Bush et les magouilles - Comment GWB s'est enrichi ? | |
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LES MAGOUILLES DE W.
4 MARS 2000
Comment George W. Bush s'est enrichi Selon sa déclaration de revenus personnels pour 1998, le gouverneur George W. Bush a gagné cette année-là la somme impressionnante de 18,4 millions de dollars, ce qui représente une augmentation véritablement stupéfiante par rapport aux 271 920 dollars qu'il avait déclarés en 1997. D'où vient la différence? D'une part, la vente de sa participation dans l'équipe de baseball Texas Rangers lui a rapporté 14,9 millions de dollars et, d'autre part, il a reçu environ trois millions du fonds qui gère ses investissements -- bien que ce dernier n'ait lui-même déclaré que 200 000 dollars de revenus l'année précédente. Si toute la lumière était faite sur l'origine de la richesse de George W. Bush, sa carrière serait fortement compromise. Selon un analyste financier bien informé de New York, plusieurs scandales financiers impliquant le gouverneur du Texas seraient sur le point d'éclater et, dans ce cadre, le nom de «Rainwater» sera bientôt aussi connu que «Whitewater». En effet, c'est Richard Rainwater, un milliardaire du Texas, qui a fait du jeune Bush un multimillonnaire; ayant emprunté 106 000 dollars pour les investir dans les Texas Rangers, Bush allait en tirer 14,9 millions en revendant ses parts en 1998, peu avant le lancement officiel de sa campagne présidentielle. Bien que la famille Bush soit depuis longtemps à la tête d'une grosse fortune, George W. n'avait pas eu beaucoup du succès sur le plan personnel avant que Richard Rainwater et surtout ses associés à la Texas Rangers ne s'intéressent à lui. Ils lui ont en effet attribué gracieusement des actions supplémentaires dans l'équipe à hauteur de 10 %, simplement parce que c'était un «Bush», portant ainsi sa participation de 1,8 % (achetés) à 11,8 %. Déjà à l'époque, Rainwater avait un passé plutôt douteux. En 1984, il s'était associé à Michael Milken, trader condamné pour délits d'initié et inventeur des obligations-poubelles, dans différentes affaires dont celle du Bass Investment Limited Partnership, qui s'est rapidement transformée en société au capital de 1,2 milliard de dollars. Aujourd'hui encore, des années après la condamnation pour escroquerie de Milken puis sa libération sur parole, ce fonds est toujours en cours de liquidation. Rainwater se trouvait aussi au centre de l'affaire de Harken Energy. Celle-ci avait été renflouée par le spéculateur George Soros et diverses personnes liées à la Banque de crédit et de commerce international (BCCI), qui joua un rôle important dans les opérations Iran-Contra de trafic de drogue contre armes, supervisées par George Bush père. Harken Energy, une petite compagnie pétrolière dont George W. Bush détenait une importante quantité d'actions, était connue pour ses déboires financiers, avant d'obtenir, comme par miracle, des contrats dans l'émirat du Bahrëin, malgré la concurrence de compagnies beaucoup plus grosses. Le 22 juin 1990, alors que Bush père était Président des Etats-Unis, le jeune George a cédé 212 140 actions dans Harken pour près de 850 000 dollars. On peut supposer qu'il l'ait fait sur la base d'informations secrètes provenant du gouvernement qui orchestrait à l'époque les événements devant mener, en août 1990, à l'invasion du Koweit par l'Irak, puis à l'opération Tempête du désert. Quelques semaines plus tard, les actions de Harken s'effondraient. Bush s'en était débarrassé à temps et de manière pas tout à fait légale puisque, comme le notait le Wall Street Journal en avril 1991, Bush n'en a informé les autorités de la SEC que huit mois après le dernier délai légal. Plus récemment, Bush a été impliqué dans une autre affaire douteuse portant sur des centres de soins psychiatriques où l'on retrouve, une fois encore, Richard Rainwater. Le 16 février, Charter Behavioral Health Systems, la plus grande chaîne d'hôpitaux