Jeudi 17 juin 2010, Frédéric Taddéï recevait de nouveau Mathieu Kassovitz dans son émission « Ce soir ou jamais » sur France 3. L'occasion pour M. Kassovitz d'expliquer pourquoi le débat sur le 11 Septembre devait sortir d'internet et intégrer la place publique. Face aux « policiers de la... [suite]
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La loi « Patriot Act », adoptée au lendemain du 11 septembre 2001 par l’administration Bush et reconduite en 2010 par Obama, cristallise les dérives liberticides et antidémocratiques des Etats-Unis. Cette loi sécuritaire restreint considérablement les libertés individuelles et incite à la délation sous... [suite]
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06/01/2011
CNN: L'ex-agent de la CIA Mc Govern défend Wikileaks et fustige le journalisme "de complaisance"
Interview par CNN de l'ex-agent de la CIA Ray McGovern, co-auteur d'une lettre de soutien à Julian Assange, le fondateur du site Web WIkileaks. Ray Mc Govern fustige ici le journalisme "de complaisance" et réaffirme la fonction essentielle des médias qui est d'informer le public sur les faits et les actions des gouvernants, non de relayer leur bonne parole (l'interview... [suite]
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12/07/2007
Liberty BoundLa déroute de la liberté
"Liberty Bound" (La déroute de la liberté) pose un regard sur la lutte perpétuelle que livre l'Amérique pour garder un équilibre confortable entre la démocratie, le capitalisme et le fascisme. C'est un film sur les événements qui font l'histoire, un film sur le courage et la crainte ; l'ignorance et la connaissance ; la propagande et la... [suite]
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La célèbre expérience du psychologue Solomon Asch sur le conformisme, publiée en 1951, démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe. Cette expérience montre qu'un sujet répondant après plusieurs compères qui se trompent unanimement peut répondre comme ces derniers en... [suite]
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04/05/2010
« L'homme qui a fait tomber Nixon - Daniel Ellsberg et les dossiers secrets du Pentagone »
Documentaire américain : En 1971, Daniel Ellsberg, un brillant analyste employé comme consultant par le Pentagone, fait parvenir au New York Times un dossier sur la guerre du Vietnam classé secret défense. Ce document de 7000 pages révèle les mensonges d’Etat sur cette guerre. Daniel Ellsberg devient alors l'homme le plus... [suite]
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L’Histoire fourmille d’exemples d’attentats organisés par des gouvernements et conçues pour apparaître comme provenant d'autres entités. Un type d’attentat communément appelé « attentat sous fausse bannière » ou « attentat sous faux pavillon » (false flag en anglais).Dans cette vidéo... [suite]
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24/06/2011
"La Route vers le nouveau désordre mondial" - itw de Peter Dale SCOTT (VO ST en Français)
Dans cette interview passionnante, le professeur Peter Dale Scott , docteur en sciences politiques, ancien diplomate canadien et auteur du livre "La Route vers le nouveau désordre mondial", livre son analyse de la perversion mafieuse du système politique américain ayant notamment conduit au drame du 11-Septembre. [suite]
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Février 2008, iTéle reçoit Marie-Agnès Combesque (membre de la ligue francais des droits de l’homme) et Fred Davis (avocat américain) pour faire un point sur la « situation peu reluisante des droits de l'homme aux Etats Unis ». [suite]
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Terrorisme d'État : Anatomie de la mascarade Al-Qaïda
Terrorisme d'État : Anatomie de la mascarade Al... par Super_ResistenceUn rappel historique sur Qui a fondé Al-Qaida
Un rappel historique sur Qui a fondé Al-Qaida par Super_ResistenceLes Principes du pouvoir : l'Apocalypse - Le Film
Les Americains ont plannifié eux meme les attentas du 11 Septembre
Comment peut on expliquer que la NSA n'ait pas communiqué à la CIA ni au FBI les resultats des interceptions telephoniques dont elles disposait sur les terroristes ? simple negligeance ou intention deliberée de laisser les terroristes executer leur plan macabre ? la premiere these est difficlment plausible car la NSA n'est tout de meme pas dirigée par abrutis encore moins des amateurs . la deuxieme en revanche semble la plus realiste puisque ces attentats ouvriront la voie à l'invasion de l'IRAK et de l'Afghanistan . sans oublier que la lutte contre le terrorisme est devenu un argument dont les Americains utilisent pour etendre leur influence dans le monde et accroitre encore plus leur domination imperialisteDESCRIPTION
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Pourquoi la propagande l’emporte sur la vérité
25 septembre, 2009 by Spotless Mind
SOURCE : http://www.reopen911.info/News/2009/09/25/pourquoi-la-propagande-l%E2%80%99emporte-sur-la-verite/
Un article paru dans le journal Sociological Inquiry, Il doit y avoir une raison : Oussama, Saddam, et la justification induite, Vol. 79, N° 2, (2009), pp. 142-162, jette la lumière sur l’efficacité de la propagande. Les chercheurs ont examiné pourquoi les énormes mystifications réussissent là où les petites balivernes échouent. Les régimes peuvent s’en tirer avec de grandes impostures, mais les politiciens ne le peuvent pas avec la bagatelle.
