. La ressemblance des prix peut se produire dans un marché purement concurrentiel. Ni l'un ni l'autre n’est nécessairement une action politique semblable à une conspiration. La preuve de conspiration exige des types spécifiques d'évidences, c.-à-d. : (a) il doit y avoir des réunions secrètes des participants et des efforts faits pour dissimuler des actions communes, (b) ces réunions doivent consentir conjointement à prendre une série d'actions, (c) et cette action doit être illégale.  
Le Council on Foreign Relations (CFR).
Les explications largement acceptées de l’histoire récente, basées sur une théorie de la conspiration, ne présentent pas les critères précités d'évidences. Par exemple, le Council on Foreign Relations – CFR - ne peut pas être considéré comme une conspiration, même pour toute la période depuis sa fondation en 1921. L'adhésion au CFR n'est pas un secret. Les listes des adhérents sont librement disponibles pour le prix d'un timbre. Il n'y a aucune preuve que tous les adhérents conspirent afin de commettre des actes illégaux. Ce qui doit être prouvé dans toute explication de conspiration dans l’histoire, est que les participants se regroupent de manière secrète, et se rencontrent pour organiser des actions illégales. Les membres du CFR, accusés d'être impliqués dans une conspiration, ont protesté le contraire. Et dans l'ensemble ils ont raison. La plupart des membres CFR ne sont pas impliqués dans une conspiration et n'ont pas connaissance d’aucune conspiration. Et quelques personnes connues de l'auteur sont les dernières personnes sur terre à être impliquées dans une conspiration illégale. CEPENDANT, DANS le Council on Foreign Relations – CFR – il y a un groupe de gens qui appartiennent à une société secrète, qui a juré le secret, et lequel contrôle plus ou moins le CFR. Les réunions du CFR sont utilisées pour leurs propres buts, c.-à-d., émettre des idées, sonder les personnes qui peuvent être utiles, utiliser les réunions comme un forum de discussion. Ces membres sont dans l'Ordre. Leur adhésion dans l'Ordre peut être prouvée. Leurs réunions peuvent être prouvées. Leurs objectifs sont carrément anticonstitutionnels. Et cet ORDRE existe depuis 150 ans aux États-Unis.       hibou ecrit Bush/Première année    

Mémorandum Numéro Deux :

Ce qu'Il est et comment Il a commencé. Ceux de l'intérieur le connaissent comme l'Ordre. D’autres l'ont connu depuis plus de 150 ans comme "Chapitre 322" d'une société secrète allemande. Plus cérémonieusement, pour des buts légaux, l'Ordre a été incorporé au Russell Trust en 1856. Il était aussi connu sous le nom de "Fraternité de Mort". Ceux qui ont fait la lumière sur lui, ou qui veulent s'en moquer, l’appellent "Skull and Bones" - crane et os - , ou juste "Bones". Le chapitre américain de cet ordre allemand a été fondé en 1833 à l’université de Yale, par le général William Huntington Russell et Alphonso Taft qui, en 1876, est devenu secrétaire de guerre dans l'administration Grant. Alphonso Taft était le père de William Howard Taft, le seul homme à être président et chef de la haute cour de justice des États-Unis.  
Qu’est ce que l'Ordre ?
L'Ordre n'est pas seulement une autre société fraternelle de lettre grecque d’un campus, avec des mots de passe et des poignées de mains, comme sur la plupart des campus. Le chapitre 322 est une société secrète, dont les membres ont juré de faire silence. Il existe seulement sur le campus de Yale (de ce que nous savons à son sujet). Il a des règles. Il a des rites cérémoniels. Il n'est pas facile d’être indiscret, d’éclairer les citoyens, traités par les initiés comme "étrangers" ou "vandales". Ses membres nient toujours leur adhésion (ou sont supposés nier leur adhésion) et, en vérifiant des listes autobiographiques de centaines de membres, nous en avons trouvé seulement une demi-douzaine qui ont parlé d'une affiliation avec les Skull and Bones. Les autres ont été silencieux. Un point intéressant est de savoir si les nombreux membres, dans plusieurs administrations ou qui tiennent des places dans le gouvernement, ont déclaré leurs qualité de membres dans les données biographiques fournies pour les "origines vérifiées" du FBI. Par dessus tout, l'Ordre est puissant, incroyablement puissant. Si le lecteur persiste et examine l'évidence qui va être présentée - laquelle est accablante - il n'y a aucun doute que sa vue du monde deviendra soudainement différente, avec presque une clarté effrayante. (1) Avant d'aller plus loin, nous avons besoin d'ajouter deux observations importantes au sujet de l'Ordre : C'est une société de seniors qui existe seulement à Yale. Les membres sont choisis pendant leurs jeunes années, et passent seulement un an sur le campus, l'année des seniors, avec les Skull and Bones. En d'autres termes, l'organisation est orientée vers le poste du diplômé à l'extérieur. L'Ordre organise une rencontre annuelle – les patriarches seulement - à Deer Island sur la rivière St Lawrence. Les sociétés de seniors sont uniquement à Yale. Il y a deux autres sociétés de seniors à Yale, mais aucune ailleurs. "Scroll and Key" et "Wolf’s Head" sont des sociétés soi-disant compétitives fondées vers le milieu du l9e siècle. Nous croyons que celles-ci font partie du même réseau. Rosenbaum a remarqué dans son article d'Esquire, avec précision, que celui qui, dans le pouvoir établi libéral de l'est, n'est pas membre de Skull and Bones, est presque certainement un membre de l'une ou l'autre, Scroll and Key ou Wolf’s Head. Quelle est la signification de "322" dans Chapitre 322 ? William Russell a importé la société d'Allemagne, et donc il a été décidé d’adopter 322 pour 32 (de 1832), le deuxième chapitre, de cette organisation allemande. Il est possible qu’un chapitre 320 et un chapitre 321 puisse exister quelque part, et 323 est la désignation d'une pièce dans le temple des Skull and Bones à Yale. Une autre interprétation est que l'Ordre descend d’une société fraternelle grecque qui remonte à Demosthenes en 322 avant Jésus-Christ. Ceci a peut être quelque crédibilité car les registres sont datés en ajoutant 322 à l'année en cours, c.-à-d., les registres dont l'origine est de 1950 sont datés Anno - Demostheni 2272.  
Comment un membre est choisi par l'Ordre.
La procédure de sélection pour les nouveaux membres de l'Ordre n'a pas changé depuis 1832. Chaque année 15 personnes, et seulement 15, jamais plus, jamais moins, sont sélectionnées. Ces 150 dernières années approximativement 2500 diplômés de Yale ont été initiés dans l'Ordre. A tout moment, à peu près 500-600 membres sont vivants et actifs. Approximativement, un quart de ceux-ci prennent un rôle actif dans l’avancement des objectifs de l'Ordre. Les autres perdent de l'intérêt ou changent d’avis. Ils se retirent silencieusement. Un jeune étudiant de Yale ne peut pas demander à être admis. Il n'y a aucune propagande électorale. Les jeunes sont invités à les joindre et deux options sont données : accepter ou rejeter. Apparemment une quantité d'information personnelle est rassemblée sur les membres potentiels. L'évaluation, au siècle dernier, était faite en suivant le futur membre, et nous doutons que cela ait beaucoup changé jusqu'à présent : "Frank Moore est un homme idéal pour les Bones, il est un travailleur dur, et un homme dont les efforts ont été fait plus pour Yale que pour lui-même. Il est directeur des clubs musicaux et a été actif à Dwight Hall. Son élection sera bien méritée et populaire." "Don Thompson est un homme sûr, que la classe aime bien, et sera heureux de venir voir. Il vient d'une famille de Bones." Dans la sélection l’accent est mis sur la capacité athlétique - la capacité de jouer dans une équipe. Le membre potentiel le plus improbable de l'Ordre est un solitaire, un iconoclaste, un individualiste, l'homme qui va sa suivre son propre chemin dans le monde. Le membre le plus potentiel est issu d'une famille de Bones, énergique, habile, politique et probablement un joueur d’équipe amoral. Un homme qui comprend que s’il doit se débrouiller seul, il doit le faire. Un homme qui se sacrifiera pour le bien de l'équipe. La réflexion d'un moment illustre pourquoi c'est ainsi. Dans la vraie vie, la poussée de l'Ordre est de provoquer certains objectifs. Les honneurs et les récompenses financières sont garanties par le pouvoir de l'Ordre. Mais le prix de ces honneurs et de ces récompenses est le sacrifice au but commun, le but de l'Ordre. Quelques-uns, peut-être beaucoup, n'ont pas été disposés à payer ce prix.  
A l'intérieur de l'Ordre.
L'entrée dans l’Ordre est accompagnée d’un rituel compliqué et, sans aucun doute, par un conditionnement psychologique. Par exemple : "Immédiatement, en entrant dans chez les Bones, le nom du néophyte est changé. Il n'est plus connu par son nom, comme il paraît dans le catalogue du collège, mais comme un moine, un Chevalier de Malte ou de St Jean, il devient Chevalier untel ou untel. Les vieux Chevaliers sont alors connu sous le nom de "Patriarche" untel ou untel. Le monde extérieur est nommé celui des "gentils" et des "vandales". Le Catalogue (ou liste d’adhérents - devenu au cours de ce siècle "adresses") du Chapitre 322, est cependant constitué du nom habituel "extérieur", et il est unique et impressionnant. Chaque membre a un exemplaire relié en cuir noir avec des symboles particuliers à l'extérieur et à l'intérieur. Les symboles ont vraisemblablement quelques significations. Le nom du propriétaire et la seule lettre "D" sont estampillés en doré sur la couverture extérieure des publications antérieures, au moins jusqu'au milieu du 19e siècle. Il paraît alors avoir été omis, au moins sur les copies que nous avons vu. Chaque page de droite, imprimée d’un côté seulement, d’approximativement 6 x 4 pouces, a les membres listés d’une année et, entouré d’un gros bord noir, épais dans les premières années, moins épais pour les décennies récentes. Cela symbolise la mort de la personne nommée, alors qu’il adopte son nouveau nom et sa nouvelle vie en entrant dans l'Ordre. Plus intéressants sont les mots entre la liste décadaire des membres. Sur la liste de 1833, avant les noms des 15 fondateurs, sont les mots "Période 2 décennie 3". De la même façon, avant les noms de la liste de 1843 sont les mots "Période 2 décennie 4". En bref, "Période" reste la même durant toute les années, mais le nombre "Décennie" augmente de un tous les dix ans. Sans aucun doute, cela veut dire quelque chose pour l'Ordre, autrement ce ne serait pas là. Un autre groupe mystique de lettres et de nombres est au sommet de la première liste de noms en 1833, "P.231-D.31". Les nombres augmentent de un à chaque succession de classe. En 1834, par exemple, le début se lit "P.232-D 32." En outre, la liste de la première classe de 1833 a deux lignes inutilisées, à la place du onzième nom de la liste. Cela supporte l’argument que la société a des origines germanique et c'est la liste de la connexion anonyme allemande.  
Les membres de 1833.
Nous estimons qu'à tout moment, à peu près, seulement un quart des membres est actif. Le quart actif n'est même pas toujours efficace ou prospère. Il est instructif de comparer 1833 avec 1983 et de voir comment, sur une durée d’un siècle et demi, un groupe de 20-30 familles a émergé, pour dominer l'Ordre. Le tout premier nom sur la toute première liste d’adhésion, Samuel Henshaw Bates, était soldat dans l'Armée de Union, est allé dans l'Ouest cultiver à Santa Rosa, en Californie, en ce temps dans la brousse, et il est mort en 1879. Une vie pas différente de celle de millions d'autres Américains. En fait, en dehors des 15 premiers membres (réellement 14 plus le membre anonyme), les exploits n'étaient pas beaucoup plus grands que ce que nous pouvions attendre de la crème d'une "classe" de Yale. Rufus Hart a passé plusieurs années au Sénat de l’Ohio, Asahel Hooker Lewis a fait partie du pouvoir législatif de l’Ohio pendant deux ans, Samuel Marshall était pendant quelques temps législateur dans l’état de l’Illinois, et Frederick Mather était membre du pouvoir législatif de New York. Les autres membres, à part les deux fondateurs de l'Ordre, n'ont rien fait de plus de leurs vies ou pour l'Ordre. Par contre, les deux membres fondateurs, William Huntington Russell et Alphonso Taft, sont allés loin. William Russell était membre de l'Assemblée législative du Connecticut en 1846-47, général dans la garde nationale du Connecticut de 1862-70, et a fondé l'Institut Collégial et Commercial à New Haven, dans le Connecticut. Alphonso Taft est allé plus loin : il était secrétaire de Guerre en 1876 - le premier de plusieurs membres de l'Ordre à tenir ce poste dans les années 1950. Taft est devenu garde des sceaux des Etats Unis en 1876-7, puis ministre des Etats Unis en Autriche en 1882-4, et finalement ambassadeur des Etats Unis en Russie en 1884-5. Durant l’intervalle de 150 ans depuis 1833, l'adhésion active a évolué vers un cœur de groupe de peut-être 20-30 familles ; il semble que les membres actifs ont assez d'influence pour pousser leurs fils et parents dans l'Ordre, et il y a des inter-mariages considérables parmi les familles. Ces familles tombent dans deux groupes majeurs. En premier nous trouvons la ligne des vieilles familles américaines qui sont arrivées sur la côte Est dans les années 1600, par exemple, Whitney, Lord, Phelps, Wadsworth, Allen, Bundy, Adams et ainsi de suite. En second, nous trouvons des familles qui ont acquis des richesses dans les 100 dernières années, envoyé leurs fils à Yale et, avec le temps, sont presque devenues de vieilles lignées de familles, par exemple, Harriman, Rockefeller, Payne, Davison. Quelques familles, comme les Whitney, étaient Yankees dans le Connecticut, et ont acquis leurs richesses au dix-neuvième siècle. Durant les 150 dernières années, quelques familles de l'Ordre ont gagné une énorme influence dans la société, et dans le monde. Un bon exemple est la famille Lord. Deux branches de cette famille datent des années 1630 : Celle qui descend de Nathan Lord et celle de Thomas Lord. Les autres Lord sont arrivés aux USA après ces années, mais n'entrent pas notre discussion. De ces deux branches principales, seulement des membres du groupe de Thomas Lord paraît avoir contribué à l'Ordre. Leur ascendance remonte à Thomas Lord, qui a quitté l’Essex en Angleterre en 1635, dans une compagnie menée par le révérend Thomas Hooker, et se sont installés dans ce qui est maintenant Hartford, dans le Connecticut. En fait, une partie de Hartford est encore connue comme "Colline des Lord". La ligne des descendants de cette famille Lord est pleine de DeForest et de Lockwood, parce que l'inter mariage est plus que commun parmi ces familles de l'élite. Le premier Lord à être initié dans l'Ordre était George DeForest Lord (1854), un avocat de New York. Tous les deux avec son père, Daniel Lord (un autre diplômé de Yale), George DeForest Lord a établi le cabinet juridique de New York Lord, Day and Lord. Parmi ses clients actuels figurent Le New York Times et la fondation Rubin. La fondation Rubin est un des anges financiers de l'institut des études politique à Washington, D.C. Durant les cent années suivantes, cinq Lord de plus ont été initiés dans L'Ordre : - Franklin Atkins Lord (1898) - William Galey Lord (1922) - Oswald Bates Lord (1926) - Charles Edwin Lord, II (1949) - Winston Lord (1959) Quand nous posons la question, qu'est-ce que ces membres ont accompli ? et qu'est-ce qu'ils font aujourd'hui ? une image dramatique émerge... comme démontré dans le tableau...    
Famille Lord dans l’Ordre
Famille Lord aujourd’hui
1854 George de Forest Lord1898 Franklin Atkins Lord1922 William Galey Lord = le fils de Francis Norton est Charles Edwin Lord 2nd1926 Oswald Bates Lord = le fils de Mary Pillsbury (la famille Pillsbury des farines) est Winston Lord   1949 Charles Edwin Lord 2nd   1959 Winston Lord
Charles Edwin Lord
Contrôleur suppléant de la monnaie 1981
Winston Lord
Président du Council on Foreign Relation - CFR
(1) Les lecteurs qui veulent plus de détails sur les cérémonies et les aspects de l'initiation devrait lire l’article de septembre 1977 "Esquire", par Ron Rosenbaum, "Les Derniers Secrets des Skull and Bones". Malheureusement, l'article manque complètement la signification historique des Skull and Bones, bien que ce soit une excellente source de détails blafards et de rites du type "charabia".     * hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum numéro trois :

Ce qui est connu au sujet de l'Ordre ? La littérature ouvertement publiée sur l'Ordre se monte à seulement deux articles sur une durée de cent ans : L'Iconoclaste (Volume Un, premier seulement) publié le 13 octobre 1873, et un article déjà cité dans "Esquire" par Ron Rosenbaum, publié en 1977. Ce livre et ses successeurs sont basés sur des archives inédites qui proviennent de l'Ordre.  
L'Iconoclaste (octobre 1873).
En octobre 1873 un étudiant entreprenant de Yale, s’est mis à les critiquer, car l'Ordre avait pris la direction des finances de Yale et menait l'université proche de la pauvreté, et a pris sur lui-même de publier un exposé. Malheureusement, quelques-unes des observations perspicaces de l'étudiant anonyme ont été condensés dans quelques "mauvais" vers. Nous en réimprimerons quelques-uns ci-dessous, comme dans l’original de l'Iconoclaste, car il est impossible de résumer. Les journaux du collège de Yale, "Courant" et "Record", avaient une politique du trou de mémoire au sujet de l'Ordre. Comme le note l'Iconoclaste, "Nous parlons à travers une nouvelle publication, parce que la presse du collège est fermée à ceux qui osent mentionner les Bones ouvertement". La presse du collège était contrôlée par l'Ordre. De temps en temps, les journaux de Yale ont été dirigés par des éditeurs de l'Ordre. Par exemple, un éditeur remarquable du journal "Record" de Yale était aussi dans l'Ordre, Thomas Cochran (1894), qui est allé faire carrière comme partenaire influent dans l'établissement bancaire non moins influent J.P. Morgan. Trois paragraphes de cette publication anonyme résument l'accusation de l'Iconoclaste. En premier, il y a une société secrète à Yale, ouverte seulement à des sélectionnés peu nombreux : "Depuis plus de quarante ans, une société secrète appelée "Skull and Bones" existe dans le Collège de Yale. Elle reçoit un certain nombre d'hommes de chaque classe. Ceux-ci sont choisis nominativement par les membres de la classe... qu'il soit bien compris que l'influence d'un homme proéminent sert ses amis et parents pendant plusieurs années après sa remise de diplômes. En observant les hommes choisis année après année, nous trouvons qu'ils sont choisi avec une fin distincte en vue, à savoir, obtenir pour la société le plus d’honneurs. Quelques-uns de ces honneurs sont donnés au littéraire, quelques-uns aux hommes riches. Cela, alors, est le cas. Les hommes reçoivent des marques de distinction du collège de Yale ou de leur classe entière, grâce auxquelles ils sont pris dans cette société secrète. Depuis que Yale honore les hommes, cette fraternité professe de les honorer aussi". Deuxièmement, l'Iconoclaste déclare que l'Ordre a obtenu le contrôle de Yale, et ses membres aimeraient plus leur société que Yale : "De chaque classe, les Skull and Bones prennent des hommes. Ils sont sortis dans le monde et sont devenus, dans beaucoup d'exemples, chefs d’entreprises dans la société. Ils ont obtenu le contrôle de Yale. Les affaires sont exécutées par eux. L'argent payé au collège doit passer dans leurs mains, et est soumis à leur volonté. Aucun doute qu’ils sont des hommes dignes en eux-mêmes, mais tous ceux qu'ils ont regardé de haut dans le collège, ne peuvent pas oublier comment donner librement de l'argent entre leurs mains. Des hommes de Wall Street se plaignent que le collège vient à eux pour de l’aide, au lieu de demander à chaque diplômé de participer. La raison est trouvée dans une remarque faite par un des premiers hommes de Yale et américain : peu donneront mais les hommes des Bones se soucient beaucoup plus de leur société que du collège". Finalement, l'Iconoclaste appelle l'Ordre un "mal mortel" croissant année après année : "Année après année le mal mortel grandit. La société n'a jamais été aussi odieuse envers le collège, comme elle l’est aujourd'hui, et c'est juste ce ressentiment qui ferme les poches des non-membres. Jamais avant elle a montré une telle arrogance et une telle supériorité imaginaire. Elle saisit la presse du collège et s'efforce de tout gouverner. Elle ne daigne pas montrer ses références, mais s’agrippe au pouvoir avec un silence de culpabilité consciente. Dire le bien que le collège de Yale a fait serait presque impossible. Dire le bien qu’il peut faire serait encore plus difficile. La question est, alors, réduite à ceci - d'un côté une source de bons mensonges incalculables, de l'autre une société coupable d’infractions sérieuses et de grande portée. C'est le Collège de Yale contre les Skull and Bones !! Nous demandons à tous les hommes, comme une question de droit, qui devrait être autorisé à vivre ?" Le pouvoir de l'Ordre est employé afin d’être utilisé par ses membres avant qu'ils quittent Yale. Voici un cas de la fin du 19e siècle qui antidate les cas que nous présenterons plus tard, et suggérons comme un long usage immoral de pouvoir qui a prédominé dans l'Ordre :  
"Le favoritisme montré aux hommes des Bones".
"Est-ce que nous n’en venons pas à un triste état, quand l'injustice peut être commise ouvertement par la faculté, et quand le fait qu'un homme soit membre des Skull and Bones peut leur porter préjudice en sa faveur ? Brièvement, le cas qui provoque cette question est celui-ci : deux membres de la classe des seniors, le premier neutre, l'autre un homme des Bones, retournent au début de leurs années de collège avec plusieurs conditions, dont quelques-unes, après examen, qu’ils manquent de passer. Jusqu'à ce point les cas étaient parallèles, et la clémence, s'il y avait de la clémence, aurait dû être montrée au neutre, qui a fait tout ce qui était en son pouvoir afin de faire avancer les intérêts du collège, plutôt qu'à l’homme des Bones, qui a, pendant ses trois années à Yale, rien accompli que nous connaissions. Mais, c'est étrange à dire, le premier a été suspendu jusqu'à la fin du terme et obligé de quitter la ville, n’est pas autorisé à passer un autre examen jusqu'à son retour. L’homme des Bones, au contraire, est autorisé à rester à New Haven, assiste quotidiennement à la récitation, est appelé pour réciter, et aura un deuxième examen en moins de six semaines. Pourquoi est faite cette distinction ? "O, Mr. untel est un cas spécial", a dit un professeur (un homme des Bones), - la spécialité, nous présumons, étant le fait que Mr. untel porte la tête de mort et des os en croix sur sa poitrine. Nous comprenons que Mr. untel prétend avoir été malade pendant les vacances, et présente la maladie comme excuse pour ne pas réussir l'examen ; mais le monsieur neutre était aussi malade, comme la faculté en a été formellement informée dans un lettre de son père". "La circonstance a causé une très vive indignation partout dans la classe des séniors. Il est certainement temps pour une réforme radicale quand les messieurs qui dirigent nos destins, et qui devrait juste l'être, si rien d’autre ne peut leur permettre d'être influencés par une chose aussi insignifiante que des relations avec la société".  
Esquire (septembre 1977).
Un article, seulement, est connu pour avoir été publié ces 100 dernières années sur l'Ordre. Malheureusement, il est superficiel, presque nargué, critique et fournit quelques éclaircissements, mais une petite contribution à la connaissance historique. L'article est "Derniers Secrets des Skull and Bones" par Ron Rosenbaum (Esquire, septembre 1977). Rosenbaum est un diplômé de Yale, attiré par les possibilités fictives d'une société secrète résolue à contrôler le monde ; apparemment, il n'est pas informé des implications politiques. La contribution est un mélange de documents authentiques connus et de franc ouï-dire. En revanche, Rosenbaum fait des observations notables. Parmi celles-ci est : "... les gens qui ont façonné le caractère de la nation américaine, depuis qu'ils ont cessé d'être un étudiant puissant, ont eu leur caractère d’étudiant façonné là-bas dans cette crypte" (c.-à-d., le "temple"sur le campus de Yale). Un autre commentaire : quand un nouveau membre est initié dans l'Ordre, "ce soir il mourra pour le monde et sera né à nouveau dans l'Ordre, comme il en fera référence dès lors pour lui. L'Ordre est un monde à lui, dans lequel il aura un nouveau nom et quatorze nouveaux frères de sang, aussi avec des nouveaux noms". Et quand Rosenbaum commence à se renseigner au sujet de l'Ordre, il est dit : "Ils n'aiment pas que les gens altèrent et furètent. Le pouvoir des Bones est incroyable. Ils ont leurs mains sur chaque levier de pouvoir dans le pays. Vous verrez - c'est comme essayer d'examiner la Mafia. Souvenez-vous c’est aussi une société secrète". Le morceau de Esquire est une bonne lecture de valeur, mais il donne un côté de l'Ordre qui ne nous concerne pas trop.  
Le Livre des "Adresses".
Comme l'Ordre est une société secrète, il ne publie pas de minutes ou de journaux. Comme Rosenbaum suggère, "ils n'aiment pas que les gens altèrent et furètent". Cet auteur a cependant possédé des copies des livres des "Adresses", habituellement appelés "Catalogues". Ceux-ci sont les listes des membres depuis 1832, date de la fondation aux États-Unis. Comment est-ce que ce matériel a trouvé sa place dans des mains extérieures ? Il est possible qu'un membre ou plus, bien que lié par serment, n'aurait pas été consterné si l'histoire était arrivée à la connaissance du public. C'est tout que nous dirons. D'autres documents existent, Skull and Bones est toujours un vif sujet de conversation à Yale. Il y a quelque temps déjà, quelques étudiants bien disposés ont fait leur propre enquête ; ils ont effectué un travail d'effraction, un "Yalegate". Une petite réserve de mémentos des Bones, un diagramme de la disposition, et un embarras considérable en ont résulté. Pour ce livre, le cœur de la recherche est basé sur les livres des "Adresses". Avec ceux-ci nous pouvons reconstruire une image des motifs, des objectifs et des opérations. Les actions de membres individuels sont déjà enregistrées dans l’histoire ouverte et les archives. En déterminant quand les membres entrent en scène, ce qu'ils ont fait, ce qu'ils ont donné comme arguments, qui ils ont nommé et quand ils ont disparu, nous pouvons assembler des modèles et déduire des objectifs.     hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum Numéro Quatre :

Qui est dans cette société Secrète ? La liste d'adhérents à l'Ordre, composée de quelques 2500 initiés, a des traits très évidents : - La plupart des membres sont du littoral Est des États-Unis. Depuis 1950 seulement trois membres ont résidé à Los Angeles, en Californie, mais 28 membres ont résidé à New Haven, dans le Connecticut. - Les membres sont tous des hommes et presque tous WASPS (White Anglo-Saxon Protestant). Ils descendent, en grande partie, de familles Puritaines anglaises, leurs ascendants sont arrivés en Amérique du Nord durant la période 1630-1660. - Ces familles puritaines se sont inter-mariées avec le pouvoir financier, ou ont été invitées par les fils des grands de l'argent, par exemple, les Rockefeller, Davison, et Harriman, dont les fils sont devenus membres de l'Ordre. De cette information préliminaire, nous pouvons en tirer l'hypothèse numéro un : IL EXISTE AUX ÉTATS-UNIS AUJOURD'HUI, ET A EXISTÉ DEPUIS 1833, UNE SOCIÉTE SECRÈTE QUI COMPREND DES MEMBRES DE FAMILlES AMÉRICAINS DE VIEILLES LIGNÉES, ET DES REPRÉSENTANTS DU POUVOIR FINANCIER. Le tableau suivant présente une disposition simplifiée de cette hypothèse. Il reste une grande quantité d’informations pour un autre livre plus tard, nous donnerons pour le moment des détails de deux familles clé seulement, les Whitney et les Harriman.  
La Famille Whitney.
Une famille clé est celle des Whitney, descendants des puritains anglais qui sont venus aux USA vers 1635 et établis à Watertown, Mass. Huit Whitney ont été membres de l'Ordre. De ceux-ci, trois ont eu des vies brèves. Emerson Cogswell Whitney est mort quelques mois après son initiation, et Edward Payson Whitney "disparu en 1858" d'après son biographe. Cependant, trois Whitney, William Collins Whitney et ses deux fils, sont le cœur d'influence Whitney dans l'Ordre qui survit aujourd'hui à travers la famille Harriman, et des inter-mariage avec les Payne et les Vanderbilt.    

Initiation

Nom

Domaine

1851
Emerson Cogswell Whitney
Éducation :  «  Mort le 1er décembre 1851. »
1854
Edward Payson Whitney
Médecine:  «  Disparu en 1858 »
1856
James Lyman Whitney
Travail en bibliothèque : Bibliothèque Publique de Boston
1863
William Collins Whitney
Secrétaire de la  Marine nationale (1885-9) Promoteur et Financier
1878
Edward Baldwin Whitney
Loi :  Justice, Cour Suprême de New York
1882
Joseph Ernest Whitney
Education :  «  Mort le 25, Février 1893. »
1894
Payne Whitney (fils de W.C. Whitney)
Finance : Knickerbocker Trust Co.
1898
Harry Payne Whitney (fils de W.C. Whitney)
Finance :  Garanty Trust et Guggenheim Exploration Co.
William Collins Whitney (1841-1904) est un bon exemple pour voir comment les membres de l'Ordre sont arrivés à la célébrité et à la richesse. W.C. Whitney a été initié en 1863, et vers 1872, avait avancé sa carrière jusqu’à être seulement inspecteur d'écoles pour New York. Cependant, il a amassé une richesse massive dans les trois dernières décennies du siècle, il est devenu un véritable pouvoir derrière le trône dans l'Administration de Cleveland, et il a dirigé les activités, souvent sans scrupules, d'un groupe de capitalistes connu comme "Groupe Whitney". Un bref relevé suggère le pouvoir que Whitney a amassé dans une brève période de 30 ans. C'est une liste des propriétés Whitney au tournant du siècle : " ... Une résidence dans la ville de New York, un palais Vénitien et 5000 acres - 2000 hectares - à Wheatley Hills, proche de la Jamaïque ; une maison à Sheepshead Bay, avec une piste privée couvrant 300 acres - 120 hectares ; un château à Berkshire Hills, Mass., avec 700 acres - 280 hectares - de terre ; une maison à October Mountain, avec une grande étendue de terre ; la rocailleuse ferme Ford, New York, utilisée comme auxiliaire à sa ferme réserve du Kentucky ; un jeu Adirondack préservé de 16000 acres - 6400 hectares ; un pavillon à Bleu Mountain Lake avec un fin terrain de golf, une ferme de 3000 acres - 1200 hectares - dans le Kentucky ; et une propriété à Aiken, S.C., comprenant un château, une piste de course, et 2000 acres - 800 hectares - de terre pour chasser". William C. Whitney s'est marié à Flora Payne, fille du Trésorier de la Standard Oil, Oliver Payne. Les Payne ne sont pas dans l'Ordre, mais en ajoutant la pièce Payne de la fortune Standard Oil, cela rend la richesse de Whitney beaucoup plus grande. Leurs deux fils, Harry Payne Whitney (1894) et Payne Whitney (1898), sont allés à Yale et sont devenus membres de l'Ordre. Après Yale, Harry Payne Whitney s’est rapidement marié à Gertrude Vanderbilt, en 1896, et alors la richesse Whitney-Payne a maintenant rejoint l'argent des Vanderbilt. Ce pouvoir financier a été canalisé dans la Garanty Trust, l’équipe J.P. Morgan et Guggenheim. Et c’est plus compliqué. Par exemple, le fils de Harry Payne Whitney, Cornelius Vanderbilt Whitney, s’est marié à Marie Norton. Après leur divorce, Marie Norton Whitney s'est mariée à W. Averell Harriman (sa première femme) qui est aujourd'hui, à 91 ans, un membre clé. C'est ce tissage hermétique de familles et d’enclenchements financiers qui composent le cœur de L'Ordre. Aussi, jetons un coup d’œil sur la famille Harriman. Dans les premiers jours de juin 1983, un éminent américain, un citoyen privé, s’est envolé pour Moscou afin d’avoir une discussion confidentielle avec Yuri Andropov. Un interprète du département d'état est allé avec eux. Cet américain n'était pas le président, ni le vice-président, ni le secrétaire d'état, ni un membre de l’administration Reagan. C'était un simple particulier, W. Averell Harriman. La première fois qu’un américain s'est entretenu avec Yuri Andropov depuis la mort de son prédécesseur, Brejnev. Qui est donc W. Averell Harriman ? L’aîné des Harriman, un éminent magnat ferroviaire et pas trop scrupuleux, a envoyé ses deux fils à Yale. William Averell Harriman (1913) et Edward Roland Noel Harriman (1917) ont rejoint l'Ordre. Un bon exemple qui permet de voir comment les familles de vieilles lignées de l'Ordre ont absorbé de nouvelles familles riches, bien que, comme l'histoire l’a démontré, ce puisse être ce Harriman et ses compagnons, banquiers d'affaires, qui ont dominé la direction de l'Ordre dans les décennies passées. Dans les années 1930, W.A. Harriman & Company a fusionné avec Brown Brothers. C'était un très vieil institut financier dont les partenaires étaient aussi membres de l'Ordre. Alexander Brown en a été fondé en 1800 à New York et à Philadelphie. Dans les années 1970, l'établissement bancaire international privé relativement inconnu Brown Brothers Harriman, avec des biens d'à peu près un demi milliard de dollars, avait tant pris de "la fraternité" que sur 26 partenaires individuels, pas moins de 9 étaient membres de l'Ordre. Nous ne connaissons pas de plus grande concentration de membres. Et pour rendre le tout plus intéressant, Prescott Bush, père du président George H. W. Bush (les deux font partie de l'Ordre), a été un partenaire de Brown Brothers Harriman pendant plus de 40 ans. Finalement, parce que Brown Brothers Harriman est une entreprise bancaire privée, elle n'a presque aucune surveillance du gouvernement, et ne publie pas de rapport annuel. En d'autres termes, nous ne savons rien au sujet de ses opérations - au moins nous ne savons rien des sources de Brown Brothers Harriman. Voici une mise en ligne des partenaires de Brown Brothers Harriman, qui étaient aussi membres de l'Ordre au milieu des années 1970 :    

Nom des partenaires

Date de l’initiation

Walter H. Brown
1945
Prescott Sheldon Bush
1917
Granger Kent Costikyan
1929
Edward Roland Noel Harriman
1917
W. Averell Harriman
1913
Stephen Young Hord
1921
Robert Abercrombie Lovett
1918
John Beckwith Madden
1941
Knight Woolley
1917
Ça vaut la peine de penser à cette concentration de noms, et le pouvoir qu’il représente à la lumière des commentaires extérieurs sur l'Ordre depuis des années. Après la page de titre de ce volume nous réimprimons les vers d'un étudiant anonyme de Yale des années 1870. Il a fait des remarques sur l'exigence de mettre l’Ordre en avant tout autrement. L'Éditeur de L'Iconoclaste (aussi dans les années 1870) a écrit : "Et sur leurs poitrines ils portent un signe Cela dit leur race et leur nom C'est l'insigne horrible de mort Et de son royaume est venu Le fils de Satan, fils du péché, L'ennemi de l'homme". Un autre écrivain dans les années 1870 a appelé l'Ordre la "Fraternité de Mort" : Dehors déjà, dans l'aube douteuse, Là, de ce côté, et de là, lent balai, Et s'installe solidement en silence, Corneille prudente, l'effroyable Fraternité de Mort. Chapeau noir et capuche noire ils se blottissent, Avec les foulards noirs qui pendillent à chaque cou ; Ainsi prennent ils leur poste menaçant à la porte, Torches allumées, la bannière crâne et os croisés se propage". Ron Rosenbaum dans son article de 1977 d'Esquire, un siècle plus tard, n’était pas moins caustique. Rosenbaum l'a appelé une Mafia. De l'évidence qui sera présentée plus tard, cet auteur appelait l'Ordre "une Mafia internationale". . . incontrôlée et tout, mais, inconnue. Pour le monde extérieur, cependant, c'est Brown Brothers Harriman, 59 Wall Street, New York. Mais évidemment, Yuri Andropov, à Moscou, sait qui tient les cartes.  
La connexion britannique.
Quelques lecteurs qui ont bien lu peuvent soulever une question - comment l'Ordre et ses familles sont en rapport avec leurs équivalents, comme la société secrète Cecil Rhodes, la Milner Round Table, les Illuminati (illuminés de Bavière) et la société secrète juive ? Comment ceux-ci s’intègrent dans le tableau ? Nous nous inquiétons ici seulement du cœur d'un phénomène purement américain, avec une origine allemande. Il est lié indubitablement aux groupes d'outre-mer. Les liens entre l'Ordre et la Grande-Bretagne passent par Lazard Frères, et les banquiers marchands privés. Notamment, le pouvoir établi britanniques a aussi été fondé à l’université d'Oxford, et spécialement All Souls College à Oxford. L'élément britannique est appelé "le Groupe". Le Groupe est lié à l'équivalent juif, à travers les Rothschild en Grande-Bretagne (Lord Rothschild était un membre original du "cercle intérieur" de Rhodes). L'Ordre, aux USA, est lié aux familles Guggenheim, Schiff et Warburg. Il n'y avait pas du tout de juifs dans L'Ordre jusqu’à très récemment. En fait, l'Ordre a, comme Rosenbaum le suggère, quelque tendances antisémites. Pour la forme, des juifs (et des noirs) ont été admis ces dernières années. Il y a une connexion avec les Illuminati – illuminés de Bavière. Quelques détails sont dans l'article d’Esquire, plus de détails seront donnés dans nos volumes futurs. Tous ces groupes ont des traits coopératifs et compétitifs. Mais dire que tous les maux du monde peuvent être attribués à un de ces groupes est faux. Le cœur de l'Ordre, comme le cœur du "Groupe" en Angleterre, comprend approximativement 20 familles. Dans le cas des USA, ce sont principalement des descendants des premiers colons du Massachusetts. La nouvelle richesse n'est pas entrée dans l'Ordre jusqu'à la moitié du 19e siècle, et jusqu'à récemment, n'a jamais dominé l'Ordre. En revanche, les familles clés, les Whitney et les Harriman, sont liés à leurs propres intérêts bancaires. De bien des manières, ces vieille lignées de familles Yankees ont surpassé en finesse les banquiers. Les puritains ont détourné la richesse des banquiers vers leurs propres objectifs, sans toujours absorber les familles de banquiers. L’Ordre contrôle la richesse substantielle d'Andrew Carnegie, mais aucun Carnegie n'a jamais été membre de l'Ordre. L'Ordre a utilisé si scandaleusement la richesse de Ford, contre les vœux de la famille Ford, que deux Ford ont démissionné du comité de la Fondation Ford. Aucun Ford n'a été membre de l'Ordre. Le nom de Morgan n'a jamais paru sur les listes d'adhésions, bien que quelques partenaires de Morgan soient avec le cœur intérieur, par exemple, Davison et Perkins. De manière intéressante, le nom Astor prédomine dans "Le Groupe" en Angleterre, mais pas dans l'Ordre aux USA.     hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum numéro Cinq :

Quelles organisations a-t-il pénétré ? L'Ordre a pénétré ou s'est installé dans chaque domaine de recherche importante, la politique, les organisation de faiseurs d’opinion aux États-Unis, en plus de l'église, des affaires, de la loi, du gouvernement et des politiques. Pas tout en même temps, mais avec persistance et régulièrement, afin de dominer la direction de la société américaine. L'évolution de la société américaine n'est pas, et n'a pas été pendant un siècle, un développement volontaire reflétant les opinions individuelles, les idées et les décisions. Au contraire, la direction générale a été créée artificiellement et stimulée par l'Ordre. Toutes les organisations ne savent pas qu'elles ont été pénétrées ou utilisées pour un autre but. C'est une situation que Quigley trouve dans "le Groupe" (voir memorandum numéro six) : "Il y a... un cœur intérieur d'associés intimes qui, indiscutablement, savaient qu'ils étaient membres d'un groupe consacré à un but commun, et un cercle externe d'un plus grand nombre sur qui le cercle intérieur a agi par persuasion personnelle, distribution du patronage et pression sociale. Il est vraisemblable que la plupart des membres du cercle externe n'étaient pas conscients qu'ils étaient utilisés par une société secrète". Par conséquent notre hypothèse numéro deux est : L'ORDRE A PÉNÉTRÉ OU A ÉTÉ L'INFLUENCE DOMINANTE DANS LA POLITIQUE, LA RECHERCHE ET LES ORGANISATIONS QUI FABRIQUENT L’OPINION, QUI DÉTERMINENT LA DIRECTION DE BASE DE LA SOCIÉTÉ AMÉRICAINE.  
Hypothèse numéro deux :L'Ordre a pénétré chaque segment de la société américaine.
 
 
L'Ordre est l'impulsion originale.
Une observation est que l'Ordre obtient la continuité dans les nouvelles organisations, c.-à-d., il y met le PREMIER président ainsi que les idées et, alors, quand les opérations se mettent en route, souvent, il disparait juste de l'image. Parmi les universités, nous pouvons citer l'université Cornell, où Andrew Dickson White (1853) était son PREMIER président, et l’université Johns Hopkins, basée sur le système pédagogique allemand, où Daniel Coit Gilman (1852) était le PREMIER président (1875-1901). Parmi les associations académiques, l'association historique américaine, l'association économique américaine, la société chimique américaine, et l'association psychologique américaine, ont toutes été lancées par des membres de l'Ordre, ou des personnes proches de l'Ordre. Ce sont des associations clés pour la conditionnement de la société. Ce phénomène de l'Ordre, comme PREMIER sur la scène, est trouvé surtout parmi les fondations, bien qu'il paraisse que l'Ordre garde une présence continue parmi les administrateurs de la fondation. Il fait, plus que d’être juste le PREMIER où l'argent est concerné. Il reste autour, pour garder un oeil sur les dépenses. Le PREMIER président de l'institution Carnegie (1902-5) était Daniel Coit Gilman, mais d’autres membres de l'Ordre ont été dans les comités Carnegie depuis le tournant du siècle. Gilman était sur scène pour la création des fondations Peabody, Slater, et la Russell Sage. McGeorge Bundy était président de la fondation Ford de 1966-1979. Le PREMIER président d'une organisation influente mais presque inconnue, établie en 1910, était aussi un membre de l'Ordre. En 1920 Théodore Marburg a fondé la société américaine pour le règlement judiciaire des discussions internationales – American Society for the Judicial Settlement of International Dispute -, mais Marburg était seulement président d’honneur. Le PREMIER président était le membre William Howard Taft (1878). La Société était l'ancêtre de la League to Enforce the Peace, qui a développé le concept de société des nations (SDN) et, finalement, les Nations Unies. Au Nations unies nous trouvons, par exemple, cet Archibald McLeash (1915) qui était le cerveau derrière la constitution de l'UNESCO. Nous trouvons le même phénomène de PREMIER sur la scène dans les groupes de réflexion – "think tanks". En 1960, James Jeremiah Wadsworth (1927) a mis en place l'institut de la recherches pour la paix – Peace Research Institute. En 1963 il a fusionné pour devenir l'institut d'études politique – Institute for Policy Studies -, avec Marcus Rashkin, qui avait été assistant du conseil de la sécurité nationale (1961-3), et McGeorge Bundy (1940), un membre très actif de l'Ordre.    

L'église.