psychiatriques des Etats-Unis, était placé en redressement judiciaire. Le rôle décisif dans cette faillite revenait à la société immobilière de Rainwater, Crescent Real Estate Equities (CREE), dont le gouverneur Bush détenait, jusqu'en 1998, à hauteur d'un million de dollars d'actions. Fondé en 1969, Charter Behavioral Health Systems a acquis des unités de soins à travers le pays. Au début des années 1990, il appartenait à Magellan Health Services, Inc. En 1995, Rainwater et sa femme, Darla Moore, achetèrent 12,3 % de Magellan pour 69,3 millions de dollars. Deux ans plus tard, à travers la CREE, Rainwater rachetait à Magellan une part de 50 % dans Charter, participation qu'il proposa ensuite de mettre à la disposition de... Magellan, moyennant un «loyer» de 41, 5 millions de dollars par an. Fin 1999, ces arrangements financiers avaient conduit Charter à la faillite. Selon le plan de redressement judiciaire adopté le 16 février, les actifs des 37 unités en service de Charter sont vendus pour la maigre somme de 24,5 millions de dollars à Crescent Operating/COPI Health Care, Inc. -- une filiale de la CREE de Rainwater ! Cette filiale sera affranchie de tous les passifs et dettes précédents. En outre, Crescent Operating/COPI Health Care recevra de Charter, à titre de droits, 20,3 millions de dollars par an -- soit presque son prix d'achat ! Le 27 janvier 2000, Charter annonçait la fermeture et la consolidation financière de 33 centres psychiatriques, ainsi que le licenciement de 4800 personnes, alors qu'il y a seulement trois ans, en 1997, elle gérait encore 90 centres répartis dans 27 Etats. Par ailleurs, Columbia/HCA, la plus grande chaîne d'hôpitaux privés des Etats-Unis fondée par Rainwater, a été placée sous enquêtes fédérales et d'Etat pour fausses factures en particulier à l'encontre de patients couverts par Medicare, l'assurance médicale pour les personnes âgées. SOURCES : http://solidariteetprogres.online.fr/News/Etats-Unis/breve_87.html _________________________________________________ 20 JANVIER 2000 Douteux arrangements entre le gouverneur Bush et son ancien employeur George W. Bush risque d'être éclaboussé par une affaire de graves irrégularités financières, remontant à la période suivant de près son élection au poste de gouverneur du Texas en 1995. Dans un article à paraître dans le numéro de février de la revue new-yorkaise Harper's Magazine, Joe Conason accuse Bush d'avoir arrangé l'investissement de 10 millions de dollars de fonds publics alloués à l'université de Texas, dans une banque de Washington, le Carlyle Group, pour laquelle Bush Jr. travaillait jusqu'à son élection au poste de gouverneur. Aujourd'hui, son père, George Bush Sr., est consultant (bien rémunéré) chargé de l'Asie pour ce même Carlyle Group. Ce groupe n'est pas une banque ordinaire. Sa liste de cadres supérieurs se lit comme un who's who de l'ancienne administration Bush. Au conseil d'administration, on trouve l'ancien secrétaire d'Etat James Baker III, l'ancien secrétaire à la Défense de Reagan, Frank Carlucci, et l'ancien directeur du Budget de Bush, Richard Darman. Même si l'investissement en question n'est pas illégal, il soulève de sérieuses questions sur un éventuel abus d'influence. SOURCES : http://solidariteetprogres.online.fr/News/Etats-Unis/breve_56.html |
Bush et l'environnement - Aucun respect pour la nature | |
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AUCUN RESPECT POUR LA NATURE Vendredi 18 mars 2005 ALASKA - Touche pas à mes caribous ! C’est "la demeure des caribous, des ours et des oies des neiges", écrit The Boston Globe. The Guardian, de Londres, lui, évoque "la toundra gelée, les caribous qui mettent bas, les loups, les ours polaires, les millions d’oiseaux migrateurs, la beauté éblouissante" des paysages enneigés. Cet petit paradis terrestre est aujourd’hui menacé : mercredi 16 mars, le Sénat américain a approuvé le principe de forages pétroliers dans la réserve naturelle nationale