Les chercheurs expliquent pourquoi tant de gens croient encore que Saddam Hussein était à l’origine du 11/9 des années après qu’il est devenu évident que l’Irak n’avait rien à voir avec ces événements. Les gens ont développé des rationalisations élaborées qui se sont profondément accrochées à leurs convictions induites par la propagande du régime Bush sur la présumée implication irakienne. L’implication émotionnelle de la propagande s’est intégrée à leur identité personnelle et à leur sens moral. Ils ont cherché les informations qui soutenaient leurs croyances et évité celles qui les démentaient, sans tenir compte des faits de l’affaire.
Dans Mein Kampf, Hitler explique la crédibilité en d’énormes mensonges par rapport aux petits bobards : « Dans la simplicité de leur esprit, les gens tombent plus facilement victimes d’une monstrueuse fiction que d’un petit boniment, car eux-mêmes se laissent souvent aller à de petites contrevérités peu importantes, mais auraient honte de recourir à de grosses mystifications. Il ne leur viendrait jamais à l’esprit de fabriquer une énorme imposture, et sont incapables de croire qu’un autre pourrait avoir pareil toupet. Même si des faits prouvant qu’il en est ainsi sont portés de manière claire à leur connaissance, ils continuent de douter et pensent qu’il pourrait y avoir une autre explication. »
Ce que les sociologues et Hitler nous disent, c’est que, avec le temps, les faits devenant évidents, les gens tiennent absolument sur le plan émotionnel aux croyances implantées par la propagande et trouvent que s’en libérer est une expérience déchirante. Il est plus confortable de dénoncer celui qui révèle la vérité plutôt que le menteur.
La psychologie de l’adhérence à des convictions, même injustifiées, est un pilier de la cohésion et de la stabilité sociale. Ça explique pourquoi, dès que le changement est réalisé, même un gouvernement révolutionnaire devient conservateur. Le revers de la médaille de ce travers, c’est d’empêcher la reconnaissance des faits. Dans l’Union soviétique, cela rendit le système incapable de s’adapter à la réalité économique, et l’Union Soviétique s’effondra. Aujourd’hui, aux États-Unis, des millions de gens trouvent plus facile de scander « USA, USA, USA, » que d’accepter les faits montrant la nécessité du changement.
L’inertie de l’effroyable imposture constitue la barrière qu’a du mal à abattre le mouvement pour la vérité sur le 11/9. Le racontar selon lequel ce mouvement se compose de théoriciens de la conspiration et de cinglés est évidemment absurde. Les dirigeants du mouvement sont des professionnels hautement qualifiés, comme des experts en démolition, des physiciens, architectes en construction, ingénieurs, pilotes, et anciens hauts fonctionnaires du gouvernement. Contrairement à leurs détracteurs qui répètent comme des perroquets l’histoire du régime, ils savent de quoi ils parlent.