Environ 2 pour cent de l'Ordre sont dans l'église (toutes de dénominations protestantes), bien que ce pourcentage ait décliné ces dernières années. Une pénétration clé est celle du séminaire d’union théologique, affilié avec l’université de Columbia à New York. Ce séminaire, ancien sujet d'enquête sur l’infiltration communiste, a des liens proches de l'Ordre. Henry Sloane Coffin (1897) était professeur de théologie pratique de 1904 à 1926 et président du séminaire d’union théologique, aussi connu sous le nom de "séminaire rouge", de 1926 à 1945. L’union a une si large interprétation des activités religieuses qu’il a, ou a l’habitude d’avoir, un club d’athées pour ses étudiants. Henry Sloane Coffin, Jr. (1949) était un des cinq accusé de Boston sur des charges de conspiration fédérales. Et c'est seulement la partie de la pénétration de l'Ordre dans l'église.  
La Loi.
Les établissements majeurs de cabinets juridiques à New York sont saturés par l'Ordre. En particulier, Lord Day and Lord, dominé par la famille Lord déjà citée ; aussi Simpson, Thacher and Bartlett, surtout la famille Thacher ; David, Polk, Wardwell and Debevoise, Plimpton, le cabinet juridique de la famille Rockefeller.    

Les communications.

Il y a eu une pénétration considérable dans les communications. Quelques exemples : - Henry Luce, de Time-life, est dans l'Ordre. - William Buckley (1950), de National Review - Alfred Cowles (1913), président de Cowles Communications, Des Moines Register, Minneapolis Star, - Emmert Bates (1932), de Litton Educational Systems, - Richard Ely Danielson (1907), d'Atlantic Monthly - Russell Wheeler Davenport (1923), de Fortune - John Chipman Farrar (1918), de Farrar, Straus, les éditeurs. La récompense la plus prestigieuse du journalisme est d’être membre de l’association Nieman à l’Université de Harvard. Plus de 300 y ont accédé de 1937-68. Le PREMIER directeur du Fond Nieman était le membre Archibald McLeash.  
L’industrie.
Les compagnies pétrolières ont leurs liens vers l'Ordre. Les membres Percy Rockefeller, les Payne, les Pratt, sont tous liés à la Standard Oil. Les pétroles Shell, Creole Petroleum, et Socony Vacuum sont aussi liés. Une grande variété d'établissements industriels ont des membres dans l'Ordre, de la famille Donnelley à Chicago (imprimeurs du guide officiel des lignes aériennes et autres références) ; des compagnies de bois comme Weyerhaeuser, qui est aussi un Trilatéraliste (Trilatérale) ; des industries d’habillement, et ainsi de suite.  
Le Système de la Réserve Fédérale - FED.
Une douzaine de membres peuvent être liés à la Réserve fédérale, mais une nomination est remarquable, Pierre Jay (1892), pour qui toute célébrité était de diriger, en 1913, une école privée, et d’être un obscur vice-président de la Manhattan Bank ; cependant il est devenu le PREMIER président de la Réserve fédérale de New York, la vrai banque de réserve importante.  
La Maison Blanche, la politique et le gouvernement.
C'est l’ère où l'Ordre a fait des progrès : avec des noms comme Taft, Bush, Stimson, Chafee, Lovett, Whitney, Bundy et ainsi de suite. Il faudra un volume séparé pour couvrir cette histoire et dans le mémorandum neuf nous décrivons juste un exemple, L'OPÉRATION BUNDY.     hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum numéro six :

Les opérations de l'Ordre. En 1981 le livre "The Anglo American Establishment", par Carroll Quigley, a été publié à New York par un petit éditeur anticonformiste. Quigley était autrefois instructeur à Princeton et Harvard puis professeur à l'école du corps diplomatique, à l’université Georgetown. L'éditeur note dans son introduction que Quigley avait été incapable de trouver un éditeur majeur pour le manuscrit. Ce n'est pas surprenant. Le livre dévoile l'équivalent britannique de l'Ordre. "The Anglo American Establishment", n'a rien à voir avec le pouvoir établi américain, qui est à peine mentionné, mais il a beaucoup à faire avec le pouvoir établi britannique. L'éditeur a probablement inséré le mot "américain" dans le titre afin de rehausser la viabilité dans les pays. Quigley décrit minutieusement, en détail, les opérations historiques du pouvoir établi britannique contrôlé par une société secrète, et opérant souvent comme l'Ordre opère aux USA. C'est la vraie signification du livre explosif de Quigley.  
Le Groupe.
La société secrète britannique, "le Groupe" ou ordinairement juste "nous", a été fondé à l’université d'Oxford, comme l'Ordre a été fondé à Yale, mais sans le charabia maçonnique. Comme nous avons noté dans le mémorandum cinq, le Groupe opère dans une série de cercles concentriques et, comme l'Ordre, il consiste en familles de vieilles lignées, alliées à des banquiers négociants privés, connus aux Etats-Unis comme banquiers d'affaires. En tenant compte de l'existence prouvée du Groupe, des opérations de l'Ordre et du genre de pénétration qu'il a accompli, cela ne peut pas être expliqué que par la simple chance. En examinant les opérations de l'Ordre, nous pouvons produire une image de ses objectifs, sans accès à aucune constitution interne ou déclaration d'objectifs, même si elles existent. C'est peut être seulement un mot de la bouche. Par contraste, l'objectif du Groupe est enregistré dans les volontés de Cecil Rhodes. C'était : "L'extension de la règle britannique partout dans le monde, le fignolage d'un système d'émigration du Royaume-Uni, et de colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de vie est accessible par l’énergie, le travail et l’entreprise. . . et la récupération ultime des États-Unis d'Amérique comme une partie intégrante de l'Empire Britannique". Cet objectif est, bien sûr, ridicule et quelque peu immature, mais pas moins ridicule et pas moins immature que l’objectif du "Nouvel Ordre Mondial" de l'Ordre. Le Groupe a contrôlé la politique britannique depuis cent ans, et le fait encore. Le Groupe et l'Ordre ont été créés par des anglophiles qui veulent modeler le monde sur une culture hybride anglo-Hégélienne. Où les races latines, slaves et chinoises ne sont pas considérées, mais, clairement, ces cultures seront peu disposées à devenir des pions de l'empire Britannique ou Yankee de Nouvelle Angleterre. Même dans le Commonwealth, une association volontaire de nations, il est improbable que le Canada, l’Australie et la Nouvelle Zélande accepteraient l'esclavage constitutionnel envisagé par Cecil Rhodes. Les deux sociétés secrètes oublient, et il y a une base philosophique pour cette négligence, le droit naturel de tout groupe ethnique, qu'il soit blanc, noir ou jaune, anglais, slave ou latin, de développer sa propre culture sans contrainte. Contrairement à cet auteur, Quigley sympathise avec les fins du Groupe, bien qu'il dise que leurs méthodes sont ignobles. Le Groupe et l'Ordre sont peu disposés, ou incapables, de provoquer une société globale par des moyens volontaires, donc ils ont opté pour la contrainte. Pour faire ceci, ils ont créé des guerres et des révolutions, ils ont saccagé des trésors publics, ils ont opprimé, ils ont pillé, ils ont menti même à leurs propres concitoyens.  
Comment ont ils fait ceci ?Manière d’opérer de L'Ordre.
Les activités de l'Ordre sont dirigées afin de changer notre société, en changeant le monde, pour provoquer un "Nouvel Ordre Mondial". Ce sera un ordre planifié avec une liberté individuelle très restreinte, sans protection constitutionnelle, sans limites nationales ou distinction culturelle. Nous déduisons cet objectif en examinant, et en récapitulant, les actions individuelles des membres : il y a eu un modèle logique d'activité sur cent ans. Une partie de cette activité a été faite en coopération avec le Groupe, avec ses objectifs parallèles et enregistrés. Maintenant si, par exemple, nous avions trouvé que l'intérêt dominant des membres était d’élever des canards, qu'ils ont écrit des articles au sujet des canards, élevé des canards, vendu des canards, formé des conseils d’études de canards, développé une philosophie de canards, alors il serait raisonnable de conclure qu'ils avaient un objectif à propos des canards, que ce n'est pas une simple activité aléatoire. Historiquement, les opérations de l'Ordre se sont concentrées sur la société, comment changer la société d’une manière spécifique, vers un but spécifique : un "Nouvel Ordre Mondial". Nous connaissons les éléments qui devront être changés dans la société pour provoquer ce Nouvel Ordre Mondial, nous pouvons examiner alors les actions de l'Ordre dans ce contexte. Ces éléments devraient plus ou moins être : - L’éducation : comment la population du futur se comportera, - L’argent : les moyens de tenir la richesse et échanger des marchandises, - La loi : l'autorité pour mettre en vigueur la volonté de l'état, une loi mondiale et une cour mondiale est exigée pour un état mondial, - La politique : la direction de l'Etat, - L’économie : la création de richesses, - L’histoire : ce que les gens croient qu’il s’est passé dans le passé, - La psychologie : les moyens de contrôler ce que pensent les gens, - La philanthropie : afin que les gens pensent bien aux sujet des contrôleurs, - La médecine : le pouvoir sur la santé, la vie et la mort, - La religion : les croyances spirituelles des gens, l’incitation à l’action pour beaucoup, - Les médias : ce que les gens savent et apprennent au sujet d'événements courants, - La continuité : le pouvoir de nommer qui suivra dans vos pas. Les opérations dans chacune de ces ères seront détaillées dans les volumes subséquents. Par exemple, dans le prochain volume, l’Ordre contrôle l’éducation, nous décrirons comment Daniel Coit Gilman, président de l’université Johns Hopkins, importa d'Allemagne les méthodes psychologiques de Wundt, puis souda l’éducation et la psychologie aux USA, établit des laboratoires, mit ces laboratoires pédagogiques dans les universités majeures, et produit l00% de docteurs en philosophie afin d'apprendre le nouveau système de conditionnement pédagogique. Un des premiers, de ces doctorats John Hopkins, était John Dewey. Le résultat nous le connaissons bien. Le marais pédagogique des années 80 où la plupart des gosses - pas tous - ne peuvent pas épeler, lire ou écrire, cependant, peuvent être programmés par des canaux du comportement de masse. La démarche suivante de l'Ordre était de contrôler les fondations. Ils ont obtenu toutes les grandes - Carnegie, Ford, Peabody, Slater, Russell Sage et ainsi de suite. C’est le sujet d'un autre volume. Comme pour l’éducation, la manière d’opérer de l'Ordre était d’entrer en PREMIER, et de mettre en scène, pour le futur. L'objectif initial était d’établir une direction dans une organisation. Sélection de directeur, assez intuitif ou amoral pour devenir populaire à la direction, tenir l’élan de la dynamique. Dans le cas des fondations, l'Ordre a habituellement maintenu une présence continue sur des décennies. Quand l'Ordre vient aux activités par des membres individuels, à première vue, le modèle est confus et superficiellement contradictoire. Donnons des exemples : - Andrew Carnegie a tiré profit des guerres à travers ses vastes avoirs dans l'acier, mais, sur le conseil du membre Daniel Coit Gilman, Carnegie était aussi président enthousiaste et financier de l'american peace society - société pour la paix - américaine. C'est apparemment contradictoire. Est-ce que Carnegie pourrait être en même temps pour la guerre et pour la paix ? - La league to enforce the peace - ligue pour mettre la paix en vigueur -, fondée par les membres William H. Taft et Théodore Marburg, encourageaient la paix, cependant, ils étaient actifs pour préconiser la participation des USA dans la première guerre mondiale. Comment est-ce que la ligue pourrait être en même temps pour la guerre et pour la paix ? - Dans les années 1920, W. Averell Harriman était un des principaux soutien des soviets, avec la finance et l’assistance diplomatique à la fois, quand une telle aide était contre le règlement du département d'état. Harriman a participé à la RUSKOMBANK, la première banque commerciale soviétique. Le vice-président Max May de la Guaranty Trust, dominée par les intérêts Harriman-Morgan, est devenu le PREMIER vice-président de RUSKOMBANK en charge de ses opérations étrangères. En bref, un banquier américain sous le conseil d'un membre de l'Ordre avait un poste clé dans une banque soviétique ! Mais nous observons aussi qu’Averell Harriman, son frère Roland Harriman, et les membres ES. James et Knight Woolley, à travers l’Union Bank (dans laquelle ils ont tenu un intérêt majeur), était les principaux financiers de Hitler. Maintenant nos manuels scolaires nous disent que les nazis et les soviet étaient des ennemis amers, et leurs systèmes sont des contraires. Comment est-ce qu'un homme rationnel pourrait supporter en même temps les soviet et les nazis ? Est-ce que Harriman est absurde ou est-ce que l'inconsistance est explicable ? - La famille Bundy (nous aurons plus tard une note sur eux) nous donne un autre exemple d’inconsistance apparente. William Bundy était à la CIA - Central Intelligence Agency – pendant une décennie. McGeorge Bundy était assistant de la sécurité nationale des présidents Kennedy et Johnson. Donc les Bundy supportent vraisemblablement la politique européenne, qui est pro-OTAN. Mais les Bundy ont été liés à des activités et des organisations qui sont anti-OTAN et, en effet, pro-marxiste par exemple, l'institute for policy studies - institut pour les études politiques. Est-ce que les Bundy sont contradictoires ? - Parmi les membres individuels de l'Ordre nous trouvons une large variété de croyances, proclamées publiquement, idéologiques et politique. William Buckely enguelait périodiquement les soviets. En revanche, le membre John Burtt a été membre d'une douzaine de groupes de front communistes. Le membre William S. Coffin, Jr. a passé trois ans à la CIA et, alors, est devenu le chef des activités anti-guerre du Vietnam à travers la conférence nationale pour une nouvelle politique, et du groupe clergé et laïcs inquiets pour le Vietnam. En fait, Coffin était un des cinq de Boston, chargé et accusé de conspiration et viol des lois Fédérales. Et, bien sûr, W. Averell Harriman est l’aîné des hommes politique du parti démocrate. Un vrai mélange de croyances et d’activités. Est-ce qu'ils reflètent des philosophies contradictoires ? Comment est-ce que l'Ordre peut avoir un objectif logique, avec ce pot-pourri d'actions individuelles ? La réponse est qu'ils ne sont pas du tout contradictoires : parce que l'objectif de l'Ordre est au dessus et au-delà de ces actions et, en fait, il a besoin qu'ils paraissent contradictoires.  

L'état est absolu.

Comment peut-il exister un objectif commun, quand les membres agissent apparemment l’un contre l'autre ? Probablement, la tâche la plus difficile de ce travail sera de démontrer au lecteur ce qui est vraiment une observation élémentaire : que l'objectif de l'Ordre est ni gauche ni droite. Gauche et droite sont des appareils artificiels, pour provoquer le changement, et les extrêmes gauche et droite de la politique sont des éléments vitaux dans un processus de changement contrôlé. La réponse à ce semblant de puzzle politique mensonger dans une logique Hégélienne. Souvenez-vous que Marx et Hitler, les extrêmes de "gauche" et de "droite" présentés comme ennemis dans les manuels scolaires, ont évolué dans le même système philosophique : l’Hégélianisme. Cela amène des cris d'angoisse intellectuelle, des Marxiste et des Nazis, mais c’est bien connu de tout étudiant des systèmes politiques. Le processus dialectique n'est pas arrivé avec Marx comme le réclament les marxistes, mais avec Fichte et Hegel, vers la fin du 18e siècle, début 19e, en Allemagne. Dans le processus dialectique, un fracas des contraires provoque une synthèse. Par exemple, un fracas politique entre la gauche et la droite, ne provoque pas un autre système politique, une synthèse des deux, ni gauche ni droite. Ce conflit des contraires est essentiel afin de provoquer le changement. Aujourd'hui ce processus peut être identifié dans la littérature de la commission Trilatérale où le "changement" est encouragé, et la "gestion en désaccord" est appelée comme moyen de provoquer ce changement. Dans le système Hégélien, le conflit est essentiel. En outre, pour Hegel et les systèmes basés sur Hegel, l'état est absolu. L'état exige l'obéissance complète du citoyen individuel. Un individu n'existe pas pour lui-même, dans ces systèmes soi-disant organiques, mais il exécute seulement un rôle dans l'opération de l'état. Il trouve seulement la liberté dans l’obéissance à l'état. Il n'y avait pas de liberté dans l'Allemagne de Hitler, il n'y a pas de liberté pour l'individu dans le marxisme, pas plus qu’il y en aura dans le Nouvel Ordre Mondial. Et, s'il sonne comme 1984 de George Orwell – IL EST. En bref, l'état est suprême, et le conflit est utilisé pour provoquer la société idéale. Les individus trouvent la liberté dans l’obéissance aux souverains. Donc qui ou qu’est ce que l'état ? Évidemment c’est une élite auto-désignée. Il est intéressant de noter que Fichte, qui a développé ces idées avant Hegel, était franc-maçon, presque certainement membre des Illuminati - illuminés de Bavière -, et a probablement été encouragé par les Illuminati. Par exemple, Johann Wolfgang Goethe (Abaris dans le code des Illuminati) a proposé à Fichte un rendez-vous à l’université de Iéna. En outre, le principe des Illuminés de Bavière - Illuminati, que la fin justifie les moyens, principe que Quigley remarque comme point immoral utilisé par le Groupe et l'Ordre, est enraciné dans Hegel. Même l'étudiant anonyme de Yale, qui a écrit les vers du mémorandum trois, a observé ce principe à l’œuvre sur le campus de Yale. Ceci est alors une partie vitale de notre explication sur l'Ordre. Quand son cofondateur, William Russell, était en Allemagne en 1831-2, il n'y avait aucun moyen d’éviter la discussion et la théorie hégélienne. C'était la conversation du campus. Elle a balayé l’Allemagne intellectuelle. La plupart des américains ne l'ont pas entendu. Et ceux qui avaient entendu, n’ont pas voulu en entendre plus à son sujet. Pourquoi ? Parce que ces suppositions sont complètement en désaccord avec notre sens de la liberté individuelle, et des garanties constitutionnelles. La plupart d’entre nous croyons que l'état existe pour servir l'individu, et pas vice versa. L'Ordre croit le contraire sur la plupart d’entre nous. C'est crucial afin de comprendre qui ils sont. Donc, toute discussion entre gauche et droite, essentielle pour encourager le changement, n'est jamais autorisée à se développer dans une discussion démocratique Jeffersonienne, c.-à-d., le meilleur gouvernement est le gouvernement le plus petit. La discussion, et le financement, va toujours vers plus de pouvoir pour l'état, utilise le pouvoir de l'état, loin des droits individuels. Donc il importe peu du point de vue de l'Ordre s'il est appelé gauche, droite, démocratique, républicain, séculier ou religieux - aussi longtemps que la discussion reste dans la structure de l'état, et sous le pouvoir de l'état. C'est apparemment le trait commun entre les places dissemblables prises par les membres - ils ont un objectif commun, plus élevé, dans lequel le fracas des idées est essentiel. Aussi longtemps que les droits de l'individu ne sont pas introduits dans la discussion, le fracas des idées produit le conflit nécessaire pour le changement. Comme l'objectif est aussi le contrôle global, une accentuation est placée sur la pensée globale, c.-à-d., l’internationalisme. Cela est fait au travers des organisations mondiales et de la loi mondiale. La grande contribution des Taft à l'Ordre, était un système de cour mondiale et de loi mondiale - à l'aspect internationaliste du Nouvel Ordre Mondial.     hibou ecrit Bush/Première année    

Mémorandum Numéro Sept :

Comment l'Ordre se rattache au Council on Foreign Relations – CFR -, à la commission Trilatérale, et aux organisations semblables. Les organisations, comme le Council on Foreign Relations - Conseil sur les Affaires Etrangères (CFR), n'ont pas les exigences d’une conspiration. Ils sont simplement trop grands et leur adhésion n'est pas secrète. La liste des adhérents à l'Ordre n’a jamais fait surface jusqu'à maintenant. N'importe qui peut obtenir une liste de membres du CFR, et de la commission Trilatérale. Aussi, trop de gens sont inclus comme membres dans ces organisations et ne sont pas juste données pour appartenance à des groupes de conspirateurs. Il y a, certainement, une discussion confidentielle et certainement, la direction générale de la politique US reflète la pensée majoritaire de ces organisations - mais elles ne sont pas des conspirations. De plus, le CFR, et ses organisations sœurs, ne se sont pas adaptés à l’action et à la mise en oeuvre de la politique. Par exemple, comparez la firme Brown Brothers Harriman, avec neuf membres dans l'Ordre et au CFR. Evidemment le premier est plus cohésif, un profil plus bas, plus capable de dissimuler ses actions, et encore plus d'action orientée. Les plus grandes organisations ouvertes sont un forum de discussion, une place où les idées peuvent être débattues, "le club d'hommes riches", comme quelqu'un l’a fait remarquer, où les gens peuvent être évalués, où les commentaires discrets et critiques peuvent être faits, loin d'une presse curieuse, et d'un public peut-être antipathique. Elles ne peuvent pas être des personnes élues, mais ne sont pas non plus des conspirations. Elles tombent dans l'ombre d'une conspiration. Elles ne sont pas non plus démocratiques ou dictatoriales.  
Le rôle de l'Ordre.
L'Ordre est représenté dans ces organisations mais ne domine pas toujours. David Rockefeller, un ancien président du CFR, n'est pas un membre de l'Ordre (seulement Percy Rockefeller a représenté la famille), mais l’actuel président du CFR, Winston Lord, l’est. Nous pouvons représenter la relation entre l'Ordre et les plus grands groupes comme une série de cercles concentriques. Le CFR, etc. forme un cercle externe, c.-à-d., une pénombre. Ils existent dans une ombre lancée par une organisation intérieure. C'est cette organisation intérieure qui a besoin d'être mise au jour. L'Ordre est le cercle intérieur et le Chapitre 322 est une partie de ce cercle intérieur, parce que c'est improbable que le Chapitre 322 soit le seul chapitre aux USA. Nous en suspectons, mais ne pouvons pas encore le prouver, au moins un autre.  
En Bref, cela ressemble à trois segments : (1) le cercle externe, fait pour de grandes organisations ouvertes, avec quelque adhérents venant de l'Ordre. (2) le cercle intérieur, fait d'une société secrète, ou plus, comme le Chapitre 322. Nous pouvons prouver, a ce moment, un seul chapitre. (3) le cœur intérieur, une société secrète dans une société secrète. C'est le cœur intérieur de la prise de décision. Nous ne pouvons pas prouver qu’il existe, mais la logique suggère que quelques membres du cercle intérieur formeront un comité de direction, un groupe d'action, un cœur intérieur. Pendant que nous ne pouvons pas prouver l'existence d'un cœur intérieur, il y a des candidats évidents comme membre, et nous pourrions hasarder une estimation comme l'identité du président.  
Le cercle externe.
Le Council on Foreign Relations - conseil sur les affaires étrangères – CFR - est la plus grande organisation dans le cercle externe. Elle a approximativement 2500 membres à tout moment, autant que l'Ordre dans son histoire entière. La Commission Trilatérale a 200 membres dans le monde, mais seulement 70 aux États-Unis. Ce sont de plus jeunes organisations. Le CFR date de 1922, la Pilgrims de 1900, la commission Trilatérale de 1973, et le Bilderberg des années 1950.  
Combien de membres de l'Ordre sont dans le CFR ?
Ce n'est pas la place pour une analyse exhaustive, mais une idée générale peut être avancée en regardant les noms dans l’Ordre commençant par la lettre "B" : Ceux qui suivent sont membres de l'Ordre et du Council on Foreign Relations – CFR - : - Jonathan Bingham (membre du congrès) - William F. Buckley (éditeur, National Review et conservateur de la maison de l'Ordre) - McGeorge Bundy (cadre exécutif de fondation) - William Bundy (CIA) - George Herbert Walker Bush (président des États-Unis) La façade du Council on Foreign Relations – CFR - reflète son but comme un lieu de réunion, un forum de discussion. Le CFR est composé principalement de fonctionnaires publics, d’industriels et d’universitaires. L'Ordre a une façade différente distincte, c.-à-d., beaucoup plus d'avocats, par exemple, et une plus grande variété d'occupations déclarées avec vraiment moins d’industriels.  
La commission Trilatérale.
La commission Trilatérale a été fondée en 1973 par David Rockefeller, et comprend 200 membres dans le monde, dont approximativement 77 sont américains. Il n'y a aucun chevauchement parmi les adhésions ; par exemple, l'industriel du bois Frederick Weyerhaeuser était dans l'Ordre, mais, son fils est dans la commission Trilatérale et pas dans l'Ordre. De la même façon, Robert Taft, Jr. est dans la commission Trilatérale mais pas dans l'Ordre, bien que l'Ordre fût co-fondé par son grand grand-père, et huit Taft ont été des membres. Le lien est insaisissable, il est concevable qu’il n’y ait pas de lien. La commission Trilatérale n'est pas une conspiration. Sa liste des adhésion est complètement publique - cela coûte un timbre pour en obtenir une. La commission publie des douzaines de brochures. L'organisation est complètement déclarée. En fait, cet auteur a discuté ouvertement à la radio avec George Franklin, Jr., coordinateur de la commission Trilatérale. M. Franklin a montré une aversion, plutôt mal conditionnée, pour l'assaut sur son animal familier qu’est son "Nouvel Ordre Mondial Global", et a fait l'erreur d'essayer de déguiser cet objectif, mais la fuite et l’hostilité ne constituent pas une conspiration. Les conspirateurs ne paraissent pas dans des entretiens radiodiffusés juste pour discuter de leurs objectifs. Temporairement les faits suivants devraient être tenus à l’esprit : - J. Richardson Dilworth, au Room 3600 Rockefeller Plazza, chef financier et officier administratif des associés de la famille Rockefeller, est un membre de L'Ordre. - Percy Rockefeller (1900) était un membre de l'Ordre, mais aucun autre nom Rockefeller n'est sur la liste. Peut être que la commission Trilatérale prouvera être un effort purement personnel de David Rockefeller, plutôt qu'un véhicule du pouvoir établi plus général. Cependant, les buts de la Trilatérale, comme dépeint dans la littérature, sont presque identiques à ceux de l'Ordre. Ce peut être un véhicule pour atteindre un but intérimaire, c.-à-d., trois groupements régionaux. Dans ce cas J. Richardson Dilworth est le canal et la liaison.  
Le Bilderberg.
Aussi loin que nous pouvons remonter, seulement William F. Buckley est membre du Bilderberg et de l'Ordre.  
La Pilgrim Society.
L'Ordre ne se montre pas directement à la tête du comité de direction de la Pilgrim Society, mais seulement à travers des noms de familles, c.-à-d., Aldrich et Pratt. La Pilgrim Society est probablement un club social plutôt inoffensif qui utilise ses dîners annuels pour cimenter des liens entre le pouvoir établi britannique et américain.  
Le cercle intérieur.
Le chapitre 322 de l'Ordre diffère du CFR, de la commission Trilatérale et des organisations semblables, en cela c'est vraiment une société secrète. Ses buts et ses adhésions ne sont pas divulgués. Il est obsédé par le secret et pour couvrir ses traces. Les circonstances qui entourent la fondation de Scroll and Key, dans les années 1850, suggèrent que cette société secrète peut être en fait le Chapitre 323. Mais c'est de la pure spéculation. Donc, nous avons deux sociétés secrètes qui diffèrent largement du CFR, de la Trilatérale et autres, et lesquelles peuvent être vues comme faisant partie d’un cercle intérieur. Même ce cercle intérieur est trop grand pour prendre des décisions. Sans aucun doute il inclut beaucoup d'actifs, ou simplement juste des membres qui s’ennuient, même beaucoup qui ont oublié qu’ils ont jamais été initiés, et qui peuvent être bouleversés de lire dans ce livre qu'ils appartiennent à une organisation subversive. Alors logiquement il y a une société secrète dans la société secrète. Encore, nous ne pouvons pas le prouver, mais c'est une déduction logique. Ce serait un comité de direction qui contrôle les finances et prend les décisions de base. Une autre distinction importante entre le cœur externe et le cercle intérieur, est dans le financement. C'est important parce que le financement contrôle tout. Les familles dans l'Ordre sont plus proches de plus de fondations, et de plus de sources de financement que la famille Rockefeller. Pour être sûr, la famille Rockefeller a 1 pour cent de la réserve de Chase Manhattan, assez pour un contrôle, et a de l'influence dans la fondation Rockefeller, mais cela ne se compare pas aux siècles de la longue et envahissante influence de l'Ordre. Souvenez-vous, c'était l'Ordre qui avait sorti de terre le Comité d’éducation général de John D. Rockefeller, pas le contraire. C'est une question tout à fait ouverte - comment la Trilatérale s'est accordée avec l'Ordre. Ce peut être l'aspect international de l'Ordre, ce peut être un groupe dominé par Rockefeller. Beaucoup de ces familles de vieilles lignées voient les Rockefeller comme des parvenus, comme des nouveaux riches, mais sans aucun doute pas socialement acceptables sans quelques réserves, à l'exception de leur argent, bien sûr. Ceux qui ont entendu Nelson Rockefeller parler et comparé sa syntaxe au charme poli qu'un intellectuel de Boston comprendra. Il y a une expression en Nouvelle-Angleterre qui dit que "seuls les Lowell parlent aux Cabot et les Cabot parlent à Dieu". Juste les Rockefeller ne sont pas dans cette ligue. Et si nous pouvons être excusés, un petit bavardage : il nous a été dit par plusieurs personnes du pouvoir établi que David Rockefeller est juste "pas trop clair", et Nelson Rockefeller était le seul homme en amérique qui pouvait torturer la langue anglaise jusqu’à placer deux "non sequiters" dans une phrase. Si nous regardions de l’année 1983 à 2083, il se pourrait que les Rockefeller auront suivi les pas des Carnegie et des Morgan. Des noms dans des dossiers poussiéreux, mais pas plus longtemps représentés dans le groupe du pouvoir.     hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum numéro huit :

La chaîne d'influence. Les initiés dans l'Ordre sont assurés de l’avancement et du succès de leur carrière, même la richesse, pourvu qu’ils suivent la règle "allez vous devez avancer". L'inter mariage consolide le pouvoir des familles et étend leur durée d'influence. Finalement, une chaîne d’influence étendue sur beaucoup d'années garantit la continuité, et doit être extraordinairement impressionnante à tout nouvel initié qui doute du pouvoir de l'Ordre. Nous pouvons identifier deux types de chaînes d'influence : une chaîne horizontale et une chaîne verticale. Les deux types sont reproduits bien des fois, pour le moment nous donnerons un seul exemple.  
Chaînes d'influence horizontale.
Des membres de l'Ordre sont trouvés dans chaque segment de la société : dans l’éducation, dans les fondations, en politique, dans le gouvernement, l’industrie, la loi et la finance. Par conséquent, l’Ordre peut à tout moment exploiter son influence dans tous les secteurs de la société. L'analyse professionnelle de l'Ordre démontre la grande largeur de cette chaîne d’influence horizontale. Les occupations majeures des membres sont la loi, l’éducation, les affaires, la finance et l’industrie. Approximativement, l'analyse est comme suit :    
Profession
Pourcentage de membres impliqués (approximativement)
Loi
18 pour cent
Education
16 pour cent
Affaires
16 pour cent
Finance
15 pour cent
Industrie
12 pour cent
77 pour cent
 
En d'autres termes, ces cinq occupations comptent plus de trois quarts de membres, et ce sont les champs clé pour contrôler la société. Le gouvernement et la politique représentent seulement 3 pour cent à tout moment. Cela est trompeur, car tout membre dans les cinq champs précités peut lui-même se trouver temporairement à l'intérieur et hors du gouvernement à travers le phénomène de "porte tournante". L'église compte seulement 2 pour cent de membres. Ceux-ci se sont concentrés dans le séminaire d’union théologique (le soi-disant "séminaire rouge") et la "School Of Divinity" à Yale. Particulièrement les ères de la société les moins représentées sont celles avec la plus petite capacité d'influencer la direction structurelle de la société. Elles peuvent donner de la profondeur et de la richesse à la société, mais ne sont pas essentielles à son contrôle et à sa direction. Par exemple, très, très peu d'ingénieurs ont jamais été membres de l'Ordre - nous avons identifié seulement cinq ingénieurs sur une durée de 150 ans. L’ingénierie et la technologie sont des éléments clés au succès des aspects matériels de la société américaine. L’art, l’architecture, et la musique sont sous représentés. Nous pouvons identifier seulement 16 membres dans ces trois occupations sur 150 ans. Encore, ces occupations ne sont pas influentes dans la détermination de la structure de la société. Les fermiers sont sous représenté ; seulement 16 en 150 ans, mais nous suspectons quelques-uns d’avoir appris à cultiver pour partir de l'Ordre. En bref : à tout moment l'Ordre peut faire appel aux membres dans chaque ère de la société américaine pour faire ce qui doit être fait.  
Chaînes d'influence verticale.
Un tribut au succès de l'Ordre a été une capacité à rendre effectif un de ses principes. Ce principe est : "Qu’il porte seulement sur sa poitrine, Leur emblème, pour chaque poste il sera le mieux considéré". La pratique d'avancement absolu pour les membres de l'Ordre a travaillé à perpétuer son influence , avec le temps, d’une manière remarquable. Avant que nous regardions cette chaîne d'influence nous avons besoin de regarder des statistiques de base. L'Ordre a initié seulement approximativement 2500 membres dans son histoire aux États-Unis. Chaque année 15 nouveaux membres sont initiés, pas plus, pas moins. En revanche, entre 800 000 et 1 million de personnes reçoivent des diplômes de collège chaque année, d’un institut de très haute érudition, y compris approximativement 30 000 doctorats. Quand vous suivez la chaîne d'influence, gardez à l’esprit que sur 30-40 million de diplomés, quelques centaines d’hommes (jamais de femmes), ou dans ce cas moins d'une douzaine d'hommes, sont présumés être les seuls à occuper des hauts postes dans le gouvernement. Personne d’autre n'est jamais sérieusement considéré. Nous sommes demandés à croire que seulement quelques centaines de membres de l'Ordre sont capables de guider les États-Unis. Si nous assumons une distribution aléatoire de capacité partout aux Etats-Unis, alors nos évidences ne peuvent pas être estimées par hasard. Elles doivent refléter, seulement d'après lois mathématiques de moyenne, une série consciente de choix. A moins que vous vouliez supposer que toute la sagesse et toute la capacité, aux Etats-Unis, sont produits uniquement par 15 diplômés de Yale chaque année. Et cela vous ramène à l’argument de ce livre. En outre, il y a approximativement 2500 institutions de haute érudition aux États-Unis. Est-ce-que nous allons croire que seule une de ces institutions peut produire le talent pour mener le pays ?  
La chaine d’influence Whitney-Stimson-Bundy-Acheson.
Quatre familles fournissent un exemple d'une telle chaîne d'influence. Multipliez cette chaîne par quelques douzaine et vous voyez aisément comment le contrôle est perpétué par un petit groupe. Les familles dans cette chaîne sont Whitney, Stimson, Acheson et Bundy. La famille Acheson est seulement en partie dans l'Ordre. Dean Acheson était un membre de Scroll and Key à Yale. C'est une ramification de l'Ordre, et au moins influencée par lui. La fille de Dean Acheson, Mary Acheson, s’est mariée à William Bundy (l'Ordre). Le fils de Dean Achesons, David, est un membre de l'Ordre. (1) Nous commençons avec les Whitney à la fin du 19e siècle. Whitney (l'Ordre), avec Ryan et une poignée d'autres capitalistes, ont été critiqués lourdement dans plusieurs livres pour des raisons de corruption massive et de fraudes. Les franchises ferroviaires des rues de New York ont produit des profits énormes pour le groupe Whitney. Quand Whitney était secrétaire de la marine nationale, il a encouragé un programme géant de construction navale - lequel n'a pas blessé ses amis qui possédaient des chantiers navals et des aciéries. L'avocat de Whitney et proche associé était Elihu Root. Bien qu’il n’était pas un membre de l'Ordre, Root a été appelée "l'avocat astucieux de Whitney" (point "A" sur notre tableau). Root, un des esprits légaux les plus tranchants dans histoire américaine, et un pouvoir dans son propre droit, a travaillé avec les buts de l'Ordre. (2) En 1890 arrive le jeune Henry Stimson, frais sorti de Yale, membre de l'Ordre, et de la faculté de droit de Harvard. Stimson a rejoint le cabinet juridique de Root ("B"), alors appelée Root and Clark. Après un temps, en 1897, il devint connu sous le nom de Root Howard Winthrop and Stimson et, vers 1901, il est devenu Winthrop et Stimson. Entre-temps ("C"), Stimson s'est marié à Mabel White, fille de Charles A. White (l'Ordre). Stimson a prouvé qu’il était capable dans la loi et quand Taft (l'Ordre) cherchait un secrétaire de guerre en 1911, il a nommé Stimson (l'Ordre), ce qui nous rapporte au point "D". Alors la carrière de Stimson a été celle-ci : - Comme secrétaire de guerre, Stimson a complété une réorganisation commencée par son prédécesseur qui n’était autre que Elihu Root. - De 1917 à 1922 Stimson était dans l'armée, avec le rang de général de brigade. - En 1927 Coolidge a nommé Stimson comme gouverneur général des îles philippines. - En 1929 Herbert Hoover a nommé Stimson secrétaire d'état (Point "E" sur le tableau). - En 1940 Franklin D. Roosevelt a nommé Stimson secrétaire de gerre (Point "F sur le tableau). - En 1945, comme secrétaire de guerre de Truman, Stimson a recommandé le largage de la bombe atomiques sur le Japon. (3) Pendant la seconde guerre mondiale Stimson avait un assistant spécial - Harvey Hollister Bundy (l'Ordre), (Point « G »). L’assistant spécial Harvey Bundy était l'homme clé du Pentagone pour le Projet Manhattan et était le compagnon constant de Stimson aux conférences d'Afrique du Nord, Italie et Allemagne. (4) Pendant que Stimson était encore secrétaire de guerre, il a amené le fils de Harvey Hollister, McGeorge Bundy (l'Ordre), au Pentagone pour travailler sur un manuscrit de livre ("H" sur le tableau). Celui-ci a été publié en 1948, intitulé "On Active Service In Peace And War" - du service actif dans la paix et la guerre. La qualité de co-auteur (voyez l'illustration) a donné un début rapide à la carrière de McGeorge Bundy, comme nous le décrirons dans le prochain mémorandum, quand nous étudierons la carrière des deux plus jeunes Bundy, les deux membres de l'Ordre.  
En quelques mots : - Stimson a été nommé dans des bureaux du gouvernement par chaque président, sauf Harding, de 1911 à 1946, c.-à-d., Taft, Wilson, Coolidge, Hoover, Roosevelt, et Truman. - Stimson a utilisé son bureau pour faire avancer la carrière des membres de l'Ordre, en particulier Harvey Hollister Bundy et son fils, McGeorge Bundy.     hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum numéro neuf :