d’Alaska (ANWR, pour Arctic National Wildlife Refuge). L’ANWR, qui couvre une superficie de 80 000 km2, a été créée en 1960. Sous le premier mandat de George W. Bush, les républicains avaient déjà tenté d'y faire autoriser la recherche et l'exploitation pétrolière. Sans succès. Le 16 mars, le projet a été voté par le Sénat par 51 voix contre 49. Sous le titre "Un paradis en voie de pollution", The Guardian s’indigne. Il craint que l’autorisation de forages pétroliers en Alaska n’ouvre la voie à l’exploitation d’autres zones jusque-là épargnées, comme la Floride ou la Californie. En 2000 et 2004, dans sa course à la Maison-Blanche, George W. Bush avait promis de réduire la dépendance énergétique des Etats-Unis. "Actuellement, 58 es 21 millions de barils consommés chaque jour dans le pays sont importés", précise The Guardian. Exploiter le pétrole de l’ANWR permettrait de couvrir jusqu'à 5 es besoins. Mais à quoi bon ? "Il est absurde d’imaginer que l’Amérique, qui ne possède que 3 es réserves mondiales et consomme un quart de la production globale, puisse assurer un jour son indépendance énergétique." A quoi bon ? s’exclame aussi The Boston Globe. "En 2025, même en exploitant l’ANWR, les Etats-Unis devront toujours importer 65 e leur pétrole ; 68 i l’ANWR reste vierge." Or cette réduction de 3 e ferait "au prix de la construction d’un réseau de routes, de pistes d’atterrissage, de pipelines, de plates-formes de forage et d’autres structures". Le quotidien américain rappelle, en guise de conclusion, que l’opinion américaine s’oppose, à 55 à l’exploitation pétrolière de l’Alaska. Le Congrès a-t-il raison de n’écouter que les lobbies pétroliers ? Sources : Lien vers http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=49303&provenance=newsletter&bloc=05 L'avocat écologiste Robert Kennedy Jr. dit que Bush constitue une menace PAR JUDY MONCHUK BANFF, Alberta (PC) - L'avocat écologiste Robert Kennedy Jr. soutient que George W. Bush constitue la menace la plus importante pour l'environnement de la planète. Mais le Canada a aussi, selon lui, ses "petits George Bush" qui ne considèrent les ressources naturelles que comme des sources de profit. "C'est à peu près la pire chose que je pourrais dire à leur sujet", a dit M. Kennedy, qui participe à Banff, dans les Rocheuses Canadiennes, à un événement bénéfice organisé par Waterkeeper Alliance, un organisme dont il est le président. Cet organisme s'est donné comme mandat la protection des cours d'eau à travers le monde. M. Kennedy n'a pas donné les noms de ceux dont il croit qu'ils ne protègent pas l'environnement de façon adéquate, mais a donné quelques indices. "Il y a des gens comme ça - et je suis désolé de le dire - au Canada, dans les gouvernements de l'Alberta et de la Colombie-Britannique et dans plusieurs autres provinces." M. Kennedy, fils du sénateur américain assassiné Robert Kennedy, n'en est pas à sa première critique des efforts environnementaux Canadiens. Au cours d'une visite effectuée en Alberta en 2002, il avait argumenté avec l'ancien ministre de l'Environnement de la province Lorne Taylor au sujet des lois antipollution albertaines. M. Taylor avait dit que les riches Américains n'ont pas à critiquer ce qu'ils ne connaissent pas. Selon M. Kennedy, il y a des gens dans tous les pays qui croient que la planète devrait être traitée comme une entreprise, en épuisant les ressources naturelles et en les transformant en argent aussi vite que possible. "Vous pouvez faire cela, vous pouvez générer de l'argent instantanément et créer l'illusion d'une économie prospère, mais nos enfants devront payer pour notre virée insouciante." Mais le membre de la puissante famille Kennedy a gardé ses mots les plus durs pour le président George W. Bush. "Aux Etats-Unis, nous avons un président qui a lancé une guerre sainte contre l'environnement américain et l'environnement mondial (...) en se tenant loin de traités comme celui de Kyoto (sur les changements