Voyez cet exposé de l’architecte [*] Richard Gage devant un public d’universitaires canadiens. La vidéo de la présentation dure deux heures et semble avoir été adaptée pour ne pas dépasser cette durée. Gage est flegmatique, mais ce n’est guère une personnalité éblouissante, ni un présentateur très clair. Peut-être est-ce parce qu’il s’adresse à un public d’universitaires et tient pour acquis qu’ils connaissent les termes et les concepts.
Ceux qui croient en l’histoire officielle du 11/9 et traitent d’énergumènes les sceptiques peuvent tester la validité du constat des sociologues et l’observation d’Hitler en regardant la vidéo et en observant leurs réactions devant les évidences qui mettent leurs croyances en question. Êtes-vous capable de regarder la présentation sans railler quelqu’un qui en sait bien plus long que vous à ce sujet ? Quelle est votre réaction en sentant que vous ne pouvez plus défendre vos convictions devant les preuves présentées ? Vous raillez davantage ? Vous devenez furieux ?
Une autre difficulté face au mouvement pour la vérité sur le 11/9, c’est que peu de gens sont formés pour comprendre les aspects techniques et scientifiques. Le camp qu’ils croient leur dit une chose, le camp qu’ils ne croient pas leur en raconte une autre. La plupart des gens n’ont pas les rudiments leur permettant de juger de la valeur des arguments.
Par exemple, prenons le cas de l’attentat de Lockerbie. Une pièce à conviction utilisée pour condamner Magrahi consistait en un morceau de circuit imprimé de l’appareil qui aurait contenu le Semtex qui a fait exploser l’avion de ligne. Pas une personne vraiment très convaincue de la culpabilité de Magrahi et de la Libye et offensée par les autorités écossaises libérant Magrahi pour des motifs prétendument humanitaires ne savait que les circuits imprimés à cette époque avaient une température d’inflammation très basse et partaient facilement en fumée. Le Semtex produit une très haute température. Il ne serait rien resté de l’appareil contenant le Semtex. Il est évident pour un expert que le bout de circuit imprimé a été posé après l’événement.
J’ai demandé à plusieurs reprises, et n’ai jamais obtenu de réponse, ce qui ne veut pas dire pas qu’il n’y en ait pas, comment des millions de pages non brûlées, provenant de la destruction des tours du WTC, pouvaient planer dans l’air au-dessus de Manhattan, alors que l’explication officielle de la destruction raconte que les incendies étaient si chauds et si uniformément distribués qu’ils ont provoqué l’affaiblissement des structures d’acier massif et leur effondrement simultané, faisant s’écrouler les bâtiments dans les temps d’une chute libre, comme ils l’auraient fait s’ils avaient été abattus par une démolition contrôlée.
Comment expliquer des incendies si chauds que l’acier cède, mais qui ne brûlent pas les pages de papier ?
Les gens ne remarquent même pas les contradictions. Récemment, une équipe internationale de scientifiques, qui étudie depuis 18 mois des échantillons de poussière de la destruction des tours jumelles collectés par trois sources distinctes, a déclaré avoir découvert de la nanothermite dans la poussière. Le gouvernement étasunien avait ses propres scientifiques pour discréditer la trouvaille, au motif que le bien-fondé de l’origine des échantillons n’a pu être vérifié. En d’autres termes, quelqu’un a trafiqué les échantillons et ajouté de la nanothermite. C’est tout ce qu’il a fallu pour discréditer la découverte, malgré le fait évident que l’accès à la nanothermite est strictement contrôlé et personne, à part l’US Army et, éventuellement, Israël, ne peut y accéder.
Le physicien Steven Jones a produit des preuves accablantes du recours à d’explosifs pour abattre les bâtiments. Son témoignage n’est pas entendu, examiné, testé ou réfuté. Il est tout simplement ignoré.