L'opération Bundy. Si l'Ordre avait un style de vie raisonnablement "normal", il n'y aurait aucune nécessité, et aucune substance, pour ce livre. Malheureusement pour nous, ils n'ont pas un style de vie normal. L'Ordre ne va pas juste au collège, chercher un poste sûr avec un cabinet juridique du pouvoir établi, se marier avec les sœurs et les filles d'autres membres, atteindre bruyamment le club sportif ivre, et à l’église le dimanche. Ce peut être des modèles raisonnablement "normaux", mais certainement pas des sujets de recherche et d’analyse. Une proportion de l'Ordre suit un style de vie qui peut être mieux décrit : ACTIVISME AMBITIEUX VERS UN NOUVEL ORDRE MONDIAL. Sélectionnons une famille - la famille Bundy - assez typique de 20 autres familles dans l'Ordre, et jetons un coup d’œil de plus près. La famille Bundy est arrivée aux États-Unis d'Angleterre avant 1635, et s'est installée en premier à Boston, puis à Taunton, Massachusetts. C'est une famille d'avocats et de politiciens avec quatre membres dans l'Ordre.    
Date d’initiation
Nom
Activité clé
1909
Harvey Hollister Bundy
assistant spécial au secrétaire de Guerre Stimson
1921
Frederick McGeorge Bundy
Vente de filets de pêche
1939
William Putnam Bundy
CIA, Editeur de Foreign Affairs
1940
McGeorge Bundy
Gouvernement et officiel de fondation
Frederick McGeorge Bundy est un exemple de membre qui a été initié, et alors, apparemment, est peu enclin pour faire plus. Nous pouvons ignorer Fred sans risque : son grand exploit dans la vie était d’être président du conseil des filets de pêche pour l’atlantique nord, qui sonne vaguement comme une organisation de politique gouvernementale, mais s'inquiète simplement de vendre des filets de pêche. Si les autres Bundy avaient suivi Fred dans ses pas honnêtes et industrieux, et restreint leur activisme à des filets de pêche, le monde serait une place beaucoup plus sûre, plus saine. Malheureusement, ils ne l’ont pas fait. Les trois autres Bundy - Harvey Hollister et deux de ses trois fils, William Putnam et McGeorge - sont des activistes clés, et l'activisme a un modèle Hégélien, c.-à-d., la création de conflit pour provoquer le changement. Jetons un coup d’œil sur chaque Bundy activiste :  
Harvey Hollister Bundy.
Né à Grand Rapids, Michigan, en 1888, décédé en 1963. Son grand-père était avocat et membre du congrès, et son père était aussi avocat. Harvey Hollister s'est décrit comme un avocat et fonctionnaire public. Bundy a été initié dans l'Ordre en 1909. Après une maîtrise en droit à Harvard et quelques voyages dans le monde, il est devenu assistant à Supreme Court Associate Justice Wendell Holmes (1914 - 1915). Par coïncidence, Alger Hiss, plus tard déclaré coupable de parjure dans les célèbres procès Chambers-Hiss qui impliquaient l'espionnage soviétique, était aussi un assistant de Justice Holmes (1929-1930). Harvey Hollister Bundy avait cinq enfants, dont trois qui se sont liés à l'Ordre. Le fils aîné, Harvey Hollister, diplômé de Yale en 1938, mais n'a pas été initié dans les Skull and Bones. Il est banquier qui, comme Fred, est loin de l'activisme. Le second des aînés William Putnam Bundy, a été initié en 1939. Le fils suivant est McGeorge Bundy, initié en 1940. La fille aînée, Harriet Lowell Bundy, s’est mariée à Gasper d’Andelot Belin, un partenaire dans Covington et Burling, et initié avec William Bundy en 1939. La plus jeune fille, Catherine Lawrence Bundy, s’est mariée à Hugh Auchincloss, Jr. Les deux garçons Bundy ont été les vrais activistes.  
William P. Bundy.
Voici la carrière de William Bundy en bref : - 1947-1951, cabinet juridique Covington and Burling à Washington, D.C. - 1951-1961, Central Intelligence Agency - CIA. - 1960, directeur du personnel de la commission présidentielle sur les buts nationaux. - 1961-3, adjoint assistant au secrétariat de la défense pour les affaires de sécurité internationale. - 1964-9, secrétaire d'état auxiliaire pour l’Asie de l'Est et des affaires du Pacifique pendant la période de la guerre du Vietnam. - 1969-71, professeur en visite au centre pour les études internationales, MIT. - 1972, éditeur de Foreign Affairs, le journal trimestriel du Council on Foreign Relations (CFR), et le journal d’affaires étrangères le plus prestigieux des USA. Un guide pour tous les faiseurs de politique. Winston Lord (l'Ordre) est président du CFR. Bundy est un membre de l'assemblée américaine, et du Council on Foreign Relations - CFR. Clairement, M. Bundy a été nommé à quelques places très influentes dans les 30 dernières années. Comme le cabinet juridique de Washington Covington and Burling est intimement lié aux affaires régulatrices du gouvernement, il est raisonnable de présumer que, probablement, ce Bundy avait des relations avec la CIA dans la période 1947-51, et alors se dirigea vers la CIA pour étendre ses projets. La firme Covington and Burling représente plus de 100 des plus grandes entreprises des USA à Washington. Les partenaires du fondateur ont inclus le beau père de William Bundy, Dean Acheson, et son beau-frère, Gasper Belin, (l'Ordre). Un aspect intéressant de ce cabinet juridique, où la famille Bundy est à elle seule l’un des éléments le plus influent dans les décennies passées, est sa création de "l'aile gauche" de l’activité politique. Cette activité créatrice amène à prêter attention aux auditions du sénat sur la subversion de McCarthy, vers 1953, quand le sénateur Joseph McCarthy voulait appeler William Bundy comme témoin avant le comité, et trouva le pouvoir établi rangé fortement contre cette idée (Bundy avait donné $400 au Fonds Défense d'Alger Hiss). Rétrospectivement c’était peut être plus que le traitement sévère des témoins de McCarthy - lesquels sont dans le dossier – et cela a provoqué l'horreur du pouvoir établi. Il y a peut être eu, en effet, des squelettes dans le placard (et peut-être quelques os), que le sénateur aurait pu déterrer involontairement, et ces squelettes n'avaient rien à faire avec le communisme domestique. En tout cas, comme Quigley l’a signalé dans Tragédie et Espoir – Tragedy and Hope - l'entreprise J.P Morgan avait financé la gauche non-communiste aux Etats-Unis, pour un contrôle politique. Il paraît que Covington and Burling peut bien être un autre conduit. Quelques évidences préliminaires : - Un des partenaires de Covington and Burling, John Douglas, est le fils de Paul H. Douglas - qui était un des plus proéminents radicaux des années 30-40, et un membre franc de la gauche non-communiste. John Douglas était un coordinateur clé en 1972 pour la campagne de George McGovern : McGovern, bien sûr, qui est à l’extrême gauche du spectre politique. - Un autre partenaire est le sénateur Charles Mathias, dont la position politique est plus ou moins à l’extrême gauche du parti républicain, et qui suit la ligne de George Bush (l’Ordre), ligne internationaliste. - Encore un autre partenaire est Michael Boudin, fils de Leonard Boudin et frère de Kathy Boudin. Cela devrait faire froncer les sourcils de savoir que Kathy était "la plus recherchée" sur la liste du FBI. Leonard Boudin a été de tout temps l’avocat des communistes et membre de l'association nationale des avocats ("le premier rempart légal du parti communiste"), New Masses ("un périodique communiste") et une douzaine d’autres façades communistes. Kathy était une des fondatrices de la société des étudiants pour une société démocratique, et un chef dans sa faction terroriste. Une entreprise de fabrication de bombes mit le groupe dans les problèmes avec la loi, et Kathy sur la liste du FBI. En bref, nous avons les éléments d'une hypothèse sur l’activité de l'aile gauche aux USA., jusqu'à la fabrication de bombes et un franc terrorisme, qui peut être lié à Covington and Burling - et à la CIA. Ce n'est pas une nouvelle assertion. Des déclarations ont été faites, auparavant, que la CIA a fourni les fonds de la gauche aux Etats-Unis. Cette affirmation n'a pas reçue trop de publicité pour deux raisons : (a) cela offense les médias du pouvoir établi, qui préfèrent montrer la CIA comme une organisation "droite" et (b) cela n'a pas de beaucoup de sens. Cela n'aurait certainement aucun sens, à moins que vous renvoyiez votre esprit au mémorandum numéro six, et le processus dialectique Hégélien. Dans ce processus le changement exige le conflit, et le conflit exige le fracas des contraires. Vous ne pouvez pas juste avoir une "droite", vous devez avoir une "droite" et une "gauche". Vous ne pouvez pas avoir juste une politique pro guerre du Vietnam, vous devez avoir aussi une politique anti guerre du Vietnam. Autrement le processus dialectique ne provoquera pas de changement. Une pensée intéressante. Continuons, en 1960, Bundy, pendant qu’il était encore à la CIA, est devenu directeur du personnel pour la commission présidentielle sur les buts nationaux récemment formée. Un tel ordre, même dans son titre, assume la direction consciente. Si vous avez des buts, vous avez besoin logiquement d'un appareil pour accomplir ces buts. Dans une société comme les USA ce devrait être une sorte d’ordre superflu à moins qu'il y ait une "main directrice", quelque chose de plus que l'isoloir et le marché du travail. Le rapport de cette commission est monté avec quelques citations qui sont de l’hégélianisme presque pur : (a) "un des rôles du gouvernement est de stimuler des changements d'attitude" (b) "dans les années 1960 chaque américain est appelé à une responsabilité personnelle extraordinaire, à un effort soutenu, et au sacrifice" (c) "le citoyen américain, dans les années à venir, devrait consacrer une plus grande partie de son temps et de son énergie directement à solutionner les problèmes de la nation. . . beaucoup de chemins sont ouverts aux citoyens pour participer à l'acquisition de buts nationaux". Maintenant, l'ensemble des règles de bases qui gouvernent notre société sont la Constitution et le Bill of Rights. Il n'y a rien dans ces documents constitutionnels pour soutenir chacune de ces demandes. Ce que les demandes impliquent est qu'un citoyen américain a le DEVOIR de faire avancer la volonté de l'état. Mais une telle supposition n’est sans aucun doute pas implicite dans la philosophie sous laquelle les Etats-Unis ont été fondés, et qui vraisemblablement opèrent aujourd'hui. En 1972, après une besogne dans le service public, Bundy a pris la direction de Foreign Affairs, le journal des affaires étrangères le plus prestigieux et le plus influent des USA : la bible pour les faiseurs de la politique. Donc William Bundy est un homme très influent. Assez pour que trois aspects de sa carrière exigent une enquête supplémentaire : - La teinte Hégélienne, qu'un citoyen a un devoir envers l'état, - L'opération de la dialectique Hégélienne et chaque opération de la "gauche" peuvent être liées plus directement à Covington and Burling, - Si le service de Bundy au gouvernement montre la promotion des opérations de la "droite", il a eu besoin d'équilibrer les opérations de la "gauche".  
McGeorge Bundy.
Un traitement de faveur a été accordé à McGeorge Bundy tout le long de son chemin. Diplômé de Yale et initié à l'Ordre en 1940, Bundy a passé du temps à Harvard, et s'est alors engagé dans l'armée américaine "comme privé". En 12 mois Bundy a été projeté au poste de capitaine et officier du personnel travaillant sur l’opération Husky (l'invasion de la Sicile) et l'opération Overlord (l'invasion de la Normandie). S'il y a un travail dans ce monde qui exige de l'expérience, ce doit être officier de l'organisation du personnel pour une opération amphibie. Seule l’expérience peut faire les calculs de timing et la logistique pour le personnel et les provisions. Et les vies des hommes dépendent de cette expérience. Un homme de 23 ans, sans expérience militaire, entreprend l'organisation pour des opérations amphibies ? La réponse est évidemment non, même si son père (l'Ordre) est au Pentagone comme assistant au secrétaire de guerre (l'Ordre). La guerre en Europe finie, Bundy maintenant un vétéran de 27 ans, est allé tout droit au Pentagone comme assistant au secrétaire de guerre, Henry Stimson. Nous avons déjà noté que Bundy a travaillé sur le manuscrit du livre On Active Service In Peace And War et a été récompensé comme coauteur, un argument définitif dans sa carrière. Alors, rapidement, Bundy est devenu conseiller à l'administration de la coopération économique, bien qu'il ne s’y connaissait vraisemblablement pas plus sur les sciences économiques que sur les débarquements amphibies, alors analyste de la politique étrangère pour le candidat présidentiel Thomas Dewey, puis analyste pour le CFR. En 1949 Bundy a été invité à l’université de Harvard et en quatre années (1953) a été fait doyen de la faculté d'arts et de sciences. Nous demandons à croire qu'en dehors de centaines, peut-être de milliers, d'universitaire expérimentés avec des décennies de références durement gagnées, un professeur auxiliaire, qui a fait le tour du monde non-académique pendant dix ans, est le plus talentueux pour le poste de doyen d’Harvard ! Nous pouvons accepter le manque d'expérience dans une organisation de guerre amphibie et l’organisation de programmes économiques, mais doyen d'un prestigieux département de Harvard en quatre ans ! Non, c'est trop. Cela sent le "coup monté" et peu de lecteurs débattront cette conclusion. De 1961 à 1966, Bundy était assistant spécial pour les affaires de la sécurité nationale des présidents Kennedy et Johnson. Il y a un aspect considérable de ce poste sensible qui a seulement fait surface sous Henry Kissinger. Le poste peut être utilisé pour masquer de l'information qui atteint le président : en fait, c'est un de ses buts majeurs, arrêter une inondation de papier qui atteint le bureau présidentiel. L'autre côté à cette présélection est qu'il pourrait placer le président dans un environnement artificiel de l'information. Si les options présentées au président sont contrôlées, donc les décisions le sont. L'information sélectionnée peut contrôler les options. McGeorge Bundy était conseiller de la sécurité nationale dans les premières années de la débâcle du Vietnam. Pendant que McGeorge Bundy (l'Ordre) était à la Maison Blanche, son frère, William P., Bundy (l'Ordre) était aux places clé concernant l'Extrême-Orient, dans les départements d’état et de la défense. En agissant conjointement, les frères Bundy pourraient avoir absolument contrôlé la circulation de l'information concernant les renseignements du Vietnam, l’état et le département de la défense. Nous ne disons pas que cela s’est passé. Nous croyons que c’est une hypothèse digne d'examen. Comme ils sont frères de sang dans une organisation secrète dont nous savons très peu - et rien volontairement - nous avons raison de faire cet examen supplémentaire. En 1966 McGeorge Bundy a été nommé président de la fondation Ford, un poste qu'il a tenu jusqu'à 1979. Pendant qu'il était chez Ford, Bundy a amené, comme vice-président en charge de l’éducation et division recherche, un autre membre de l'Ordre, Harold Howe II. Les qualifications de Howes, à part une licence de Yale, peuvent être décrites avec les propres mots de Howes : "... dans le vieil ordre des choses je n'aurais pas de qualifications pour être professeur - je n'ai aucun doctorat, aucunes publications de recherches savantes à mon crédit. J'ai appliqué une fois à la grande école de Yale mais je suis revenu vers le bas comme académiquement peu prometteur". (Apparemment l'Ordre n'arrive pas à tout, même à Yale). Quelques-unes des idées incomplètes de Howe et de Bundy ont été encouragées avec l’argent de la fondation Ford, probablement contenue dans la philosophie de Howe. Dans les propres mots de Howe, "Quand vous doutez, faites-le". Par exemple, nous avons cette perle de Howe : "... nous aurons à repenser les valeurs américaines concernant la coopération et la compétition... beaucoup d'écoles (en particulier les lycées) définirait comme "tricher" les genres d'activités coopératives par lesquelles les étudiants s’aident l'un l'autre, au lieu de rivaliser pour les places sur l'échelle du succès académique". C'est du collectivisme Hégélien pur. Il travaille indubitablement à l'avantage de l'Ordre : cela place le citoyen dans un rôle de dépendance, et loin de la confiance dans les facultés individuelles. Il est remarquable que les deux Ford ont démissionné du comité, dégoûtés par la politique de la fondation Ford.     hibou ecrit Bush/Première année  

Mémorandum numéro Dix :

Garder le couvercle sur le pot.

Le contrôle de l’histoire par l’Ordre, à travers les fondations et l'association historique américaine, a été efficace. Pas trop à cause de la franche censure, bien que ce soit un élément important, mais plus à cause de la crédulité du "public instruit" américain. De temps en temps leurs plans vont de travers. Le pot pétillant de la manipulation politique - appelée gestion du désaccord intérieur - menace de se répandre partout dans le monde public. C'est extraordinaire comme les éditeurs de journaux, chroniqueurs, commentateurs télé et radio, et éditeurs manquent de perspicacité pour voir au-delà du superficiel, ou sont effrayés de le faire. Même pire, le public cultivé, les 30-40 million de détenteurs de diplômes, laisse ses opinion tomber en poussière avec lui. La censure complète n'a pas été trop efficace. Il y a certainement eu une campagne pour supprimer des interprétations révisionnistes de l’histoire. En témoigne Harry Elmer Barnes dans The Struggle Against The Historical Blackout - La Lutte Contre Le Trou de Mémoire Historique : "Il peut être dit, avec grande retenue, que, jamais depuis le noir et moyen-age, ont été là tant de forces puissantes organisées et alertées, contre l'assertion et l’acceptation de vérité historique, comme elles sont actives aujourd'hui pour prévenir les faits au sujet de la responsabilité de la deuxième guerre mondiale, et ses résultats, avant d'être rendu généralement accessible au public américain. Même la grande fondation Rockefeller admet franchement (rapport annuel, 1946, p. 188) le financement d'un corps d'historiens, pour anticiper et frustrer le développement de tout néo-révisionnisme dans notre temps. Et la seule différence entre cette fondation et plusieurs autres est qu'elle a été plus sincère et directe au sujet de sa politique". L'expérience personnelle de cet auteur, sur une tentative de franche censure, était à l'Institution Hoover, Université Stanford, quand le directeur a essayé de supprimer ma prochaine publication d’alors, "Suicide National : aide militaire à l'Union Soviétique". Les faits n'étaient pas en question. Malheureusement, le livre a offensé le programme Nixon-Kissinger pour aider les soviets, pendant qu'ils aidaient les vietnamien du nord - donc en effet, les américains étaient tués par notre propre technologie. Dans ce cas aucun auteur ni éditeur était d’humeur à écouter, et le pouvoir établi a mis la queue entre les jambes et l'a appelé un jour. Plus efficace que la censure franche est l’usage du spectre politique droite et gauche, pour neutraliser les faits importuns et les idées, ou juste seulement la condition pour le citoyen de penser en fonction de certaines lignes. On peut compter sur le segment de la presse de tendance de "gauche" pour attaquer automatiquement les idées et l'information de la "droite", et vice versa. En fait, les débouchés médiatiques ont été artificiellement augmentés juste pour ce but : Nation et New Republic pour la "gauche", ont été financés par Willard Straight, en utilisant les fonds de Payne Whitney (l'Ordre). Pour la "droite", National Review a été publié par William Buckley (l'Ordre), traîne un déficit perpétuel, vraisemblablement réconcilié par Buckley. Ni la droite indépendante, ni la gauche indépendante voient le piège. Ils sont si occupés à tirer l'un sur l'autre, qu'ils ont oublié principalement de regarder derrière les scènes. Et l'Ordre revendique béatement le contrôle du centre modéré. Un jeu net, et ils ont travaillé comme un charme. Mais le pouvoir établi a un problème...  
En fait, il a plusieurs problèmes.
Ils sont à l’intérieur, regardant dehors. Nous sommes à l’extérieur, et regardons dedans.Ils peuvent nous appeler "paysans", mais nous avons l'avantage de savoir au sujet du vrai monde et sa diversité infinie. Leurs objectifs globaux sont des rêves basés sur l'information obliquée. Rêves dangereux, mais encore des rêves. (1) L'Ordre vit dans une camisole de force culturelle. Tout le pouvoir dans le monde est inutile sans information exacte. Si vous rencontrez ces gens, comme cet auteur l’a plus ou moins fait par hasard plus de 30 ans, une impression vient au premier rang - ils charment, mais avec une perception limitée du monde. Ils peuvent avoir des ambitions globales, ils peuvent agir politiquement comme des maisons de pouvoir miniatures, mais leur connaissance du monde vient d'un noyau, et ceux qui jouent avec le noyau. Et le noyau manque de moralité et de diversité. C'est un genre de Politburo de la jet-set. Charmant, assoiffé de pouvoir et myope simultanément. Tout ce qu'il peut offrir à l'étranger est une invitation, presque un ultimatum, "vous êtes une partie du pouvoir établi". Ce qui a beaucoup d'intérêt pour plusieurs, comme Frederick Bundy et ses filets de pêche. Peut-être une des exceptions est la maison du conservateur William Buckley, Jr. - au moins son cynisme est marqué par un esprit incisif. Le reste est un tas assez triste. (2) Une proie facile pour l'ambitieux. La perception limitée fait des membres de l'Ordre une cible et une proie facile pour l'étranger ambitieux... qui a seulement besoin de la capacité de dire les bonnes choses au bon moment au bon peuple, associée avec un sens de malhonnêteté. Henry Kissinger est un exemple principal - un étranger qui veut désespérément rester à l'intérieur. Plus rusé qu'intelligent, mais expert à utiliser la complexité pour ses propres fins. Les lecteurs conservateurs ne peuvent pas consentir, mais le secrétaire d'état Dean Acheson, qui a défendu un Alger Hiss coupable jusqu’à la fin amère, était probablement plus stupide que coupable. Lequel nous mène à, (3) Problèmes génétiques. L'inter mariage étendu parmi les familles, soulève une question sérieuse de fonctionnements génétiques défectueux. Les listes d’adhésion sont lourdement lacées avec Dodge, Whitney, Phelps, Perkins, Norton, Putnam, utilisé comme nom du milieu (maternel). Les inhibitions culturelles sont évidentes, les limitations intellectuelles des facteurs génétiques sont plus difficiles à analyser et à décrire. (4) Base du pouvoir peu profonde. Peut être que, comme commente Rosenbaum, l'Ordre est "incroyablement puissant". En revanche, il est aussi incroyablement faible - il n'y a pas de profondeur philosophique ou culturelle dans l'Ordre. La diversité est la force et l'Ordre manque de diversité. Le vaste peuple américain, ce mélange géant anglais, allemand, slave, hispanique, noir, jaune, et qui sait quoi d'autre, a été embobiné. Beaucoup d’entre eux le savent. Quelques-uns vont maintenant savoir par qui. Quand ils ont vaincu l'incrédulité, le choc et peut-être quelque peur, ils vont sûrement dire "Qu'est-ce que nous faisons ?" La grande force de l’individualisme, un ordre social où l'individu tient la souveraineté ultime, est que toute révolution opposée à un ordre social imposé où l'état est patron, peut prendre un million de routes et un million de formes. Personne ne va créer un mouvement anti-l'Ordre. Ce serait fou et inutile. Il pourrait être infiltré, pourrait être acheté, ou pourrait être détourné trop facilement. Beaucoup trop facilement. Pourquoi jouer avec les règles mises par l'ennemi ? Le mouvement qui tombera l'Ordre sera extrêmement simple et plus efficace. Ce sera dix mille ou un million d'américains qui viennent à la conclusion qu'ils ne veulent pas que l'état soit patron, qu'ils préfèrent vivre sous la protection de la constitution. Ils prendront leur propre décision indépendante de contrecarrer l'Ordre, et cela prendra dix mille ou un million de formes. La seule faiblesse est la communication. L'Ordre a détruit l’éducation - ainsi lire avec compréhension est difficile pour beaucoup - cela fait partie du programme de lavage de cerveau. Mais il y a plus qu’assez de lecteurs. La plupart des gens préfèrent parler, en tout cas. Le programme de l'Ordre peut fonctionner en Russie qui a une histoire d'obéissance à l'état ; il fonctionne à peine en Pologne, pendant qu'en Angleterre "le Groupe" survit parce qu'il a assez de structure de classe et un reste d’attitude. Il ne pourra jamais fonctionner aux Etats-Unis.     hibou ecrit Bush/Première année
Conclusions.
Dans le premier volume d'introduction nous avons exposé le fondement préliminaire et suggéré quelques hypothèses que nous avons besoin d'examiner. Une compréhension de l'Ordre, les dégâts qu'il a causé sur la société américaine, ses plans pour un ravage futur, une guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle, est un processus logique pas à pas. Le prochain pas est de regarder l'éducation. Notre chaos pédagogique présent peut être lié à trois membres de L'Ordre : Daniel Coit Gilman (premier président de l'Université de Californie et premier président de l’université Johns Hopkins), Timothy Dwight (douzième président de l'université de Yale) et Andrew Dickson White (premier président de l'université Cornell). Gilman a importé d'Allemagne la psychologie expérimentale du physiologiste Hégélien Wilhelm Wundt. Cette psychologie a été greffée sur le système éducatif américain, à travers les laboratoires pédagogiques à l’université de Columbia et de Chicago. Et ils ont déplacé un nom familier, John Dewey, un pur Hégélien en philosophie, le long de sa carrière. Cela a été appelé à propos "La connexion de Leipzig" par Lance J. Klass et Paolo Lionni. Alors nous regarderons les fondations, comment celles-ci ont été capturées par l'Ordre, et leurs fonds géants utilisés pour financer une conception Hégélienne du système pédagogique pour conditionner la société future. Il est douteux que John D. Rockefeller ou Mr Russell Sage, et certainement la famille Ford, ne comprenait jamais complètement que leurs philanthropies ont été utilisées pour un plan de conditionnement à long terme. C'est aussi incertain que l'Ordre avait prévu le contrecoup public des années l970 et l980 - pas tous les enfants ont succombé au lavage de cerveau du conditionnement social, les parents ont plus d'une fois augmenté la révolte en partie, les écoles privées ont poussé comme des fleurs de source dans le désert, et peut-être assez d'universitaire ont glissé à travers un filet conçu pour contenir et neutraliser la recherche indépendante et la pensée. Après que nous ayons regardé l’éducation et les fondations, nous devons encore travailler notre chemin à travers le système de "guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle". Comment l'Ordre a financé la révolution et a tiré un profit de guerre. L'objectif ? Garder le conflit bouillant, parce que le conflit, pour Hegel, est essentiel pour le changement et le mouvement avancé de la société. Nous devons alors regarder le régime financier et la Réserve fédérale. L'Ordre était là depuis le début. Dans la conclusion nous devons accentuer un point. Une compréhension de l'Ordre et sa manière d’opérer est impossible, à moins que le lecteur garde dans l’esprit les racines Hégélienne de la stratégie. L’Hégélianisme est étranger aux racines de l'Amérique. Le caractère national est simple et au point, pas rusé et tortueux. Les racines sont encore fermées à la révolution américaine, aux démocrates Jeffersonien, à l'école libérale classique de Cobden et Bright en Angleterre et l'école autrichienne de science économique dont Ludwig von Mises est le chef incontesté. Ces écoles de pensée ont été submergées aux yeux du public par l’attaque pirate de l'Ordre et tous ses subordonnés, mais ils représentent encore beaucoup l'opération journalière de la société américaine. Du milliardaire du pétrole Bunker Hunt à Dallas, Texas, au noir de dix-sept ans qui essaie de "survivre" dans le ghetto de Los Angeles, l'initiative individuelle est encore plus qu'évidente dans la société américaine. Un système étatiste est l'objectif de l'Ordre. Mais malgré une constante qui jase au sujet du "changement" par des supporteurs zombis - un tel système est étranger aux croyances profondément tenues dans ce pays. Par-dessus tout le lecteur doit - au moins temporairement en lisant ce travail - mettre de côté les clichés descriptifs de gauche et droite, libéral et conservateur, communiste et fasciste, même républicain et démocrate. Ces termes peuvent être importants pour une auto reconnaissance, ils fournissent un certain réconfort, mais ils sont confus dans notre contexte, semblent au moins comme des éléments essentiels dans une stratégie. Vous ne comprendrez jamais l'Ordre si vous essayez de l'étiqueter droite ou gauche. Un Robert Taft et un William Buckley sur la droite sont juste important pour le mouvement avancé de la société, le changement fondamental désiré par l'Ordre, comme l’est un William Sloan Coffin ou un Harry Payne Whitney (qui a financé la gauche). Leur conflit est essentiel pour le changement. Lequel nous amène à l’HYPOTHÈSE NUMERO TROIS : L'ORDRE UTILISE LE PROCESSUS DE DIALECTIQUE HÉGELIENNE pour PROVOQUER UNE SOCIÉTÉ DANS LAQUELLE L'ETAT EST ABSOLU, c.-à-d., TOUT PUISSANT. Cette hypothèse, bien sûr, reflète la distance entre l'Ordre et la société américaine. La distance provient des différentes vues des rapports entre l'état et l'individu. Lequel est supérieur ? Notre train de vie entier est basé sur la supposition que l'individu est supérieur à l'état. Que l'individu est le détenteur ultime de la souveraineté. Que l'état est le domestique des gens. C'est profondément enraciné en nous. L'Ordre dit le contraire - que l'état est supérieur, que l'homme commun (le paysan) peut trouver seulement la liberté dans l’obéissance à l'état. Maintenant, l'état est, bien sûr, une fiction. Donc qui, ou qu’est ce qui contrôle l'état ? Evidemment, l'Ordre.  
hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...  

Comment l’Ordre des Skull and Bones contrôle l'éducation américaine.

source : http://www.barruel.com/l-ordre-controle-l-education.html
  
Mémorandum numéro un :
Tout a Commencé à Yale
 

Le premier volume de ces séries a introduit L'Ordre, présenté trois hypothèses préliminaires avec des exemples de l'évidence à venir. Le premier volume de ces séries a introduit L'Ordre, présenté trois hypothèses préliminaires avec des exemples de l'évidence à venir. Nous avons aussi affirmé que tout groupe qui voulait contrôler le futur de la société Américaine devait contrôler en premier l'éducation, c.-à-d., la population du futur. Ce volume décrira la voie par laquelle l'éducation a été contrôlée par L'Ordre. Tout a commencé à Yale. Même l'histoire officielle  de Yale est informée du pouvoir et du succès de Yale : « Le pouvoir de la place reste indubitable. Yale a été organisé. Yale a inspiré une loyauté dans ses fils qui était visible et impressionnante. Les hommes de Yale dans leur vie d’après ont eu de tels résultats que le soupçon était que même là ils travaillaient l'un pour l'autre. En bref, Yale était prospère d'une manière exaspérante et mystérieuse. Pour rivaliser avec les institutions jusqu’aux réformateurs académiques il y avait quelque chose d’irritant et d’inquiétant au sujet du vieux Collège de Yale. »1 « Yale était prospère d'une manière exaspérante et mystérieuse, »  dit l'histoire officielle. Et ce succès était plus qu'évident au concurrent en chef de Yale, Université de Harvard. Si évident, en fait, qu'en 1892 un jeune instructeur de Harvard, George Santanyana, est allé à Yale pour enquêter sur cette « légende inquiétante » du pouvoir de Yale. Santanyana a cité un ancien élève de Harvard qui a projeté d'envoyer son fils à Yale - parce que dans la vraie vie « tous les hommes de Harvard travaillent pour les hommes de Yale. »2 Mais personne n'a posé une question évidente précédemment - Pourquoi ? Qu’est ce que ce « Pouvoir de Yale » ?  

Un Trio Révolutionnaire de Yale

Dans les années 1850, trois membres de L'Ordre ont quitté Yale et ont travaillé ensemble, quelques fois avec d’autres membres, fait une révolution qui a changé le visage, la direction et le but de l'éducation américaine. C'était une révolution rapide, tranquille, et éminemment prospère. Le peuple américain même aujourd'hui, en 1983, n'est pas informé d'un coup d'état. Le trio révolutionnaire était : • Timothy Dwight ('49) Professeur à la « Divinity School » de Yale et alors 12e Président de l'Université de Yale. • Daniel Coit Gilman ('52), premier Président de l'Université de Californie, premier Président de l’université Johns Hopkins et premier Président de l'Institution Carnegie. • Andrew Dickson White ('53), premier Président de l'Université Cornell et premier Président de l'Association Historique américaine. Ce trio notable ont tous été initiés dans L'Ordre à quelques années l'un de l'autre (1849, 1852, 1853). Ils sont partis immédiatement pour Europe. Tous les trois sont allés étudier la philosophie à l'Université de Berlin, où la philosophie post Hégélienne avait le monopole. • Dwight a étudié aux Universités de Berlin et Bonn entre 1856 et 1858, • Gilman était à l'Université de Berlin entre 1854 et 55 sous Karl von Ritter et Friedrich Trendelenberg, deux Hégéliens proéminents, et • White a étudié à l'Université de Berlin entre 1856 et 1858. Notamment aussi à l'Université de Berlin en 1856 (à l'Institut de Physiologie) était Wilhelm Wundt, le fondateur de la psychologie expérimentale en Allemagne et la source future de douzaine de doctorats américain revenu de Leipzig, Allemagne, pour commencer le mouvement moderne de l'éducation américain. Pourquoi est-ce que l'expérience allemande est si importante ?  Parce que c'était les années formatrices, les années des diplômes pour ces trois hommes, les années pendant lesquelles ils organisaient le futur, et à cette période l'Allemagne était dominée par le ferment philosophique Hégélien. Il y avait deux groupes de ces Hégéliens. Les Hégéliens de droite, où étaient les racines du militarisme Prussien et le printemps pour l'unification de l'Allemagne et la montée de Hitler. Les noms clé parmi les Hégéliens de droite étaient Karl Ritter (à l'Université de Berlin où notre trio a étudié), Baron von Bismarck, et Baron von Stockmar, conseiller confidentiel de la reine Victoria partout en Angleterre. Quelque peu avant, Karl Theodor Dalberg (1744-1817), archichancelier dans le Reich allemand, apparenté à Lord Acton en Angleterre et un Illuminati (Baco vVerulam dans le code Illuminati), était un Hégélien de droite. Il y avait aussi des Hégéliens de gauche, les organisateurs du socialisme scientifique. Les plus célèbres de ceux-ci sont, bien sûr, Karl Marx, Friedrich Engels, Heinrich Heine, Max Stirner et Moses Hess. Le point à garder à l’esprit est que les deux groupes utilisent la théorie Hégélienne de l'État comme point de départ, c.-à-d., l'État est supérieur à l'individu. Le militarisme Prussien, le Nazisme et le Marxisme ont les mêmes racines philosophique. Et elle a laissé sa marque sur notre trio.   Daniel Coit Gilman  
Daniel C. Gilman en 1852 au Collège de Yale
  Gilman a écrit à sa sœur de St Petersburg en avril, 1854 : « Et que crois tu que je « garde » ? Dis-moi, un jour quand tu écris, pour chaque année qui m’a fait sentir que je dois approcher plus près d’un point. Quand j’irai à la maison en Amérique je dois avoir des notions définies. Jour et nuit je pense à ce moment, et dans tout ce que je vois et ce que je fais je planifie afin d’être utile à la maison. Je trouve que mes vœux adhèrent de plus en plus vers une maison en Nouvelle-Angleterre, et je désire ardemment une occasion d'influencer les esprits de Nouvelle-Angleterre. Si je suis éditeur, New York est la place ;  mais, pour dire la vérité, je suis un peu effrayé de ces excitations, ces politiques, son tourbillon lucratif. Je regarde par conséquent de plus en plus vers le ministère comme probablement la place où je peux faire le plus de bien que n'importe où autrement ;  c'est-à-dire, si je peux avoir une assemblée qui me laissera prêcher de telles choses comme nous en avons discuté tant de fois dans nos discussions d’escaliers. Je suis heureux que tu te souviennes de ces pourparlers avec plaisir, car je les considère comme parmi les plus grandes « prévoyances »  de ma vie. Si jamais je fais n'importe quoi dans ce monde ou un autre je le devrai aux influences bienheureuses de la maison. Pour moi, il semble que de nouvelles notions et des vues plus larges d'hommes et de choses s’entassaient sur moi avec une rapidité merveilleuse, et tous les jours et presque chaque heure je pense à quelques nouvelles choses que je souhaite accomplir en Amérique… Je trouve mes pensées, inconsciemment, presque, étendue à l’application du Christianisme ou les principes du Nouveau Testament aux affaires, aux études, à l'éducation publique, aux questions politiques, voyage, et ainsi de suite. J'ai eu une longue conversation avec M. Porter à Berlin (durant trois jours avec des interruptions occasionnelles) sur des sujets se rapportant à celui que j'a nommé, et il m'assure qu'il y a beaucoup de places en Nouvelle-Angleterre mûre pour le plaidoyer de quelques vues sur ces questions comme je t'ai souvent fait allusion à la maison. Je lui ai dit beaucoup au sujet de mes pensées sur de telles choses, parlant vraiment librement et peut-être plus complètement que j'ai jamais fait avec vous les filles à la maison. Il a paru extrêmement intéressé… Il m'a dit que le genre de prédication dont j'ai parlé était le genre maintenant demandé - le genre qui serait le plus influent en bien - et dans l’ensemble il m'a encouragé à le tenter. Je me sens de plus en plus désireux de le faire donc, et je continuerai à le faire, dans tout ce que je vois et j’entends à l'étranger, avec l'examen de chaque influence qui travaille maintenant les hommes  d’églises et des écoles, de la politique et de la littérature. » (Fabian Franklin, the life of Daniel Coit Gilman, Dodd, Mead, New York, 1910, pp. 28-29). Daniel Coit Gilman est l'activiste clé dans la révolution de l'éducation par L'Ordre. La famille Gilman est venue aux États-Unis de Norfolk, Angleterre, en 1638. Du côté de sa mère, la famille Coit est venue de Galles à Salem, Massachusetts, avant 1638. Gilman est né à Norwich, Connecticut, le 8 juillet 1831, d'une famille liée avec des membres de L'Ordre et des liens avec le Collège de Yale (de ce qu’il était su en ce temps). Oncle Henry Coit Kingsley (L'Ordre' 34) était Trésorier de Yale de 1862 à 1886. James I.  Kingsley était l'oncle de Gilman et Professeur à Yale. William M. Kingsley, un cousin, était éditeur du journal influent « New Englander ». Du côté Coit de la famille, Joshua Coit était un membre de L'Ordre en 1853 aussi bien que William Coit en 1887. Le beau-frère de Gilman, le Révérend Joseph Parrish Thompson ('38) était dans L'Ordre. Gilman est revenu d'Europe en 1855 et passa les 14 années suivantes à New Haven, Connecticut - presque entièrement dans et autour de Yale, pour consolider le pouvoir de L'Ordre. Sa première tâche en 1856 était d’incorporer les Skull & Bones comme une personne morale sous le nom de Russell Trust. Gilman est devenu Trésorier et William H. Russell, le cofondateur, était Président. Il est notable qu'il n'y a aucune mention de L'Ordre, Skull & Bones, du Russell Trust, ou de toute autre activité de société secrète dans la biographie de Gilman, ni dans les registres ouverts. L'Ordre, aussi loin que ses membres sont concernés, est conçu pour être secret, et à part un ou deux fiches sans importance, sans signification à moins que l'on ait l'image entière. L'Ordre a été remarquablement habile à garder son secret. En d'autres termes, L'Ordre accomplit notre première exigence pour une conspiration  c.-à-d., C'EST SECRET. L'information sur L'Ordre que nous utilisons a fait surface par accident. D’une manière semblable à l’apparition des papiers des Illuminati – Illuminés de Bavière - en 1783, quand un messager portant des papiers des Illuminati a été tué par accident et la police Bavaroise a trouvé les documents. Tout qui existent publiquement pour L'Ordre est la charte du Russell Trust, et cela ne vous dit rien. De ce qui est public , Gilman est alors devenu en 1856 assistant bibliothécaire à Yale et « en octobre il a été choisi pour occuper un poste vacant comme conseiller d’éducation à New Haven. »  En 1858 il a été nommé bibliothécaire à Yale. Alors il a été déplacé vers de plus grandes tâches.   1 George Wilson Pierson. Yale Collège 1871-1922 (Yale University Press, New Haven 1952) volume un. p. 5. E. E. Slosson. Great American Universities (New York. 1910) pp.  59-60.  

L’école scientifique Sheffield

  L’école scientifique Sheffield, les départements de science à Yale, exemplifie la voie par laquelle L'Ordre est arrivé à contrôler Yale et alors les États-Unis. Au début des années 1850, la science à Yale était insignifiante, seulement deux ou trois très petits départements. En 1861 ceux-ci se sont concentrés dans l’école scientifique Sheffield avec les fonds privés de Joseph E. Sheffield. Gilman est allé travailler pour lever plus de fonds pour son expansion. Le frère de Gilman s'était marié avec la fille du professeur de chimie Benjamin Silliman (L'Ordre, 1837). Cela a mis Gilman en contact avec le professeur Dana, aussi membre de la famille Silliman, et ce groupe a décidé que Gilman devrait écrire un rapport sur la réorganisation de Sheffield. Cela a été fait et a été intitulé « Plan proposé pour la Réorganisation Complète de l'École de Science Associée au Collège de Yale. » Pendant que ce plan était mis en fonction, des amis et des membres de L'Ordre ont fait des voyages à Washington, D.C., et à l'assemblée législative locale du Connecticut pour recevoir le soutien de l'état pour l’école scientifique Sheffield. Le « Morrill Land Bill » a été présenté au Congrès en 1857, voté en 1859, mais interdit par le président Buchanan. Il a été signé plus tard par le président Lincoln. Ce projet de loi, maintenant connu comme « loi de subvention des collège par la terre », terres publiques données pour des collèges d'État d'agriculture et de sciences… et bien sûr le rapport de Gilman sur un tel collège était juste prêt. La procédure légale était pour le gouvernement Fédéral de publier l'action provisoire de la terre par rapport à la représentation d'un état, mais les pouvoir législatif de l'état devaient passer en premier la législation qui accepte l'action provisoire. Daniel Gilman n’était pas seul en premier sur scène pour obtenir l'action provisoire de la terre fédérale, il était premier parmi tous les états et a saisi toute les parts du Connecticut pour l’école scientifique Sheffield ! Gilman, bien sûr, avait fait son rapport pour avoir accès aux quantités à venir pour le Connecticut. Aucune autre institution du Connecticut n’a reçu même un chuchotement jusqu’en 1893, quand le collège agricole  Storrs a reçu une subvention en terre. Bien sûr il a été aidé par un membre de L'Ordre, Auguste Brandegee ('49), qui était orateur à l'assemblée législative locale du Connecticut en 1861 quand la loi de l'état était discutée, afin d’accepter la part du Connecticut pour Sheffield. D’autres membres de L'Ordre, comme Stephen W. Kellogg (' 46) et William Russell (' 33), était ou à l'assemblée législative locale ou avait de l'influence pour des services passés. L'Ordre a répété le même procédé pour les fonds publics dans État de New York. Toute la part pour New York de la loi de subvention de collège par la terre est allée à l’université Cornell. Andrew Dickson White, un membre de notre trio, était l'activiste clé à New York et plus tard il est devenu le premier président de Cornell. Daniel Gilman a été récompensé par Yale et est devenu professeur de Géographie Physique à Sheffield en 1863. En bref, L'Ordre était capable d’accaparer le total des parts de l'état pour le Connecticut et New York, en découpant d'autres institutions scolastiques. C'est le premier exemple de critères que nous présenterons dans ces séries – comment L'Ordre utilise des fonds d'état pour ses propres objectifs. Et ce, bien sûr, est le grand avantage de Hegel pour une élite. L'État est absolu. Mais l'État est aussi une fiction. Donc si L'Ordre peut manipuler l'État, il devient en effet l’absolu. Un jeu net. Et comme le processus de dialectique Hégélienne que nous avons cité dans le premier volume, L'ordre l'a travaillé comme un charme. Retour à l’école scientifique Sheffield. L'Ordre avait maintenant des fonds pour Sheffield et s'est mis à consolider son contrôle. En février 1871 l'École a été incorporée et les suivants en sont devenus administrateurs : Charles J. Sheffield Prof.  G.J. Brush (un ami proche de Gilman) Daniel Coit Gilman (L'Ordre, '52) W.T. Trowbridge John S. Beach (L'Ordre, '39) William W. Phelps (L'Ordre, '60) Sur six administrateurs, trois étaient dans L'Ordre. De plus, George St John Sheffield, fils du bienfaiteur, a été initié en 1863, et le premier Dean de Sheffield était J.A. Porter, aussi le premier membre de Scroll & Key (la soi-disant société de seniors compétitive à Yale).  