climatiques). "Nous avions les meilleures lois dans le monde et au cours des quatre dernières années, ce président les a éventrées." M. Kennedy doit prononcer un discours à Calgary dimanche sur les dossiers environnementaux locaux. sources : Lien vers http://mesnouvelles.branchez-vous.com/Nationales/050107/N010794U.html> Comment la Maison-Blanche cache le réchauffement du climat Selon le député américain Henry Waxman , le clan Bush a pris l'habitude de fausser les études scientifiques des agences gouvernementales. Notamment pour nier les effets des gaz à effet de serre. PAR MANUEL GRANDJEAN L'homme est un cauchemar pour l'Administration Bush. Député démocrate de Californie, spécialiste des questions d'énergie, Henry Waxman n'a de cesse de dénoncer les magouilles de la Maison-Blanche. En janvier 2002, il avait démontré comment la politique énergétique des USA avait été taillée sur mesure pour le géant de l'électricité Enron. En mai de cette année, il accusait le groupe d'ingénierie pétrolière Halliburton - dirigé jusqu'en 2000 par le vice-président Dick Cheney - d'avoir déjà gagné près de 500 millions de dollars en deux ans grâce à des projets liés à l'Irak. Ceci avant même que le pays soit occupé par les troupes de Washington. Le 7 août, le député Waxman lançait une nouvelle bombe dans les jambes de George W. Sous le titre anodin de «Politiques et science dans l'Administration Bush», le rapport produit par son bureau relève toutes les interventions de l'actuel gouvernement des Etats-Unis pour manipuler les évaluations scientifiques et déformer ou censurer leurs conclusions. «Ces actions», explique Henry Waxman, «vont beaucoup plus loin que les réajustements ordinaires qui accompagnent le changement d'occupant à la Maison-Blanche.» A qui ça profite La prise de contrôle de la science par le clan Bush touche un très large éventail de sujets. Les limiers de Waxman en ont répertorié pas moins de vingt et un: de la prévention des maladies sexuellement transmissibles à la sauvegarde des caribous de l'Alaska, en passant par la pollution de l'eau par l'agriculture ou l'industrie. Un point commun relie cependant tous ces sujets, écrit Henry Waxman: «Les bénéficiaires des manipulations scientifiques sont tous d'importants supporters du président», que ce soit des conservateurs sur les plans social et moral ou de groupes industriels. Pour les premiers, l'Administration Bush a notamment réussi à influer sur la communication de l'agence fédérale pour le contrôle et la prévention des maladies. Contre toute évidence scientifique, celle-ci met aujourd'hui en cause l'efficacité du préservatif contre la propagation du sida et favorise une politique basée sur la seule abstinence. Dans le même style, les politiciens conservateurs sont parvenus à faire en sorte que l'Institut national continue à insinuer qu'un lien existe entre l'avortement et le cancer du sein, alors que, médicalement, l'inexistence de cette relation est prouvée depuis au moins cinq ans. Quant aux consortiums industriels proches du pouvoir, ils bénéficient des entorses à l'exactitude scientifique dans d'autres domaines. Le Département de l'agriculture, par exemple, exige ainsi que toute communication scientifique sur les «sujets sensibles» lui soit soumise avant publication. Soit: «Les méthodes agricoles qui peuvent avoir des conséquences négatives sur la santé et l'environnement». On s'en doute, ce passage obligé par la bureaucratie politique n'a pas pour but de mieux diffuser l'information... Les experts du président Selon Waxman, la Maison-Blanche utilise encore une autre technique pour inhiber le travail des savants. Elle nomme au sein des comités d'experts des personnes qui défendent les intérêts adéquats. Ainsi, en août 2002, le gouvernement a remplacé quinze membres sur dix-huit du comité d'experts sur la santé environnementale. Les nouveaux venus ont de faibles références scientifiques mais ils cultivent en revanche des liens très étroits avec