L’expérience du Dr Jones me rappelle celle de mon professeur d’Oxford, le distingué physicien chimiste et philosophe Michael Polanyi. Polanyi est l’un des plus grands scientifiques du 20ème siècle. À un moment tout président de section de la Société Royale a été son étudiant. Pour leurs travaux scientifiques, nombre de ses élèves ont obtenu un prix Nobel, comme Eugène Wigner à Princeton et Melvin Calvin à l’UC de Berkeley, et son fils, John Polanyi, de l’Université de Toronto.
Jeune homme, dans les premières années du 20ème siècle, Michael Polanyi découvrit lesexplications de l’absorption chimique. Les instances scientifiques jugèrent que la nouvelle théorie mettait trop en question les croyances existantes et la rejetèrent. Bien qu’éminent scientifique du Royaume-Uni, Polanyi fut dans l’impossibilité d’enseigner sa théorie. Un demi-siècle après, sa trouvaille a été redécouverte par des scientifiques de l’UC de Berkeley. La découverte a été encensée, mais ensuite les scientifiques les plus âgés ont dit que c’était une « vieille erreur de Polanyi. » Il se trouve que ce n’est pas une erreur. Polanyi a demandé de s’adresser aux scientifiques au sujet de ce demi-siècle de manquement de la science pour qu’ils reconnaissent la vérité. Comment fait la science, qui repose sur l’examen des évidences, pour marcher aussi mal. La réponse de Polanyi, c’est que la science est un système de croyances, exactement comme toute chose, et que sa théorie était en dehors du système de croyances.
C’est ce que nous observons autour de nous, pas seulement au sujet de la perfidie des musulmans et du 11/9.
En tant que spécialiste en économie j’ai passé un moment très difficile à faire le point sur l’économie soviétique, sur les théories de Karl Marx, et sur l’impact fiscal de la politique économique de l’offre. Aujourd’hui, certains de mes lecteurs deviennent furieux parce que mes écrits rapportent des choses qui sont en dehors de leur système de croyances. Ces lecteurs pensent que je devrais éliminer ce qui est incompatible avec leurs convictions et m’orienter sur le travail de terrain. Jamais ils n’ont eu quelque compréhension du sujet. Ils sont tout simplement offensés sur le plan émotionnel.
Ce que je trouve curieux, ce sont ces gens que je connais, qui ne croient rien de tout ce que raconte le gouvernement, sauf sur le 11/9. Pour des raisons qui m’échappent, ils pensent qu’un régime, qui les mystifie sur tout, leur raconterait la vérité sur le 11/9. Comment cela pourrait-il être, je leur demande. Le gouvernement ferait parfois des bourdes et dirait la vérité ? Ma question ne les incite guère à repenser leur croyance en l’histoire du 11/9 du gouvernement. Ils se mettent plutôt en colère avec moi parce que je doute de leur intelligence ou de leur intégrité ou de quelque trait béni, par exemple [le discernement n’est pas donné à tout le monde, certains ont arrêté leur initiation à la vie après le choc d’avoir appris que le Père Noël n’existe pas, NDT].
Le problème devant la vérité, ce sont les besoins affectifs des gens. Dans le cas du 11/9, de nombreux individus pensent devoir croire leur gouvernement pour ne pas faire l’effet d’être peu coopératifs ou mauvais patriotes, et ils ont très peur d’être stigmatisés « sympathisants terroristes. » Ceux de l’extrême gauche ont le besoin affectif de croire qu’il s’agissait d’un « retour de flamme » des peuples opprimés par les États-Unis. Certains gauchistes pensent que les États-Unis méritent ce genre de retours de manivelles et croient pour cela la propagande du gouvernement sur les musulmans qui les auraient attaqués.
Des gens naïfs pensent que, si l’explication sur le 11/9 du gouvernement était fausse, les physiciens et les ingénieurs prendraient tous la parole. Certains l’ont fait (voir ci-dessus). Seulement, pour la plupart des physiciens et des ingénieurs ce serait un acte suicidaire. Les physiciens doivent leur carrière à des subventions gouvernementales, et leur service est fortement tributaire du financement public. Pour l’essentiel, en prenant la parole, un physicien met fin à sa carrière universitaire. S’il est professeur titulaire, pour apaiser Washington l’université rachètera son poste, comme BYU l’a fait dans le cas de l’honnête Steven Jones.