Comment L'Ordre est arrivé à contrôler l'université de Yale

  De l’école scientifique Sheffield L'Ordre a élargi ses horizons. Le contrôle de l'Ordre sur tout Yale était évident dans les années 1870, même sous l'administration de Noah Porter (1871-1881), qui n'était pas un membre. Dans les décennies après 1870, L'Ordre a renforcé son contrôle. L'Iconoclaste (13 octobre 1873) résume les faits que nous avons présenté sur le contrôle de Yale par L'Ordre, sans être complètement informé des détails : « Ils ont obtenu contrôle de Yale. Les affaires sont exécutée par eux. L'argent payé au collège doit passer dans leurs mains, et soumis à leur volonté. Aucun doute qu’ils sont des hommes dignes en eux-mêmes, mais tous ceux qu'ils ont regardé de haut dans le collège, ne peuvent pas oublier comment donner librement de l'argent dans leurs mains. Des hommes de Wall Street se plaignent que le collège vient à eux pour de l’aide, au lieu de demander à chaque diplômé de participer. La raison est trouvée dans une remarque faite par un des premiers hommes de Yale et Américain : « Mais peu d’hommes des Bones donneront, ils se soucient beaucoup plus pour leur société qu'ils le font pour le collège ». Le Fonds Woolsey a une existence laborieuse, pour des raisons similaires. » « Ici, alors, paraît la vraie raison de la pauvreté de Yale. Elle est contrôlée par quelques hommes qui se sont coupés des autres, et supposent être leur supérieurs… » L'écrivain anonyme de l'Iconoclaste blâme L'Ordre pour la pauvreté de Yale. Mais le pire était à venir. Alors président Noah Porter était le dernier des présidents cléricaux de Yale (1871-1881), et le dernier sans aucune adhésion ou rapports de famille à L'Ordre. Après 1871 la présidence de Yale est devenue presque un fief pour L'Ordre. De 1886 à 1899, le membre Timothy Dwight ('49) était président, suivi par un autre membre de L'Ordre, Arthur Twining Hadley (1899 à 1921). Alors vient James R. Angell (1921-37), pas un membre de L'Ordre, qui est venu à Yale de l'Université de Chicago où il a travaillé avec Dewey, a construit l'École d'Éducation, et était ancien président de l'Association Psychologique américaine. De 1937 à 1950 Charles Seymour, un membre de L'Ordre, était Président suivi par Alfred Whitney Griswold de 1950 à 1963. Griswold n'était pas un membre, mais les familles Griswold et Whitney ont des membres dans L'Ordre. Par exemple, Dwight Torrey Griswold ('08) et William Edward Schenk Griswold ('99) était dans L'Ordre. En 1963 Kingman Brewster a pris la relève comme président. La famille Brewster a eu plusieurs membres dans L'Ordre, dans la loi et le ministère plutôt que l'éducation. Nous pouvons bien conclure ce mémorandum avec une citation de l'observateur anonyme de Yale : « Quoi que le collège subisse, quoi qu’il manque dans son cours pédagogique, quelle que soit la disgrâce qui repose dans ses pauvres bâtiments, quel que soit l’embarras qui a assailli ses étudiants nécessiteux, aussi loin que l'argent aurait pu servir, le poids du blâme ment sur cette société étoilée malade. La question pécuniaire est aussi bien du futur que du présent et du passé. Année après année le mal mortel grandit. La société n'était jamais odieuse envers le collège comme elle l'est aujourd'hui, et c'est juste ce ressentiment qui ferme les poches des non membres. Jamais avant elle a montré une telle arrogance et une supériorité imaginaire. Elle saisit la presse du collège et s'efforce de gouverner dans tout. Elle ne daigne pas montrer ses références, mais des béquilles au pouvoir avec un silence de culpabilité consciente. »  

Appendice au mémorandum numéro un :

L’Ordre dans la faculté de Yale

   

Membres

Initiation

Position à Yale

BEEBE, William

1873
Professeur de Mathématiques (1882-1917)
BEERS, Henry A.
1869
Professeur de littérature anglaise (1874-1926)
BELLINGER, Alfred R.
1917
Professeur de Grec
DAHL, George
1908
Professeur à « Yale Divinity School » (1914-1929)
DARLING, Arthur B.
1916
Professeur d’histoire (1925-1933)
DAY, Clive
1892
Professeur d’histoire économique (1902-1938)
DEXTER, Franklin B.
1861
Secrétaire, université de Yale (1869-1899)
DWIGHT, Timothy
1849
Président de l’université de Yale (1886-1898)
FARNAM, Henry
1874
Professeur d’économie (1880-1933)
FARNAM, William
1866
Administrateur de l’école scientifique Sheffield (1894-1923)
FRENCH, Robert D.
1910
Professeur d’Anglais (1919-1950)
GILMAN, Daniel C.
1852
Voir le texte.
GRAVES, Henry S.
1892
Doyen, Ecole de sylviculture de Yale
GRUENER, G.
1884
Professeur d’Allemand (1892-1928)
HADLEY, Arthur T.
1876
Président de Yale (1899-1921)
HILLES, Frederick W.
1922
Professeur d’Anglais (1931-
HOLDEN, Reuben A.
1940
Assistant du Président (1947-
HOPPIN, James M.
1840
Professeur d’histoire de l’art (1861-1899)
INGERSOLL, James W.
1892
Professeur de latin (1897-1921)
JONES, Frederick S.
1884
Doyen, collège de Yale (1909-1926)
LEWIS, Charlton M.
1886
Professeur d’anglais (1898-1923)
LOHMAN, Carl A.
1910
Secrétaire, université de Yale (1927-
LYMAN, Chester
1837
Professeur de mécaniques (1859-1890)
McLAUGHLIN, Edward T.
1883
Professeur d’anglais (1890-1893)
NORTHROP, Cyrus
1857
Professeur d’anglais (1863-1884)
PACKARD, Lewis R.
1856
Professeur de grec (1863-1884)
PECK, Tracy
1861
Professeur de latin (1889-1908)
PERRIN, Bernadotte
1869
Professeur de grec (1893-1909)
PIERCE, Frederick E.
1904
Professeur d’anglais (1910-1935)
ROOT, Reginald D.
1926
Entraîneur de football à Yale (1933-1948)
SCHWAB, John C.
1886
Professeur d’économie politique (1893-1906)
SEYMOUR, Charles
1908
Professeur d’histoire (1915-1937) – Président (1936-1950)
SEYMOUR, Charles Jr
1935
Professeur d’art (1949-
SILLIMAN, Benjamin Jr
1837
Professeur de chimie (1846-1885)
STOCKES, Anson P.
1896
Secrétaire de Yale (1899-1921)
SUMMER, William G.
1863
Professeur d’économie (1872-1909)
TAFT, William H.
1878
Professeur de droit (1913)
TARBELL, Frank B.
1873
Professeur de grec (1882-1887)
THACHER, Thomas A.
1835
Professeur de latin (1842-1886)
THOMPSON, John R.
1938
Professeur de droit (1949-
WALKER, Charles R.
1916
Secrétaire assistant (1943-1945)
WOOLSEY, Theodore S.
1872
Professeur de droit international (1878-1929)
WRIGHT, Henry B.
1898
Professeur d’histoire (1907-1911)
WRIGHT, Henry P.
1868
Professeur de latin (1871-1918) - Doyen Yale (1884-1909)
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Mémorandum numéro Deux :
Le scandale de l’apprentissage de la Lecture
  Un échec tragique de l'éducation américaine de ce siècle a été un échec envers les enfants dans le fait de leur apprendre à lire, à écrire et à s’exprimer dans une forme littéraire. Pour le système pédagogique ceci ne peut pas être trop affligeant. Comme nous le verrons plus tard, leur but principal est ne pas apprendre à l’individu mais de préparer des enfants à vivre comme un citoyen socialement automatisé dans une société organique - un vrai décret de la vie dans l’État absolu Hégélien. Dans cet État la découverte de la liberté individuelle est seulement dans l’obéissance à l'État, par conséquent la fonction de l'éducation est de préparer l'unité du citoyen individuel pour une entrée sans heurts dans la totalité organique. Cependant, il est étonnant que le système pédagogique ait permis à l’apprentissage de la lecture de se détériorer si d'une façon marquée. Il se pourrait que L'Ordre veut que les citoyen qui composent  l'État organique soient un peu plus preneurs d'ordres automatisés ;  après tous un citoyen qui ne peut pas lire et écrire ne va pas défier L'Ordre. Mais ceci est une conjecture. Ce n'est pas, d'après l'évidence pour l'instant sous la main, une proposition prouvable. En tout cas, le système a adopté la méthode d'apprentissage à la lecture, originairement développée pour les sourds muets. Le système a produit des générations d'Américains qui sont fonctionnellement illettrés. Pourtant, lire est essentiel pour apprendre et apprendre est essentiel pour la plupart des métiers. Et certainement ce qui peuvent lire ou écrire manquent de vocabulaire en profondeur et d’aptitude stylistiques. Il y a, bien sûr, des exceptions. Cet auteur a passé cinq années à apprendre dans une université d'état avant les années 1960 et a été épouvanté par l'incapacité générale à écrire un anglais cohérent, cependant satisfait que quelques étudiants avaient évité seuls le système, acquis du vocabulaire et des aptitudes à l’écriture, mais ces exceptions avaient du scepticisme au sujet des pouvoirs établis. L'Ordre entre dans l’adoption de la méthode directement et indirectement. Commençons par le début.  

Le fondateur de l'instruction pour sourd muet

  Les méthodes de lecture ont été développées vers 1810 pour les sourds muets par un homme vraiment remarquable, Thomas Hopkins Gallaudet. Thomas H. Gallaudet qui était le fils aîné de Peter Wallace Gallaudet, descendant d'une famille Huguenote française, et de Jane Hopkins. L’ascendance de Jane Hopkins remonte au dix-septième siècle à John Hopkins et au révérend Thomas Hooker qui se sont détachés de l’église congrégationaliste pour aider à fonder Hartford, Connecticut. Cela place parallèlement l'histoire de la famille Lord (voyez le volume un). Les Lord ont aussi des liens d’ascendance avec Hopkins et Hooker et les Lord ont fondé Hartford, Connecticut. Et c'était à Hartford, Connecticut, qu’en 1835 un imprimeur nommé Lord a produit le premier livre de Thomas Gallaudet, « Mother’s Primer ». L'intention originale de Gallaudet était d’utiliser sa méthode pour les sourds muets qui n'ont aucun concept d'une langue parlée et sont par conséquent ignorants de sons phonétiques pour les lettres. Dans ce but, Gallaudet a fondé l’école Hartford pour les Sourds en 1817. Le système Gallaudet travaille bien pour les sourds muets, mais il n'y a aucune raison évidente d’utiliser sa méthode pour ceux qui ont la capacité d'entendre des sons. En tout cas, sa méthode « Mother’s Primer » a été publiée en 1835 et le comité du Massachusetts des écoles primaires sous la direction de Horace Mann a adopté immédiatement le livre sur une base expérimentale. Plus tard nous trouverons ce Horace Mann attaché directement à L'Ordre - en fait, le cofondateur de L'Ordre. Nous reproduisons deux pages de la deuxième édition de 1836, avec les directions suivantes au professeur : « …regarde le mot entier Frank, mais pas les lettres. Rien ne doit encore être dit au sujet des lettres… »     Pourquoi Horace Mann à préconisé une méthode conçue pour les sourds muets dans un système scolaire peuplé de personnes qui n’étaient pas sourdes muettes ? Il y a deux raisons possibles. Le lecteur peut faire son choix. En premier, Mann a été nommé président du collège Antioch en 1853. L'Administrateur le plus influent du collège Antioch était le cofondateur de L'Ordre - Alphonso Taft. En second, Mann n'avait jamais eu une éducation adéquate et par conséquent était incapable de juger une bonne méthode d'une mauvaise méthode pour apprendre à lire. Voici une description des jours d'école de Mann : « Les occasions pour le jeune homme scolarisé était extrêmement maigres. La localité a possédé la réputation d'être le plus petit district scolaire, avec l’école la plus pauvre et le professeur le meilleur marché dans l'état. » Le professeur de Mann était Samuel Barratt et nous le citons :  « En arithmétique il était idiot. Il ne pouvait pas réciter la table de multiplication et ne pouvait pas dire l’heure du jour sur l'horloge... Six mois par an il était un professeur sérieux et fiable, en ne prenant rien de plus fort que du thé, alors que les autre six mois il s'est mis dans des états d’ivrogneries bestiales…  » Vers 1840 il y eut un contrecoup, et le système de méthode a été abandonné dans le Massachusetts.  
La deuxième Tentative
  Vers la fin du 19e siècle L'Ordre est revenu en scène - et leur méthode a été ranimée. Le plus jeune fils de Thomas Hopkins et Sophia Gallaudet était Edward Miner Gallaudet. Deux de ses fils sont allés à Yale et sont devenus membres de L'Ordre : • Edson Fessenden Gallaudet ('93), qui est devenu professeur de physique à Yale, et • Herbert Draper Gallaudet ('98), qui est allé au séminaire d’union théologique et est devenu ecclésiastique. Alors la méthode a été adoptée par les professeurs du collège de Columbia et de l’école Lincoln. La poussée du nouveau système d'éducation inspiré par Dewey était loin de préparer et au travers  apprendre à un enfant à être une unité dans la société organique. La méthode était idéale pour les adeptes de Dewey. Il a fait un pas dans le processus de l'érudition. Cela avait l’air « facile », et a diminué les aptitudes pour la lecture. L'éducation officiellement établie qui a rationalisé la méthode réclame cela jusqu'au tournant du siècle alors que lire était appris par des méthodes « synthétique », c.-à-d., des lettres et une valeur saine associée ont été apprises aux enfants. Alors ils ont appris à joindre des syllabes pour faire des mots. Cela a été prétendu être inintéressant et artificiel. Une recherche pédagogique a été réclamée, et a démontré que lire des mots n'est pas analysé comme composant des parties de lettres mais vu comme des unités complètes. Par conséquent, apprendre à lire devrait commencer avec les unités complètes.  
Éducation
  Bien sûr, il y a un manque géant de suite dans ce processus de raisonnement. Certainement un lecteur habile voit des mots comme unités complètes. Et un lecteur réellement qualifié voit des lignes et des paragraphes d'un coup d’œil. Mais l'exactitude de percevoir la totalité est basée sur le degré de compréhension et la connaissance des pièces. L'établissement pédagogique discute aujourd'hui dans les années 1980 que, basé sur un essai expérimental supplémentaire, il est plus facile pour un enfant de lire la ligne « la fusée est allée rapidement dans l’espace » que « le chat s'est assis sur le tapis. »  La première ligne a une « structure visuelle contrastante »  et la deuxième citation a un « modèle visuel semblable. » Ce qu'ils ont à faire maintenant est de faire une montagne d’un rien, convertir la tâche relativement simple d'apprendre à lire en un système inutilement complexe. Pourquoi ? Nous le verrons avec la progression de l'histoire.  
Les modèles visuels de mots dans deux phrases.

Comment les enfants ont appris à lire et pourquoi ils ne peuvent pas.   * hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...
Mémorandum numéro Trois :
La connexion avec les Illuminati – Illuminés de Bavière
  Nous avons besoin de tracer trois ligne historiques dans l’éducation moderne : la première que nous avons vue dans le mémorandum numéro deux, le développement de leur méthode de lecture, son abandon et plus tard son adoption vers le tournant du siècle. Une autre ligne est l'importation de la psychologie expérimentale de Wilhelm Wundt aux États-Unis par L'Ordre. Nous l’examinerons dans le mémorandum numéro quatre. Pour le moment nous voulons tracer brièvement l'influence de Johann Friedrich Herbart, un philosophe allemand majeur du début du 19e siècle. Il y avait à un moment donné aux États-Unis une société nationale Herbart pour l'étude scientifique de l'éducation afin d’adapter les principes de Herbart à l’éducation américaine. Plus tard, cela est juste devenu une société nationale pour l'étude de l'éducation. Vous n'entendez pas trop parler de Johann Herbart aujourd'hui, mais son influence survit dans le soi-disant programme scolaire « enrichi »  et dans la méthodologie pédagogique courante. Notre but dans ce mémorandum est double : montrer les aspects Hégélien de la théorie de Herbart et de tracer la connexion avec les Illuminati. Il n'y a aucune connexion directe avec L'Ordre. Cependant, dans un livre subséquent, nous suivrons la trace L'Ordre jusqu’aux Illuminatiet cette section tombera alors dans une place logique. Herbart était théoricien pédagogique aussi bien que philosophe et psychologue, et a fortement influencé Wilhelm Wundt. Pour Herbart, l'éducation devait être présenté d’une manière scientifiquement correcte, et le but principal de l'éducation pour Herbart est préparer l'enfant à vivre correctement dans l'ordre social dont il est une partie intégrante. Suivant Hegel, l'individu n'est pas important. Le simple développement des talents individuels, des aptitudes individuelles, des pouvoirs mentaux et des connaissances n'est pas le but de l'éducation. Le but est de développer le caractère personnel et la moralité sociale, et la tâche la plus importante de l'éducateur est d’analyser les activités et les devoirs des hommes dans la société. La fonction d'instruction est d’accomplir ces buts et donner à l'individu des idées socialement désirables. La moralité pour Herbart, par conséquent, est ce qui est bon pour la société, suivant la théorie Hégélienne. Les adeptes de Herbart favorisent les groupement de sujets autour d'un thème central, c.-à-d., le groupement d'histoire, de science humaine et de littérature anglaise. Cela permet plus facilement au professeur de retirer ces notions utile à l'objectif. Toutes ces idées que nous pouvons reconnaître dans la philosophie pédagogique d'aujourd'hui sont entrés dans éducation américaine au travers des groupes adeptes de Herbart.        

La connexion avec les Illuninati – Illuminés de Bavière

  Johann Herbart a étudié à l'Université d'Iéna, et est tombé sous l'influence de Johann Herder, Friedrich Schiller, Johann Fichte et Johann Goethe. Plus tard, en Suisse, Herbart est entré en contact avec Johann Pestalozzi. Ce qui est intéressant au sujet de ces noms, et ils composent l'influence la plus importante sur Herbart, est qu'ils sont soit connus comme membres des Illuminati ou réputé être proches de l'Ordre des Illuminati. Amenons chaque nom à tour de rôle : • Johann Gottried Herder (1744-1803) était « Damascus pontifex » dans l’ordre des Illuminati. • Johann Fichte, dont nous avons déjà parlé dans le volume antérieur, était proche des Illuminati et poussé par Goethe (« Abaris ») pour le poste à l'université d'Iéna, où Johann Herbart étudiait. • Friedrich Schiller (1759-1805) était connu dans le cercle mais pas enregistré sérieusement comme membre des Illuminati. • Johann Wolfgang Goethe (1749-1832) était « Abaris »  dans l’ordre des Illuminati. Nous avons une même connexion plus précise pour un autre Illuminati proéminent, Johann Heinrich Pestalozzi (1746-1827), un professeur suisse de quelque renommée qui vit à Interlaken, et connu comme « Alfred »  dans le code des Illuminati. Avant que Herbart ait complété son doctorat, juste après le tournant du 19e siècle, il a passé trois ans à Interlaken en Suisse. Hors de son contact avec Pestalozzi un livre est paru sur les théories pédagogiques de Pestalozzi, beaucoup de celles qui ont déteint sur Herbart. Le livre est « Pestalozzi’s Idee Eines ABC Der Anschaung Untersucht Und Wissenschaftlich Asugefuhrt (l'idée de Pestalozzi d'un ABC de l'impression du sens). Ce livre a été traduit et nous reproduisons une copie de la page du titre de l’édition de 1896 à New York. Ceci n'est pas insignifiant. C'est un commentaire sur une influence proéminente dans l'éducation d'aujourd'hui sur un livre des Illuminati.   Pourquoi la connexion avec les Illuminati – Illuminés de Bavière – est considérable ?   Lordre des Illuminati – plus connu en français sous la dénomination d’Illuminés de Bavière (note du traducteur) – a été fondé le 1er mai 1776 par le Professeur Adam Weishaupt de l'Université d'Ingolstadt. C'était une société secrète, mais en 1785 et 1787 plusieurs paquets de documents internes sont parvenus au gouvernement Bavarois. L'enquête subséquente a déterminé que le but des Illuminati était la domination mondiale, en utilisant toutes les méthodes afin de faire avancer l'objectif, c.-à-d., la fin justifie toujours les moyens. L’ordre était anti-chrétien, bien que des gens d'église aient été trouvés dans l'organisation. Chaque membre avait un pseudonyme pour déguiser son identité. En son temps, l’ordre des Illuminati avait des membres répandus et influents. Après la suppression par le gouvernement Bavarois en 1788 l’ordre est resté tranquille pendant quelques années et alors a été ranimé officieusement. La signification de cette étude est de démontrer que les méthodes et les objectifs sont parallèles à ceux-là de L'Ordre. En fait, l’infiltration des Illuminati en Nouvelle-Angleterre est connue et sera le sujet d'un prochain volume. D’aussi loin que l'éducation est concernée, l'objectif des Illuminati était comme suit : « Nous devons gagner les gens communs dans chaque coin. Cela sera obtenu principalement au moyen des écoles, et par l’ouverture,  un comportement cordial, l’apparence, la condescendance, la popularité et la tolérance sur leurs préjugés que nous devons détruire à la racine et dissiper. » Comme Rosenbaum l’a signalé dans son article de Esquire, la cérémonie des Illuminati a des ressemblances avec celle de L'Ordre. Par exemple, John Robinson dans Proofs of a Conspiracy – Preuves d’une Conspiration (1) : « Le candidat est présenté pour une réception en personnage d'esclave ;  et il lui est demandé ce qui l'a amené à cette plus misérable de toutes les conditions. Il répond la société – l'état la soumission – la fausse religion. Un squelette lui est montré, aux pieds duquel sont mis une couronne et une épée. Et il lui est demandé si cela est le squelette d'un roi, un noble ou un d’un mendiant ? Comme il ne peut pas se décider, le président de la réunion lui dit, « le caractère d'être un homme est le seul qui est important. » Finalement, en conclusion, nous pouvons tracer la fondation de trois sociétés secrètes, en fait les trois associations secrètes les plus influentes que nous connaissons, dans les Universités. L’ordre des Illuminati a été fondé à l’université d'Ingolstadt. Le Groupe a été fondé à All SoulsCollege, université d'Oxford en Angleterre, et L'Ordre a été fondé à l’université de Yale aux États-Unis. Le paradoxe est que ces institutions soi-disant dévouées à la recherche de la vérité et de la liberté ont donné naissance à des institutions dévouées à l'esclavage mondial.     (1) John Robinson, Proofs of a Conspiracy (Americanist classics, Belmont, 1967), p. 110.       hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...
Mémorandum numéro quatre :
La connexion Leipzig *
  Le lien entre la psychologie expérimentale allemande et le système pédagogique américain est à travers le psychologue américain G. Stanley Hall, qui était en son temps probablement le critique pédagogique le plus important aux Etats-Unis. La famille Hall est écossaise et anglaise et remonte aux années 1630, mais Hall n'était pas diplômé de Yale, et à première vue il n'y a aucun rapport entre Hall et L'Ordre. En revanche, Hall est un bon exemple de quelqu'un dont la vie a des moments décisifs majeurs et en approfondissant les moments décisifs, nous trouvons L'Ordre guidant sa main. Le détail ci-dessous est important afin de lier Hall à L'Ordre. C'est une question ouverte de savoir si Hall savait, s'il savait n'importe quoi sur tout, au sujet de L'Ordre et de ses objectifs. Après avoir été diplômé du Collège Williams, Hall a passé une année au séminaire de l’union théologique, à New York. Nos livres des « Adresses » de L'Ordre ne donnent pas de filiations avec l'église pour les membres qui citent le ministère comme étant leur occupation. Nous savons que le révérend Henry Sloane Coffin (S&B 1897) était professeur associé de théologie pratique à l’union de 1904 à 1926 et président des séminaires de l’union de 1926 à 1945, mais nous ne pouvons pas citer de membres dans l’union avant 1904. Heureusement, Hall était un égocentrique et a écrit deux longues, fatigantes autobiographies : récréations d'un psychologue et vie et confessions d'un psychologue. C'est identique à ce que Hall a décrit lors de son entrée à l’union dans le dernier livre (pp. 177-8) : « Me remettant d'une attaque sévère de fièvre due à la typhoïde l'été après la remise des diplômes et étant encore très incertain sur ce que je serai et ferai dans le monde, je suis rentré au séminaire de l’union théologique en septembre 1867. » Plus tard Hall ajoute, « L'homme à qui je dois beaucoup dans ce groupe plus que tout autre était Henry B. Smith, un savant compétent étranger, versé plus ou moins non seulement dans la théologie systématique, qui était sa chaire, mais dans la vieille philosophie et la moderne, sur lesquelles il nous a donné quelques conférences en dehors des cours. De lui seul j'ai vu socialement quelque chose. Il m'a rendu peut-être le plus grand service intellectuelle qu’un homme peut rendre à un autre en suggérant juste la bonne lecture au bon moment. C’était lui, aussi, qui a vu mon aptitude et qui m’a recommandé d’aller en Europe. » Le Révérend Henry Boynton Smith cité par Hall était professeur d'histoire de l’église au séminaire de l’union de 1850 à 1874, dans l’aile   « libérale » de l'église presbytérienne, il a édité la revue théologique de 1859-1874 et a traduit plusieurs travaux théologiques allemands. Smith n'était pas un membre de L'Ordre. Comment a fait Hall, qui disait être fauché, pour arrive de New York en Europe, spécifiquement en Allemagne ? Voici la tournure intéressante. Quelqu'un qu’il ne connaissait pas (mais que nous pouvons lier aujourd'hui à L'Ordre) lui a donné 1 000 $ -   beaucoup d'argent en ces jours. Voici comme cela s'est passé. En prêchant en Pennsylvanie en 1868, Hall a reçu une lettre du Révérend Henry Ward Beecher, de l’église où il allait à New York : « … il m’a demandé de l'appeler. J'ai pris immédiatement le train et Beecher m'a dit que par les Mann (des amis) il avait appris que je souhaitais étudier la philosophie en Allemagne mais je manquais de moyens… (il) m'a donné une note scellée pour le magnat du bois de construction Henry Sage, le bienfaiteur de Cornell, que j'ai présenté à son bureau sans connaître son contenu. A mon étonnement, après quelques mécontentements et une remarque sur son pasteur qui a pris des libertés étonnantes avec son porte-monnaie, il m'a donné un chèque de mille dollars. Prenant note pour le rembourser avec intérêt, il m'a dit de naviguer pour Allemagne le lendemain. »  (Confessions, p. 182). Qui était « le magnat du bois de construction Henry Sage, le bienfaiteur de Cornell »  ? La famille Sage avait plusieurs « Henry » impliqués avec les universités de Yale et Cornell en ces jours. Le « Henry Sage »  cité est probablement William Henry Sage (1844-1924) gradué de Yale en 1865 et a alors joint la compagnie de bois de construction de la famille, H.W. Sage & Compagnie à New York. Henry Sage était membre de Scroll and Key – la sœur aînée des Skull and Bones à Yale. En outre, deux des neveux de Sage Henry étaient dans L'Ordre, mais bien après 1868 : • Dean Sage (S&B 1897) • Henry Manning Sage (S&B 1890) Les deux Sages sont entrés dans l'affaire de bois de construction de la famille, renommée Sage Land & Lumber. En bref : les fonds apportés à Hall pour son premier voyage en Allemagne proviennent d'un membre de Scroll & Key, c.-à-d., Henry Sage, alors que les deux neveux de Sage ont rejoint L'Ordre plus tard dans le siècle. En Allemagne, Hall a étudié la philosophie à l'université de Berlin pendant deux ans sous les Hégéliens Trendelenberg (Gilman de L'Ordre a aussi étudié sous Trendelenberg) et Lepsius. Il y avait peu d'étudiants américains à Berlin en ce temps. Si peu que le Ministre américain George Bancroft pouvait les amuser à l’ambassade à rencontrer le chancelier allemand von Bismarck.   * La connexion Leipzig – the Leipzig connection – est  le titre d'une excellente petite brochure de Lance J. Klass et Paoli Lionni, publiée par the Delphian press, Route 2, box 195, Sheridan, Oregon 97378 (4. 00 $ franco). Le livre est sorti en 1967 et était le premier à tracer le lien vers Wundt. Il y a plus de détail sur Wundt que dans ce mémorandum, mais, bien sûr, ne il s'inquiète pas de L'Ordre.  

Hall au collège Antioch

  Hall est revenu d'Allemagne aux USA en 1871 et par dessin ou accident s’est trouvé lui-même sous l'aile de L'Ordre. Encore, le détail est important. Il y a deux versions sur la vie de Hall immédiatement après être revenu de son premier voyage en Allemagne. D'après les Confessions de Hall, il est devenu professeur particulier pour la famille bancaire Seligman à New York et a alors été contacté par James K. Hosmer, Professeur au collège Antioch, Yellow Springs, Ohio. Hosmer a demandé, et c'est très exceptionnel, si Hall aimerait son poste professoral à Antioch. Hall dit, « J'ai accepté avec plaisir. » Il y a une autre version dans National Cyclopaedia of American Biography qui déclare, « En 1872 il (Hall) a accepté un professorat au collège Antioch, Ohio, qui était autrefois tenu par Horace Mann. » En tout cas Hall est allé à Antioch, un collège « libéral » unitarien avec une vue plus que « libérale » de l'éducation. Et au collège Antioch, G. Stanley Hall était au cœur de L'Ordre. Horace Mann de que nous avons rencontré dans le mémorandum numéro deux comme promoteur de nouvelle méthode de lecture, était le premier président d'Antioch (1853-1860). L'administrateur le plus proéminent du collège Antioch n'était pas autre que le cofondateur de L'Ordre, Alphonso Taft. D'après Hall, « (Je) passais parfois un dimanche avec les Taft. L’ancien président Taft était alors un garçon et son père, le juge Alonzo (sic) Taft était administrateur du collège Antioch »  (Confessions, p. 201). En outre, Cincinnati, Ohio, en ce temps était le centre d’un jeune mouvement Hégélien qui inclut le célèbre Hégélien de gauche August Willich, et ils étaient bien connus du juge Alphonso Taft.   En bref, pendant qu'il était au collège Antioch à Yellow Springs, Ohio, Hall est tombé sous l'influence de quatre groupes : (a) la légende de Horace Mann, un héros du mouvement de l'éducation moderne. (b) l'Unitarien Church qui entrera dans nos rapports plus tard, (c) un groupe de discussion Hégélien y compris des Hégéliens de gauche, et (d) le cofondateur de L'Ordre, Alphonso Taft. Et Hall connaissait William Howard Taft, aussi un membre de L'Ordre (S&B 1878) et futur Président et Président de la Haute Cour de justice des États-Unis. Hall est resté quatre années à Antioch, puis est encore parti pour l’Europe, pendant qu'Alphonso Taft est allé à Washington, D.C. comme secrétaire de guerre, puis comme garde des sceaux dans l'administration Grant. Hall a fait une pause un temps en Angleterre et est allé en Allemagne, à Leipzig et Wilhelm Wundt. Il est devenu le premier d'une douzaine d'américains à recevoir un doctorat. en psychologie (un nouveau champ) sous Wundt.  

L’influence Hégélienne sur Hall

  Donc entre 1870 et 1882, une durée de douze années, Hall a passé six années en Allemagne. Comme Hall lui-même commente, «  Je ne sais rien de tout autre étudiant américain de ces sujets (c.-à-d., philosophie et psychologie) qui est entré même en léger contact personnel c'était ma richesse d’aimer avec Hartmann et Fechner, ni de tout psychologue qui avait l'expérience de tenter un travail expérimental avec Helmholtz et je pense que j'étais le premier élève américain de Wundt. Les douze années incluses dans cette durée, plus que toute autre période égale, ont marqué et ont donné la direction à la psychologie moderne… »* Qui était ces quatre philosophes allemands qui ont donc influencé Stanley Hall ? Eduard von Hartmann (1842-1906), un philosophe proéminent. Les vues de Hartmann sur les droits individuels sont tout à fait contraires aux nôtres, c.-à-d., «  Le principe de liberté est négatif… dans chaque département de la vie, à l'exception de la religion seule, la compulsion est nécessaire… Ce dont tous les hommes ont besoin est une tyrannie rationnelle, si elle les tient seulement à un développement stable, d'après les lois de leur propre nature. » Il n'y a pas trop de différence entre Hegel et Hartmann sur l'idée de progrès social. La liberté individuelle n'est pas acceptable à ces philosophes, l'homme doit être guidé par une «  tyrannie rationnelle. » Gustav Theodor Fechner (1801-1887). Fechner a détesté Hegel, qui Fechner a dit, « hommes désapprendre à penser. » Cependant, Fechner était principalement intéressé dans la psychophysique, c.-à-d., la parapsychologie : «… il a été attiré en particulier vers les régions inexplorées de l'âme et donc il s'est intéressé au somnambulisme, séances suivies quand frapper les tables est entré en vogue. » Herman L. F. von Helmholtz (1821-1894) était indubitablement le plus grand scientifique d'Allemagne du l9e siècle et a été enraciné dans Kant, le prédécesseur de Hegel. Pour Helmholtz : « Le monde sensible est un produit de l'interaction entre l'organisme humain et une réalité inconnue. Le monde d'expérience est déterminé par cette interaction mais l'organisme lui-même est seulement un objet d'expérience et sera compris par la psychologie et la physiologie. »     * G. Stanley Hall, Founders of modern psychology, Appleton & co., Londres. 1912, pp. V-VI.    

Wilhelm Maximilien Wundt

  Wilhelm Wundt (1832-1920), professeur de philosophie à l’université de Leipzig, était indubitablement l'influence majeure sur G. Stanley Hall. La pratique de l'éducation moderne provient de la théorie sociale Hégélienne combinée avec la psychologie expérimentale de Wilhelm Wundt. Alors que Karl Marx et von Bismarck ont appliqué la théorie Hégélienne au champ politique, c'était Wilhelm Wundt, influencé par Johann Herbart, qui a appliqué Hegel à l’éducation, qui pour leur part, a été repris par Hall et John Dewey et les théoriciens de l’éducation modernes aux États-Unis. Wilhelm Maximilien Wundt est né le 16 août 1832 à Neckarau, un faubourg de Mannheim, en Allemagne. Son père Maximilien (1787-1846) était ministre. Le grand-père de Wundt du côté paternel est d'un intérêt considérable :  Kirchenrat Karl Kasimir Wundt (1744-84) était professeur à l’université de Heidelberg dans l'histoire et la géographie de Baden et pasteur de l'église à Wieblingen, une petite ville du voisinage. Les documents de l’ordre des Illuminati - Illuminés de Bavière - montrent que « Raphaël »  chez les Illuminati est identifié comme ce même professeur Karl Kasimir Wundt et est désigné dans le rapport provincial d’Utica sur les Illuminati (c.-à-d., Heidelberg) daté du 1 Septembre 1782.* L'œuvre majeure de Wilhelm Wundt, c.-à-d., Volkerpsychologie, est aussi aujourd'hui un livre recommandé dans Internationales Freimaurer Lexikon (page 50). Les liens historiques de côté, Wundt est important dans l'histoire de l'éducation américaine pour les raisons suivantes : (1) il a établi en 1875 le premier laboratoire de psychologie expérimentale au monde pour mesurer les réponses individuelles aux stimulants. (2) Wundt croyait que l'homme est seulement l'addition de son expérience, c.-à-d., les stimulants qui portent sur lui. Il suit de ceci que, pour Wundt, l'homme n’a pas de volonté propre, aucune autodétermination. L'homme est en effet seulement le captif de ses expériences, un pion qui a besoin de conseil. (3) les étudiants d'Europe et des États-Unis sont venus à Leipzig pour apprendre de Wundt la nouvelle science de psychologie expérimentale. Ces étudiants sont revenus dans leurs patries pour fonder des écoles d'éducation ou des départements de psychologie, et ont formé des centaines de doctorats dans le nouveau champ de la psychologie. Le cœur de notre problème est que le travail de ce Wundt a été basé sur la théorie philosophique Hégélienne et reflète l’opinion Hégélienne de l'individu comme une dent sans valeur dans l'État, une opinion étendue par Wundt pour inclure l'homme comme rien de plus qu'un animal influencé uniquement par les expériences journalières. Cette vision de Wundt sur le monde a été rapportée de Leipzig aux États-Unis par G. Stanley Hall et d’autres américains et est devenu comme cela connu parmi les psychologues comme « l’américanisation de Wundt. » Bien que Hall fût à l'origine psychologue et professeur, ses vues politiques étaient partiellement Marxistes, comme Hall lui-même l’écrit :  «… (J’) avait lutté avec Karl Marx et à moitié accepté ce que je comprenais de lui »  (Confessions, p. 222). Dans le prochain mémorandum, le numéro cinq, nous lierons Hall avec Gilman et tracerons leur influence commune sur l’éducation américaine.   * Richard van Dulman, Der Geheimbund Der Illuminaten (Stuttgart, 1977, p. 269).     hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...
Mémorandum numéro cinq :
Le plan de Baltimore
  Pendant que G. Stanley Hall était à Leipzig pour travailler sous Wilhelm Wundt, le trio révolutionnaire Gilman-Dwight-White étaient à mettre les événements en mouvement chez eux - et L'Ordre a rencontré sa première opposition organisée. La protestation « neutre » à Yale n’avait aucun espoir de gagner. Même sous le président indépendant Noé Porter dans les années 1870, L'Ordre avait l'université de Yale sous son contrôle. Mais pendant que les étudiants de Yale regardaient, en protestant et en écrivant de mauvais vers, Daniel Gilman a rencontré une opposition 3000 milles au loin - et si les chefs de cette révolution de comptoir avaient connu l'histoire que nous racontons ici, ils auraient juste pu arrêter net L'Ordre mort dans ses voies. En 1867 Daniel Gilman a reçu une offre comme président de l'Université du Wisconsin. Ce qu'il a refusé. En 1872 a été offerte à Gilman la présidence de l'Université de Californie récemment établie. Il a accepté cette offre. En Californie Gilman a trouvé un nid de frelons politiques. Pendant quelques années il y a eu une augmentation de l'inquiétude populaire au sujet des monopoles ferroviaires, des subventions budgétaires aux voies ferrées et - bizarrement assez - le Morrill Bill qui a donné des subventions en terres fédérales aux collèges agricoles et scientifiques. Le lecteur se rappellera que dans le Connecticut et à New York, L'Ordre avait saisi la part totale de l'état pour Yale et Cornell. Les Californien croyaient que l'université de Californie, un collège subventionné par la terre, devrait apprendre l’agriculture et la science, alors que Gilman avait des idées différentes. Troubles sur corruption, y compris la corruption parmi les régents de l’université de Californie et les voies ferrées (dans lesquelles les membres de L'Ordre avaient des intérêts répandus), a mené à la formation d'un nouveau parti politique en Californie. En 1873 le parti était connu comme « les protecteurs de l’agronomie » ou « les régisseurs ». Alors des membres du parti républicain ont démissionné et se sont joints aux « régisseurs » pour former le parti indépendant du peuple (connu aussi comme la Dolly Varden party). Ils ont gagné une victoire décisive aux élections de 1873 en Californie et suite aux enquêtes des « régisseurs », une pétition a été envoyée au pouvoir législatif concernant l’opération de l'université de Californie sous Daniel Gilman. En ce temps Henry George était éditeur du San Francisco Daily Evening Post et George a utilisé ses compétences journalistiques considérables pour attaquer l'Université, les « régents », Gilman, et les subventions par la terre. Bien que Henry George soit connu comme socialiste, nous le classons comme un socialiste indépendant, hors du spectre hégélien droite-gauche. Sa cible principale était le monopole de la terre, alors que le socialisme « scientifique » hégélien de Karl Marx est adapté à établir des monopoles de tous genres sous contrôle de l’état, en suivant la théorie hégélienne de la suprématie de l'État. Cette fureur populiste a effrayé Gilman, comme il admet librement : «… il y a des dangers ici que je ne pourrais pas prévoir… Cette année les dangers ont été détournés mais qui peut dire ce qui arrivera dans deux ans ? Je sens que nous construisons une structure supérieure mais elle se repose sur un moulin de poudre qui peut la gaspiller chaque jour. Toutes ces conditions me remplissent de perplexité. » A lire entre les lignes, Daniel Gilman n'était pas trop inquiet de faire face aux populistes de l’ouest. Il a eu besoin d'une base plus stable où les journalistes indiscrets et les politiciens indépendants pourraient être conduits. Et cette base s'est présentée dans le «  plan de Baltimore. »  
Daniel Gilman devient Président de Johns Hopkins
  Johns Hopkins, un riche négociant de Baltimore, a laissé sa richesse pour établir une université pour une éducation diplômée (la première aux États-Unis qui suit des lignes allemandes) et une école de médecine. Les administrateurs de Hopkins étaient tous des amis qui habitaient à Baltimore. Comment est-ce qu'ils en sont alors venus à sélectionner Daniel Coit Gilman comme président de la nouvelle Université ? En 1874 les administrateurs ont invité trois présidents d'université à venir à Baltimore pour conseiller sur le choix d'un Président. C'étaient Charles W. Eliot de Harvard, Andrew Dickson White de Cornell, et James B. Angell de Michigan. Seulement Andrew Dickson White était dans L'Ordre. Après avoir rencontré indépendamment chacun de ces présidents, une demi-douzaine des administrateurs ont visité plusieurs universités américaines à la recherche d'information complémentaire - et Andrew D. White a accompagné la visite. Le résultat était, dans les mots de James Angell : «… Et maintenant j'ai cette déclaration remarquable à vous faire, que sans la moindre conférence entre nous trois, nous avons tous écrit des lettres qui leur disent que l'homme numéro un était Daniel C. Gilman de Californie. »* La vérité est que non seulement Gilman savait ce qui se passait à Baltimore, mais était en communication avec Andrew White sur le « plan de Baltimore »,  comme ils l'ont appelé. Dans une lettre datée du 5 avril 1874, Gilman a écrit ce qui suit à Andrew D. White : « Je ne pourrais pas conclure sur toute nouvelle proposition sans conférer de cela avec quelques-uns de mes amis de famille, et donc je n'ai pas senti la liberté pour le faire. Je confesse que le plan de Baltimore (en italiques dans original) m’a souvent été suggéré, mais je n'ai pas de relations personnelles en ce trimestre. »** Voici le point intéressant :  le comité nommé par Johns Hopkins pour fonder une université ne s’est même pas rencontré pour adopter ses statuts et nommer des comités jusqu'à quatre semaines avant cette lettre, c.-à-d., le 7 mars 1874. Encore Gilman nous dit «  le plan de Baltimore m’a souvent été suggéré… » En bref : Gilman savait ce qui se passait partout à Baltimore AVANT QUE SON NOM AIT ÉTÉ PRÉSENTÉ AUX ADMINISTRATEURS ! Gilman est devenu le premier président de l’université Johns Hopkins et s'est mis rapidement à travailler. Johns Hopkins avait voulu des montants substantiels pour une université et une école de médecine. Dr. William H. Welch (S&B 1870), un gars membre de L'Ordre, a été amené par Gilman pour diriger l'école de médecine Hopkins. (Welch était président du comité des directeurs de l’institut Rockefeller de Recherche Médicale pendant presque 25 ans, 1910-1934. Nous étendrons cela plus tard dans les séries quand nous examinerons comment L'Ordre est arrivé à contrôler la médecine). Pour le moment revenons à G. Stanley Hall qui était à Leipzig pendant que Johns Hopkins acquérait son nouveau président.   * John C. Français. Un 0F HISTORIQUE L'UNIVERSITÉ FONDÉE PAR JOHNS HOPKINS (La Johns Hopkins Presse. Baltimore. 1946) p. 26. ** Life de Daniel Coit Gilman. p. 157.    
Gilman commence la révolution dans l’éducation américaine
  Quand il est revenu aux États-Unis Hall se sentait plutôt déprimé : « Je suis venu à la maison, encore dans les profondeurs à cause de dettes et sans perspectives, j’ai pris un petit appartement sur le bord de Somerville, où mes deux enfants sont nés, et j’ai attendu, espéré et travaillé. Un mercredi matin le président Eliot (de l'Université de Harvard) est monté jusqu'à la maison, a frappé sur la porte sans descendre de son cheval et m’a demandé de commencer Samedi de cette semaine un cours de conférences sur l’éducation… » Comme Hall le raconte, il avait une « audience très impressionnante »  pour ces conférences. Parfois plus tard, « En 1881 j'ai été surpris et enchanté de recevoir une invitation de l’université Johns Hopkins, alors le centre d'attraction de tout futurs jeunes professeurs, pour délivrer un cours de douze conférences semi-publiques sur la psychologie. » À la fin de la série de conférences, Gilman a offert le siège de professeur de psychologie et de pédagogie à Hall. Cela a laissé Hall perplexe parce que d'autres à Johns Hopkins étaient «  plus vieux et plus capables »  que lui-même et « Pourquoi le rendez-vous pour lequel tout d'eux avait été considéré est tombé sur moi je n'étais jamais capable de comprendre à moins que ce fût parce que mon point de vue était réfléchi pour être un peu plus conforme avec les idéaux qui ont prédominé là. » Un laboratoire psychologique a été donné à Hall, mille dollars par an pour le matériel et, avec l'encouragement de Gilman, il a fondé le Journal américain de Psychologie. Et qu'est-ce que Hall a appris ? Encore dans ses propres mots : « La psychologie que j'ai appris était presque entièrement expérimentale et couvrait pour la plupart la matière que Wundt avait mise en avant dans la plus tardive et plus grande édition de la Psychologie Physiologique. » Le reste est connu. Le tableau démontre comment les étudiants en doctorats de Wundt et de Hall se sont déployés à travers les États-Unis, ont établi des départements de psychologie et d’éducation par le score ; 117 laboratoires psychologiques seulement dans la période jusqu'à 1930. Parmi ces étudiants John Dewey, J.M. Cattell et E.L. Thorndike  étaient proéminents - toute la partie de la fondation des professeurs du collège de Columbia et l’école d'éducation de Chicago - les deux sources de l'éducation moderne américaine. Leurs activités peuvent être mesurées par le nombre de doctorats dans la psychologie pédagogique et la psychologie expérimentale accordés dans la période jusqu'à 1948. La liste suivante inclut des psychologues avec formation en Allemagne sous Wilhelm Wundt avant 1900, et le nombre de doctorats qu’il ont accordé à leur tour jusqu'à 1948 :    
Étudiants américains à l’enseignement de Wundt dans les universités U. S
Carrière à
Nombre de Doctorats accordés jusqu'à 1948
G. Stanley Hall
Universités Johns Hopkins et Clark
149 doctorats
J. McKeen Cattell
Université Columbia
344 doctorats
E. W. Scripture
Université de Yale
138 doctorats
E. B. Tichener
Université Cornell
112 doctorats
H. Gale
Université du Minnesota
  123 doctorats
G. T. W. Patrick
Université de l’Iowa
269 doctorats
C. H. Judd
Université de Chicago
196 doctorats
    De ceux-ci seulement E.B. Titchener à Cornell peut être appelé un critique de l'école de psychologie expérimentale de Wundt. Le reste a suivi la ligne du parti : un amalgame de philosophie de Hegel et de psychologie animale de Wundt. Donc la graine semée par Daniel Coit Gilman à Johns Hopkins est devenue un vaste réseau d'écoles d'éducation et de départements de psychologie entrecroisés qui domine l'éducation aujourd'hui.  
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Mémorandum numéro six :
La troïka étend ses ailes
  Au tournant du siècle L'Ordre avait fait une pénétration considérable dans le système établi de l’éducation. En utilisant le pouvoir de membres dans des places stratégiques ils étaient capables de sélectionner, préparer et placer des non-membres avec une philosophie similaire et des traits d'activiste. En 1886 Timothy Dwight (S&B 1849) avait pris la relève du dernier des présidents cléricaux de Yale, Noah Porter. Jamais encore Yale n’avais autant obtenu autant de L'Ordre. Dwight a été suivi par le membre Arthur T. Hadley (S&B 1876). Andrew Dickson White était assuré comme président de Cornell et a alterné comme ambassadeur américain en Allemagne. Pendant qu'à Berlin, White a agi comme recruteur d'agent pour L'Ordre. Non seulement G. Stanley Hall est entré dans son filet, mais aussi Richard T. Ely, fondateur de l'association économique américaine. Daniel Gilman, comme nous l’avons noté dans le dernier mémorandum, était président de Johns Hopkins et a utilisé cette base pour introduire la psychologie de Wundt dans l’éducation américaine. Après la retraite de Johns Hopkins, Gilman est devenu le premier président de l'Institution Carnegie de Washington, D.C., Le tableau au dessus résume les exploits de cette troïka remarquable. Maintenant voyons comment L'Ordre s’est déplacé dans l’intérieur plus spécialisés du champ de l'éducation, alors nous avons besoin d'examiner comment L'Ordre s’accorde avec John Dewey, la source de la philosophie de l’éducation américaine moderne, puis comment L'Ordre a étendu Dewey partout dans le système.  
Fondation de l'Association Économique américaine
  Les associations académiques sont un moyen de conditionner ou même de contrôler  des universitaires. Bien que les universitaires soient grands à parler de liberté académique, ils sont étrangement susceptibles pour scruter les groupes de pairs. Et si un universitaire manque de faire progresser le mot à travers son groupe de pairs, il y a toujours la menace de ne pas obtenir de période de jouissance. En d'autres termes, ce qui est appris aux niveaux de l'université est passé au crible. Le crible est la conformité de la faculté. Dans ce siècle lorsque les facultés sont plus grandes, la conformité ne peut pas être imposée par un président. Elle est également bien maniée aux travers des comités des régimes de la faculté et des comités des publications d'associations académiques. Nous avons déjà noté que le membre Andrew Dickson White a fondé et était le premier président de l'Association Historique Américaine et par conséquent il était capable d'influencer la constitution et la direction de l'AHA. Cela a produit une histoire officielle et assuré que l'existence de L'Ordre n’est jamais chuchotée même dans les livres d'histoire, laissant seuls les textes scolaires. Une association économique est aussi significative parce qu'elle conditionne comment pensent les gens qui ne sont pas des économistes au sujet des mérites relatifs de la libre entreprise et de l’organisation de l'état. L'organisation économique de l’état est une partie essentielle du contrôle politique de l’état. Le laissez faire en sciences économiques est l'équivalent en politique de l'individualisme. Et juste comme vous ne trouverez jamais aucun applaudissements pour les neuvième et dixième Amendements à la Constitution dans l’histoire officielle, pas plus vous ne trouverez aucun applaudissements pour l’entreprise libre individuelle. En ces jours présents la nature collectiviste des facultés du collège en sciences économiques a été produite par l'Association des Sciences Économiques Américaine sous influence de L'Ordre. Il y a très peu de francs prédicateurs de l'école autrichienne d’économie sur les campus américains aujourd'hui. Ils ont été extirpés efficacement. Même Ludwig von Mises, chef incontesté de l'école, a été incapable de trouver un poste d'enseignant aux États-Unis. Ainsi pour beaucoup de la liberté académique dans les sciences économiques. Et cela parle durement pour l'envahissante, étouffante, main dictatoriale de l'Association américaine des Sciences Economiques. Et la main dirigeante, comme dans l'Association Psychologique américaine et l'Association Historique américaine, nous ramène à L'Ordre. Le principal fondateur et le premier secrétaire de l'Association Économique américaine a été Richard T. Ely. Qui était Ely ? Ely descend de Richard Ely de Plymouth, en Angleterre, établi à Lyme, dans le Connecticut, en 1660. Du côté de sa grand-mère (et vous avez entendu ceci auparavant pour les membres de L'Ordre) Ely descend de la fille du Révérend Thomas Hooker, fondateur de Hartford, dans le Connecticut. Du côté paternel, Ely descend de Elder William Brewster de la colonie de Plymouth. Le premier diplôme d'Ely était du Collège Dartmouth. En 1876 il est allé à l’université de Heidelberg et a reçu un Doctorat. en 1879. Ely est alors revenu aux États-Unis, mais comme nous le décrirons dessous, il avait déjà attiré l'attention de L'Ordre. Quand Ely est rentré chez lui, Daniel Gilman a invité Ely à prendre la Chaire d'Économie politique à Johns Hopkins. Ely a accepté, à peu près en même temps Gilman a nommé G. Stanley Hall à la Chaire de Philosophie et de Pédagogie et William Welch, un membre de L'Ordre que nous avons encore à décrire, pour être Doyen de l’école de médecine Johns Hopkins. Heureusement, Richard Ely était un égocentrique et a laissé une autobiographie, Ground Under Our Feet, qu'il a dédicacé à personne d’autre que Daniel Coit Gilman (voyez l'illustration). Alors à la page 54 de cette autobiographie est la légende « Je trouve un ami inestimable en Andrew D. White. » Et dans le premier livre d’Ely, French an German Socialism, nous trouvons ce qui suit : « La publication de ce volume est due au conseil amical de l’Honorable Andrew D. White, Président de l'Université Cornell, un monsieur infatigable dans ses efforts pour encourager de jeunes hommes et sensible à chaque occasion pour parler avec des mots d'espoir et d’encouragements appropriés. Comme beaucoup des plus jeunes savants de notre pays, je suis endetté envers lui bien plus que je peux dire. » Ely commente aussi qu'il ne pourra jamais comprendre pourquoi il a toujours reçu un bon accueil de l'Ambassade Américaine à Berlin, en fait de l'Ambassadeur lui-même. Mais le lecteur a deviné probablement ce qu'Ely ne savait pas - White était le recruteur de L'Ordre à Berlin. Ely rappelle ses conversations avec White, et fait un commentaire révélateur : « J’étais intéressé à sa psychologie et le chemin qu'il travaillait intelligemment avec Ezra Cornell et M. Sage, un bienfaiteur et un des administrateurs de l'Université Cornell. »  Le lecteur se souviendra que c'était Henry Sage qui a fourni les premiers fonds à G. Stanley Hall pour étudier en Allemagne. Alors Ely dit, « La seule explication que je peux donner pour son intérêt spécial envers moi était les nouvelles idées que j'avais par rapport aux sciences économiques. »  Et quelle était ces nouvelles idées ? Ely a repoussé les sciences économiques libérales classiques, y compris le libre échange, et distingué que ce libre échange était «  particulièrement odieux à l'école allemande de pensée par laquelle j'ai été si fortement impressionné. »  En d'autres termes, de même que G. Stanley Hall avait adopté l’Hégélianisme dans la psychologie de Wundt, Ely a adopté des idées Hégélienne de son professeur principal Karl Knies à l’Université de Heidelberg.  
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À LA MÉMOIRE DE