l'industrie. La question du réchauffement climatique est évidemment un sujet crucial. Lorsque George W. Bush avait rejeté le Protocole de Kyoto sur les émissions de gaz à effet de serre, il avait promis que «la politique de l'Administration concernant l'évolution du climat sera fondée sur la science». En fait, le président s'est efforcé de forger la science au feu de sa politique. En juin dernier, l'Agence nationale pour la protection de l'environnement (EPA) publiait un rapport présenté comme le document le plus complet jamais produit aux Etats-Unis. Le texte, cependant, est totalement muet sur le réchauffement climatique. Cette absence serait restée inexplicable, si une fuite ne s'était produite. Dans le New York Times du 13 juillet, un ancien de l'EPA, Jeremy Symons, explique ce qui s'est passé. On censure les rapports Une première version du rapport comprenait bien une section sur le réchauffement climatique. Mais les services de la Maison-Blanche ont fait savoir à l'agence qu'ils exigeaient des «corrections majeures» du texte et qu'aucune modification ne serait permise après leur intervention. Finalement, les scientifiques de l'EPA ont préféré supprimer toute la section plutôt que de cautionner des informations scientifiquement non crédibles. L'intrusion de la politique dans leur champ d'activité fait frémir plus d'un scientifique étasunien. La prestigieuse revue «Science» s'est inquiétée en janvier dernier de l'«invasion par l'Administration Bush de secteurs autrefois protégés contre ce type de manipulations». Même un ancien administrateur de l'EPA, en poste sous les présidences de Nixon et de Ford, est sorti du bois pour témoigner que jamais, à cette époque, la Maison-Blanche ne s'était permise de travestir la réalité. «La population dépend d'agences fédérales pour promouvoir la recherche scientifique et développer des politiques fondées aptes à protéger la santé et le bien-être de la nation», explique Henry Waxman. L'indépendance de la recherche jouait donc un rôle capital dans l'exercice de la démocratie. «Aujourd'hui, l'Administration Bush a faussé cette perspective», estime le député californien. Au détriment de la communauté scientifique des Etats-Unis qui perd sa crédibilité. Au détriment également de la population de la planète, soumise aux effets d'un réchauffement climatique nié contre la science par le pays qui produit à lui seul plus d'un quart des gaz à effet de serre. |
2ieme Mandat - Histoire de chaussure 1 | |
http://www.rue89.com/2008/12/15/qui-est-lhomme-qui-a-lance-ses-chaussures-sur-bush
15/12/2008 à 01h28 Qui est l'homme qui a lancé ses chaussures sur Bush ?
Qui est l’homme qui a lancé une, puis deux chaussures sur George W.Bush, dimanche, lors de la conférence de presse que le président des Etats-Unis donnait, en compagnie du Premier ministre irakien Nouri al-Maliki ?
Première réponse : un type plutôt chanceux. Il a pris le risque d’être descendu dans la seconde par les agents du Secret Service, chargés de la protection du président, mais ceux-ci, en professionnels extrêmement bien formés, ont eu le flair de ne pas tirer.
Deuxième réponse : l’homme est un journaliste, qui a fait le choix de sortir de son rôle de journaliste. Il s’appelle Mountazer al-Zaïdi, (voir sa photo ici), il est le correspondant depuis 2005 de la télé sunnite irakienne Al-Baghdadia, basée au Caire.
Alors que le président américain pronostiquait une victoire proche, le journaliste de 29 ans a hurlé : « Voici un cadeau des Irakiens. C’est le baiser de l’adieu, espèce de chien ! » Et lui a lancé dessus ses chaussures, l’une après l’autre, en continuant de crier :
Le président américain a esquivé les chaussures. Il a ensuite plaisanté :
Le geste, plutôt inhabituel, est d’une force symbolique extrême, d’autant plus qu’il est associé à l’insulte suprême dans le monde arabe : « chien ». Immédiatement embarqué par les agents de sécurité, Mountazer al-Zaidï est actuellement entre les mains de la police irakienne.