Une firme d’ingénierie qui oserait parler ne se verrait plus jamais accorder de contrat du gouvernement. Par ailleurs, ses clients patriotes cocardiers considéreraient la société comme une apologiste du terrorisme et arrêteraient de faire du business avec elle.
À New York, il y a aujourd’hui une poussée énorme des familles victimes du 11/9 en faveur d’une enquête réelle et indépendante sur les événements. Des dizaines de milliers de New-yorkais ont fourni les signatures nécessaires aux pétitions exigeant que l’État propose de voter pour l’instauration d’une commission indépendante. Seulement, jusqu’ici l’État ne se conforme pas à la loi.
Pourquoi les dizaines de milliers de New-yorkais qui demandent une véritable enquête sont-ils considérés comme des théoriciens de la conspiration ? Les sceptiques en savent bien plus sur les événements du 11/9 que les gens mal informés qui les qualifient de ce nom. La plupart des gens que je connais, qui se contentent de l’explication officielle, n’ont jamais examiné les preuves. Pourtant, ces nullités conspuent ceux qui ont étudié la question de près.
Il y a évidemment quelques énergumènes. Je me suis souvent demandé s’ils sont ridicules intentionnellement, pour discréditer les sceptiques bien informés.
Un autre problème auquel fait face le mouvement pour la vérité du 11/9, c’est que ses alliés naturels, ceux opposés aux guerres des Bush-Obama et les sites Internet soutenus par le mouvement pacifiste, craignent d’être accusés de traîtres et d’anti-étasuniens. Il est assez difficile de s’opposer à une guerre pour ceux que le gouvernement étasunien a réussi à diaboliser. Les sites pacifistes pensent qu’en permettant de remettre en question le 11/9, ils pourraient être étiquetés « sympathisants terroristes » et que cela discréditerait leur opposition à la guerre.Information Clearing House est une exception.
Les sites pacifistes ne réalisent pas que, en acceptant l’explication officielle sur le 11/9, ils ont sapé leur propre mouvement d’opposition à la guerre. Dès que vous admettez que des terroristes musulmans l’ont fait, il est difficile de s’opposer à les punir pour cela. Ces derniers mois, d’importants sites pacifistes, comme antiwar.com, ont eu des difficultés, leurs campagnes de levée de fonds prenant beaucoup plus de temps qu’auparavant. Ils ne comprennent pas qu’en admettant les prémisses du gouvernement pour ses guerres, il est impossible de s’opposer aux guerres.
Autant que je sache, la plupart des gens ont bien plus confiance en leur gouvernement qu’en la vérité. Durant la Grande Dépression, avec leur « New Deal » les libéraux réussirent à inculquer aux Étasuniens la confiance en leur gouvernement comme en un protecteur. Cela marcha avec la gauche et la droite. Les extrémités de l’éventail politique sont elles aussi incapables d’une remise en cause fondamentale du gouvernement. Cela explique la facilité avec laquelle notre gouvernement embobine systématiquement les gens.
La démocratie repose sur l’idée que les gens sont des êtres rationnels, qui examinent les faits et les arguments et ne sont pas faciles à manipuler. Mais les études ne trouvent pas que ce soit le cas. Dans ma propre expérience universitaire, en politique publique et en journalisme, j’ai appris que tout le monde, depuis le professeur jusqu’à l’étudiant du secondaire, a des difficultés avec les faits et les analyses qui ne collent pas à ce qu’ils pensaient déjà. L’idée selon laquelle « nous n’avons pas peur de suivre la vérité partout où elle pourrait conduire » est une notion extrêmement romantique et idéaliste. J’ai rarement vu un esprit ouvert, même en dissertation académique ou dans les strates les plus hautes du gouvernement. Dans le grand public, la capacité à suivre la vérité partout où elle pourrait mener est en fait quasiment inexistante.