DANIEL COIT GILMAN

  Premier Président de l’Université Johns Hopkins, génie créatif sur le terrain de l'éducation ; chef sage, inspirant et courageux sous qui j'ai la bonne chance de commencer ma carrière et à qui je dois une dette inestimable de gratitude, je consacre ce livre.   Et les deux Américains avaient attiré l'attention vigilante de L'Ordre. Le personnel de l'Ambassade Américaine à Berlin n'a jamais apprécié pourquoi un jeune étudiant américain, pas attaché à l'Ambassade, a été embauché par l’Ambassadeur White pour faire une étude du Gouvernement de la ville de Berlin. C'était l'épreuve d'Ely, et il l'a passé haut la main. Comme il dit, « C'était ce rapport qui m’a servi pour me mettre sur ma voie et plus tard m'a aidé à obtenir un poste d'enseignent à Johns Hopkins. » Le reste l’histoire. Daniel Coit Gilman a invité Richard Ely à l’Université Johns Hopkins. De là Ely est allé conduire le département de science économique à l’Université du Wisconsin. À travers la capacité d'influencer le choix de son successeur, le Wisconsin a été un centre étatiste de sciences économiques jusqu'au jour présent. Avant que nous laissions Richard Ely nous devrions noter que le financement pour les projets à l’Université du Wisconsin est venu directement de L'Ordre - du membre George B. Cortelyou (S&B 1913), président de la compagnie d'assurance New York Life. Ely nous parle aussi de ses étudiants, et il a été captivé surtout par Woodrow Wilson : « Nous savions que nous avions en Wilson un homme exceptionnel. Là ne pouvait être aucune question qu'il aurait un brillant futur. » Et pour ces lecteurs qui se demandent si le Colonel Edward Mandell House, le confident mystérieux de Woodrow Wilson, va entrer dans l'histoire, la réponse est Oui ! Il le fait, mais pas encore. L'indice est que ce jeune Edward Mandell House est allé à l’école au Lycée Hopkins, à New Haven, dans le Connecticut. House connaissait L'Ordre de ses jours scolaires. En fait un des camarades de classe les plus proches de House au Lycée Hopkins était le membre ArthurTwining Hadley (S&B 1876), qui allait devenir président de l'Université de Yale (1899 à 1921). Et c'était Théodore Roosevelt qui a mis à jour la philosophie cachée de Hadley : « Des années plus tard Théodore Roosevelt appellerait Arthur Hadley son compagnon anarchiste et dit que si leurs vraies opinions étaient connues, elles pourraient être si mal comprises qu’ils perdraient tous les deux leurs emplois comme président des États-Unis et président de Yale. »* Le roman de House, Philip Dru, a été écrit à New Haven, dans le Connecticut et en ces jours House était plus proche du segment Taft de L'Ordre que Woodrow Wilson. En fait House, comme nous verrons plus tard, était le garçon messager de L'Ordre. House était aussi quelque chose comme un blagueur parce qu’une partie de l'histoire de L'Ordre est chiffrée dans Philip Dru ! Nous ne sommes pas sûrs si L'Ordre sait au sujet de la petite farce de House. C'est juste comme House pour essayer d'en échapper à un partout sur les gardiens du pouvoir.   *Morris Hadley, ARTHUR TWINING HADLEY, Yale University Press, 1948, p. 33.  
Association Médicale américaine
  Votre docteur ne sait rien au sujet de la nutrition ? Demandez lui confidentiellement et il confessera probablement qu’il a eu seulement un cours de nutrition. Et il y a une raison. Au 19e siècle la médecine américaine était dans un état déplorable. Au crédit du Comité de l'Éducation Général de Rockefeller et de l'Institut pour la Recherche Médicale, des fonds ont été rendus disponibles pour le personnel enseignant des hôpitaux et pour éradiquer des maladies assez horribles. En revanche, une médecine basée sur le chimique a été introduite et la profession médicale a coupé ses liens avec la naturopathie. Les statistiques du cancer vous disent le reste. Pour le moment nous voulons seulement noter que les élans pour réorganiser l'éducation médicale aux États-Unis sont venus de John D. Rockefeller, mais les fonds ont été canalisés à travers un seul membre de L'Ordre. Brièvement, l'histoire est ceci. Un jour en 1912 Frederick T. Gates de la Fondation Rockefeller déjeunaient avec Abraham Flexner de l'Institution Carnegie. Gates dit à Flexner : « Qu'est-ce que vous feriez si vous aviez un million de dollars avec lequel faire un début de réorganisation de l'éducation médicale aux Etats-Unis ? »* Comme rapporté par Fosdick, c'est ce qui s'est passé : « La brusquerie de M. Gates était caractéristique, mais la question au sujet des million de dollars était à peine en accord avec son approche indirecte et prudente habituelle pour la dépense de l'argent. La réponse de Flexner, cependant, sur l'effet que tous les fonds - un million de dollars ou autre - pourrait être dépensés plus profitablement dans le développement de l’école de médecine Johns Hopkins, a touché une corde sensible chez Gates qui était déjà un ami proche et admirateur dévoué du Dr. William H. Welch, le doyen de l'institution. » Welch a été président de l'Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale à partir de 1901, et un administrateur de l'Institution Carnegie à partir de 1906. William H. Welch était aussi membre de l'Ordre (S&B 1870) et avait été amené à l’Université Johns Hopkins par Daniel Coit Gilman (S&B 1852).     * Raymond D. Fosdick, ADVENTURE IN GIVING (Harper & Row, New York, 1962), p. 154.    
Autres zones d'éducation
  Nous devrions noter en conclusion d’autres zones pédagogiques où L'Ordre avait son influence. En théologie nous avons déjà noté que L'Ordre contrôlait le Séminaire d’Union Théologique depuis plusieurs années, et était puissant à l'École Divinity de Yale. La constitution pour l’UNESCO a été écrite en grande partie par L'Ordre, c.-à-d., le membre Archibald MacLeish (S&B 1915). Et le membre William Chauvenet (S&B 1840) était « pour une grande part responsable pour établir l'Académie Navale Américaine sur une base scientifique ferme. » Chauvenet était directeur de l'Observatoire, de l’Académie Navale Américaine, à Annapolis de 1845 à 1859 et alors s’en est allé pour devenir Chancelier de l'Université de Washington (1869). Finalement, un point sur la méthodologie. Le lecteur se souviendra du mémorandum numéro un (Volume un) où nous avons débattu que la solution la plus générale à un problème en science est la solution la plus acceptable. En bref, une hypothèse utile est une qui explique le plus d’événements. Pausez vous une minute et réfléchissez. Nous ne développons pas une théorie qui inclut de nombreux événements superficiellement sans rapport. Par exemple, la fondation de l’Université Johns Hopkins, l'introduction de la méthodologie pédagogique de Wundt, un psychologue G. Stanley Hall, un économiste Richard T. Ely, un politicien Woodrow Wilson - et maintenant nous avons inclus de tels événements disparates comme le Colonel Edward House et l'Observatoire Naval Américain. Tout lie L'Ordre à eux… et plusieurs centaines ou milliers d’autres événements encore à être dévoilés. En recherche quand une théorie commence à trouver un support de cette nature envahissante cela suggère que le travail est sur la bonne voie. Ainsi interposons un autre principe de méthodologie scientifique. Comment est-ce que nous savons finalement que notre hypothèse est valide ? Si notre hypothèse est correcte, alors nous devrions être capables de prédire pas la seule conduite future de L'Ordre mais aussi des événements où nous devons encore mener la recherche. C'est encore à venir. Cependant, le lecteur curieux peut souhaiter essayer en dehors. Sélectionnez un événement historique majeur et cherchez la main directrice de L'Ordre.  
Membres de L'Ordre dans l’éducation
(Pour l’Université de Yale voyez la liste à la fin du mémorandum numéro un)
 
Nom
Date initiation
Affiliations
BURTT, Edwin A.
1915
Professeur de Philosophie, université de Chicago (1924-1931) et à l’université Cornell (1931-1960)
ALEXANDER, Eben
1873
Professeur de grec et ministre pour la Grèce (1893-97)
BLAKE, Eli Whitney
1857
Professeur de physique, aux universités Cornell(1868-1870) et Brown (1870-95)
CAPRON, Samuel
1853
Inconnu
CHAUVENET, William
1840
Académie Navale U. S. (1845-59) et Chancelier de l’université de Washington
COLTON, Henry M.
1848
Inconnu
COOKE, Francis J.
1933
Conservatoire de musique, New England
COOPER, Jacob
1852
Professeur de grec, collège Center (1855-1866), université Rutgers (1866-1904)
CUSHING, William
1872
Inconnu
CUSHMAN, Isaac LaFayette
1845
Inconnu
CUTLER, Carroll
1854
Président de l’université Western Reserve (1871-1886)
DALY, Frederick J.
1911
Inconnu
DANIELS, Joseph L.
1860
Professeur de grec, Collège Olivert, et Président (1865-1904)
EMERSON, Joseph
1841
Professeur de grec, Collège Beloit (1848-1888)
EMERSON, Samuel
1848
inconnu
ESTILL, Joe G.
1891
Législature de l’état du Connecticut (1932-1936)
EVANS, Evan W.
1851
Professeur de mathématiques, Université Cornell(1868-1872)
EWELL, John L.
1865
Professeur d’histoire de l’église, université Howard (1891-1910)
FEW Smith, W.
1844
Inconnu
FISHER, Irving
1888
Professeur d’économie politique, Yale (1893-1935)
FISK, F. W.
1849
Président, séminaire théologique de Chicago (1887-1900)
GREEN, James Payne
1857
Professeur de grec, collège Jefferson (1857-59)
GRIGGS, John C.
1889
Collège Vassar (1897-1927)
GROVER, Thomas W.
1874
Inconnu
HALL, Edward T.
1941
Ecole St Mark, Mass.
HARMAN, Archer
1913
Ecole St Paul, N. H.
HARMAN, Archer, Jr
1945
Ecole St Paul, N. H.
HEBARD, Daniel
1860
Inconnu
HINCKS, John H.
1872
Professeur d’histoire, université d’Atlanta (1849-1894)
HINE, Charles D.
1871
Secrétaire, conseil d’éducation du Connecticut (1883-1920)
HOLLISTER, Arthur N.
1858
Inconnu
HOPKINS, John M.
1900
Inconnu
HOXTON, Archibald R.
1939
Haute école épiscopale
HOYT, Joseph G.
1840
Chancelier, université de Washington (1858-1862)
IVES, Chauncey B.
1928
Ecole Adirondack-Floride
JOHNSON, Charles F.
1855
Professeur de mathématiques, académie navale U. S (1865-1870), collège Trinity (1884-1906)
JOHNSTON, Henry Phelps
1862
Professeur d’histoire, collège de la ville de New York (1883-1916)
JOHNSTON, William
1852
Professeur de littérature anglaise, universités d’état de Washington & Lee (1867-1877) et Louisiana(1883-1889)
JONES, Theodore S.
1933
Institut d’art contemporain
JUDSON, Isaac N.
1873
Inconnu
KELLOGG, Fred W.
1883
Inconnu
KIMBALL, John
1858
Inconnu
KINGSBURY, Howard T.
1926
Ecole Westminster
KINNE, William
1948
Inconnu
KNAPP, John M.
1936
Université de Princeton
KNOX, Hugh
1907
Inconnu
LEARNED, Dwight Whitney
1870
Professeur d’histoire de l’église, collège Doshiba, Japon (1876-1928)
McCLINTOCK, Norman
1891
Professeur de zoologie, universités de Pittsburgh (1925-30), Rutgers (1932-36)
MACLEISH, Archibald
1915
Librairie du congrès (1939-1944), UNESCO, département d’état, OWI, université Howard
MACLEISH, William H.
1950
Inconnu
MACLELLAN, George B.
1858
Inconnu
MOORE, Eliakim H.
1883
Professeur de mathématiques, université de Chicago (1892-1931)
MORSE, Sidney N.
1890
Inconnu
NICHOLS, Alfred B.
1880
Professeur d’allemand, collège Simmons (1903-1911)
NORTON, William B.
1925
Professeur d’histoire, université de Boston
OWEN, Edward T.
1872
Professeur de français, université du Wisconsin (1879-1931)
PARSONS, Henry McI
1933
Université Columbia
PERRY, David B.
1863
Président, collège Douana (1881-1912)
PINCKARD, Thomas C.
1848
Inconnu
POMEROY, John
1887
Professeur de droit, université de l’Illinois (1910-1924)
POTWIN, Lemuel
1854
Professeur, université Western Reserve (1871-1906)
REED, Harry L.
1889
Président, séminaire théologique Auburn (1926-1939)
RICHARDSON, Rufus B.
1869
Directeur de l’école américaine d’études classiques, Athènes (1893-1903)
RUSSEL, William H.
1833
Ecole collégiale, Hartford
SEELY, Wm. W.
1862
Doyen, faculté médicale, université de Cincinnati (1881-1900)
SHIRLEY, A.
1869
Inconnu
SOUTHWORTH, George CS
1863
Séminaire théologique de Bexley (1888-1900)
SPRING, Andrew J.
1855
Inconnu
STAGG, Amos A.
1888
Directeur d’éducation physique, université de Chicago
STILLMAN, George
1935
Ecole St Paul
SUTHERLAND, Richard O.
1931
Inconnu
THACHER, William L.
1887
Inconnu
TIGHE, Lawrence G.
1916
Trésorier de Yale
TWICHELL, Charles P.
1945
Ecole St Louis Country Day
TYLER, Charles M.
1855
Professeur d’histoire, université Cornell (1891-1903)
TYLER, Moses Coit
1857
Professeur à Cornell (1867-1900)
VOGT, T. D.
1943
Inconnu
WALKER, Horace F.
1889
Inconnu
WATKINS, Charles L.
1908
Directeur, école d’art Phillips
WHITE, John R.
1903
Inconnu
WHITNEY, Emerson C.
1851
Inconnu
WHITNEY, Joseph E.
1882
Inconnu
WILLIAMS, James W.
1908
Inconnu
WOOD, William C.
1868
Inconnu
YOUNG, Benham D.
1848
Inconnu
YARDLEY, Henry A.
1855
Ecole Divinity de Berkeley (1867-1882)
  hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...
Mémorandum numéro sept :
Les Objectifs de l'Ordre pour l’éducation
  Nous pouvons déduire les objectifs de L'Ordre pour l’éducation des évidences présentées et en examinant le travail et l’influence de John Dewey, le créateur espiègle de la théorie pédagogique moderne. Comment est-ce que nous faisons ceci ? Nous avons besoin d'examiner en premier le rapport de Dewey avec L'Ordre. Alors comparez la philosophie de Dewey avec Hegel et avec la philosophie et les objectifs de la pratique pédagogique moderne. Ces objectifs pédagogiques n'ont pas, dans l'ensemble, été provoqués par l’action gouvernementale. En fait, si l'état présent de l'éducation avait été provoqué par la législation, il aurait été défié pour anti-constitutionnalité. Au contraire, la philosophie et la pratique du système d'aujourd'hui ont été accomplis par l’injection de fonds privés massifs par les fondations sous influence, et quelquefois sous le contrôle, de L'Ordre. Cette mise en oeuvre que nous décrirons dans un futur volume, Comment L’Ordre contrôle les Fondations. En fait, l'histoire de la mise en oeuvre des objectifs de Dewey est aussi l'histoire des plus grandes fondations, c.-à-d., Ford, Carnegie, Rockefeller, Peabody, Sloan, Slater et Twentieth Century.
Comment John Dewey est lié à L'Ordre
John Dewey a travaillé pour son doctorat à l’université Johns Hopkins de 1882-86 sous le philosophe Hégélien George Sylvester Morris. Morris avait son doctorat de l’université de Berlin et a étudié sous les mêmes professeurs que Daniel Gilman, c.-à-d., Adolph Trendelenberg et Hermann Ulrici. Ni Morris ni Dewey sont membres de L'Ordre, mais le lien est clair. Gilman a embauché Morris, sachant très bien que l’hégélianisme est un corps totalement intégré de connaissance et facile à reconnaître. C'est aussi différent de l'école empirique britannique de John Stuart Mill que la nuit et le jour. La psychologie de John Dewey a été prise de G. Stanley Hall, le premier étudiant américain à recevoir un doctorat de Wilhelm Wundt à l’université de Leipzig. Gilman savait exactement ce qu'il obtenait quand il a embauché Hall. Avec seulement un douzaine de membres de la faculté, tout ont été embauchés personnellement par le Président. En bref, la philosophie et la psychologie sont venues à Dewey par des universitaires choisis avec soin par L'Ordre. De Johns Hopkins Dewey est allé comme professeur de philosophie à l’université du Michigan et en 1886 à publié Psychologie, un mélange de philosophie Hégélienne appliquée à la psychologie expérimentale de Wundt. Il s'est bien vendu. En 1894 Dewey est allé à l’université de Chicago et en 1902 a été nommé Directeur de la récemment fondée - avec l'argent de Rockefeller - École d'Éducation (School of Education). L'Université de Chicago elle-même avait été fondée en 1890 avec les fonds Rockefeller - et dans un futur volume nous suivrons ceci à travers Frederick Gates (de Hartford, Connecticut), et la famille Pillsbury (L'Ordre). L'Université de Chicago et le Collège de Professeurs de Columbia étaient les écoles professionnelles clés pour l’éducation moderne.  
L'Influence de Dewey
  En regardant John Dewey après 80 années de son influence, il peut être reconnu comme le facteur prééminent dans la collectivisation, ou l’Hégélianisation, des écoles américaines. Dewey était uniformément un philosophe du changement social. C'est pourquoi son impact a été si profond et envahissant. Et c'est dans le travail et la mise en oeuvre des idées de John Dewey que nous pouvons trouver l'objectif de L'Ordre. Quand L'Ordre a amené G. Stanley Hall de Leipzig à l’université Johns Hopkins, John Dewey était déjà là, attendant pour écrire sa dissertation doctorale sur « La Psychologie de Kant. » Déjà un Hégélien en philosophie, il a acquis et a adapté la psychologie expérimentale de Wundt et Hall à son concept d'éducation pour le changement social. Pour illustrer ceci, voici une citation de John Dewey dans Mon Credo Pédagogique – My Pedagogic Creed : « L'école est à l'origine une institution sociale. L’éducation est un processus social, l'école est simplement cette forme de vie de la communauté dans qui tous ces organismes sont concentrés qui sera très efficace en amenant l'enfant à partager dans les ressources héritées de la course, et à utiliser ses propres pouvoirs pour des fins sociales. L'éducation, par conséquent, est un processus de vie et pas une préparation pour la vie future. » Ce que nous apprenons de ceci est que l'éducation de Dewey n'est pas centrée sur l’enfant mais centrée sur l'État, parce que pour l’Hégélien, les « fins sociales » sont toujours les fins de l'État. C'est là le gouffre du malentendu entre les parents modernes et les débuts du système pédagogiques. Les parents croient qu'un enfant va à école pour apprendre des compétences afin de les utiliser dans le monde adulte, mais Dewey constate spécifiquement que cette éducation n’est « pas une préparation pour la vie future. » Le système pédagogique de Dewey n'accepte pas le rôle de développer les talents d'un enfant mais, contrairement, seulement de préparer l'enfant pour fonctionner comme une unité dans une totalité organique – en termes émoussés une dent dans la roue d'une société organique. Alors que la plupart des américains ont des valeurs morales enracinées dans l'individu, les valeurs du système scolaire sont enracinées dans le concept Hégélien de l'État comme l'absolu. Aucun étonnement ici est malentendu !  
L'Enfant Individuel
  Quand nous comparons Hegel, John Dewey, et les penseurs pédagogiques d'aujourd'hui et faiseurs, nous trouvons une ressemblance extraordinaire. Pour Hegel l'individu n'a pas de valeur sauf s’il ou elle exécute une fonction pour la société : « L'État est la réalité absolue et l'individu lui-même a seulement une existence objective, une vérité et une moralité dans sa capacité comme membre de l'État. » John Dewey a essayé de brosser la liberté de l'individu vers un côté. Dans un article, « Démocratie et Administration Pédagogique »  (School & Society, XVL, 1937, p. 457) Dewey parle au sujet de « l’individuel perdu », et alors répète Hegel dans les termes suivants : « la liberté est la participation de chaque être humain mûr dans la formation des valeurs qui règlent la vie des hommes ensemble. » C'est du pur Hegel, c.-à-d., l'homme trouve seulement la liberté dans l’obéissance à l'État. Comme un critique, Horace M. Kallen a déclaré, John Dewey avait un « aveuglement vers l’absolue individualité des individus. » En d'autres termes, pour Dewey l’homme n'a pas de droits individuels. L'homme existe seulement pour servir l'État. C'est directement contradictoire à la Déclaration d'Indépendance et à la Constitution avec le préambule « Nous le peuple. »  Ils vont alors définir les droits del'état qui sont toujours subordonnés et sujets à la volonté de « Nous le peuple. » C’est pourquoi, bien sûr, les éducateurs modernes ont une grande difficulté dans l’introduction de la Constitution dans le travail scolaire. Leurs idées suivent Hegel et Dewey et indirectement les objectifs de L'Ordre. Par exemple : « Une tentative devrait être faite pour rétablir l'insistance excessive présente sur l’individualisme dans les programmes en cours… les étudiants ont besoin de développer un sens de communauté et d’identité collective. »  (Direction pédagogique, mai 1982, William B. Stanley, Asst. Professeur, Dept. de Programme et Instruction, Université de l'Etat de Louisiane).
Le But de l'Éducation
Qu'est-ce que le but de l'éducation alors, si l'individu n'a pas de droits et existe seulement pour l'État ? Il n'y avait aucun besoin pour Hegel de décrire l'éducation, et aussi si loin que nous savons il n'y a purement aucune déclaration sur l’éducation dans les écrits de Hegel. C'est inutile. Pour Hegel chaque qualité d'un individu existe seulement à la clémence et à la volonté de l'État. Cette approche est reflétée dans les systèmes politiques basés sur Hegel que ce soit le communisme soviétique ou le national socialisme hitlérien. John Dewey suit la vue organique de la société de Hegel. Par exemple : « L'éducation consiste soit dans la capacité d'utiliser ses pouvoirs dans une direction sociale ou autrement dans la capacité de partager dans l'expérience des autres et donc élargit la conscience individuelle jusque là de la course »  (Conférences Pour Le premier Cours dans Pédagogy). Cette dernière phrase est évocatrice de la philosophie Hitlérienne de course (c.-à-d., bon Hégélianisme). Et les éducateurs d'aujourd'hui reflètent cette approche. Voici une citation de John Vasconcellos de Californie lors d’une assemblée, qui se trouve être aussi le président de la commission paritaire sur le plan principal pour l’enseignement supérieur et du comité des buts de l'éducation pour l’assemblée de l’état de Californie - un poste clé : « Il est temps maintenant pour une nouvelle vision de nous-mêmes, de l'homme, de la nature humaine et du potentiel humain, et une nouvelle théorie des politiques et des institutions fondées sur cette vision. Quelle est cette vision d'Homme ? Que le naturel, entier, organisme de l'être humain est d’aimer…  que la poussée de base de cet homme est vers la communauté »  (cité dans Rex Myles, Brotherhood and Darkness, p. 347). Qu’est cette « élargissement de la conscience individuelle »  (Dewey) et  cette «  poussée vers la communauté »  (Vasconcellos) ? Dépouillé de la langue pédante c'est le nouvel ordre mondialune société organique mondiale. Mais il n'y a aucune provision pour un ordre organique global dans la Constitution. En fait, c'est illégal pour tout officier du gouvernement ou fonctionnaire choisi pour déplacer les États-Unis vers un tel ordre comme ce serait clairement contradictoire avec la Constitution. Pour être sûr, Dewey n'était pas fonctionnaire public, mais Vasconcellos a apporté un serment de fidélité à la Constitution. La vue populaire d'un ordre global est probablement que nous avons mieux à faire avec nos problèmes à la maison avant d’être impliqués dans ces idées ésotériques. La corruption politique, les niveaux pédagogiques pitoyablement bas, et la bureaucratie insensible sont probablement plus inquiétants pour les américains. C'est difficile de voir ce que le nouvel ordre mondial doit faire avec l’éducation des enfants, mais c'est là dans la littérature. Fichte, le prédécesseur de Hegel de qui beaucoup d’idées philosophiques sont provenues, avait un concept défini d'une Ligue des Nations (Volkerbund) et l'idée d'une ligue pour faire respecter la paix. Fichte a affirmé « que cette fédération s’étend au loin et progressivement embrasse le monde entier, la paix perpétuelle commence, la seule relation légale entre états…  » L'Association de l'Éducation Nationale, le lobby pour l’éducation, a produit un programme pour le bicentenaire de 1976 intitulé « Une Déclaration d'Interdépendance : Éducation Pour Une Communauté Globale. » A la page 6 de ce document nous trouvons : « Nous sommes engagés dans l'idée d'une Éducation pour une Communauté Globale. Vous êtes invités à aider pour changer l'engagement en action et mobiliser l'éducation mondiale pour le développement d'une communauté mondiale. » Un objectif presque parallèle à Hegel est dans Connaissance de Soi Et Action Sociale par Obadiah Silas Harris, Professeur Associé de Direction Pédagogie et Développement à l’université d’état New Mexico, à Las Cruces, Nouveau Mexique : « Quand les éducateurs de la communauté disent que l'éducation de la communauté prend en considération l'individu total et son environnement total, ils signifient précisément ceci : le champ d'éducation de la communauté inclut l'individu dans sa structure psychophysique totale et son climat écologique entier avec toutes ses ramifications - social, politique, économique, culturel, spirituel, etc. Il cherche à intégrer l'individu dans lui-même (sic) et dans sa communauté jusqu'à ce que l'individu devienne une âme cosmique et la communauté le monde. » Et à la page 84 du même livre : « L'âme Cosmique… la race humaine entière va développer une âme efficace de son propre - l'âme cosmique de la race. C'est le futur de l'évolution humaine. Par suite de l'apparition de l'âme universelle, il y aura une grande unification de la race humaine entière, en introduisant dans l’existence une nouvelle époque, une nouvelle aube de puissance mondiale unique. » Cette dernière citation sonne même plus comme du Adolphe Hitler que du président d’assemblée John Vasconcellos. Il y a le même mélange de surnaturel, d'ethnique et d’absolutisme. En conclusion nous avons besoin seulement de citer la Constitution, le corps de base de la loi sous laquelle les États-Unis sont gouvernés. La compréhension générale de la Constitution sur le rapport entre l'individu et l'État est que l'individu est suprême, l'État existe seulement pour servir les individus et l'État n'a aucun pouvoir excepté par l’autorisation formelle des gens. Cela est garanti par les Amendements IX et X de la Constitution. Amendement IX nous lisons, « L'énumération dans la Constitution de certains droits ne sera pas interprétée pour en nier ou en déprécier d’autres retenus par le Peuple. » Notez, le « retenu ». Et, Amendement X nous lisons, « Les pouvoirs non délégués aux États-Unis par la Constitution, ni interdit par eux aux États, sont réservés respectivement aux États, ou au peuple. » En bref, les propositions de John Dewey et ses partisans sont anticonstitutionnelles. Ils n'auraient jamais vu la lumière du jour dans les classes américaines à moins qu'ils eussent été encouragés par L'Ordre avec son énorme pouvoir.     hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...
Mémorandum numéro huit :  Résumé
  Jusqu'à ce point nous avons établi ce qui suit : (1) Vers 1870 L'Ordre avait l'université de Yale sous son contrôle. Chaque président de Yale depuis Timothy Dwight a été un membre de L'Ordre ou a eu des rapports avec des familles liées à L'Ordre. Il apparaît aussi que quelques diplômés de Yale qui ne sont pas membres de L'Ordre agiront vers des objectifs désirés par L'Ordre. Quelques-uns de ceux-ci, par exemple Dean Acheson, nous pouvons l’identifier comme membres de Scroll and Key, ou avec des parents dans L'Ordre. D’autres cependant qui peuvent être apportés dans notre discussion sont membres de la Wolf’s Head (par exemple, Reeve Schley qui a travaillé pour les Rockefeller). D’autres encore, par exemple Robert Maynard Hutchins (Fonds pour la République), sont diplômés de Yale mais cependant pas identifié comme membres d’aucune société de seniors de Yale. Il apparaît à ce point que l'assertion de Ron Rosenbaum (dans Esquire, 1977), que les membres du pouvoir établi de l'Est qui ne sont pas membres des Skull and Bones seront membres soit de Scroll and Key ou  Wolf’s Head, soit soutenue. (2) D’aussi loin que l'éducation est concernée, la méthode visuelle de lecture provient de Thomas Gallaudet et a été conçue pour les sourds muets. L’aîné Gallaudet n'était pas un membre de L'Ordre, mais ses deux fils (Edson et Herbert Gallaudet) ont été initiés en 1893 et 1898. Horace Mann, une influence notable dans la théorie pédagogique moderne et le premier organisateur de la méthode « dite visuelle »  n'était pas un membre. Cependant, Mann était Président du collège Antioch, et les Taft (L'Ordre) étaient les administrateurs les plus puissants d'Antioch. (3) Nous avons suivi la trace de la philosophie de John Dewey, que l'éducation est de préparer une personne pour aller plutôt dans une société que de développer des talents individuels, à Herbart qui a été influencé par le suisse Pestalozzi. Le développement personnel ne peut pas être accompli en développant des talents individuels, il doit prendre la forme d’une préparation pour servir la société, d'après Herbart, Dewey et Pestalozzi. Pestalozzi était un membre des Illuminati – illuminés de Bavière d’Adam Weishaupt -, avec pour nom de code « Alfred. » Cela lève de nouvelles perspectives pour une recherche future, spécifiquement si L'Ordre peut être lié aux Illuminati. (4) La scène se déplace dans la fin du 19e siècle de Yale à l’université Johns Hopkins. Le membre Daniel Coit Gilman est le premier président de Johns Hopkins et il a la main mise sur tous les membres de L'Ordre (Welch) ou les Hégéliens pour les nouveaux départements. G. Stanley Hall, le premier des étudiants américains de Wilhelm Wundt, a commencé le processus d'Américanisation de Wundt, a établi le premier laboratoire de psychologie expérimentale pour l’éducation aux États-Unis avec les fonds de Gilman, et plus tard a commencé le Journal de Psychologie. John Dewey était un des premiers doctorats de Johns Hopkins (sous Hall et Morris), suivi par Woodrow Wilson, qui était président de l'université Princeton avant qu'il soit devenu président des États-Unis. Nous avons noté qu’à des moments décisifs clés de la carrière de G. Stanley Hall la main directrice de L'Ordre peut être suivie à la trace. Hall est lié aussi à un autre membre de L'Ordre, Alphonso Taft. Nous avons noté que la famille de ce Wilhelm Wundt avait des rapports avec les Illuminati – illuminés de Bavière d’Adam Weishaupt. (5) L'Ordre était capable d'acquérir tous les Morrill Act - droits de subvention pour la terre - de New York et du Connecticut pour Cornell et Yale respectivement. Cependant, le membre Gilman a eu des ennuis comme président de l'université de Californie sur la question des subventions en terre de Californie et sur la corruption parmi les régents des université. La première opposition organisée à L'Ordre est venue du San Francisco Times, mais l’éditeur Henry George n’était pas complètement informé de la nature de sa cible. (6) Le cœur de l'impact de L'Ordre sur l’éducation peut être vu comme une troïka : Gilman à Johns Hopkins, White à Cornell (et ministre américain en Allemagne) et Dwight, suivi par le membre Hadley, à Yale. Andrew White était le premier président de l'Association Historique Américaine. Ruchard T. Ely (pas un membre mais aidé par L'Ordre) est devenu fondateur et premier secrétaire de l'Association Économique Américaine. Les membres peuvent aussi être suivis à la trace dans diverses régions comme l'Observatoire Naval Américain et le Séminaire d’Union Théologique. (7) John Dewey, l'initiateur de la théorie pédagogique moderne, a pris son doctorat à Johns Hopkins sous des Hégéliens. Le travail de Dewey est du pur Hegel en théorie et en pratique, et est totalement contradictoire avec la Constitution des Etats-Unis et les droits de l'individu. Une comparaison des Hégéliens allemand, John Dewey et les théoriciens pédagogiques modernes démontrent le parallélisme. Les enfants ne vont pas à l’école développer des talents individuels mais pour être préparés comme unités dans une société organique. Les écoles expérimentales à l’université de Chicago et l’université de Columbia ont éventé la « nouvelle éducation » partout aux États-Unis. En bref, L'Ordre a initié et contrôlé l’éducation dans ce siècle en contrôlant son CONTENU. Le contenu est en désaccord avec la vision traditionnelle de l'éducation qui voit chaque enfant comme unique et l'école comme un moyen de développer cette originalité. La critique du système pédagogique aujourd'hui contourne l'aspect philosophique fondamental et se concentre sur les omissions, c.-à-d., que les gosses ne peuvent pas lire, écrire, épeler ou entreprendre un exercice simple de mathématique. Si nous regardons le système pédagogique à travers les yeux de L'Ordre et ses objectifs, alors les problèmes changent. Si les professeurs n'apprennent pas l'essentiel, alors qu'est-ce qu'ils font ? Ils paraissent préparer des enfants pour un objectif politique qui se trouve être aussi l'objectif de L'Ordre. L'accentuation est sur un vivant global, en préparant pour une société globale. C'est apparemment pas inquiétant pour l'établissement pédagogique que les enfants ne peuvent pas lire, ne peuvent pas écrire, et ne peuvent pas faire des mathématiques élémentaires… mais ils vont être prêt pour le Nouveau Monde Courageux.  
Résumé de l’influence de L’Ordre dans l’éducation
Institution/Domaine
Directe (Impact majeur seulement)
Indirecte (via un membre de L’Ordre)
Université de Yale
Gilman/Dwight/Hadley/White
Université Cornell
White
Université John Hopkins
Gilman/Welch/White
Hall/Ely/Dewey/
Wilson/Morris
Université de Chicago
Hall/Dewey+aide financière de fondation (Volume III)
Collège de professeurs Columbia
Hall/Dewey+aide financière de fondation (Volume III)
Lecture visuelle
Gallaudet (Edson et Herbert)
Mann/Gallaudet
Influences de :
Horace Mann
Taft
Herbart
Illuminati (Pestalozzi – « Alfred »)
Wundt
Gilman/Taft/White
Association Historique Américaine
White
Association Economique Américaine
Ely
Se reporter aux membres à la fin des mémorandum 1 et 6 pour plus d’influences.     hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...  
Mémorandum Numéro Neuf :
Conclusions Et Recommandations
  Une conclusion générale est que L'Ordre a été capable de convertir le système pédagogique qui visait à développer l'enfant individuel en un système qui a visé à préparer l'enfant pour être une unité dans une société organique, c.-à-d., Hégélienne. Quand nous regardons les fondations philanthropiques dans le volume suivant nous verrons le chemin par lequel cela a été rendu effectif par les fonds de fondations privées. Il n'y a pas d’évidence suffisante pour discuter si le déclin dans les niveaux pédagogiques est un sous-produit accidentel de cette « nouvelle éducation »  ou une politique subsidiaire délibérée. En tout cas, la politique d'administration de Reagan du salaire au mérite composera, ne résoudra pas, le problème. Les recommandations pour une réforme sont revenues par intervalles depuis la fin des années l950 quand les problèmes pédagogiques ont commencé à faire surface. Au temps de Spoutnik il y avait une clameur publique et des cris au sujet de la nature moins évoluée de la formation aux Etats-Unis dans les mathématiques et la science, qui au niveau de l’université ne sont pas du tout arriérées. En tout cas l'établissement pédagogique a reconnu une opportunité et a pleuré, « plus, plus d'argent. »  Ils l'ont obtenu, et il y a eu une expansion massive dans les années 60. Mais les fonds ont été versés dans un conditionnement social. Les mathématiques et les sciences ont repris leur place ces 30 dernières années. Alors en 1981, James S. Coleman de l'université de Chicago a produit une étude d'écoles publiques pour le Département Américain de l'Éducation. Dans cette étude Coleman a utilisé le Centre National de la Recherche sur l'Opinion pour contacter 58,728 étudiants de seconde année et seniors dans 1,016 écoles publiques, paroissiales, et écoles privées à travers les États-Unis. Ses conclusions étaient : - les écoles privées et paroissiales fournissent une éducation plus proche à l'idéal scolaire commun que celle qui est faite dans les écoles publiques, - les étudiants d’école privée apprennent plus qu’à l'école publique en contrepartie, - Coleman a écrit que c'était paradoxal que « les écoles catholiques fonctionne beaucoup plus près de l'idéal américain de l'école commune…  que le font les écoles publiques. » - les écoles privées fournissent « un environnement plus sûr, plus discipliné et plus ordonné »  que les écoles publiques, - «  les noirs et Hispano-américains ont de meilleurs résultats dans les écoles privées. » La raison ? Les écoles privées sont moins sous l'influence de la philosophie pédagogique de Dewey. Ils doivent encore utiliser des professeurs accrédités, mais ces professeurs - tout à fait brusquement - ont été capables de survivre au professeur qui a formé leur conditionnement. Encore l'établissement pédagogique ne voit pas l'écriture sur le mur. En automne 1983 un rapport de John Goodlad, doyen de l'École d'Éducation à l’université de Californie du sud, sera publié. John I. Goadlad a écrit l'avant-propos de Scolariser pour un Âge Global – Schooling For A Global Age (McGraw Hill, 1979) lequel inclut ces commentaires : « L'ingénierie sociale éclairée est exigée pour faire face aux situations qui demandent maintenant l'action globale »  (page xiii). « Les parents et le public en général doivent être atteints…  autrement les enfants et la jeunesse enrôlés dans les programmes globalement orientés peuvent se trouver en conflit avec les valeurs supposées à la maison. » Et plus. Une autre des 345 pages de vision globale en suivant. Rien au sujet de l'enfant comme individu. Rien au sujet de l'enfant comme un dépôt de talents qui ont besoin d'être encouragés. Rien au sujet de l'éducation de base :  les 3 R. Ce rapport Goodlad a été présenté dans le New York Times (19 juillet 1983) comme le plus « complet rapport » jamais fait sur les écoles américaines. Voici quelques propositions de Goodlad : - l'éducation devrait commencer à 4 ans - les écoles devraient être plus petites - les directeurs avec des doctorats devraient être payés plus. Et cela ne fait rien, bien sûr, pour arrêter ce qu'un Commissaire de l'Éducation précédent a appelé « une marée croissante de la médiocrité. » Si les États-Unis doivent survivre dans la venue d’un âge technologique intensif, alors certaines recommandations suivantes. Ce sont : - la fonction de l'école est de développer le talent individuel. La construction sociale comme objectif doit être abandonnée. - Un échouage consciencieux dans les 3 R est essentiel pour une bonne éducation. En d'autres termes, le « contenu » est tout important. - Il s’ensuit que les Écoles d'Éducation devraient être abolies (c'est en discussion sérieuse à l’université Duke et ça a été proposé à l’université du Michigan et même Cal Berkeley). - Les références du professeur devraient être basées entièrement sur la matière du sujet, pas sur une théorie pédagogique. - Toutes les restrictions sur les écoles privées devraient être abolies. - Les écoles publiques devraient être rendues à un contrôle local.  
Traduction intégrale du chapitre, page 60 à 112 incluse de l'original en anglais.Traduction modeste de François-Xavier Obrador.

hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...
COMMENT L'ORDRE DES SKULL AND BONES
CRÉE DES GUERRES ET DES RÉVOLUTIONS.
Source : http://www.barruel.com/guerre-revolution-skull-and-bones-sutton.html  
PRÉFACE.
L'histoire opérationnelle de l'Ordre peut être comprise seulement dans une structure de processus de dialectique Hégélienne. C'est simplement la notion que les conflits créent l'histoire. De cet axiome il découle que ce conflit contrôlé peut créer une histoire prédéterminée. Par exemple : Quand la Commission Trilatérale discute d'un "conflit dirigé", comme elle le fait largement dans sa littérature, la Commission implique l'usage dirigé de ce conflit pour des fins prédéterminées à long terme, non pas pour le simple exercice aléatoire du contrôle manipulé pour résoudre un problème. La dialectique que prend ce processus de "conflit dirigé" de la Trilatérale sera traité un peu plus loin.En termes Hégéliens, une force existante (la thèse) produit une contre-force (l'antithèse). Le conflit entre les deux forces conduit à la formation d'une synthèse. Alors le processus recommence encore : thèse contre antithèse résulte en synthèse. La synthèse recherchée par le pouvoir établi est appelée le Nouvel Ordre Mondial. Sans conflit contrôlé ce Nouvel Ordre du Mondial ne se produira pas. Des actions individuelles aléatoires de personnes dans la société ne mèneraient pas à cette synthèse, c'est artificiel, il doit par conséquent être créé. Et cela est fait par l'usage calculé, dirigé, de conflits. Et pendant le temps que cette synthèse est recherchée, il n'y a pas de profit en jouant les parties compliquées de l'un contre l'autre. Cela explique pourquoi les banquiers internationaux ont soutenu les Nazis, l'Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vietnam du Nord, contre les États-Unis. Le "conflit" bâtit des profits en poussant le monde vers un gouvernement mondial. Le processus continue aujourd'hui. Nous nous excusons pour la mauvaise qualité de quelques documents inclus dans ce volume. Ce sont les meilleures copies qui existent aujourd'hui. En fait, c'est un miracle qu'ils aient survécu à tout… Par exemple, les lettres entre le Patriarche Amos Pinchot (Club D. 95) et le Patriarche William Kent (Club D. 85) auraient été presque certainement détruites si une commission de l'état de New York n'avait pas saisi les documents comme pièces dans une enquête sur la subversion aux États-Unis. Cependant, même là où le contenu ne peut pas être identifié clairement, l'existence même d'un texte fragmentaire prouve un point vital : Il y a un effort commun calculé parmi les Patriarches pour provoquer un objectif spécifique. En outre, la nature diverse incompatible de ces efforts, remarquée même dans les lettres entre les Patriarches, peut être expliquée seulement dans les termes de la dialectique Hégélienne. En bref, l'existence de ces documents est juste aussi importante que la nature du contenu. Cela démontre des actions jointes planifiées, donc, UNE CONSPIRATION !   Antony C. Sutton, Avril 1984.   hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...  
Mémorandum numéro un : Conflit créé et processus dialectique.
  I. INTRODUCTION. Le premier volume de ces séries (Introduction à l'Ordre) a décrit en des termes généraux la nature et les objectifs de l'Ordre. Notre première hypothèse, que les États-Unis ont été gouvernés par une élite, une société secrète, a été supportée par une évidence documentaire : une telle société secrète existe, son adhésion est dissimulée, et la révélation de l'adhésion n'est pas un effort volontaire. De plus, depuis la publication du premier volume, la Sterling Library à l'université de Yale qui a des contenus majeurs de leurs rapports, a refusé d'autoriser aux chercheurs des accès supplémentaire aux papiers de la Russell Trust (le nom légal de l'Ordre). Nous avons aussi discuté dans le premier volume que les opérations de l'Ordre doivent être vues et doivent être expliquées dans un processus de dialectique Hégélienne. Leurs opérations ne peuvent pas être expliquées par aucune autre philosophie ; par conséquent l'Ordre ne peut pas être décrit comme de « droite » ou de « gauche », séculier ou religieux, marxiste ou capitaliste. L'Ordre, et ses objectifs, est tous ceux-ci et aucun de ceux-ci. Dans la philosophie Hégélienne le conflit politique « droite » et « gauche », ou thèse et antithèse dans le vocabulaire Hégélien, est essentiel au mouvement de l'histoire et au changement historique lui-même. Un conflit entre la thèse et l'antithèse provoque une synthèse, c.-à-d., une nouvelle situation historique. Notre description de l'histoire mondiale dans les pays de l'Ouest et les pays marxistes consiste seulement à la description et l'analyse dans une structure politique de « droite » ou de « gauche ». Par exemple, le travail historique publié à l'Ouest voit le communisme et le socialisme à travers les yeux du capitalisme financier ou du marxisme. Le travail historique publié en Union Soviétique voit l'Ouest seulement à travers les yeux du Marxiste. Cependant, il y a un autre cadre pour l'analyse historique qui n'a jamais été utilisé - aussi loin que nous pouvons le déterminer -, c.-à-d., d'utiliser une structure de logique Hégélienne, de déterminer si ces élites qui contrôlent l'État utilisent le processus dialectique pour créer une synthèse historique prédéterminée. Seulement des visions momentanées alléchantes de tout un tel processus créatif peuvent être trouvées dans les travaux historiques modernes. Les visions momentanées les plus persuasives sont celles dans Tragedy and Hope de Carroll Quigley que nous citerons. Rarement des politiciens de la périphérie du pouvoir élitiste ont autorisé de brèves perspicacités aux yeux du public. Par exemple, le président Woodrow Wilson a fait une déclaration révélatrice : « Quelques-uns des plus grands hommes des États-Unis dans les champs du commerce et de l'industrie savent qu'il y a un pouvoir si organisé, si subtil, si complet, si envahissant qu'il est préférable de ne pas en parler trop fort quand ils en parlent en le condamnant. » Qui ou qu'est ce pouvoir ? Et comment est-ce qu'il est utilisé ? Ces séries discutent de la situation mondiale courante créée délibérément par ce pouvoir élitiste plus ou moins par manipulation d'éléments de « droite » et de « gauche ». Nous discutons de la plus puissante de toutes les élites mondiales qui a, pendant les 100 années passées, développé les deux éléments de droite et de gauche pour provoquer un Nouvel Ordre Mondial. Il n'est pas question que le soi-disant pouvoir établi aux États-Unis utilise le « conflit dirigé ». La pratique de « direction » des crises pour provoquer un résultat favorable, qui est, favorable à l'élite, est librement admis dans la littérature de, par exemple, la commission Trilatérale. En outre, il n'y a pas de doute que les décisions de guerre et de paix soient prises par quelques uns dans l'élite et non pas par la majorité dans le processus du vote à travers un référendum politique. Ce volume explore quelques décisions majeures de conflits prises par quelques-uns dans l'Ordre et le chemin dans lequel les situations droite-gauche ont été créées délibérément et alors placées dans un mode de conflit pour provoquer une synthèse. Finalement, nous rattacherons ces décisions et ces opérations à l'élite et spécifiquement à l'Ordre.  

II. COMMENT TRAVAILLE LE PROCESSUS DIALECTIQUE

Pendant les 200 dernières années, depuis la montée de Kant dans la philosophie allemande, nous pouvons identifier deux systèmes incompatibles de philosophie et ainsi opposer des idées de l'État, la société et la culture. Aux Etats-Unis, au Commonwealth britannique et en France, la philosophie est basée sur l'individu et les droits de l'individu. Alors qu'en Allemagne du temps de Kant, à travers Fichte et Hegel jusqu'à 1945, la racine philosophique a été la fraternité universelle, le refus de l'individualisme et l'opposition générale à la pensée classique libérale de l'ouest dans presque tous ses aspects. L'idéalisme allemand, comme nous l'avons noté dans les premiers volumes de ces séries, était la base philosophique pour le travail de Karl Marx et les Hégéliens de gauche aussi tels que Bismarck, Hitler et les Hégéliens de droite. C'est le paradoxe : que Hegel a donné une base théorique non seulement au plus conservateur des mouvements allemand, mais aussi à la plupart des mouvements révolutionnaires du l9° siècle. Marx et Hitler ont leurs racines phliosophiques dans Hegel. Du système Hégélien de pensée politique, étranger à la plupart d'entre nous dans l'Ouest, provient de telles absurdités comme l'État doit être vu comme la « marche de Dieu à travers l'histoire », que l'État est aussi Dieu, que le seul devoir d'un citoyen est de servir Dieu en servant l'État, que l'État est la Raison Absolue, qu'un citoyen peut trouver seulement la liberté par l'adoration et l'obéissance complète à l'État. Cependant, nous avons aussi noté dans Comment l'Ordre contrôle l'éducation que les absurdités Hégéliennes ont entièrement pénétré le système pédagogique américain sous la pression de quelques organisations comme la National Education Association et des fondations majeures. De ce système de philosophie Hégélienne vient la dialectique historique, c.-à-d., que tous les événements historiques émergent d'un conflit entre des forces opposées. Ces nouveaux événements sont au-dessus et différents des événements opposés. Toute idée ou mise en oeuvre d'une idée peuvent être vues comme une THÈSE. Cette thèse encouragera l'apparition de forces opposées, connue comme l'ANTITHÈSE. Le dernier résultat ne sera ni thèse ni antithèse, mais une synthèse des deux forces en conflit. Karl Marx, dans Das Kapital, a posé le capitalisme comme thèse et le communisme comme antithèse. Ce qui a été complètement ignoré par les historiens, y compris les marxistes, est que tout fracas entre ces forces ne peut pas mener à une société qui est capitaliste ou communiste mais doit mener à une société caractérisée par une synthèse des deux forces incompatibles. Le fracas des contraires dans le système Hégélien ne doit pas non plus provoquer ni une société capitaliste ni communiste. De plus, dans la conception Hégélienne des évènements, cette nouvelle synthèse reflétera le concept de l'État comme Dieu et l'individu comme totalement subordonné à un État tout puissant. Qu'est-ce qu’est alors la fonction d'un Parlement ou d'un Congrès pour les Hégéliens ? Ces institutions sont simplement pour permettre aux individus de sentir que leurs opinions ont de la valeur et permettre à un gouvernement de profiter de n'importe quelle sagesse que le « paysan » peut accidentellement démontrer. Comme l'écrit Hegel : « En raison de cette participation, la liberté subjective et la vanité, avec leur opinion générale, (les individus) peuvent se montrer manifestement efficaces et aimer la satisfaction de se sentir compter pour quelque chose. » La guerre, le conflit organisé de nations pour les Hégéliens, est seulement le résultat visible du fracas entre des idées. Comme John Dewey, l'hégélien chéri du système pédagogique moderne, le note : « La guerre est le prédicateur le plus efficace de la vanité de tous les intérêts limités, elle met seulement fin à cet égoïsme égoïste de l'individu par lequel il réclamerait sa vie et sa propriété comme son propre ou comme sa famille. » (John Dewey, GermanPhilosophy and Politics, p. 197) Bien sûr, ce paragraphe encourageant la guerre de Dewey est commodément oublié par la National Education Association, qui est aujourd'hui occupée dans le « mouvement pour la paix » - précisément quand un mouvement de « paix » aide le plus les Hégéliens soviétiques. Par dessus tout, la doctrine Hégélienne est plutôt le droit divin des États que le droit divin de rois. L'État pour Hegel et les Hégéliens est Dieu sur terre : « La marche de Dieu en histoire est la cause de l'existence des États, leur fondation est le pouvoir de la Raison qui réalise elle-même sa volonté. Chaque État, quoi qu'il soit, participe à l'essence divine. L'État n'est pas le travail de l'art humain, seulement la Raison pourrait le produire. » (Philosophy of Right) Pour Hegel l'individu n'est rien, l'individu n'a pas de droits, la moralité consiste uniquement à suivre un chef. Pour l'individu ambitieux, la règle est celle du Sénateur Mansfield : « Pour partir vous devez avancer ». Comparez ceci à l'esprit et à la lettre de la Constitution des États-Unis : « Nous le peuple » accordons à l'État quelques pouvoirs et réservons tous les autres au peuple. La séparation de l'Église et de l'État est marquée dans la Constitution Américaine, une dénégation de « l'État est Dieu sur terre » de Hegel. Encore, comparez cette exigence légale aux actions de l'Ordre des Skull and Bones aux États-Unis, Le Groupe en Angleterre, les Illuminati en Allemagne, et le Politburo en Russie. Pour ces élitistes l'État est suprême et une élite auto-proclamée conduit les actes de l'État en effet comme Dieu sur terre.  

III. J.P. MORGAN UTILISE LE PROCESSUS DIALECTIQUE.

  Le concept de la dialectique Hégélienne est évidemment au-delà la compréhension des écrivains de manuels scolaires modernes. Aucun livre de théorie historique ou politique que nous connaissons ne discute de l'usage possible de la dialectique Hégélienne dans la politique américaine. Bien que son usage a été enregistré par le Professeur Carroll Quigley dans Tragedy and Hope, un livre commercial basé sur des documents du Council on Foreign Relations - CFR. Quigley ne décrit pas seulement le banquier J.P. Morgan usant de la « droite » et de la « gauche » comme des appareils compétitifs pour une manipulation politique de la société, mais ajoutons un commentaire qui ouvre l’œil : « Malheureusement nous n'avons pas de place ici pour cette grande et immense histoire, mais il doit être retenu que ce que nous disons fait partie d'une image beaucoup plus grande ». (Tragedy and Hope, p. 945) Cette image beaucoup plus grande est en partie révélée dans ce livre. En premier notons brièvement comment J.P. Morgan a utilisé le processus dialectique comme moyen de contrôle politique pour des fins financières. Le seul collège fréquenté par Morgan a été 2-3 ans vers la mi 1850 à l'université de Göttingen, en Allemagne, qui était un centre d'activisme Hégélien. Nous n'avons aucun dossier sur quelque société secrète que Morgan ait joint, pas plus que le KONKNEIPANTEN, un des corps d'étudiants. Pourtant l'Hégélianisme allemand est apparent dans l'approche de J.P. Morgan des partis politique - Morgan les a tous utilisés. Comme commente Quigley : « Les associations entre Wall Street et la « gauche », dont Mike Straight est un bon exemple, sont vraiment les survivances des associations entre la banque Morgan et la « gauche ». Pour Morgan tous les partis politique étaient simplement des organisations pour être utilisées, et l'entreprise toujours prudente était de garder un pied dans tous les camps. Morgan lui-même, Dwight Morrow, et d'autres partenaires ont été alliés avec les Républicains ; Russell C. Leffingwell a été allié avec les Démocrates ;Grayson Murphy a été allié avec l'extrême droite ; et Thomas W. Lamont a été allié avec la gauche. Comme l'intérêt de Morgan pour les bibliothèques, les musées, et l'art, son incapacité de distinguer entre la loyauté aux États-Unis et la loyauté à l'Angleterre, sa reconnaissance du besoin de travail social parmi le pauvre, les points de vues politiques multiples de la firme Morgan dans la politique domestique reviennent au fondateur original de l'entreprise, George Peabody (1795-1869). À cette même figure séminale peut être attribué l'usage de fondations exemptées d'impôts pour contrôler ces activités, comme cela peut être observé dans beaucoup de parties de l'Amérique à ce jour, dans l'usage des fondations Peabody pour soutenir des bibliothèques et des musées Peabody. Malheureusement, nous n'avons pas de place ici pour cette grande et immense histoire, mais il doit être rappelé que ce que nous disons fait partie d'une image beaucoup plus grande ». (ibid.) Quigley ne savait rien du lien entre la firme Morgan, d'autres intérêts financiers de New York et L'Ordre. Comme nous l'avons noté auparavant, Quigley a publié un exposé précieux du pouvoir établi britannique nommé « le Groupe ». Et nous savons de correspondance personnelle que Quigley a suspecté plus qu'il a publié, mais l'identification d'une élite américaine ne faisait pas partie du travail de Quigley. Les noms Harriman, Bush, Acheson, Whitney - même Stimson - ne paraissaient pas dans The AngloAmerican Establishment. Nous pouvons prendre par conséquent le paragraphe précité de Tragedy and Hope de Quigley et insérer l'identification de l'Ordre. Le paragraphe devient alors plus révélateur. Bien que Morgan lui-même ne fût pas un membre de l'Ordre, quelques-uns de ses partenaires l'étaient, et après que la mort de Morgan l'entreprise est devenue Morgan, Stanley & Co. Le « Stanley » était Harold Stanley (l'Ordre 1908). Du temps de Morgan l'influence de l'Ordre vient du partenaire Henry P. Davison, dont le fils H.P. Davison, Jr. été initié en 1920. L'aîné Henry P. Davison a amené Thomas Lamont et Willard Straight dans la firme Morgan. Ces partenaires étaient des instruments dans la construction de l'aile gauche de la dialectique de Morgan, y compris le parti communiste des U.S.A. (avec Julius Hammer, dont le fils est aujourd'hui président d'Occidental Petroleum). Le partenaire de Morgan, Thomas Cochran, a été initié en 1904. Cependant, c'était dans le réseau des entreprises dominées et affiliées de Morgan, plutôt que dans l'association elle-même, que l'on trouve des membres de l'Ordre. Dans des firmes comme la Guaranty Trust et Bankers Trust, quelque peu enlevés du centre financier J. P. Morgan, bien que sous le contrôle de Morgan, nous trouvons des concentrations d'initiés (comme nous allons le décrire dessous). Cette pratique par l'Ordre de supporter les deux, « droite » et « gauche », persiste jusqu'au jour présent. Par exemple, nous trouvons en 1984 qu'Averell Harriman (L'Ordre 1913) est l'homme politique le plus âgé du Parti démocrate pendant que George Bush (L'Ordre 1948) est vice-président Républicain et chef de la mal nommée aile « modérée » (réellement extrémiste) du Parti républicain. Dans le centre nous avons un soi-disant « indépendant », John Anderson, qui reçoit en fait un lourd soutien financier de l'élite.

IV. LA CRÉATION DE GUERRE ET DE RÉVOLUTION.

Cette manipulation de la « gauche » et la « droite » sur le front domestique est dupliquée dans le champ international où les structures politiques de « gauche » et de « droite » sont construites artificiellement et se sont écroulées dans la conduite vers une synthèse d’« un monde ». Les manuels scolaires de collèges présentent la guerre et la révolution comme plus ou moins des résultats accidentels de forces en conflit. La déchéance de négociation politique en conflit physique vient, d'après ces livres, après de vaillants efforts pour éviter la guerre. Malheureusement, ceci est absurde. La guerre est toujours un acte créatif délibéré par des individus. Les manuels scolaires de l'Ouest ont aussi des intervalles géants. Par exemple, après la seconde guerre mondiale les tribunaux installés, qui enquêtent sur les criminels de guerre Nazis, étaient prudents de censurer tout matériel qui enregistrait l'assistance de l'Ouest à Hitler. Par le même procédé, sur le développement économique Soviétique, les manuels scolaires de l'Ouest omettent toute description de l'aide économique et financière donnée à la révolution de 1917 et le développement économique subséquent des firmes et des banques de l'Ouest. La révolution est toujours enregistrée comme un événement spontané par des privés politiquement ou économiquement, contre un état autocratique. Jamais dans les manuels scolaires de l'Ouest voulez vous trouver l'évidence que les révolutions ont besoin de finance et la source de la finance, dans beaucoup de cas, remonte à Wall Street. Par conséquent il peut être discuté que notre histoire de l'Ouest est à chaque morceau comme déformée, censurée, et en grande partie inutile comme celle de l'Allemagne de Hitler ou de l'Union Soviétique ou de la Chine Communiste. Aucune Fondation de l'Ouest n'accordera des subventions pour enquêter sur de tels sujets, peu d'universitaires de l'Ouest peuvent « survivre » en faisant des recherches sur de telles thèses et certainement aucun éditeur majeur n'acceptera facilement des manuscrits qui reflètent de tels arguments. En fait, il y a une autre histoire en grande partie non enregistrée et elle dit une histoire tout à fait différente que celle de nos manuels scolaires assainis. Elle dit une histoire de la création délibérée de guerre, la connaissance de la finance de la révolution pour changer des gouvernements, et l'usage du conflit pour créer un Nouvel Ordre Mondial. Dans le mémorandum numéro deux suivant nous décrirons les véhicules opérationnels utilisés pour créer deux révolutions et un conflit mondial. Alors, dans les mémorandums trois et quatre, nous explorerons la thèse et l'antithèse dans un épisode historique majeur - le développement et la construction de l'Union Soviétique (thèse) et l'Allemagne de Hitler (antithèse). Dans le mémorandum numéro cinq nous explorerons la continuation de ce conflit dialectique dans les dernières décennies, spécifiquement l'Angola et la Chine aujourd'hui. Nous montrerons que le but de L'Ordre est de créer une nouvelle synthèse, un Nouvel Ordre Mondial, suivant les règles Hégéliennes où l'État est l'Absolu et l'individu peut seulement trouver la liberté dans l'obéissance aveugle à l'État.   hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...    
MEMORANDUM NUMERO DEUX :
Véhicules opérationnels pour la création d'un conflit.
 

I. UNE FACON DE PENSER UNIVERSELLE.

Notre première tâche est de casser une façon de penser presque universellement tenue, c.-à-d., que les communistes et les élites capitalistes sont des ennemis amers. Cet axiome marxiste est une fausse déclaration et a pareillement dupé depuis un siècle des universitaires et des investigateurs. Pour illustrer cette façon de penser, regardons un rapport sur les révolutionnaires aux États-Unis compilé par le respecté Scotland Yard (Londres) en 1919. Les policiers investigateurs de Londres traquaient alors la révolution bolchevique et essayèrent d'identifier ses soutiens à l'Ouest. Quand ils sont arrivés aux hommes avec de longues barbes et même avec de plus longs pardessus, la plupart des départements de la police n'avaient aucun problème - ils ressemblaient à des révolutionnaires, par conséquent, ils devaient être des révolutionnaires. Mais quand ils sont arrivés aux banquiers respectables, Scotland Yard était incapable d'augmenter sa façon de penser et de reconnaître que les banquiers peuvent être également des révolutionnaires. En témoigne cet extrait d’un Scotland Yard Intelligence Report.(1) « Martens est beaucoup sous les feux de la rampe. Il paraît sans aucun doute être en rapport avec la Garantee (sic) Trust Company. Bien que ce soit surprenant qu'une si grande et influente entreprise devrait avoir des relations avec un intérêt bolchevique ». Scotland Yard avait amassé un rapport exact sur le fait que les Soviets ont été impliqués profondément avec la Garanty Trust de New York, mais ils ne pouvaient pas le croire, et ils ont écrit cette ligne de l'enquête. Même aujourd'hui le FBI a une façon de penser semblable. Par exemple, David Rockefeller a rencontré régulièrement un agent du KGB aux États-Unis - les réunions des déjeuners hebdomadaires sont une proche description. Aussi le FBI ne peut vraisemblablement pas être amené à enquêter sur David Rockefeller comme agent Soviétique potentiel, mais si Joe Smith de Hoboken, N.J. déjeunait chaque semaine avec le KGB, vous pouvez être sûr que le FBI serait sur sa trace. Et, bien sûr, nos marxiste américains domestiques trouveraient absolument inconcevable qu'un capitaliste supporte le communisme. Des organisations comme Scotland Yard et le FBI, et presque tous les universitaires sur qui les investigateurs comptent pour leurs directives, ont une défaillance très importante : ils regardent des faits historiques vérifiables connus avec une façon de penser. Ils se convainquent qu'ils ont même l'explication d'un problème avant que le problème se présente. La clef de l'histoire moderne est dans ces faits : que ces élites ont de proches relations actives avec les marxistes et les nazis. Les seules questions sont qui et pourquoi ? La réaction commune est de repousser ces faits. En revanche, seule la sécurité nationale demande que nous fassions face à ces relations importunes avant que plus de dégâts soient faits à notre train de vie. Dans ce mémorandum nous présenterons le concept que l'histoire mondiale, certainement depuis approximativement 1917, reflète le conflit délibérément créé avec l'objectif de provoquer une synthèse, un Nouvel Ordre Mondial. L'opération en réalité a commencé avant 1917. Dans les volumes ultérieurs nous explorerons la guerre hispano-américaine et la guerre anglo-Boer de 1899. La première a été créée par l'Ordre, c.-à-d., l'élite américaine, et la seconde par « le Groupe », c.-à-d., l'élite britannique (avec quelque assistance américaine). Nous pouvons utiliser, à propos de celles-ci, les termes de première et deuxième guerres Hégéliennes, mais c'est une autre histoire. Dans ce volume nous nous sommes limités à la montée de Hitler en Allemagne et à la montée de l'état marxiste en Union Soviétique. Le fracas entre ces deux pouvoirs ou les systèmes politiques qu'ils représentent était une source majeure de la seconde guerre mondiale. Après la seconde guerre mondiale l'étape mondiale a été changée. Après 1945 c'est devenu l'Union Soviétique d'un côté contre les États-Unis de l'autre. Le premier fracas dialectique a mené à la formation des Nations unies, un pas élémentaire sur la route d'un gouvernement mondial. Le deuxième fracas dialectique a mené à la Commission Trilatérale, c.-à-d., des groupements régionaux et plus subtilement des efforts pour une fusion des États-Unis et de l'Union Soviétique. Dans Introduction à l'Ordre nous avons établi l'existence d'une société secrète, l'Ordre des Skull and Bones. Nous allons maintenant pour démontrer comment L'Ordre a créé et a développé deux armes globales nécessaires pour le conflit Hégélien. Depuis 1917 les véhicules opérationnels pour cette bataille globale ont été : (a) la Garanty Trust de New York, la même firme citée dans le rapport de Scotland Yard en 1919, et (b) Brown Brothers, Harriman, des banquiers privés de New York. Avant 1933 Brown Brothers, Harriman consistait en deux firmes : W.A. Harriman Company et Brown Brothers. De nombreux membres de l'Ordre ont été dans les deux firmes, mais une position individuelle est au-dessus de toute autre comme la clef d'opération de l'Ordre : W. Averell Harriman (l'Ordre 1913).   (1) Une copie se trouve à l'U. S State Departement Decimal File, Microcopy 316, Roll 22, Frame 656.

II. W. AVERELL HARRIMAN (L'ORDRE 1913)*.

Le nom de William Averell Harriman ramène derrière les scènes politiques mondiales plus fréquemment que tout autre membre de l'Ordre. C'est peut-être parce que Harriman est un homme remarquablement actif. Né en 1891, initié à Yale en 1913, Harriman est encore digne d'intérêt dans les médias des années 1980. En juin 1983 Harriman avait un rendez-vous privé avec Yuri Andropov à Moscou et en décembre 1983, à 92 ans, s'est cassé sa jambe droite en nageant dans la mer de Barbade. Quoi que nous disions ici au sujet d'Averell, nous devons noter son énergie vraiment remarquable et sa longévité. Dans les biographies officielles sur Harriman, cependant, il n'y a aucune mention de L'Ordre, des Skull and Bones, ou du Russell Trust. Comme d'autres initiés Harriman a expurgé avec soin l'adhésion du dossier public. Nous n'avons pas cependant déterminé si cette adhésion avait jamais été connue du FBI pour user en-arrière plan de chèques dont il a eu besoin pour des places au gouvernement, ou peut-être personne ne s'est jamais donné la peine de demander l'origine d'un chèque à Averell Harriman. Pour comprendre Averell Harriman nous avons besoin de revenir à son père, Edward H. Harriman, le « baron voleur » du 19° siècle. La biographie d'Edward Harriman (E.H. Harriman : A Biography) est aussi intéressée que toutes les biographies domestiquées. Elle a été écrite par George Kennan (publié par Houghton Mifflin en 1922) qui était actif au département d'État de Dean Acheson. L'auteur du célèbre - quelques-uns disent infâme - document 68 du Conseil de Sécurité Nationale n'était autre que George Kennan. (Voir mémorandum numéro 5) Edward Harriman a commencé le travail à 14 ans avec une petite éducation, mais s'est marié avec Mary Averell, fille d'un banquier de New York et président de chemins de fer. À 22 ans, Harriman a acheté un siège à la Bourse de New York et est devenu chanceux ou s'est fait mal avec l'Union Pacifique après l'accident de 1893. Même le Dictionnaire des Biographie américaines largement accepté déclare que Harriman était par la suite coupable d'une combinaison dans une atteinte à la liberté de commerce (cas de 1904 Northern Securities), que ses activités financières douteuses lui ont permis de mettre la main sur 60 millions de dollars d'une manière qui a amenée la commission du commerce entre états à enquêter. Cette source cite Harriman comme « exemple de comment une route peut être drainée de ses ressources pour l'avantage d'initiés ». Harriman a imprimé des titres avec une valeur nominale de 80 millions de dollars pour étendre la capitalisation de ses voies ferrées. En revanche, Harriman a négligé d'acquérir des améliorations et des propriétés pour plus de 18 millions de dollars. En d'autres termes, 60 millions de dollars des titres étaient de l'eau, principalement vendus à travers Kuhn Loeb & Co., ses parieurs et banquiers. Les 60 millions de dollars sont allés dans la poche de Harriman. Le rapport ICC de 1904 a déclaré : « Il a été admis par M. Harriman qu'il y avait approximativement 60 millions de dollars de réserve et de passif publiés, contre lequel aucune propriété n'avait été acquise et c'est indubitablement une évaluation exacte". (1) En bref, M. Edward H. Harriman était apparemment un voleur, un escroc, et un criminel, parce que la conversion frauduleuse de 60 millions de dollars est un crime. Harriman est resté hors de prison par des dépenses judicieuses envers les politiciens et les partis politiques. Le biographe George Kennan raconte comment Harriman a répondu en 1904 à l'appel du président Theodore Roosevelt avec 250,000 dollars pour le comité national républicain. (2) Ces fonds ont été dirigés vers le comité par l'ami et avocat de Harriman, le juge Robert Scott Lovett. Lovett était aussi le conseiller général pour les chemins de fer de l'Union Pacific et pourrait être décrit comme l'homme de main de Harriman. Le fils du juge Lovett, Robert Abercrombie Lovett (L'Ordre 1918) est allé à Yale et avec les deux garçons Harriman, Roland et Averell, a été initié dans l'Ordre. Nous retrouverons encore Robert Abercrombie Lovett dans les années 1950 comme secrétaire à la défense, partenaire dans Brown Brothers, Harriman, et une force clé pour avoir du président Harry Truman le rappel du général Douglas MacArthur de Corée. Par elle-même la famille Lovett est secondaire. Quand nous la lions à la famille Harriman nous avons un exemple de comment ces familles s'aident l'une et l'autre le long du chemin pour un objectif commun. En tout cas, 250 000 dollars ont rapidement changé la vision de Théodore Roosevelt sur Harriman. Deux ans après le cadeau, Roosevelt a écrit au sénateur Sherman et a décrit Harriman comme un homme à la « corruption profondément assise », un « citoyen indésirable » et « un ennemi de la République ». (3) Une autre description du père d'Averell Harriman est dans le Concise Dictionary of National Biography (page 402) : « Confiant, dominant, froid et impitoyable, il n'épargnait ni ami ni ennemi si ils avaient bloqué ses plans ». Maintenant nous ne pouvons pas visiter les péchés du père sur ses fils, mais nous devrions penser à cette origine quand nous regardons les carrières des garçons Harriman, Averell et Roland. Au moins nous avons des raisons d'approfondir derrière la façade des relations publiques et peut-être suspecter le pire.   * Les noms des partenaires de Brown Brothers, Harriman en 1972 a été inclus dans Introduction à L'Ordre. Approximativement une centaine de documents des années 1920 sur Harriman peuvent être trouvés à l'U. S. State Department, Decimal File, Microcopy316, Roll 138 (861.6364-6461).   (1) Gustavus Myers. History of the Great American Fortunes (Modern Library, New York, 1937) p. 500. (2) George Kennan, op., cit, p 192. (3) Augustus Myers, op., cit, p 214.   La Famille Harriman et ses satellites dans L'Ordre. Superficiellement, la vie d'Averell Harriman a été assez différente de celle de son père. Voici un résumé officiel de la longue carrière d'Averell Harriman : - Marié trois fois : 1 - 1915 Kitty Lanier Lawrence 2 - 1930 Marie Norton Whitney (4) 3 - 1971 Pamela Churchill Hayward (5) - École préparatoire de Groton, puis Yale. Initié dans l'Ordre en 1913. - A débuté avec la compagnie de son père, l'Union Pacifique Railroad, - 1917 a organisé la corporation de construction navale marchande, a vendu tous ses intérêts dans la navigation en 1925. - 1917 directeur de la Garanty Trust. Les avoirs de la famille d'environ un tiers du capital de la Garanty ont été mis dans J.P. Morgan en 1912. - 1920 a établi la compagnie W.A Harriman, avec son frère Roland comme vice-président. - 1923 a formé la compagnie Géorgienne du manganèse. - 1933 W.A. Harriman a fusionné avec Brown Brothers pour devenir Brown Brothers, Harriman. - 1934 administrateur assistant spécial du National Recovery Act de Roosevelt. - 1941 Ministre en Grande-Bretagne en charge du prêt bail pour la Grande-Bretagne et la Russie. - 1941 ambassadeur en Union Soviétique. - 1946 ambassadeur en Grande-Bretagne. - 1946 Secrétaire du commerce. - 1948 représentant américain de ECA en Europe. - 1950 assistant spécial du président Truman. - 1951 représentant américain aux réunions de la défense de l'OTAN. - 1951 directeur de l'agence de la sécurité mutuelle. - 1955 gouverneur de l'État de New York. - 1961 ambassadeur à Large. - 1961 secrétaire auxiliaire d'État pour l'Extrême-Orient. - 1963 sous secrétaire d'État pour les affaires politiques. - 1968 représentant américain à Paris sur les pourparlers de « paix » pour le Vietnam. - 1974 président du détachement spécial de politique étrangère du parti démocrate. - 1975 associé limité de Brown Brothers, Harriman. - 1983 a rendu visite à Yuri Andropov à Moscou. Avec cette longue expérience globale, on peut suspecter que Harriman ait développé une connaissance, une compréhension et une perception profonde du monde. Mais en fait ses écrits suggèrent qu'il est, ou plutôt stupide, ou un des hommes les plus trompeurs qui a jamais marché sur la face de notre monde. Prenons un exemple : un article écrit par Averell Harriman, publié dans Look, le 3 octobre 1967 et intitulé « De Staline à Kosygin : les mythes et les réalités. » Voici deux extraits : 1 – « Par conséquent au début des années vingt mon entreprise a participé aux crédits pour financer le commerce avec la Russie. Nous avons trouvé, comme d'autres l'ont fait, que le nouveau gouvernement était très méticuleux pour remplir ses engagements financiers. » En fait, les Soviets ont exproprié les concessions des années 1920, y compris Harriman, habituellement sans remboursement. Harriman a été dupé par les Soviet dans sa concession Géorgienne du manganèse, puis les a persuadés de prendre 3 million de dollars dans des obligations soviétiques comme compensation (Voir les documents reproduits ci-dessous du département d'état au commerce confirmant la concession de manganèse de Harriman 861.637/5). Cette « compensation » soviétique, en effet, a mis Harriman dans la position de faire le premier prêt américain à la Russie, violant ainsi la loi États-Unis contre de tels prêts. Mais c'est ce qu'a dit Harriman à John B. Stetson, Jr. du Département d'État (861.637 - Harriman). « M. Harriman a dit qu'ils s'attendent à laisser tomber approximativement trois million de dollars qu'ils veulent mettre à la charge de l'expérience. » Harriman appelle cela « très méticuleux pour remplir ses obligations financières. » 2 – « Du côté russe, un des mythes les plus gênants est que l'Amérique est dirigée par un « cercle souverain », composé de gens de Wall Street et d'industriels qui ont un intérêt dans la guerre froide continue et les armes circulent pour soutenir l'économie « capitaliste ». Tous ceux qui connaissent la politique américaine savent que c'est une absurdité. » Malheureusement, les russes ont vraiment raison sur les aspects politiques de celui-ci. En faisant la déclaration précitée, Harriman confirme non seulement la paranoïa russe, c.-à-d., que les capitalistes ne peuvent pas être des gens de confiance pour dire la vérité, mais trompe aussi l'audience des lecteurs américains de Look, en fait, ils croient avoir une participation dans la marche des affaires politiques. Comparez ce paragraphe à ces séries sur l'Ordre et vous verrez le chemin détourné de l'esprit des travaux d'Harriman, peut-être pas si différent de l'aîné Harriman. La biographie officielle sur Harriman précédemment décrite suggère que Harriman, avec ses décennies passées à l'intérieur de la politique, doit être bien informé de la dépendance de l'Union Soviétique de la technologie de l'Ouest : que l'Union Soviétique ne peut faire aucun progrès économique sans entreprise technologique de l'Ouest. En fait, Staline lui-même l'a dit à Harriman comme tant de fois en 1944. Voici un extrait d'un rapport de l'ambassadeur Harriman à Moscou au Département d'État, daté du 30 juin 1944 : « Staline a rendu hommage à l'assistance rendue par les États-Unis à l'industrie soviétique avant et pendant la guerre. Il a dit qu'environ deux tiers de toutes les grandes entreprises industrielles dans l'Union Soviétique avaient été construites avec l'aide des États-Unis ou une assistance technique. » (6) Staline aurait pu ajouter que l'autre tiers de l'industrie soviétique avait été construit par des compagnies britanniques, allemandes, françaises, italiennes, finlandaises, tchèques et japonaises. En bref, Harriman savait de première main qu'avant 1944 au moins l'Ouest avait construit l'Union Soviétique. Maintenant examinons la biographie officielle de Harriman avec ses ficelles de rendez-vous concernant l'OTAN, l'Agence de Sécurité Mutuelle, le Département d'État, la politique étrangère, et ainsi de suite. A ces postes Harriman a activement poussé pour un développement militaire des États-Unis. Mais si l'Union Soviétique a été vue comme étant un ennemi en 1947, alors nous n'avions pas besoin de construire une défense massive. Ce que nous aurions dû faire était de cesser le transfert de technologie. Il n'y avait aucune technologie soviétique - et HARRIMAN SAVAIT QU'IL N'Y AVAIT AUCUNE TECHNOLOGIE SOVIÉTIQUE. En outre, Harriman a été au premier rang du cri pour « plus de commerce » avec l'Union Soviétique - et le commerce est le véhicule du transfert de technologie. En d'autres termes, Harriman a mené deux POLITIQUES INCOMPATIBLES SIMULTANÉMENT. (a) une intensification du pouvoir soviétique par l'exportation de notre technologie, et (b) une défense de l'ouest contre ce même pouvoir. N'est pas ce la dialectique Hégélienne ? Thèse contre antithèse, puis conflit qui mène à une nouvelle synthèse. Dans les mémorandums suivants nous montrerons comment Harriman et ses associés dans la « Fraternité de Pouvoir » se sont occupés de ce programme de création de conflits. De plus, Harriman est naturellement très sensible quand il est défié sur son pieux « j'ai toujours raison au sujet des Soviets » et sur leur attitude. Une occasion mémorable était en 1971 quand l'auteur Edward (Teddy) Weintal était à un dîner avec Harriman. Quand Harriman a fait étalage de sa vieille ligne usée : « J'étais le premier à prévenir des dangers Soviétiques… » Weintal l'a froidement arrêté. Dans sa recherche pour un livre, Weintal avait trouvé des documents accusant Harriman dans les Archives Nationales (semblable à ceux reproduits dans ce livre). En particulier, Weintal a cité un télégramme du Département d'État daté du 12 février 1944 de Harriman à Roosevelt. Weintal dit, « Vous avez dit à Roosevelt que vous avez été convaincu que les Soviets ne voulaient pas présenter un gouvernement communiste en Pologne. » Alors Harriman, à 79 ans, a sauté de la table de la salle à manger et a agité ses poings vers Weintal âgé de 70 ans. Harriman a crié, « si vous imprimez n'importe quoi comme cela dans votre livre, je vous  briserai votre mâchoire. » Officieusement, l'hôte agité a séparé les deux hommes, mais pas avant qu'un journaliste du Washington Post ait noté les détails. (Voir Washington Post, 17 mars 1971, Colonne VIP par Maxine Cheshire). (4) Pour Marie Norton Whitney, voir Volume Un. L'Ordre. (5) Pamela Hayward était marié autrefois à Randolph Churchill, donc liant Harriman au pouvoir établi britannique. (6) Original au département d'état des Etats-Unis, dossier 033.1161 Johnston Eric/6-3044 télégramme du 30 juin 1944  