La chaîne irakienne pour laquelle il travaille a immédiatement réagi. Sur une vidéo postée sur son site Internet, AlBaghdadia réclame la libération de son envoyé spécial au nom de la démocratie et de la liberté d’expression promises par les Américains et le nouveau régime :
En Irak, Mountazer al-Zaïdi est déjà en passe de devenir un héros. Ses anciens confrères rappellent qu’il a été détenu par des miliciens chiites l’année dernière et sur le site de la chaîne irakienne, les commentaires de soutien affluent. Un internaute, Nouri Al-Abidi, le remercie de toutes ses forces :
Dr Nehal évoque « l’un des moments les plus heureux’ qu’il lui ait été donné de vivre. Bonheur partagé par Mahamed80 :
Sur le site, un grand bandeau rouge appelle à sa remise en liberté.
Après l’incident, Bush a rejoint par hélicoptère Camp Victory, pour remercier les troupes américaines et vanter la conduite récente de la guerre qui restera, dit-il “l’un des plus grands succès de l’histoire militaire des Etats-Unis” :
Zineb Dryef et Pascal Riché
►Mise à jour le 15/12/08 à 15h39 : Le journaliste, âgé de 29 ans, travaille depuis 2005 pour Al-Baghdadia.
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2ieme Mandat - Histoire de chaussure 2 | |
http://www.rue89.com/explicateur/2008/12/27/que-risque-un-americain-pour-une-chaussure-sur-un-president
Que risque un Américain pour une chaussure sur un président ?
Muntadar al-Zaida, le journaliste irakien qui a jeté ses chaussures sur George W. Bush va être jugé le 31 décembre, a indiqué la BBC lundi. Il est accusé « d’agression sur un chef d’Etat étranger », ce qui lui fait encourir de cinq à quinze ans de prison. (Voir la vidéo)
Si un journaliste américain jetait ses chaussures, par exemple sur le président irakien Jalal Talabani, irait-il en prison ?
Très probablement. La loi américaine accorde une protection spéciale aux « hauts responsables étrangers, invités officiels et aux personnes qui bénéficient d’une protection internationale ».
Qui « agresse, frappe, blesse, retient prisonnier ou se prête à des actes violents » contre l’une de ces personnes est passible d’une amende et/ou d’une peine allant jusqu’à trois ans de prison. « Agresser », en droit commun, ne couvre pas seulement une tentative de blesser mais aussi le fait de placer quelqu’un en position de pouvoir raisonnablement craindre d’être blessé. Le jet de chaussure peut donc compter.
Si un jury indulgent décide que de jeter une chaussure (et rater son but) n’atteint pas le niveau d’une agression, ils peuvent toujours juger l’auteur du geste coupable de harcèlement ou d’entrave à un représentant étranger dans l’exercice de ces fonctions. Ce délit fait encourir une amende ou une peine de six mois de prison maxium.
Et s’en prendre à Barck Obama ?
Jeter des Nike ou le modèle 271s du chausseur turc Baydan (que portait le journaliste irakien) sur le président américain, le vice-président ou le président-élu, sur le sol américain est un geste encore plus risqué.
Si un jury jugeait l’auteur du geste coupable d’agression, il s’exposerait à une peine allant jusqu’à dix ans de prison. Si l’attaque n’était considérée que comme une simple « menace », alors il encourrait jusqu’à cinq ans de prison.
Bien sûr, il y aurait toujours une chance que les lanceurs hypothétiques n’encourent rien du tout. Cela incombe aux procureurs fédéraux, puisque agresser, harceler ou menacer le Président ou un dignitaire étranger relève du droit fédéral.
Naturellement, un agent des services de sécurité ou des forces de l’ordre appréhenderait l’attaquant, mais l’affaire pourrait être considérée comme trop futile pour mériter un procès. Si un procureur américain refusait de se saisir d’un tel cas, le Président ou le dignitaire étranger pourrait, comme n’importe quel citoyen, porter plainte devant un tribunal civil contre le lanceur de chaussure.
Dans ce cas, l’accusé risquerait probablement une amende et une peine avec sursis.
Merci à Daniel C. Richman de la Columbia Law School et à Robert Weisberg of Stanford Law School pour leurs explications.