La réponse du gouvernement au 11/9, indépendamment de qui en est responsable, a changé notre pays pour toujours. Nos libertés civiques ne seront jamais plus aussi solides qu’elles l’étaient. La capacité financière des États-Unis et leur niveau de vie sont réduits pour toujours. Le prestige de notre pays et son leadership mondial sont à tout jamais compromis. La première décennie du 21ème siècle a été dilapidée en guerres inutiles, et il semble que la deuxième décennie sera aussi perdue dans la même quête inutile et ruineuse.
Le plus inquiétant de tous reste le fait que la responsabilité des événements hostiles du 11/9 n’a fait l’objet d’aucune enquête.
Paul Craig Roberts fut ministre des Finances adjoint dans l’administration Reagan. Il est coauteur deThe Tyranny of Good Intentions. Il peut être contacté à l’adresse : PaulCraigRoberts@yahoo.com.
Article original : vdare.com/roberts/090914_propaganda.htm
Traduction copyleft de Pétrus Lombard, publié sur alterinfo
« The Power of Nightmares » (Documentaire BBC)
« Le Pouvoir des Cauchemars » (Documentaire BBC)
DESCRIPTION
« Le Pouvoir des Cauchemars : la montée de la politique de la peur » (« The Power of Nightmares ») est un documentaire produit par la BBC qui s’applique à démontrer qu’Al-Qaida n’existe pas et que l’idée d’une menace terroriste globale « est un fantasme qui a été exagéré et déformé par les hommes politiques. C’est une sombre illusion qui s’est répandue sans être débattue auprès des gouvernements du monde entier, des services de sécurité et des médias internationaux ».
Réalisé par Adam Curtis, qui est reconnu comme étant le meilleur documentariste en Grande Bretagne, « Le Pouvoir des Cauchemars » explique comment et pourquoi le fantasme Al-Qaida fut créé, qui en bénéficie, et pourquoi il résiste si bien à l’épreuve du temps.
Il a reçu plusieurs prix et fut présenté « hors compétition » au festival de Cannes 2005.
Dans sa version intégrale, « Le Pouvoir des Cauchemars » dure près de 3 heures et remonte aux origines de l’islamisme et du néo-conservatisme. Il fut initialement diffusé sur BBC2 en octobre 2004, découpé en une série de 3 épisodes. Nous vous proposons ici un montage de ce documentaire, d’une durée de 32 minutes.
Sur le même thème, nous vous recommandons de visionner le discours d’Alain Chouet – ex-directeur du Service de renseignement de sécurité à la DGSE – lors d’une table ronde qui s’est tenue au Sénat le 29 janvier 2010. Alain Chouet y démystifie également le concept « Al-Qaida », de manière certes moins radicale que ne le fait le documentaire « The Power of Nightmares ».
A propos du réalisateur : Adam Curtis a reçu le prix de la persistance du regard du Golden Gate au San Francisco International Film Festival (2005), et le Alan Clarke Award (2006). Il enseigna les sciences politiques à l’université d’Oxford avant de se lancer dans une carrière à la télévision.
DESCRIPTION
« Le 11 Septembre 2001 était-il plus qu’un simple attentat ? L’administration Bush en aurait-elle tiré profit ? »
Dans ce court documentaire diffusé en 2005 sur la chaîne néerlandaise Nederland 2, deux éminents hommes politiques européens, Michael Meacher et Andreas von Bülow, tous deux d’anciens ministres, émettent de sérieux doutes sur la version officielle des évènements du 11 septembre 2001 et sur ce que l’Administration Bush appelle ‘La guerre contre le terrorisme’.
Andreas von Bülow : « La version officielle est si peu adéquate et plausible qu’il doit y avoir une autre explication ».
Michael Meacher : « La guerre contre la terreur est selon moi une fiction ».
Michael Meacher : « La guerre contre la terreur est selon moi une fiction ».
A propos de Michael Meacher et Andreas von Bülow :
Michael Meacher est Membre du Parlement Britannique, Ancien Secrétaire d’Etat à l’Industrie (1974 à 1975), Ancien Secrétaire d’Etat à la Santé (1975 à 1979) et Ancien Ministre de l’Environnement (1997 à 2003).