III. LA GUARANTY TRUST COMPANY.

La Guaranty Trust en a été fondée 1864 à New York. Les 100 années qui suivirent, l'établissement bancaire s'est rapidement étendu en absorbant d'autres banques et des sociétés fiduciaires ; en 1910 elle a fusionné avec la Morton Trust Company, en 1912 avec la Standard Trust Company, et en 1929 avec la National Bank of Commerce. Le groupe J. P. Morgan a efficacement contrôlé la Guaranty Trust depuis 1912 quand Mme Edward Harriman (mère de Roland et Averell Harriman) a vendu son bloc de 8 000 parts, sur un total éminent de 20 000 parts, à J.P. Morgan. En 1954 la Garanty Trust était devenue la filiale bancaire la plus importante de la firme J.P. Morgan et depuis 1954 les entreprises fusionnées ont été connues sous le nom de Morgan-GarantyCompagnie. Le capital d'origine de la Garanty Trust provient des familles Whitney, Rockefeller, Harriman et Vanderbilt, toutes représentées dans l'Ordre, et dans le Comité de direction de la Garanty Trust par des membres des familles, durant la période dont nous discutons. Harry Payne Whitney (L'Ordre 1894) a hérité de deux fortunes de la Standard Oil des familles Payne et Whitney. H.P. Whitney était directeur de la Garanty Trust, comme l'était son père, William C. Whitney (L'Ordre 1863). Alfred Gwynne Vanderbilt (L'Ordre 1899) a représenté la famille Vanderbilt jusqu'à ce qu'il se noie en mer dans le naufrage du Lusitania en 1915. (Sa sœur Gertrude s'est mariée avec Harry Payne Whitney, ci-dessus). Le pouvoir de L'Ordre est reflété dans un incident bizarre comme celui d'Alfred Gwynne Vanderbilt qui a abordé le Lusitania à New York pour son voyage prophétique. Un télégramme prévenant Vanderbilt de ne pas naviguer, a été délivré au Lusitania avant qu'il parte, mais n'est jamais parvenu à Vanderbilt. Par conséquent, Vanderbilt est parti avec le bateau. L'investissement de Harriman dans la Garanty Trust a été représenté par W. Averell Harriman. L'investissement de Rockefeller dans la Garanty Trust a été représenté par Percy Rockefeller (l'Ordre 1900). En bref, l'Ordre a été associé de près avec la Garanty Trust et Morgan-Guaranty bien avant 1912 quand Mme Edward Harriman a vendu ses intérêts à J.P. Morgan. Averell Harriman est resté dans le conseil d'administration de la Garanty Trust après le transfert. Les membres suivants de L'Ordre ont aussi été officiers et directeurs de la compagnie Garanty Trust : Harold Stanley (L'Ordre 1908) : Harold Stanley, né en 1885, était le fils de William Stanley, un inventeur associé avec la compagnie General Electric. Stanley a été préparé pour l'université de Yale à l'École élitiste Hotchkiss, Lakeville, Connecticut. Un athlète excellent, Stanley a été diplômé de Yale en 1908 et a été initié dans L'Ordre. Après Yale, Stanley a joint la banque nationale d'Albany et alors, entre 1913-1915, était avec J.G. White (proéminent dans la construction soviétique du premier plan de cinq ans). En 1915 Stanley il a rejoint la Garanty Trust comme Vice-président. De 1921 à 1928 il était président de la Garanty Trust et alors partenaire dans la firme de J.P. Morgan, remplaçant William Morrow. De 1935 à 1941 il était Président de Morgan, Stanley & Company, puis partenaire de 1941 à 1955, et commanditaire après 1956, jusqu'à sa mort en 1963. En bref, un membre de l'Ordre était vice-président, puis président de la compagnie Garanty Trust dans les années 1915 à 1928 - les années qui enregistrent la révolution bolchevique et la montée de Hitler au pouvoir en Allemagne. Joseph R. Swan (L'Ordre 1902). La compagnie Garanty était une filiale de la compagnie Garanty Trust. Joseph Rockwell Swan (L'Ordre 1902) était président de la compagnie Garanty aussi bien que directeur de la compagnie Garanty Trust. Percy Rockefeller (L'Ordre 1900). Percy Rockefeller, né en 1878, était le fils de William D. Rockefeller (frère de John D. Rockefeller) et héritier d'une partie de la fortune de la Standard Oil. Percy était directeur de la Garanty Trust dans la période 1915-1930. Comment L'Ordre est lié à la Guaranty Trust Company et à Brown Brothers, Harriman. 
L'ORDRE.
GARANTY TRUST COMPANY :
HAROLD STANLEY (L'Ordre 1908) W. MURRAY CRANE (L'Ordre 1904) HARRY P. WHITNEY (L'Ordre 1894) W. AVERELL HARRIMAN (L'Ordre 1913) KNIGHT WOOLLEY (L'Ordre 1917) FRANK P. SHEPARD (L'Ordre 1917) JOSEPH R. SWAN (L'Ordre 1902) THOMAS COCHRANE (L'Ordre 1894) PERCY ROCKEFELLER (L'Ordre 1900)
PARTENAIRES APRES LA IIe GUERRE MONDIALE :
GEORGE H. CHITTENDEN (L'Ordre 1939) WILLIAM REDMOND CROSS (L'Ordre 1941) HARRY P. DAVISON, JR. (L'Ordre 1920) THOMAS RODD (L'Ordre 1935) CLEMENT D. GILE (L'Ordre 1939) DANIEL P. DAVISON (L'Ordre 1949) BROWN BROTHERS, HARRIMAN, autrefois
W.A. HARRIMAN
W. AVERELL HARRIMAN (L'Ordre 1913) E. ROLAND HARRIMAN (L'Ordre 1917) ELLERGY S. JAMES (L'Ordre 1917) RAYON MORRIS (L'Ordre 1901) PRESCOTT SHELDON BUSH (L'Ordre 1917) KNIGHT WOOLLEY (L'Ordre 1917) MORTIMER SEABURY (L'Ordre 1909) ROBERT A. LOVETT (L'Ordre 1918) PARTENAIRES APRES LA IIe GUERRE MONDIALE : EUGENE WM. STETSON, JR. (L'Ordre 1934) (1937-42) WALTER H. BROWN (L'Ordre 1945) STEPHEN Y. HORD (L'Ordre 1921) JOHN BECKWITH MADDEN (L'Ordre 1941) GRANGER K. COSTIKYAN (L'Ordre 1929) PARTENAIRE PAS DANS L'ORDRE : MATTHEW C. BRUSH (franc-maçon 32°)

IV. BROWN BROTHERS, HARRIMAN.

L'autre véhicule opérationnel utilisé par L'Ordre était la firme bancaire privée Brown Brothers, Harriman. Avant 1933 la compagnie W. A. Harriman était le véhicule, et Brown Brothers n'entre pas dans l'image. Après 1933, l'entreprise fusionnée a continué les activités de la compagnie Harriman. Dans Introduction à l'Ordre, nous avons présenté des détails de l'entreprise fusionnée. Cependant, il y a un aspect que nous voulons identifier : le rôle extraordinaire de la classe de Yale de 1917 dans Brown Brothers, Harriman et les événements décrits dans les Mémorandums trois et quatre. Les cinq membres suivants de la classe de 1917 (seulement quinze initiés) étaient impliqués : Knight Woolley (L'Ordre 1917) était avec la Guaranty Trust en 1919-1920, la compagnie Harriman en 1927-1931, puis Brown Brothers, Harriman de 1933 au temps présent. Woolley était aussi un directeur de la banque de réserve fédérale - FederalReserve Bank. Frank P. Shepard (L'Ordre 1917) a aussi rejoint la Guaranty Trust en 1919 et a été un vice-président de 1920 à 1934, la période qui concerne le développement de la Russie soviétique et du parti nazi d'Hitler. Depuis 1934 Shepard était avec la compagnie Bankers Trust, un membre du groupe de banques Morgan. Ellery Sedgewick James (L'Ordre 1917) était un partenaire dans Brown Brothers, Harriman. Et finalement, deux caractères intéressants : Edward Roland Noel Harriman (L'Ordre 1917) et Sheldon Prescott Bush (L'Ordre 1917), le père du président George Herbert Walker Bush (L'Ordre 1948), et grand-père du Président George Walker Bush (L'Ordre 1968).

V. L' « HOMME DE PAILLE » DE L'ORDRE : MATTHEW C. BRUSH (franc-maçon 32°).

De la première guerre mondiale jusqu'aux années 1930 « l'homme de paille » de l'Ordre, dans la Guaranty Trust et chez Brown Brothers, Harriman, était Matthew C. Brush. Brush n'était pas de Yale, ni un membre de L'Ordre, mais à travers une réunion accidentelle dans les années 1890 ses talents ont été utilisés par L'Ordre. Brush est devenu un Chevalier Templier, un franc-maçon du 32e degré et autre, mais pas - aussi loin que nous pouvons retracer - lié de plus près au centre du pouvoir. Brush est né à Stillwater, Minnesota, en 1877, et était un diplômé de l'Armor Institute of technology et du MIT. Par accident son premier travail dans les années 1890 était comme secrétaire chez Franklin MacVeagh & Company de Chicago. FranklinMacVeagh était un membre (L'Ordre 1862) et plus tard secrétaire au trésor (1909-1913) sous le président William Taft (L'Ordre 1878). MacVeagh lui-même, comme distinct de Brush, est un peu difficile à classer. En 1913 MacVeagh a quitté le trésor et a démissionné comme administrateur de l'université de Chicago. Vers 1919 il est devenu délinquant dans ses honoraires au Russell Trust. Nous avons une copie d'un avis importunant envoyé à MacVeagh par Otto Bannard (L'Ordre 1876), président de New York Life et trésorier pour L'Ordre en 1919. L'avis demande que MacVeagh paie son dû. Tandis que la piste MacVeagh se termine en fondu après 1913, celle de Matthew Brush, son employé unique, fleurit. Après une série de postes dans des compagnies ferroviaires, Brush a été fait vice-président de la corporation internationale américaine en 1918 et président en 1923. Il était aussi président de l'immeuble de bureaux Equitable, connu aussi comme 120 Broadway, illustré ci-dessous.  
  De plus, Brush était président de Barnsdall Corporation et de la compagnie Géorgienne du Manganèse ; la signification de ces postes sera vue dans le prochain mémorandum. Le but de ce mémorandum a été de démontrer le contrôle de deux établissements bancaires par des membres de L'Ordre. Il peut être dit que les deux, Garanty Trust et Brown Brothers, Harriman, ont été dominés et substantiellement possédés par des individus identifiés comme membres de L'Ordre. En outre, la Garanty Trust et la compagnie originale W. A. Harriman ont été établies par des membres de L'Ordre. Brown Brothers n'a pas été absorbée jusqu'à 1933. Maintenant, examinons l'évidence que ces deux établissements bancaires ont été des véhicules pour la création de guerre et de révolution.   hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...    
MEMORANDUM NUMERO TROIS : THESE -
L'ORDRE CRÉE L'UNION SOVIETIQUE.
  Dans un livre précédent, publié en 1974, nous avons présenté l'évidence majeure d'une assistance de Wall Street à la révolution bolchevique. Cette assistance était principalement dans l'argent, les armes et munition, et dans le soutien diplomatique à Londres et à Washington, D.C. Wall Street et la révolution bolchevique a aussi introduit le concept que Quigley a décrit, c.-à-d., que Morgan et d'autres intérêts financiers ont financé et ont influencé de gauche à droite tous les partis dans le spectre politique. Ce mémorandum continue l'histoire, mais maintenant lie L'Ordre à la première évidence de la participation de Wall Street. Dans les pages suivantes nous reproduisons une carte du quartier de Wall Street et une liste d'entreprises associées à la révolution bolchevique et au financement de Hitler localisées dans ce quartier. Nous pouvons identifier maintenant l'influence, en fait l'influence dominante, de L'Ordre dans ces entreprises. L'activité révolutionnaire s'est concentrée au bâtiment Equitable Trust, 120 Broadway, dans le bâtiment dont la photographie est reproduite précédemment. Cela avait été l'adresse de E. H. Harriman. La corporation internationale américaine était localisée au 120 Broadway. Le Bankers Club - club des banquiers - où les banquiers de Wall Street se rencontraient pour déjeuner, était en haut du bâtiment. C'était dans ce club somptueux que les plans ont été mis au point par William Boyce Thompson pour la participation de Wall Street dans la révolution russe de 1917. La Garanty Securities était au 120 Broadway, pendant que la Garanty Trust était à la porte suivante au 140 Broadway (le bâtiment peut être vu à la gauche du 120).

I. L'ORDRE POUSSE POUR AIDER L'ARMÉE SOVIÉTIQUE.

Heureusement nous avons une copie de la note écrite par un membre de L'Ordre, résumant les intentions pour la révolution bolchevique de 1917. La note a été écrite par Thomas D. Thacher (L'Ordre 1904), partenaire dans le cabinet juridique de Wall Street Simpson, Thacher & Bartlett. L'adresse de Thacher était au 120 Broadway. Aujourd'hui ce cabinet juridique, maintenant dans Battery Plaza, a la plus grosse facturation de Wall Street et a comme partenaire le précédent secrétaire d'état Cyrus Vance (Scroll & Key). En 1917 Thacher était en Russie avec la mission de la croix rouge de William Boyce Thompson. Après des consultations à New York, Thacher a été envoyé à Londres pour conférer avec Lord Northcliffe au sujet de la révolution bolchevique puis à Paris pour des pourparlers semblables avec le gouvernement français. La note de Thacher exhorte non seulement la reconnaissance du gouvernement soviétique à peine survivant qui au début 1918 contrôlait seulement une très petite portion de la Russie, mais aussi une assistance militaire pour l'armée soviétique et une intervention pour laisser les japonais hors de la Sibérie jusqu'à ce que les bolcheviks puissent prendre la relève.  
ENTREPRISES LIÉES À L'ORDRE AU, OU PRÈS, DU 120 BROADWAY EN 1917. 120 Broadway - Edward H. Harriman (avant sa mort) 59 Broadway - Compagnie W.A. Harriman 120 Broadway – American International Corporation - corporation internationale américaine 23 Wall - Firme J.P. Morgan 120 Broadway - Banque de réserve fédérale de New York 120 Broadway – Bankers Club (étage supérieur) 120 Broadway - Thomas D. Thacher (de Simpson, Thacher & Bartlett) 14 Wall - William Boyce Thompson 120 Broadway - Guggenheim Exploration 15 Broad - Stetson, Jennings & Russell, 120 Broadway - C.A.K. Martens de Weinberg & Posner (le premier « ambassadeur » soviétique) 110 W. 40e Street - Bureau Soviétique 60 Broadway - bureau d'Amos Pinchot 120 Broadway - Stone & Webster 120 Broadway - General Electric 120 Broadway - Sinclair Gulf Corp. 120 Broadway - Garanty Securities 140 Broadway - Garanty Trust Compagnie 233 Broadway - Chambre de commerce Anglo-Russe MEMBRES INDIVIDUELS DE L'ORDRE AU 120 Broadway : George Webster Adams (L'Ordre 1904) Allen Wallace Ames (L'Ordre 1918) Philip Lyndon Dodge (L'Ordre 1907) Voici les principales sections de la note de Thacher : « Tout d'abord… les alliés devraient décourager l'intervention japonaise en Sibérie. En second, la plus grande assistance devrait être donnée au gouvernement soviétique dans ses efforts pour organiser une armée révolutionnaire volontaire. Troisièmement, les gouvernements alliés devraient donner leur soutien moral au peuple russe dans leurs efforts afin de libérer leur propre système politique de la domination de tout pouvoir étranger… Quatrièmement, tant que le conflit ouvert résultera entre le gouvernement allemand et le gouvernement soviétique de Russie il y aura une occasion pour une pénétration commerciale paisible des agences allemandes en Russie. Aussi longtemps qu'il n'y a pas de fracture ouverte, ce sera probablement impossible de prévenir entièrement un tel commerce. Les mesures devraient être prises par conséquent pour entraver, dès que possible, le transport de grain et de matières premières de la Russie à l'Allemagne. » (Le document complet est au U. S. State Department decimal filemicrocopy 316, roll 13, frame 698.) Le lecteur devrait noter le paragraphe deux en particulier : « En second, la plus grande assistance devrait être donnée au gouvernement soviétique dans ses efforts pour organiser une armée révolutionnaire volontaire. » Cette assistance a été enregistrée dans mon livre intitulé Suicide National : Aide militaire à l'Union Soviétique. C'était en fait la politique cachée adoptée aux plus hauts niveaux, dans le secret absolu, par les États-Unis et dans une certaine mesure par le Groupe (surtout Milner) en Grande-Bretagne. Thacher n'avait apparemment pas trop de succès avec le gouvernement français. Quand le Président Woodrow Wilson a envoyé des troupes américaines pour garder le chemin de fer trans-sibérien, des directives secrètes ont été données par Woodrow Wilson en personne au général William S. Graves. Nous n'avons cependant pas localisé ces directives (bien que nous sachions qu'elles existent), mais une proche lecture des dossiers disponibles montre que l'intervention américaine avait peu à faire avec le maintien de l'activité anti-bolchevique, comme avec celle des soviets, de GeorgeKennan et d'autres écrivains. Les Soviets étaient si reconnaissant pour l'assistance américaine dans la révolution qu'en 1920 - quand les dernières troupes américaines ont quitté Vladivostok - les bolcheviks leur ont donné un adieu amical. Le New York Times a rapporté (15 février, 1920 7:4) :  
  Notez en particulier la phrase : « … appelant les américains vrais amis qui à un temps critique ont sauvé ce mouvement présent. » Normalement les rapports incompatibles avec la ligne du pouvoir établi sont étouffés, par les agences de presse ou par les bureaux de réécriture des plus grands journaux (les petits papiers suivent le New York Times malheureusement). C'est un rapport qui est passé au travers, intact. En fait, les États-Unis ont pris la relève et ont gardé la voie ferrée sibérienne jusqu'à ce que les soviets aient gagné un pouvoir suffisant pour prendre la relève. Les missions militaires britanniques et françaises en Sibérie ont enregistré les actions extraordinaires de l'armée des États-Unis, mais aucune mission n'a fait beaucoup de progrès avec son propre gouvernement. D’aussi loin que l'aide à l'armée soviétique est concernée, il y a des registres du département d'état qui montrent que des armes et des munitions ont été expédiées aux bolcheviks. Et en 1919, pendant que Trotsky faisait des discours anti-américains au public, il demandait aussi à l'ambassadeur Francis une inspection de l'équipe militaire américaine pour former la nouvelle armée soviétique. (Voir Antony C. Sutton, Suicide National, Arlington House, New York, 1974 et Wall Street et la révolution bolchevique, Arlington House, New York, 1974).

II. L'ORDRE POUSSE EN FAVEUR DES SOVIETS AUX ÉTATS-UNIS.

Cependant, c'était à Washington et à Londres que L'Ordre a vraiment aidé les soviets. L'Ordre a réussi non seulement à prévenir les actions militaires contre les bolcheviks, mais à rendre si boueuses les eaux de la politique que beaucoup de matières premières vitales exigées et des marchandises, finalement des emprunts également, étaient capables de s'écouler des États-Unis aux Soviets, malgré une proscription légale. Les documents suivants illustrent comment les membres de L'Ordre étaient capables d'encourager les ambitions soviétiques aux États-Unis. Pendant que le ministère de la justice expulsait des soi-disant « rouges » en Russie, une force beaucoup plus forte était au travail DANS le gouvernement américain pour garder la jeune Union Soviétique intacte. Note de l'éditeur : les reproductions suivantes des deux lettres sont très mauvaises. Nous imprimons, pour aider les lecteurs, les copies que nous avons. 211 Hon. William Kent,                            29 mai 1919, Commission Tarifaire des Etats-Unis, Washington, DC. Cher Billy : Cela vous présentera mon ami, le professeur Evans Clark, maintenant associé avec le bureau d'information de la République Soviétique Russe. Il veut parler avec vous de la reconnaissance de Wolchak, de la levée du blocus, etc., et obtenir votre conseil quant à appuyer les sénateurs qui seraient aptes à se lever et faire une bagarre courageuse. Ne voulez vous pas faire ce que vous pouvez pour lui. Comme je le vois, nous prenons un (illisible) Russie qui laissera, jusqu'à maintenant, notre puissamment bonne réputation, mal endommagée. Espère vous voir bientôt à Washington. Fidèlement votre, A. P
1543 M. Santeri Nourteva,                          22 novembre 1918, Bureau d'Information finlandais, 299 Broadway, Ville, Cher M. Nuorteva : Laissez-moi vous remercier pour votre très gentille lettre du 1er novembre ; Je m'excuse pour ne pas avoir répondu plus tôt. J'ai lu votre bulletin sur le barrage de mensonges, et je suis, inutile de le dire, chaleureusement compatissant avec votre vue de la situation et avec le travail que vous faites. Une des choses les plus sinistres est à présent le fait que les gouvernements vont dans la publicité du commerce. Ils sont organisés afin qu'ils puissent faire ou détruire des mouvements. Je vous envoie, sous pli séparé, une copie d'une lettre que j'ai écrite, laquelle j'espère vous intéressera. Avec tout mon respect, Sincèrement votre, Amos Pinchot
La lettre précitée est d'Amos Pinchot (L'Ordre 1897). Son frère, le conservateur Gifford Pinchot (L'Ordre 1889) était aussi un membre. Amos Pinchot était fondateur de l’union des libertés civiles américaines et actif dans l'aide aux soviets pendant les premiers jours de la révolution bolchevique. La lettre précitée, en exemplifiant cette assistance, a été envoyée à Santeri Nourteva, le 22 novembre 1918, seulement un an après la révolution de 1917. Pinchot était « chaleureusement compatissant avec votre vue de la situation et le travail vous faites. » (Objet exposé numéro 1543 des dossiers du Comité Lusk, New York.) Qui était Nourteva ? Ce nom était un pseudonyme pour Alexander Nyberg, un représentant soviétique aux États-Unis. Nyberg a travaillé pour le bureau soviétique (nommé en premier bureau d'information finlandais - un nom de couverture), avec Ludwig C.A.K. Martens, le premier ambassadeur soviétique et autrefois un vice-président de Weinberg & Posner. Le bureau de New York de Weinberg & Posner était au - 120 Broadway ! L'assistant de Nyberg était Kenneth Durant, un homme de journal américain, plus tard correspondant TASS aux Etats-Unis et un temps aide du « Colonel » Edward House, homme mystérieux de l’administration Wilson. Le directeur du département commercial dans ce bureau soviétique était le « Camarade Evans Clark. » Clark est devenu plus tard administrateur de l’influente fondation Twentieth Century, et à la fondation Twentieth Century nous trouvons un membre de L'Ordre - dans ce cas Charles Phelps Taft (L'Ordre 1918), neveu du président et président de la haute cour de justice William Howard Taft. Dans le volume futur sur les FONDATIONS, nous verrons comment Evans Clark et L'Ordre, en travaillant ensemble à la Fondation Twentieth Century, avaient un rôle considérable dans « l’Hégélisation » de l'éducation américaine. Le document qui suit est une brève biographie du « Camarade Evans Clark », publiée par le bureau soviétique en 1919 sur sa nomination comme auxiliaire, directeur du département commercial du bureau, avec la tâche d'établir des relations commerciales avec les Etats-Unis. Notez les associations de Harvard et Princeton. Le commerce était vital pour la survie de l'Union Soviétique. En 1919 toutes les usines russes et les transports étaient à l’arrêt. Il n'y avait pas de matières premières et aucunes compétences disponible. Pour l’assistance Evans Clark s’est tourné vers L'Ordre. Le 29 mai 1919, Amos Pinchot a écrit membre des Skull and Bones et fort Républicain William Kent au sujet de l’augmentation du blocus contre les Soviet. William Kent (L'Ordre 1887) était dans la commission tarifaire américaine et en retour a écrit au sénateur Lenroot pour demander une entrevue au « Professeur » Evans Clark. (Albert Kent, son père, était un membre (L'Ordre1853) et il s'est marié avec la fille de Thomas Thacher (L'Ordre1835). En bref, deux membres de L'Ordre, Pinchot et Kent, ont coopéré pour pousser un opérateur bolchevique connu sur un sénateur naïf. Aucun membre de L'Ordre a prévenu le Sénateur Lenroot au sujet de l'affiliation de Clark avec le bureau soviétique.
 

III. COMMENT L'ORDRE A DÉVELOPPÉ L'UNION SOVIÉTIQUE STAGNANTE

Entre 1917 et 1921 les Soviets ont poussé leur contrôle de la Russie en Sibérie et dans le Caucase. Comme nous l’avons noté, les États-Unis sont intervenus en Sibérie le long de la voie ferrée Transsibérienne. Les histoires d'intervention américaine de George Kennan et des Soviets maintiennent que c'était une intervention anti-soviétique. En fait, ce n'était rien du genre. Les troupes américaines étendues le long de la voie ferrée sibérienne l’étaient seulement pour mettre les japonais dehors, pas pour mettre les Soviets dehors. Quand ils sont partis à travers Vladivostok, les autorités soviétiques ont renvoyé les forces américaines avec retenue. Mais c'est encore une autre histoire non racontée, qui n’est pas dans les manuels scolaires. Le problème immédiat face aux Soviets était de restaurer les usines russes silencieuses. Il y a eu un besoin de matières premières, de compétences techniques et de fonds de roulements. La clef pour la reconstruction russe était les champs de pétrole du Caucase. Les champs de pétrole du Caucase sont un segment majeur de la richesse des ressources naturelles de la Russie. Baku, le champ le plus important, a été développé dans les années 1870. En 1900 il produisait plus de pétrole brut que des États-Unis, et en 1901 plus de la moitié de la production brute mondiale totale. Les champs de pétrole du Caucase ont survécu à la révolution et à l’intervention sans dégât structurel majeur et est devenu un facteur considérable dans la reprise économique soviétique, en produisant approximativement 20 pour cent de tous les articles d'exportation par la valeur ; la plus grande source à elle seule d’échanges étrangers. Les Bolcheviks ont pris le Caucase un 1920-1, mais jusqu'à 1923 le forage de champ de pétrole a presque cessé. Pendant la première année du pouvoir Soviétique « … pas un seul nouveau bien a commencé à donner du pétrole » (U.S State Dept. Decimal File, 316-137-221) et même deux années après l’occupation Soviétique, aucunes nouvelles propriétés de champ pétrolier n'avaient été développées. De plus, l’approfondissement de vieux puits a virtuellement cessé. En conséquence, l'eau s'est infiltrée dans les puits, et le pétrole brut courant est devenu un mélange d'huile et d’eau. Les registres des forages sont un excellent indicateur de l'état d'entretien du champ de pétrole, du développement, et de la production. La chute subite complète après la prise de pouvoir Soviétique est clairement suggérée par les statistiques. En 1900, la Russie avait été le plus grand producteur et exportateur du monde de pétrole brut ; presque 50,000 pieds de forage par mois avaient été exigés seulement à Baku pour maintenir cette production. Tôt vers 1921, le forage mensuel moyen de Baku avait décliné à 370 pieds insignifiants ou soi-disant (0.7 pour cent du taux de 1900), bien que 162 gréements fussent en ordre actif. Alors, Serebrovsky, président d'Azneft (le trust de production pétrolière Soviétique), a mis en avant un programme pour la récupération dans un article de la Pravda. Le plan pour 1923 était d’augmenter les forages des puits de pétrole qui à 35,000sazhens par année (245,000 pieds). Cela exigerait 35 foreuses rotatives (pour forer 77,000 pieds) et 157 foreuses par percussions (pour forer 130,000 pieds). Serebrovsky a signalé que Azneft n'avait pas de foreuses rotatives, et cette entreprise russe ne pourrait pas les fournir. Cependant, le forage rotatif était essentiel pour le succès du plan. Il a annoncé alors : « Mais juste ici le capital américain va nous supporter. L'entreprise américaine International Barnsdall Corporation a soumis un plan… Le manque de matériel nous empêche d'augmenter la production de l'industrie pétrolière de Baku par nous mêmes. L'entreprise américaine… fournira le matériel, commencera à forer dans les champs de pétrole et organisera la technique de production du pétrole avec des pompes profondes. » (Pravda, le 21 septembre 1922). Durant les années suivantes Barnsdall International, avec la Lucey Manufacturing Company et d'autres firmes  majeures étrangères d’équipement pétrolier, le programme de Serebrovsky s’est accompli. Des importations massives de matériel sont venues des États-Unis. Barnsdall International a inauguré le programme de forage rotatif, a initié les équipes de forages d’Azneft à ses problèmes opérationnels, et a réorganisé le pétrole en pompant bien avec des pompes électriques profondes. La première concession Barnsdall International a été signée en octobre 1921, et a été suivie en septembre 1922 par deux accords supplémentaires. Il n'y a aucun doute que Barnsdall a travaillé sous ces accords. La Pravda a rapporté que des groupes d'ouvriers pétroliers américains sur leur chemin vers les champs de pétrole, et deux mois précédemment les États-Unis, le consulat de Constantinople, avaient rapporté que Philip Chadbourn, le représentant caucasien de Barnsdall, était passé à travers sur sa sortie de Russie. Les archives américaines du Département d'État contiennent une cotation intrigante de Rykov, datée d’Octobre 1922 : « Celui dont la tache est comparativement brillante en Russie est l'industrie pétrolière, et c'est dû pour une grande part au fait que plusieurs ouvriers américains ont été amenés dans les champs de pétrole à diriger leur opération. » (Département d’Etat U. S., Decimal File, Microcopy 316, Roll 107, Frame 1167). Qui, qu’est ce qui, était l’International Barnsdall Corporation ? Le Président de l’International Barnsdall Corporation était Matthew C. Brush que nous avons identifié précédemment comme « l’homme de paille » de L'Ordre. Garanty Trust, Lee, Compagnie Higginson Company et W.A. Harriman ont possédé la Barnsdall Corporation, et l’International Barnsdall Corporation était possédée à 75% par la Barnsdall Corporation et 25% par H. Mason Day. Les intérêts de la GarantyTrust étaient représentés par Eugène W. Stetson (aussi un vice-président de la Garanty Trust), à qui le fils, Eugène W. Stetson Jr., a été initié dans L'Ordre en 1934. Les intérêts Lee Higginson étaient représentés par Frederick Winthrop Allen (L'Ordre 1900). En bref, L'Ordre a contrôlé l’International Barnsdall Corporation. La seconde plus grande source potentielle de change Soviétique dans les années 1920 étaient les grands gisements de manganèse russe. En 1913, la Russie tsariste a fourni 52 pour cent du manganèse mondial, dont approximativement 76 pour cent, ou un million de tonnes, a été extraits des gisements de Chiaturi dans le Caucase. La production en 1920 était nulle, et vers 1924 avait augmenté seulement à approximativement 320,000 tonnes par an. Le problème de base était : « ce développement supplémentaire a sérieusement été retardé par le matériel primitif, qui a été considéré grossièrement inadéquat même d'après les niveaux d'avant-guerre. » Les gisements de Chiaturi, situés sur les hauts plateaux à quelque distance de Batum, ont été minés d’une manière primitive, et le minerai a été apporté sur des ânes depuis les plateaux aux voies ferrées. Il y avait un changement de calibre en route, et le manganèse devait être transbordé entre le point du chargement original et le port. Quand il arrivait au port, le minerai était transféré par seau : un processus lent, cher. Les Soviet ont acquis des facilités modernes pour miner et transporter leurs gisements de manganèse, acquis des échanges étrangers, et finalement ont fracassé la politique étrangère américaine concernant les prêts à l'U.R.S.S., dans une série d'accords commerciaux avec la compagnie W.A. Harriman et la Garanty Trust.(1) Le 12 juillet 1925, un accord de concession a été fait entre la compagnie W.A. Harriman de New York et l'U.R.S.S. pour l’exploitation du gisement de manganèse de Chiaturi et l’introduction étendue de l'exploitation minière moderne et des méthodes de transport. Sous l’accord de la concession Harriman, 4 millions de dollars ont été dépensés pour mécaniser les mines et convertir la main en opération mécanique. Une machine à laver et à réduire ont été construites ; et un ascenseur de chargement à Poti, avec une capacité de deux millions de tonnes et un système ferroviaire ont été construit, avec un tramway aérien pour le transfert du minerai de manganèse. La dépense était d’approximativement 2 millions de dollars pour le système ferroviaire et 1 million de dollar pour la mécanisation des mines. Le président de la Georgian Manganese Company, la société d’Harriman qui exploitait sur le site en Russie, n'était aucun autre que « l’homme de paille » de L'Ordre Matthew C. Brush. (1) Le lecteur intéressé peut se réferrer à plus de 300 pages de documents de l'U.S. State Dept. Decimal File 316-138-12/331, et les archives du ministère des affaires étrangères allemand. Walter Duranty a décrit les contrats Harriman comme « complètement ineptes » et von Dirksen du bureau du ministère allemand comme « un contrat en caoutchouc. » Le contrat entier a été publié [Vysshii sovet nardnogo khoziaistva, Accord de concession entre le Gouvernement de l'U.R.S.S. et W.A. Harriman & Co. Inc. de New York (Moscou, 1925)].  

IV. L'ORDRE TROP PUISSANT POUR QUE LE DÉPARTEMENT D'ÉTAT N’ENQUÊTE PAS

Pendant que L'Ordre exécute ses plans pour développer la Russie, le Département d'État ne pouvait rien faire. Ses bureaucrates étaient assis à Washington D.C. comme un tas de lapins hypnotisé. Premièrement, dans les années 1920 les prêts à l'Union Soviétique étaient strictement contre la loi américaine. Pendant que les citoyens américains pouvaient entrer en Russie à leurs propres risques, il n’y avait aucunes relations diplomatiques et aucuns soutiens ou sanctions du gouvernement pour une activité commerciale. Le sentiment du public et du gouvernement aux États-Unis étaient irrésistiblement contre les Soviets - pas plus petit pour les atrocités répandues engagées au nom de la révolution. Deuxièmement, le syndicat Harriman-Garanty qui reflétait L'Ordre, n'a pas informé le Département d'État de ses plans. Comme le décrit la lettre attachée (reproduite au dessus) de Washington à l'ambassade de Londres, la première information du gisement de manganèse de Harriman est venue de l'ambassade américaine à Londres qui l'a ramassé à partir d’un rapport d’un journal de Londres. En d'autres termes, Averell Harriman a mouchardé un projet illégal devant le gouvernement américain. Si ce n'est pas un comportement étourdi, alors rien n'est. Et c'était l'homme qui allait devenir plus tard l'ambassadeur américain en Russie. La lettre du Département d'État à Londres est assez spécifique sur ce point : « La note transmise par vous personnifie la première information reçue par le Département à propos de la concession autre que ce qui a paru dans la presse publique. » Un mois ou un peu plus tard est venue une lettre du Ministère du Commerce qui demande confirmation et plus d'information. Apparemment, Harriman ne s'est pas donné la peine d'informer le Commerce ni sur l’un ni sur l’autre.     Maintenant nous atteignons le point vraiment extraordinaire. Le gouvernement américain n'a pas été informé par W.A. Harriman ou Garanty Trust qu'ils ont projeté d'investir 4 millions de dollars pour le développement des gisements de manganèse Soviétique. Pourtant c'était clairement illégal et un mouvement avec des conséquences stratégiques évidentes pour les Etats-Unis. Le gouvernement américain n’était pas capable de ramasser cette information ailleurs ; en ces jours il n'y avait aucune CIA. L'intelligence économique était maniée par le Département d'État. Il est aussi évident que les fonctionnaires du gouvernement étaient intéressés à acquérir de l'information, comme ils auraient dû être. Le point vraiment extraordinaire est QUE LE GOUVERNEMENT AMÉRICAIN N’ÉTAIT PAS CAPABLE DE POURSUIVRE UNE ENQUÊTE. Nous avons reproduit sur la page précédente une note d'Evan E. Young dans Division des Affaires de l’Europe de l'Est à l’Assistant du Secrétaire d'État Carr. Notez que c'est un mémorandum des niveaux supérieurs du Département d'État. Young écrit spécifiquement : « … il y a des raisons certaines et très définies pourquoi je considère très imprudent pour le Département de commencer toute enquête en ce qui concerne la concession de manganèse rapportée. » Et l’Assistant du Secrétaire d'État Carr gribouillages sur le fond, « Je diffère à votre jugement sur ceci » (vraisemblablement après la communication orale suggérée). L'impression distincte est que quelque pouvoir en coulisse ne serait pas défié.

V. L'ORDRE FAIT SA PROPRE LOI

L'Ordre a gardé une influence sur chaque position stratégique non-gouvernementale en rapport avec l'Union Soviétique. Rien ne paraît s'être échappé de leur attention. Par exemple, la Chambre de Commerce Anglo-russe a été créée en 1920 pour encourager le commerce avec la Russie - désespérément demandée par les Soviets pour restaurer l'industrie Tsariste au ralenti. Le président de son comité de direction, poste clé dans la Chambre, a été tenu par Samuel R. Bertron (L'Ordre 1885), un vice-président de Garanty Trust et autrefois un membre de la Mission de 1917 de Root en Russie. Elihu Root, Président de la Mission, était, bien sûr, l'avocat personnel à William Collins Whitney (L'Ordre 1863), un des membres clés de L'Ordre. La lettre de la Chambre de Commerce Anglo-Russe de Bertron, imprimée ci dessus est remarquable parce qu'il pose la question : « Quelle date pour commercer dans les crédits russes a été interdite aux États-Unis par les autorités Fédérales ? » Cela veut dire que L'Ordre était bien informé en 1921 que les « crédits » à l'U.R.S.S. était illégaux et en effet n’ont pas été rendus légaux jusqu'à ce que le Président Roosevelt soit entré en fonctions en 1933. Cependant, illégal ou pas,  dans les 18 mois de cette lettre Bertron, la Garanty Trust a établi plus que faire du commerce dans les crédits russes. La Garanty Trust a fait un accord bancaire commun avec les Soviets et a installé un vice-président de Garanty Trust, Max May, comme directeur en charge de la division étrangère de cette banque Soviétique, le RUSKOMBANK (Voyez le document au dessus sur Berton - L’Ordre 1885). En bref, pendant que le public américain était assuré par le gouvernement américain que les Soviets étaient des assassins infâmes, pendant que « Rouges » étaient expulsés vers la Russie par le Ministère de la Justice, pendant que chaque politicien (presque sans exception) assurait le public américain que les États-Unis n'auraient pas de relations avec les Soviets - pendant que ce barrage de mensonges visait un public crédule, derrière les scènes la Garanty Trust Company dirigeait réellement une division d'une banque Soviétique ! Et les troupes américaines étaient acclamées par les révolutionnaires Soviétiques pour les aider à protéger la révolution. C’est, chers lecteurs, pourquoi les gouvernements ont besoin de censure. C'est pourquoi même 50 années après quelques événements, il est presque impossible pour les chercheurs indépendants (pas les lèche-bottes) d’obtenir des documents clés remis en circulation.    

VI. LES CABINETS JURIDIQUES DE L'ORDRE

Les cabinets juridiques établis de New York, plusieurs ont été fondés par des membres de L'Ordre, ont des liens proches avec les banques et spécifiquement ces véhicules opérationnels pour la révolution déjà cités. Prenez l'exemple de Simpson, Thacher & Bartlett qui était localisé dans les années 1920 au 120 Broadway, New York. L'entreprise a été fondée par Thomas Thacher (L'Ordre 1871) en 1884. Son fils Thomas Day Thacher (L'Ordre 1904) a travaillé pour le cabinet juridique familial après avoir quitté Yale et avoir été initié dans L'Ordre. Le plus jeune Thomas Thacher est allé travailler pour Henry L. Stimson (L'Ordre 1888), un membre très actif de L'Ordre dont nous avons discuté dans le volume un de ces séries. Au sujet de ce temps Thacher, qui a écrit la déclaration de L'Ordre sur la révolution bolchevique, est devenu ami avec Félix Frankfurter et Raymond Robins. D'après la documentation considérable dans les dossiers du Comité Lusk, les deux Frankfurter et Robins étaient d’une aide considérable aux Soviets. Un autre lien entre la révolution de 1917 et Simpson, Thacher & Bartlett est à travers la fille de Thomas Anthony Thacher (L'Ordre 1835) qui s'est mariée avec William Kent (L'Ordre 1887) que nous avons lié au membre Amos Pinchot dans le cas de l'intervention de la part des Soviets à Washington, D.C. En outre, les lecteurs de Wall Street et la révolution bolchevique se rappelleront que le membre Samuel Bertron était dans la Mission Root pour la Russie en 1917. De plus, Thomas Thacher (L'Ordre 1904) était un membre de la Mission de la Croix Rouge avec Allan Wardwell, fils de Thomas Wardwell, trésorier de la Standard Oil - de Rockefeller - et un partenaire dans un autre cabinet juridique de Wall Street, Statson, Jennings & Russell (les liens de cette entreprise à L'Ordre seront décrits dans un volume futur). Eugène Stetson, Jr., par exemple, est dans L'Ordre (1934). Simpson, Thacher & Bartlett a représenté la Banque d'État Soviétique aux USA et était le véhicule utilisé par L'Ordre pour informer le Département d'État des activités qui peuvent être autrement bloquées par les bureaucrates de faible niveau qui suivent le règlement du gouvernement. Par exemple, en 1927 Simpson, Thacher & Bartlett a informé le gouvernement américain que les Soviets étaient dans un processus de dépôts substantiellement croissants aux Etats-Unis. Cette augmentation était en préparation pour des dépenses énormes canalisées vers quelques entreprises américaines favorisées pour construire le premier plan quinquennal soviétique. La lettre lue attentivement est explicite ; elle met des mots dans la bouche du Département d'État, c.-à-d., c'est ce que nous allons faire et malgré le gouvernement américain, il n'y a aucune raison pour que nous ne devrions pas aller de l’avant. Notez, par exemple, le dernier paragraphe : «… il nous paraît qu’il n'y a aucune raison pour que la Banque n’augmente pas ses dépôts malgré que notre Gouvernement n'a pas reconnu l'U.R.S.S. »

RUSSIE

Pendant les quatre années passées le Gouvernement des États-Unis a maintenu la position que ce serait futile et imprudent d'entrer en relations avec le Gouvernement Soviétique aussi longtemps que les chefs bolcheviques persistent dans les buts et pratiques sur le terrain des relations internationales qui empêchent la possibilité d'établir des relations sur la base de principes de gouvernement acceptés de rapport entre nations. C'est la conviction du Gouvernement des États-Unis que les relations sur une base habituelle amicale entre nations ne peut pas être établi avec une entité gouvernementale qui est l'agence d'un groupe qui l’influence comme leur mission pour provoquer la chute de l'ordre politique, économique et social existant partout dans le monde et qui règlent en conséquence leur conduite vers les autres nations. Les expériences de plusieurs Gouvernements européens qui ont reconnu et sont entrés en relations avec le régime Soviétique ont démontré décisivement la sagesse de la politique à laquelle le Gouvernement des États-Unis a adhéré uniformément. La reconnaissance du régime Soviétique n'a pas provoqué toute cessation d'intervention par les chefs bolcheviques dans les affaires internes des pays qui l’ont reconnu, pas plus qu’il a mené à l'acceptation par eux d'autres obligations fondamentales de rapport international. Certains états européens se sont efforcés, en entrant en discussions avec des représentants du régime Soviétique, d’atteindre un règlement de différences remarquables d'après les usages internationaux acceptés. Tellement de conférences et de discussions ont été entièrement infructueuses. Aucun état n'a été capable d'obtenir le paiement des dettes contractées par la Russie sous les gouvernements précédents ou l'indemnisation de ses citoyens pour les propriété confisquée. En effet, il y a toute raison de croire que l'accord de reconnaissance et la tenue de discussions ont servi seulement à encourager les présents dirigeants de la Russie dans leur politique de répudiation et de confiscation, aussi bien que dans leur espoir qu’il soit possible d’établir une base active, acceptée par les autres nations, par laquelle ils peuvent continuer leur guerre sur l'ordre politique et social existant dans d’autres pays. Les développements courants démontrent la persistance continue à Moscou d'un but révolutionnaire mondial dominant et la manifestation pratique de ce but dans tellement de manières que cela rend impossible l'établissement de relations normales avec le gouvernement Soviétique. Les dirigeants présents en Russie, en cherchant à diriger l'évolution de la Russie le long des ligne politiques, économiques et sociales de telle manière à faire une « base de la révolution mondiale » efficace, continuent à poursuivre, à travers l’Internationale Communiste et d’autres organisations avec quartiers généraux à Moscou, dans les frontières d'autres nations, y compris les États-Unis, des opérations planifiées avec soin dans le but de provoquer finalement la chute de l'ordre existant dans de telles nations. Une masse de données en ce qui concerne les activités continues aux États-Unis de plusieurs organisations bolcheviques, sous la direction et le contrôle de Moscou, ont été présentées par le Département d’État à une sous-commission du Comité du Sénat sur les Affaires Étrangères en janvier 1924.