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2ieme Mandat - Histoire de chaussure 3 | |
http://www.legrandsoir.info/Bush-savate-RSF-dans-ses-petits-souliers.html
17 décembre 2008
Bush savaté, RSF dans ses petits souliers.
Maxime VIVAS
Voici venir les fêtes. Voici que se déverse le sirop compatissant de la charité pour les pauvres, de l’espoir que le papa Noël n’oubliera les petits souliers de personne, ne serait-ce que pour y déposer une mandarine ou un bonhomme en chocolat au lait enrobé dans du papier alu.
Par un réjouissant renversement de la situation, un pauvre, légèrement en avance sur le calendrier, a tenu à offrir, sous l’œil des caméras, son cadeau à l’homme le plus puissant du monde.
George W.Bush a voulu faire un dernier voyage à Bagdad.
Il s’y est rendu précautionneusement, en catimini, sans tambour ni trompette (militaires). Sa visite surprise n’avait pas été annoncée, un faux programme avait même été diffusé sur ses activités du week-end à Washington. Son traîneau personnel, l’avion présidentiel Air Force One s’est envolé de la base aérienne d’Andrews à la faveur de la nuit de samedi. Quelques journalistes triés sur le volet et informés à la dernière minute étaient du voyage.
Or, il s’est trouvé un journaliste de Bagdad, tellement tourneboulé par le sort fait à son pays, qu’il a confondu le cadeau dans les chaussures et les chaussures en cadeau.
En effet, alors que Bush commençait sa conférence de presse devant un parterre de journalistes choisis, fouillés, accrédités, encadrés de gorilles à oreillettes, un journaliste irakien, Muntazar al Zaidi, correspondant connu d’une chaîne de télévision locale, s’est déchaussé et a jeté ses deux chaussures à la figure du président des Etats-Unis d’Amérique. Bush a esquivé les projectiles en plongeant derrière son pupitre.
Avant d’être maîtrisé, terrassé, tabassé, le journaliste irakien a eu le temps de crier : « Tiens, voilà ton cadeau d’adieu, espèce de chien ! De la part des veuves, des orphelins et de tous ceux qui sont morts en Irak ! »
Muntazar al Zaidi a été emporté sans ménagement, ne laissant derrière lui que des traces sanglantes à l’endroit où les services de sécurité l’ont neutralisé (on apprend qu’il a aussi un bras cassé). Des gouttes de sang et sans doute un nom dans l’histoire de son pays.
Remis de ses émotions, Bush a trouvé « bizarre » l’acte du journaliste irakien, dont il ne comprend pas les « griefs ».
En effet, que reprocher à Bush ? Pas grand-chose en vérité : un pays dévasté, le pétrole pillé, 800 000 morts civils d’après certains, un million d’après d’autres, parmi lesquels une partie de la famille de Muntazar al Zaidi.
Muntazar al Zaidi a osé et réussi ce que beaucoup de vrais démocrates à travers le monde, d’amoureux de la liberté, de partisans du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, ont rêvé : faire ravaler sa morgue au représentant de l’Empire, lui faire courber vivement l’échine, l’obliger à se cacher sous un meuble.
Le geste de Muntazar al Zaidi est à ce point en phase avec l’opinion, que le gouvernement fantoche de Bagdad, après avoir fait saisir le film de l’exploit, a dû en autoriser la diffusion. On peut voir là un second affront fait à G W BUSH dont l’armée, en Irak, fait taire depuis 2003 les journalistes qui montrent ce qu’il ne faut pas montrer.
Le correspondant de la chaîne américaine ABC a expliqué que Muntazar al Zaidi, « a pété les plombs ». Trop fragiles, les journalistes irakiens ! Rien à voir avec les nôtres qui, stoïques, supportent qu’on les convoque au commissariat et qu’on les fouille au corps (Vittorio Filippi de Libération) en se contentant d’ameuter toute l’Europe.
Le 43e président des USA, l’homme qui termine son mandat sous un jet de godasses, était venu dire le contraire de ce qu’il disait en Juillet 2003, à savoir que la guerre n’est pas terminée.