Andreas von Bülow est Ancien Député SPD au Bundestag (1969 à 1994), Ancien Secrétaire d’Etat à la Défense (1976 à 1980), Ancien Ministre de le Recherche et de la Technologie (1980 à 1982) et Membre de l’association américaine Scholars for 9/11 Truth.
DESCRIPTION
Paris, le 14 mars 2008 : l’historien Daniele GANSER, professeur à l’université de Bâle, livre avec pédagogie et humour le fruit de ses recherches sur la prétendue « guerre contre la terreur » et le pic pétrolier, ainsi que sur le terrorisme d’Etat.
Cette conférence faisait suite à la projection de l’excellent documentaire Oil, Smoke & Mirrors qui, au travers d’une série d’interviews extraordinairement éloquentes, montre que les événements du 11-Septembre et la mise en place de la prétendue « guerre contre le terreur » peuvent être mieux compris dans le contexte plus large de l’imminence d’une crise pétrolière. Regardez ce documentaire exceptionnel.
A propos de Daniele Ganser :
Historien spécialisé dans l’histoire contemporaine et les relations internationales depuis 1945, Daniele GANSER enseigne à l’université de Bâle. Ses travaux actuels portent sur la prétendue « guerre contre la terreur » et le pic pétrolier. Invité à maintes reprises par le Parlement et la télévision nationale suisses pour partager son expertise en matière de politiques étrangère et de sécurité, Ganser voit ses livres, articles scientifiques, articles de journaux et interviews publiés dans différents pays. Il est notamment l’auteur du livre Les armées secrètes de l’Otan.
Historien spécialisé dans l’histoire contemporaine et les relations internationales depuis 1945, Daniele GANSER enseigne à l’université de Bâle. Ses travaux actuels portent sur la prétendue « guerre contre la terreur » et le pic pétrolier. Invité à maintes reprises par le Parlement et la télévision nationale suisses pour partager son expertise en matière de politiques étrangère et de sécurité, Ganser voit ses livres, articles scientifiques, articles de journaux et interviews publiés dans différents pays. Il est notamment l’auteur du livre Les armées secrètes de l’Otan.
DESCRIPTION
Une courte vidéo signée Reopen911 qui permet une meilleure compréhension de ce qui s’est joué avant, durant et après le 11 Septembre.
La « guerre au terrorisme » est-elle une riposte aux attentats du 11-Septembre ou bien sert-elle de faux prétexte à une stratégie géopolitique américaine planifiée avant même les attentats du 11 Septembre ?
Fin 2000, un an avant le 11/9, un groupe de réflexion neo-conservateur « Projet pour un nouveau siècle américain » (PNAC) publia un rapport intitulé « Reconstruire les défenses de l’amérique » signé par Dick Cheney (vice-président sous Bush), Donald Rumsfeld (secrétaire de la défense), Paul Wolfowitz (l’adjoint de Rumsfeld), Jeb Bush (frère cadet de George Bush), etc.
Ce document du PNAC arguait qu’il était nécessaire d’augmenter nettement le budget de la Défense et prendre le contrôle militaire de la région du golfe pour préserver l’hégémonie mondiale américaine au 21ème siècle. Mais, peut-on lire dans le rapport, « le processus de transformation (…) sera probablement long en l’absence d’un évènement catastrophique et catalyseur, comme un nouveau Pearl Harbour »qui permette d’obtenir l’adhésion du Congrès et de la population américaine.
Un an plus tard, les Etats-Unis ont eu leur nouveau Pearl Harbour.
DESCRIPTION
Dans le cadre des entrevues de l’idiot du village, Guillaume de Rouville revient sur le 11-Septembre et propose une analyse géopolitique des enjeux et des conséquences de cet événement. Les attentats de 2001 sont révélateurs des anomalies des démocraties occidentales que l’auteur explore dans son essai « La Démocratie ambiguë ».
« La Démocratie ambiguë » Guillaume de Rouville, Editions Cheap.
http://www.editionscheap.fr/
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