VII. CE QUE LES POLITICIENS ONT DIT AUX CITOYENS AMÉRICAINS…

Toute cette activité de la construction des Soviets enregistrée par le Comité Lusk et dans les dossiers du Département d'État ont été dissimulés avec soin au public américain. Ce qui a été dit au public peut être décrit seulement comme un paquet de mensonges, du début à la fin. Pour démontrer le degré de mensonge, nous réimprimons ici une page sur la « Russie » d'un document « Extrait d'une déclaration intitulée « Affaires étrangères » par l’honorable Frank B. Kellogg, Secrétaire d'État, publié par le Comité National Républicain, Bulletin No. 5, 1928. » Parmi les mensonges encouragés par Secrétaire Kellogg est ce qui suit : « …le Gouvernement des États-Unis a maintenu la position que ce serait futile et imprudent d'entrer en relations avec le Gouvernement Soviétique. » En fait, les États-Unis, avec approbation implicite du gouvernement, ont été impliqués dans l’organisation du premier Plan quinquennal en Russie en même temps. L'organisation du travail a été fait activement par des firmes américaines. (1) La construction de l’arme dialectique Soviétique a continué pendant toutes les années 1930 jusqu'à la seconde guerre mondiale. En 1941 W.A. Harriman a été nommé administrateur du prêt bail pour assurer l’écoulement de la technologie et des produits des États-Unis vers l'Union Soviétique. L’examen des dossiers du prêt bail montre que la loi Américaine a été violée. La loi exigeait que seulement des marchandises militaires pouvaient être transportées. En fait, du matériel industriel dans des montants extraordinaires a aussi été transporté et des plaques du Ministère des Finances d’impression de monnaie afin que les Soviets puissent imprimer des dollars Américains librement. Depuis la seconde guerre mondiale les États-Unis ont gardé les Soviets au courant de la technologie moderne. Cette histoire a été détaillée ailleurs. En bref, la création de l'Union Soviétique provient de L'Ordre. La survie précoce de l'Union Soviétique provient de L'Ordre. Le développement de l'Union Soviétique provient de L'Ordre. Mais par dessus tout, cette histoire a été dissimulée au public américain par les politiciens… plus sur ceci plus tard. Maintenant tournons nous vers le financement du parti Nazi en Allemagne   (1) Cette histoire a été décrite dans mon livre Technologie De l'ouest Et Le Développement Économique Soviétique 1917-1930 et 1930-1945, publiés par l'Institution Hoover à l’Université Stanford.     hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...  
Mémorandum Numéro Quatre :
Antithèse – Le Financement Des Nazis
  La version Marxiste de la dialectique Hégélienne pose le capitalisme financier comme thèse et la révolution Marxiste comme antithèse. Un puzzle évident dans cette déclaration Marxiste est la nature de la synthèse présumée pour évoluer hors du fracas de ces contraires, c.-à-d., le fracas du capitalisme financier et du Marxisme révolutionnaire. La déclaration de Lénine que l'État se fanera à l'étape de la synthèse est absurde. En fait, comme tous les états Marxistes contemporains en témoignent, l'État en pratique devient tout puissant. La tâche immédiate de « la révolution » est de transporter tout le pouvoir à l'État, et les états Marxistes modernes opèrent sous une paranoïa constante que le pouvoir peut en effet passer loin des mains de l'État dans les mains du peuple. Nous suggérons que les forces mondiales peuvent être vues différemment, quoique encore en termes de dialectique Hégélienne. Si le Marxisme est posé comme la thèse et le national socialisme comme antithèse, alors la synthèse la plus probable devient un Nouvel Ordre Mondial Hégélien, une synthèse qui évolue hors du fracas du Marxisme et du national socialisme. De plus, dans ce bilan ceux qui financent et dirigent le fracas des contraires peuvent rester au contrôle de la synthèse. Si nous pouvons montrer que L'Ordre a encouragé les deux artificiellement et développé le Marxisme révolutionnaire et le national socialisme en retenant quelque contrôle sur la nature et le degré du conflit, alors il en résulte que L'Ordre sera capable de déterminer l'évolution et la nature du Nouvel Ordre Mondial.  

I. OÙ LES NAZI ONT TROUVÉ LEURS FONDS POUR LA RÉVOLUTION ?

Dans Wall Street Et La Montée de Hitler nous avons décrit plusieurs conduits financiers entre Wall Street et le parti Nazi. Cela a été augmenté plus tard par publication d'un long livre étouffé, les partisans secret d’Hitler. (1) Toutefois d’autres livres ont accentué le rapport financier entre Fritz Thyssen et Hitler. Après avoir rompu avec Hitler, Thyssen lui-même a écrit un livre, J'ai Payé Hitler. Nous sommes maintenant à même de fusionner l'évidence dans ces livres avec d’autre matériel et notre documentation sur L'Ordre. Les registres du Conseil du Contrôle Américain pour l’Allemagne contiennent les entrevues de l'intelligence d'après-guerre avec les Nazi proéminents. De ceux-ci nous avons vérification que le conduit majeur pour les fonds à Hitler étaient Fritz Thyssen et sa Bank fur Handel and Schiff, précédemment appelée von Heydt Bank. Cette information coïncide avec l’évidence dans Wall Street Et La Montée de Hitler et les Partenaires Secrets de Hitler, même les noms des gens et des banques impliqués, c.-à-d., Thyssen, Harriman, Garanty Trust, von Heydt, Carter, et ainsi de suite. Le document reproduit ci-dessous a glissée à travers la censure Américaine parce que le Bureau du Directeur de l'Intelligence ne savait rien du lien entre Fritz Thyssen et les intérêts Harriman à New York. Les documents qui lient Wall Street à Hitler ont été pour la plupart enlevés des registres du Conseil du Contrôle des Etats-Unis. En tout cas, nous reproduisons ici le rapport de l'Intelligence qui identifie Fritz Thyssen et sa Bank fur Handel und Schiff (No. EF/Me/1 du 4 septembre 1945) et la page 13 de l'interrogation de Fritz Thyssen intitulée « Soutien financier du parti Nazi. »  
(1) Wall Street Et La Montée de Hitler et les Partisans Secrets d’Hitler sont disponibles à Research Publications, P.O. Box 39850, Phénix Arizona 85069. Quelques autres aspects sont couverts dans le livre de Charles Higham, Trading With TheEnemy (Delacorte Press).

II. QUI ÉTAIT THYSSEN ?

Fritz Thyssen était le magnat de l'acier allemand qui s’est lui même associé avec le mouvement Nazi au début des années 1920. Quand il a été interrogé en 1945 - Projet Dustbin, Thyssen a rappelé qu'il a été approché en 1923 par le général Ludendorf au temps de l'évacuation française de la Ruhr. Peu après cette réunion Thyssen a été présenté à Hitler et a fourni des fonds pour les Nazi à travers le général Ludendorf. En 1930-31 Emil Kirdorf a approché Thyssen et par la suite a envoyé Rudolf Hess pour négocier plus de contribution de fonds pour le parti Nazi. Cette fois Thyssen a arrangé un crédit de 250,000 marks à la Bank Voor Handel en Scheepvaart N.V. (le nom hollandais pour la banque nommée par Thyssen dans le document cité au dessus), au 18 Zuidblaak à Rotterdam, Hollande. Thyssen était à la tête du Vereinigte Stahlwerke, le trust de l'acier allemand, financé par Dillon, Read (New York), et a joué un rôle décisif dans la montée de Hitler au pouvoir en contribuant libéralement au parti Nazi et en influençant ses compagnons industriels de le rejoindre pour soutenir le Führer. En récompense de ses efforts, Thyssen a été comblé de faveurs politiques et économiques par le Troisième Reich et a aimé le pouvoir presque illimité et le prestige sous le régime Nazi jusqu'à sa fracture avec Hitler en 1939 par la décision d’envahir la Pologne et de précipiter la deuxième guerre mondiale. Cet incident et la publication subséquente de Thyssen, J'ai Payé Hitler, a un parallèle avec l'histoire de son père, August Thyssen. À travers une confession semblable en 1918 le plus âgé des Thyssen, en dépit de son dossier comme partenaire loyal du pan-germanisme, a réussi à convaincre les alliés que la responsabilité de l’agression allemande devrait être placée seule sur le Kaiser et les industriels allemands ne devraient pas être blâmés pour le soutien qu'ils avaient donné au Hohenzollern. Apparemment influencés par August Thyssen et ses associés, les alliés n'ont fait aucun effort pour réformer l'industrie allemande après la première guerre mondiale. Le résultat était que Thyssen a été autorisé à retenir un vaste empire industriel et à le transmettre intact à ses héritiers et successeurs. C'était contre cette origine que Fritz Thyssen a pris le contrôle des avoirs de la famille à la suite de la mort de son père en 1926. Le nouveau baron de l'acier allemand avait déjà acquis la célébrité dans le Reich par son défi des Français pendant leur occupation de la Ruhr en 1923. Comme Hitler, Thyssen a regardé le Traité de Versailles comme « un pacte honteux » lequel doit être renversé si la Patrie devait encore augmenter. C'est l'histoire du livre les Partisans Secrets d’Hitler. Thyssen a entrepris tout le long la même route que son père, aidé par les amples emprunts de Wall Street pour construire l'industrie allemande. August Thyssen avait combiné avec Hugenburg, Kirdorf, et l’aîné des Krupp à encourager l'AllDeutscherVerband (la Ligue pan-germanique) qui a fourni le rationnel pour les politiques expansionnistes du Kaiser. Son fils est devenu un membre actif du Stahlhelm et plus tard, à travers Goring, a rejoint les Nazis. Finalement, après que l'accident de 1931 eût apporté l'industrie allemande au bord de la faillite, il a ouvertement embrassé le national socialisme. Pendant les deux années suivantes Thyssen a consacré sa richesse et son influence pour amener Hitler au pouvoir. En 1932 il a arrangé la célèbre réunion dans le Club des Industriels de Düsseldorf, dans laquelle Hitler s'est adressé aux principaux hommes d'affaires de la Ruhr et de la Rhénanie. À la fin du discours de Hitler Thyssen a crié, « Heil Herr Hitler », pendant que les autres ont applaudi avec enthousiasme. Vers les élections présidentielles allemandes qui suivent cette année, Thyssen a obtenu des contributions au fonds de la campagne d’Hitler de l’union des industriels. Il est rapporté qu’à lui seul il a employé 3,000,000 marks pour les Nazis dans l'année 1932.

III. LA CONNEXION DE L'UNION BANCAIRE

Ce mouvement de fonds est passé par les banques de Thyssen. La Bank fur Handel and Schiff citée comme le conduit dans le rapport de l'Intelligence Américaine était une filiale de la banque d’August Thyssen, et fondée en 1918 avec H.J. Kouwenhovenet D.C. Schutte comme associés gérants. En bref, c'était l'opération bancaire personnelle de Thyssen, et affilié avec les intérêts financiers de W.A. Harriman à New York. Thyssen a rapporté à ses interrogateurs du Projet Dustbin que : « J'ai choisi une banque hollandaise parce que je ne voulais pas être impliqué avec les banques allemandes dans ma position, et parce que je pensais que c'était meilleur de travailler avec une banque hollandaise, et je pensais que j'aurais les Nazis un peu plus dans mes mains. » Les Partisans Secrets d’Hitler identifient le conduit depuis les Etats-Unis aussi « von Heydt », et la banque von Heydt était le premier nom de la banque à Thyssen. En outre, la banque de front de Thyssen en Hollande - c.-à-d., la banque voor Handel enScheepvaart N.V. – a contrôlé l'Union Banking Corporation à New York. Les Harriman avait un intérêt financier dedans, et E. Roland Harriman (L'Ordre 1917), le frère d'Averell, était directeur de cette Union Banking Corporation. L' Union Banking Corporation de la ville de New York était une opération commune Thyssen-Harriman avec les directeurs suivants en 1932 : E. Roland Harriman (L’Ordre 1917) Vice-président de W.A. Harriman & Co., New York H.J. Kouwenhoven (Nazi) banquier Nazi, associé gérant de la banque d'August Thyssen et de la banque voor Handel Scheepvaart N.V. (la banque de transfert pour les fonds de Thyssen) Knight Woolley (L’Ordre 1917) Directeur de Garanty Trust, New York, et Directeur de la Federal Reserve Bank de New York Cornelius Lievense Président, Union Banking Corp. et directeur de Holland-American Investment Corp. Ellery Sedgewick James (L'Ordre 1917) Partenaire, Brown Brothers, & Co., New York Johann Groninger (Nazi) Directeur de la banque voor Handel en Scheepvaart et Vereinigte Stahlwerke (les opérations dans l'acier de Thyssen) J.L. Guinter Directeur de l’Union Banking Corp. Prescott Sheldon Bush (L’Ordre 1917) Partenaire, Brown Brothers, Harriman. Père du Président G. H. W. Bush. Les huit directeurs de l'Union Banking Corporation sont en effet une bande  intéressante. Regardez ce qui suit : Quatre directeurs de l'Union Banking sont membres de L'Ordre : tous initiés à Yale en 1917 - membres de la même classe de Yale. Tous les quatre étaient membres de la même cellule (club) D 115. E. Harriman était le frère de W. Averell Harriman et un Vice-président de la W.A. Harriman . Company La Garanty Trust était représentée par Knight Woolley. Deux des directeurs de l’Union, Kouwenhoven et Groninger, étaient des directeurs Nazis de la banque voor Handel en Scheepvaart, autrefois la banque von Heydt. Von Heydt était l'intermédiaire entre la Garanty Trust et Hitler nommée dans les Partisans Secrets d’Hitler. Ellery S. James et Prescott S. Bush étaient des partenaires dans Brown Brothers, plus tard, Brown Brothers, Harriman. Hors de huit directeurs de la banque de Thyssen à New York, nous pouvons par conséquent en identifier six qui sont ou Nazis ou membres de L'Ordre. Cette banque privée était nommée autrefois Von Heydt Bank et von Heydt est nommé par Sharp dans les Partisans Secrets d’Hitler comme l'intermédiaire entre la Garanty Trust de New York et Hitler entre 1930 et 1933. Par dessus tout, il faut se souvenir que Shoup écrivait en 1933 quand cette information était encore seulement connue de ceux de l'intérieur. Hors de dizaines de milliers de banques et de banquiers, Shoup, en 1933, nomme ceux que l’évidence qui fera surface des décennies plus tard confirmera comme financiers Hitler. En bref, quand nous fusionnons l'information du PROJET DUSTBIN avec les Partenaires Secrets d’Hitler de Shoup, nous trouvons le conduit majeur du financement Nazi lié à L'ORDRE et spécifiquement la cellule D 115.

IV. PROFIT DU CONFLIT

Hors de la guerre et la révolution viennent les occasions pour le profit. Le conflit peut être utilisé pour le profit par les corporations sous le contrôle et l’influence de L'Ordre. Dans la seconde guerre mondiale, la guerre Coréenne et la guerre Vietnamienne nous pouvons citer des exemples de corporations américaines qui ont entretenu des relations commerciales avec « l'ennemi » pour le profit. Ce « commerce du sang » n’est en aucun cas sporadique ou limité à quelques entreprises ; c'est général et reflète de plus hautes décisions politiques et des philosophies. Les corporations - même les grandes corporations - sont dominées par les banques et les sociétés fiduciaires, et à tour de rôle ces banques et sociétés fiduciaires sont dominées par L'Ordre et ses alliés. (Ce sera le sujet d'un prochain volume). Bien que les Etats-Unis ne soient pas entrés officiellement en guerre avec Allemagne jusqu'à 1941, légalement, et certainement moralement, les Etats-Unis étaient en guerre avec l’Allemagne Nazie après la négociation de destroyers avec la Grande-Bretagne en décembre 1940, c.-à-d., l'échange de 50 vieux destroyers Américains pour des bases stratégiques dans le territoire britannique. Même avant décembre 1940 le MS « Frederick S. Fales » propriété de la Standard Vacuum Company a été coulé par un sous-marin allemand le 21 septembre 1940. En 1941 Standard Oil du New Jersey (maintenant EXXON) avait six pétroliers Standard Oil dans les registres panaméens, équipé par des officiers Nazis pour transporter le fuel des raffineries de Standard Oil aux Îles Canaries, une base de ravitaillement en carburant des sous-marins Nazis. Un rapport sur ce fait daté du 15 juillet 1941 de l'Intelligence au Cinquième Corp à Columbus, Ohio, est reproduit ci-dessous. Le rapport est dans l’erreur car il enregistre qu'aucun bateau de la Standard Oil n'avait été coulé par les Nazi ; le Major Burrows ne savait apparemment pas pour le « Frederick S. Fales » en 1940. Un autre exemple de profit de guerre est enregistré dans le document à la suite du précédent cité. Cela enregistre l'association de RCA et les Nazi dans la seconde guerre mondiale. RCA était essentiellement une entreprise Morgan-Rockefeller et donc a liée à L'Ordre.   Encore un autre exemple est celui de la Banque Chase. La Chase est liée à L'Ordre à travers la famille Rockefeller (Percy Rockefeller, L'Ordre 1900) et le Vice-président Reeve Schley (Yale, Scroll & Key). Les directeurs de la Chase dans L'Ordre ont inclus Frederick Allen (L'Ordre 1900), W.E.S. Griswold (L'Ordre 1899) et Cornelius Vanderbilt, dont le frère Gwynne Vanderbilt (L'Ordre 1899) a représenté la famille avant sa mort. Le président de la Chase était Winthrop Aldrich. C'était la branche de Harvard de la famille Aldrich, une autre branche est Yale et L'Ordre. La Chase Manhattan Bank n’est pas seulement une entreprise qui joue des deux côtés du grillage politique, mais avec Ford Motor Company, a été sélectionnée par le secrétaire au trésor Morgenthau pour enquêter après la guerre pour activités pro-Nazi : Ces deux situations [c.-à-d., Ford et Banque Chase] nous ont convaincu qu’il est impératif d'enquêter immédiatement sur la place des activités des filiales d'au moins quelques-unes des plus grandes entreprises américaines qui opéraient en France pendant l’occupation allemande… L'ampleur de la collaboration de la Chase avec les Nazis est renversante - et c'était à la fois quand Nelson Rockefeller avait un travail d'intelligence à Washington CONTRE des opérations Nazies en Amérique latine. En décembre 1944 des fonctionnaires du Ministère des Finances ont examiné les registres de la Banque Chase à Paris. Le 20 décembre 1944 l'examinateur supérieur américain a envoyé une note au secrétaire du trésor Morgenthau avec les résultats préliminaires de l'examen de Paris. Voici un extrait de ce rapport : a. Niederman, de nationalité suisse, directeur de Chase, Paris, était indiscutablement un collaborateur ; b. La Maison mère de la Chase à New York a été informée de la politique du collaborateur Niederman mais n'a pas pris le pas pour l'enlever. En effet il y a l’ample évidence pour montrer que la Maison mère à New York a regardé les bonnes relations deNiederman avec les Allemands comme un excellent moyen de conserver, intact, la place de la Banque Chase en France. c. Les autorités allemandes étaient inquiètes de garder la Chase ouverte et en effet ont pris des mesures exceptionnelles pour fournir des sources de revenus. d. Les autorités allemandes ont désiré « être des amis » avec les banques américaines importantes parce qu'ils ont attendu que ces banques seraient utile après la guerre comme un instrument de la politique allemande aux États-Unis. e. La Chase, Paris s'est montré plus inquiet de vouloir plaire aux autorités allemandes dans chaque voie possible. Par exemple, la Chase a maintenu avec zèle le compte de l'Ambassade allemande à Paris, « comme chaque petite chose aidez » (à maintenir les relations excellentes entre la Chase et les autorités allemandes). f. L'objectif entier de la politique de la Chase et l’opération était de maintenir à tous prix la place de la banque. En bref, la Banque Chase était un collaborateur Nazi, mais le rapport préliminaire précité est aussi loin que l'enquête a continué. Le rapport a été tué sur les ordres de Washington, D.C. En revanche, la Banque Chase, plus tard la Chase Manhattan Bank, a été l’organisatrice principale de l'exportation de la technologie Américaine vers l'Union Soviétique. Cela va depuis le début des années 1920 quand la Chase a cassé le règlement Américain pour aider les Soviets. Dès 1922 la Chase essayait d'exporter des moteurs de l'avion militaire LIBERTY vers l'Union Soviétique ! En conclusion, nous avons vu que les deux armes de la dialectique décrits dans les Mémorandums Trois et Quatre se sont heurtées dans la seconde guerre mondiale. En outre, le segment d'entreprises de l'élite a tiré profit du prêt-bail aux Soviets et de la coopération clandestine avec les intérêts Nazis. L'aile politique de L'Ordre préparait en même temps une nouvelle dialectique pour l'époque de la seconde guerre mondiale passée. hibou ecrit Voilà comment tout a commencé ...

Mémorandum Numéro Cinq :

La Nouvelle Dialectique - l'Angola et la Chine  

I. LA NÉCESSITÉ POUR UN NOUVEAU PROCESSUS DIALECTIQUE

  La seconde guerre mondiale était la culmination du processus dialectique créée dans les 1920 et 1930. Le fracas entre « droite » et « gauche », c.-à-d., l'Union Soviétique et l’Allemagne Nazi, ont mené à la création d'une synthèse - particulièrement les Nations Unies – ONU -, et un début vers des groupements régionaux dans le Marché Commun, le COMECON, l’OTAN, l’UNESCO, le Pacte de Varsovie, SEATO, CENTO, et alors la Commission Trilatérale. Un début vers le Nouvel Ordre Mondial. La seconde guerre mondiale a laissé L'Ordre avec la nécessité de créer une nouvelle situation dialectique pour promouvoir plus de conflit pour parvenir à un plus haut niveau de synthèse. La source du processus courant peut être trouvée dans le Mémorandum de la Sécurité Nationale No. 68 de 1950, avec ses extraordinaires omissions (analysé dans La Phoenix Letter, Janvier 1984). NSC 68 a ouvert la route pour la Technologie De l'Ouest afin de construire une Union Soviétique plus avancée – ce qu’il a fait dans les années 1960 et 1970 avec une technologie futuriste informatisée. En même temps NSC 68 a présenté l’argument d’expansion massive des défenses Américaines - en raison d'une future menace Soviétique. L'omission dans NSC 68 était assez élémentaire, c.-à-d., que les Soviets ne pouvaient pas progresser sans Technologie De l'Ouest. NSC 68 a admis que le transfert de technologique se faisait. En d'autres termes, en permettant aux entreprises de l'Ouest d'étendre l'Union Soviétique, NSC-68 aussi en même temps a créé l’argumentation pour un budget de la défense Américaine. Nous avons identifié dans notre article de la Phoenix Letter le lien entre NSC-68 et L'Ordre. Malheureusement pour L'Ordre, mais pas étonnamment, étant donné leur perception limitée du monde, le plan dialectique basé sur NSC-68 a raté. Les principaux appareils utilisés pour contrôler le processus dialectique dans les deux décennies passées ont été (a) l’information, (b) la dette et (c) la technologie. Ceux-ci ont été dilués avec le temps. Ils ne travaillent pas aussi bien aujourd'hui comme ils l’ont fait dans les années 1950. Dans l'ensemble, le contrôle de l'information a été prospère. Le monde intellectuel est encore fermé à clé dans une fausse bataille verbale entre « droite » et « gauche », alors que la vraie lutte est la bataille entre la liberté individuelle et l’empiètement du pouvoir absolu de l'État. L'Union Soviétique, avec sa censure serrée, présente une orientation strictement Marxiste (c.-à-d., « de gauche ») à ses citoyens. L'ennemi est toujours les Etats-Unis « fascistes ». L'Ouest est un peu plus compliqué mais pas beaucoup plus. La discussion de Quigley dans Tragedy and Hope, que J.P. Morgan a utilisé le pouvoir financier pour contrôler la politique, a été étendue au contrôle de l'information par L'Ordre. Dans l'Ouest le choix est fondamentalement entre une information contrôlée de « gauche-orientée » et une information contrôlée de « droite-orientée ». (1) Le conflit entre les deux groupes contrôlés tiennent en apparence un conflit informationnel vivant. Des faits importuns qui ne tombent ni dans l’un ni dans l’autre camp est oublié commodément. Les livres qui ne tombent ni dans l’un ni dans l’autre camp peuvent être neutralisés efficacement parce qu'ils encourront le courroux des deux « droite » et « gauche ». En bref, toute publication qui pointe haut l’illusion de la dichotomie Gauche-Droite est ignorée… et les citoyens continuent à s'attrouper jusqu'aux bureaux de scrutin dans la croyance qu’ils ont un « choix ». Le deuxième mécanisme du contrôle est la dette. Si les pays Marxistes doivent importer de la technologie, ils ont besoin de gagner ou d’emprunter des monnaies de l'Ouest pour la payer. Les emprunts doivent être remboursés. Si dans une certaine mesure, les débiteurs sont sous le contrôle de créanciers, à moins qu'ils ne fassent défaut. Le défaut est la faiblesse. Le troisième mécanisme du contrôle est la technologie. Si la technologie fait progresser plus de niveaux de productions efficaces doivent être importés, alors le destinataire est toujours gardé loin de le « la pointe de la technologie ». La faiblesse pour L'Ordre est que la technologie militaire n'exige pas un système de marché. Le plan dialectique a raté par conséquent pour plusieurs raisons. Premièrement, le trou informationnel n'a pas été aussi prospère que L'Ordre l’a espéré. Nous décrirons plus tard comment le contrôle du Time et de Newsweek a donné la dominance à L'Ordre sur les résumés des nouvelles hebdomadaires. Les réseaux de la télé ont été capables d'orchestrer des réactions de spectateurs - dans une certaine mesure. Par exemple, les trois bombes de gros calibre d'ABC en 1983 étaient The Day After, Thornbirds, etWinds of War, tous avec un thème de propagande commun. Mais L'Ordre était incapable de restreindre des individus et de relativement petits groupes non-académiques, presque toujours à l'extérieur des Universités, d'explorer les inconsistances évidentes dans la propagande des pouvoirs établis – de l’establishment. Ces groupes appelés souvent par erreur de « droite » ou de « gauche » sont à l'extérieur du spectre gauche-droite généralement manipulé. Deuxièmement, l'arme de la dette était trop employée. Les pays Communistes sont maintenant saturés de dettes envers les banquiers de l'Ouest. Troisièmement, pendant que la technologie est encore une arme utile, il y a des émouvants distincts parmi les analystes indépendants du danger posé pour le monde occidental en construisant des ennemis. Par conséquent, dans le monde d'aujourd'hui – 1983 - nous pouvons identifier deux faits en construction d'une nouvelle dialectique. En premier, prudent renforcement du bras Marxiste (la thèse présentée dans le Mémorandum Trois), c.-à-d., l’Angola Marxiste obtient un feu vert, mais une Grenade Marxiste un feu rouge. En Second, la construction d'un bras complètement nouveau, celui de la Chine Communiste, elle même Marxiste, mais avec un potentiel de conflit pour l'Union Soviétique. Des efforts majeurs par L'Ordre sont en cours, seulement en partie révélés dans la presse, pour créer une nouvelle superpuissance dans un mode de conflit avec l'Union Soviétique. C'est la nouvelle antithèse, remplaçant l’Allemagne Nazie. (1) Il y a des exceptions. Évidemment Review Of The News, American Opinion et Reason sont en grande partie hors du cadre de « droite ». Dans une certaine mesure l’U.S. Labor Party est à l'extérieur du cadre de « gauche », mais inclut tant de matériel falsifié que ses publications sont à peine de la lecture de la valeur. Henry George est une exception nette de « gauche ».

II. L'ORDRE CRÉE UN ANGOLA MARXISTE

L’Angola, ancienne province Portugaise sur la côte sud-ouest de l'Afrique, est un exemple contemporain de la création, mais plus prudente, continue du bras Marxiste du processus dialectique. La vue officielle des pouvoirs établis de l'Angola est que l’Angola était une colonie Portugaise et la règle oppressive Portugaise a mené à un mouvement d'indépendance dans lequel les Marxistes ont gagné sur les forces « démocratiques ». Cette vision ne peut pas être soutenue. Si les Portugais étaient des colons en Angola, alors donc le sont les Intellectuels de Boston dans le Massachusetts. Luanda, la ville principale en Angola, a été établie par les Portugais en 1575 - c'est demi un siècle avant que les Pèlerins débarquent dans le Massachusetts. La population indigène d'Angola en 1575 était moindre que la population indienne du Massachusetts. Plus de trois siècles les Portugais ont traité l'Angola plus comme une province que comme une colonie, par contraste avec les règles coloniales des anglais, des français et des belges en Afrique. Donc si l'Angola avait appartenu aux autochtones indigènes inexistants, alors donc  le Massachusetts appartiendrait logiquement aux Indiens américains. Dans le début des années 1960 les États-Unis aidaient activement la cause Marxiste en Angola. C'est clair de la part du Secrétaire précédent d'État Dean Acheson. Les extraits suivants sont d'un mémorandum qui a enregistré une conversation entre Dean Acheson (Scroll & Key), McGeorge Bundy (L'Ordre 1940), et le Président Kennedy datée du 2 avril 1962 : « Il [Kennedy] a alors tourné aux négociations avec le Portugal sur la base des Açores. Il a dit que rien de plus ne semblait se passer et qu'il serait reconnaissant pour m'avoir pris sur la matière et voir si quelque chose pouvait être fait. Je lui ai demandé l'autorisation pour parler de la situation pendant quelques minutes et j’ai dit à ce sujet ce qui suit : « Les Portugais ont été profondément offensés en quoi ils croyaient que c’était la désertion de la part des États-Unis, si non l'alignement actuel des États-Unis avec leurs ennemis. Le problème, il m’a semblé, ne se pose pas tant dans les négociations avec les Portugais que dans la détermination de la politique des États-Unis. La bataille serait à Washington, plutôt qu'à Lisbonne. » Dean Acheson fait alors des remarques sur un sujet apparemment déjà connu du Président Kennedy, que les États-Unis supportaient les mouvements révolutionnaires en Angola : « Le Président m'a alors demandé pourquoi j'étais si sûr qu'il n'y avait aucun espace pour les négociations sous les conditions présentes. J'ai dit que, comme il le savait peut-être, nous avions subventionné en fait les ennemis du Portugal ; et qu'ils ont fortement suspecté cela, bien qu'ils ne puissent pas le prouver. Il a dit que le but de cela était d’essayer de garder le mouvement nationaliste angolais hors des mains des communiste Ghanéens, etc., et de le garder dans des mains les plus modérées possible. J'ai dit que je comprenais complètement ceci, mais n'a pas fait que les Portugais n’ont rien suspecté de plus agréable à leur goût. Nous étions aussi engagés à sortir en contrebande des Angolais hors de l'Angola et les instruire dans le Lincoln College hors de Philadelphie dans les plus extrêmes opinions nationalistes. En outre la tête de ce collège avait pénétré secrètement et illégalement l'Angola et à son retour avait pris part à une violente propagande anti-portugaise. Nous avons voté aux Nations Unies pour des résolutions qui « condamnent » le Portugal pour maintenir indiscutablement l'ordre dans un territoire sous souveraineté Portugaise. J'ai signalé que les Portugais sont des gens fiers, particulièrement sensibles parce qu'ils avaient décliné vers une telle place impotente après une telle histoire glorieuse. Ils voudraient plutôt procéder à la ruine de leur empire dans une voie digne, comme ils ont fait à Goa, que d’être acheté ou enjôlé dans la coopération de leur propre destruction. » Il y a un point extrêmement important, bien qu'apparemment mineur, dans les commentaires du Président Kennedy. Kennedy croyait apparemment que les États-Unis finançaient des Nationalistes, pas des Marxistes, alors que les Etats-Unis aidaient réellement des Marxistes, comme il sera fait plus tard en Afrique du Sud, suivant un modèle qui remonte à la Révolution Bolchevique de 1917 en Russie. Il y a un bon point suivant mis à jour dans les dossiers de Kennedy, c.-à-d., juste combien Kennedy savait au sujet des opérations de la CIA et du Département d'État où L'Ordre était au contrôle. Les Marxiste sous le MPLA de Neto ont obtenu le contrôle de l'Angola. L'Ordre avec des alliés puissants parmi les corporations multinationales a exercé une pression sur les Administrations consécutives pour garder l'Angola comme une base soviéto-cubaine en Afrique Du sud. En 1975 les Etats-Unis conjointement avec l’Afrique du Sud ont eu en effet une conduite militaire en Angola. À un point crucial, quand les forces d’Afrique du Sud auraient pu atteindre Launda, les États-Unis ont annulé l'assistance. L'Afrique du Sud n'avait pas d’autre choix que de se retirer. L'Afrique du Sud a appris de façon difficile que les États-Unis sont seulement nominalement anti-Marxistes. En pratique les États-Unis ont fait à l’Afrique du Sud ce qu’ils ont fait avant bien des fois - l'élite a trahi ses alliés anti-marxistes. Vers le début des années 1980 les amis multinationaux de L'Ordre sont sortis du bois avec une prudente coordination d’actions publiques avec le Vice-président Bush (L'Ordre 1948). Par exemple, le 27 Mars 1981, le Wall Street Journal a fait paraître un article révélateur, y compris quelques pépites de la réalité mélangées avec la ligne des pouvoirs établis - Establishment. Cet article de première page a vu le soutien multinational Américain des Marxistes Angolais sous le gros titre « Ennemi Amical : les compagnies conseillent vivement aux États-Unis de rester hors d'Angola, déclinent l’aide aux rebelles » (ces rebelles qui sont les forces de l’UNITA de l’anti-marxiste Savimbi aidés par l’Afrique du Sud). Le chef de la corporation des forces pro-marxistes aux États-Unis est Melvin J. Hill, Président de Gulf Oil Exploration & Production Company, une unité de Gulf Oil qui opère dans le golfe de Cabinda. C'est un complexe de raffinerie en Angola, protégé des rebelles pro-Ouest de Savimbi par des troupes Marxistes Cubaines et Angolaises. Hill a dit au WSJ « l'Angola est un partenaire bien informé, compréhensif et fiable en affaires. » Hill n’apparaît pas seulement avant le Congrès avec cette ligne pro-Marxiste, mais a alors rencontré au moins plusieurs fois le Vice-président Bush. PWJ Wood de Cities Service a plus ajouté à la mythologie de Gulf Oil. Wood dit : « Les Angolais sont de plus en plus orientés vers le développement. Ils ne s'intéressent pas à la politisation de l’Afrique centrale de la part de Cubains ou de l'Union Soviétique. Nos gens sont persona non grata en Angola. »   Hill et Wood, bien sûr, sont rien de plus que des agents de relations publiques pour l’Angola Marxiste, bien que nous comprenions qu’ils ne soient pas enregistrés comme agents étrangers au Ministère de la Justice Américain. L'Angola est pour beaucoup une base cubaine et Soviétique pour la prise de contrôle de l'Afrique du sud, cependant 17 compagnies de pétrole de l'Ouest et autres entreprises sont en Angola. Elles incluent Gulf, Texaco, Petrofina, Mobil, Cities Service, Marathon Oil et Union TexasPetroleum. Les autres entreprises incluent Allied Chemical, Boeing Aircraft, General Electric - et Bechtel Corporation. Il doit être rappelé que les deux le Secrétaire d'État Schultz et le Secrétaire de la Défense Weinberger sont détachés de Bechtel Corporation. La Gulf Oil Corporation est contrôlée par les intérêts Mellon. Les plus grands actionnaires à eux seuls des actions en circulation. La Banque Mellon est représentée dans le Comité de Gulf Oil par James Higgins, un diplômé de Yale mais pas, aussi loin que nous pouvons déterminer, un membre de L'Ordre. Le prochain plus grand actionnaire est la Famille Mellon qui comprend la Fondation Andrew W. Mellon, la Fondation Richard King, et la Fondation Sarah Scaife. Ce groupe, qui se voit comme « conservateur », influence approximativement 7 pour cent des actions en circulation. Morgan Guaranty Trust (un nom nous avons rencontré auparavant) tient 1.8 million de parts ou approximativement 1 pour cent des actions en circulation. Dans une grande mesure ces corporations avec les intérêts Angolais ont elles-mêmes des membres dehors. C'est surprenant, par exemple, que l’Afrique du Sud n'ait pas bougé pour contrer l’action des entreprises basées en Angola, surtout General Electric, Boeing, Morgan Garanty Trust, Gulf Oil et Cities Service. Après tout, les Africains du Sud perdent directement des hommes du soutien massif donné aux Marxistes Angolais par ces entreprises. Ce serait meilleur marché en vies d’Africains du Sud de diriger plutôt l'action des représailles contre les corporations que contre les Cubains et les Angolais. Après la trahison Américaine de l'Afrique du Sud en 1975, quand les forces d’Afrique du Sud auraient pu atteindre Luanda, c'est un tribut à la prudence de l'Afrique du Sud qu'elle n'ait pas utilisé ceci plutôt qu’un évident comptoir d’arme. Après tout, un coup chirurgical de l’Afrique du Sud sur Cabinda enlèverait soigneusement la seule plus grande source d’échange de l'Angola, et donnerait aux Marxistes multinationaux une peu de nourriture pour la pensée. Nous ne sommes pas, bien sûr, à recommander aucune telle action, mais ça reste une option ouverte à l’Afrique du Sud. Et la possible réaction Américaine ? Bien que le Département d'État et la CIA étaient les mieux préparés avec une explication pour l'Ambassade Américaine un avion a été attrapé à photographier les installations militaires de l’Afrique du Sud ! Nous citons cet exemple seulement pour démontrer la nature dangereuse des scénarios de la gestion de conflits de L'Ordre.

III. L'ORDRE CONSTRUIT UN NOUVEAU BRAS DIALECTIQUE EN CHINE

De même que nous avons trouvé la famille Bush impliquée avec le développement précoce de l'Union Soviétique, puis avec le financement des Nazis, et vaguement derrière les scènes en Angola, nous trouvons donc un Bush actif dans la construction du nouveau bras dialectique : la Chine Communiste. En 1971 M. Nixon a nommé George « Poppy » Bush (L'Ordre 1948) comme Ambassadeur Américain aux Nations Unies, indépendant du fait que Bush n'avait aucune expérience antérieure dans la diplomatie. Comme délégué principal Américain, Bush avait la responsabilité de la défense contre les attaques communistes Chinoises de la République de Chine, libre membre original des Nations unies. Avec le vaste pouvoir des États-Unis à sa disposition, Bush a échoué misérablement : la République a été expulsée des Nations Unies et la Chine communiste a pris son siège. Peu après ce fiasco, Bush a quitté les Nations Unies pour prendre la relève comme Président du Comité National Républicain. (Encore une fois, ce texte a été écrit en 1983 et l’histoire a parlé depuis… note du traducteur François-Xavier Obrador). Ce n'est pas la place pour dire l'entière histoire de la participation américaine en Chine. Elle a commencé avec l’intervention de Wall Street dans la révolution de Sun Yat Sen de 1911 - une histoire cependant pas enregistrée publiquement. Pendant la seconde guerre mondiale les États-Unis ont aidé les communistes Chinois à accéder au pouvoir. Comme une autorité Chinoise, Chin-Tung Liang, l’a écrit au sujet du général Joseph W. Stilwell, le représentant Américain clé en Chine de 1942 à 1944 : « Du point de vue de la lutte contre le Communisme… [Stilwell] a rendu un très mauvais service à la Chine. » (1) Stilwell reflétait alors seulement les ordres de Washington, du général George C. Marshall. Et comme l’Amiral Cooke l’a déclaré au Congrès, « … en 1946 le général Marshall a utilisé les tactiques d'arrêt de munition pour désarmer invisiblement les forces Chinoises. » (2) Mais quand nous arrivons au général Marshall nous devons nous souvenir qu'aux États-Unis la branche civile a son autorité finale en matières militaire et cela nous renvoie alors au Secrétaire de Guerre Henry L. Stimson, le supérieur de Marshall et un membre de L'Ordre (1888). Par une coïncidence étonnante, Stimson était aussi Secrétaire de Guerre en 1911 - au temps de la révolution de Sun Yat Sen. L'histoire de la trahison de la Chine et le rôle de L'Ordre devra attendre encore un autre volume. À ce point nous voulons seulement enregistrer la décision de construire la Chine communiste comme un nouveau bras de la dialectique - une décision prise sous le Président Richard Nixon et mis en opération par Henry Kissinger (Chase Manhattan Bank) et George « Poppy » Bush (L'Ordre). Alors que nous allions mettre sous presse (début 1984) la Bechtel Corporation a établi une nouvelle compagnie, Bechtel China, Inc., pour manipuler des contrats pour le développement, l’ingénierie et la construction pour le gouvernement Chinois. Le nouveau Président de Bechtel China, Inc. est Sydney B. Ford, autrefois directeur commercial de Bechtel Civil & Minerals, Inc. Actuellement Bechtel travaille sur des études pour la China National Coal Development Corporation et la China National OffshoreOil Corporation - les deux, bien sûr, sont des organisations communistes Chinoises. Il apparaît que Bechtel joue maintenant un rôle semblable à celui d'Albert Kahn, Inc., basée à Détroit, la firme qui a entrepris en 1928 des études initiales et prévu le premier plan quinquennal en Union Soviétique. Vers l'an 2000 la Chine communiste sera une « superpuissance » construite par la technologie et la compétence américaine. C'est vraisemblablement l'intention de L'Ordre de placer ce pouvoir dans une mode de conflit avec l'Union Soviétique. Il n'y a aucun doute Bechtel fera son travail. Le précédent directeur de la CIA Richard Helms travaille pour Bechtel, comme le Secrétaire d'État George Shultz et le Secrétaire de la Défense Caspar Weinberger. C'est une combinaison puissante, influente, si tout planificateur de Washington concerné par la sécurité nationale était suffisamment sorti de la ligne pour protester. L'Ordre a probablement encore mal calculé. Quelle sera la réaction de Moscou à ce défi dialectique ? Même sans la paranoïa russe traditionnelle ils peuvent être excusés de se sentir plus qu'un peu troublés. Et qui peut dire que les communistes Chinois ne feront pas leur paix avec Moscou après l'an 2000 et joindront leurs forces pour éliminer le super super pouvoir - les Etats-Unis ? (1) Chin-Tun Liang, Général Stilwell in China, 1942-1944 : The Full Story.  St John’s University, 1972, p. 12. (2) Ibid p. 278.
Traduction française de l'oeuvre originale en anglais d'Antony Sutton - america's secret establishment, de la page 113 à 181 incluse.Original en anglais disponible neuf ou d'occasion sur internet.
Traducton modeste... ou l'inverse... par François-Xavier

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