Lors d’une récente interview sur ABC, Bush avait confessé que « le plus grand regret » de sa présidence restera « l’erreur » de ses propres services de renseignements au sujet des armes de destruction massive de Saddam Hussein.
La vérité est que les inspecteurs de l’ONU qui cherchaient ses armes depuis des années ne cessaient de dire qu’ils ne trouvaient rien, que Collin Powell avait brandi à la tribune de l’ONU une petite fiole contenant, disait-il un produit mortel détenu par l’Irak et dont il s’avéra ensuite qu’elle était empli de sable. Bush n’a pas été victime d’une erreur de la CIA, il a menti depuis le début.
S’il confesse à présent que la guerre était fondée sur des arguments fallacieux, qu’il parte de ce pays, et vite, avec ses tueurs en uniforme. Et que son pays répare, et que les criminels paient pour leurs crimes.
200 avocats ont déjà fait savoir qu’ils souhaitent assurer gratuitement la défense de Muntazar al Zaidi.
Reporters sans frontières dispose d’un réseau, appelé Damoclès, dont la fonction est de soutenir devant la Justice les journalistes emprisonnés. C’est le moment de l’activer. Non pas pour cautionner le lancer de chaussures à la tête des conférenciers, mais parce que ce journaliste-là n’avait pas d’autre moyen d’exprimer dans les médias irakiens et aux yeux du monde, ce qu’il pensait du chef des envahisseurs et ce que chacun, hormis les kollabos, pense en Irak.
Quel est le problème de RSF ? En avril 2003, G.W. Bush décrétait que la guerre en Irak était finie. En juillet 2003, RSF publiait un rapport intitulé : « Les médias irakiens trois mois après la guerre. Une liberté nouvelle mais fragile ». On y lit : « Voici trois mois qu’un vent de liberté souffle sur la presse irakienne… », mais aussi que « Seules l’armée américaine ou l’Autorité intérimaire de la coalition sont autorisées à condamner les médias. […] Le décret 7 de l’administrateur Paul Bremer, fin juin 2003, interdit et réprime, entre autres l’incitation à la violence contre les forces de la coalition ».
En clair, rien ne peut être dit dans la presse contre l’occupant. Muntazar al Zaidi vient de faire voler en éclat cette censure. Pour cela il doit être défendu.
Certes, la censure fut tolérée hier par RSF dirigée par Ménard. Mais l’ONG a un nouveau patron. L’occasion lui est donnée ici de montrer que la page de la collusion avec l’US Army est tournée.
Maxime Vivas.
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- Michael Meacher : Parlementaire, et ancien ministre britannique de l'Environnement
- Colin Campbell : Géologue et fondateur de l'ASPO (Association for the Study of Peak Oil and Gas)
- David Shayler : Ancien membre du MI5, Officier du contre terrorisme
- Andreas Von Bülow : Ancien ministre allemand des sciences et technologies
- Nafeez Mosaddeq Ahmed : Analyste politique, auteur de "La guerre contre la vérité"
- Webster G. Tarpley : Historien, auteur de "La terreur fabriquée, Made in USA"
- Chris Sanders : Economiste politique, membre de Sanders Research Associates
- Richard Heinberg : Auteur de Pétrole, la fête est finie! (The Party is over) paru en octobre 2008 aux éditions Demi-Lune
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La chaîne d'information internationale "Russia Today" interviewe le journaliste allemand et expert en géopolitique Jüergen Elsaesser suite à la publication de son livre L'Iran, des faits contre la propagande.D'un pays à l'autre, de mensonges en mensonges, on jette à la volée l'anathème contre un territoire en vue de l'affaiblir... [suite]
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Dans cette vidéo, qui est la conclusion d'un exposé d'une heure prononcé en 2007 à l’invitation du groupe 9/11 Accountability, Peter Dale Scott explique en détail le programme ultra-secret de la COG (la Continuité du Gouvernement). Ce programme fut mis en place aux Etats-Unis en vertu d'un décret présidentiel top-secret de Ronald... [suite]
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13/07/2010
Pétrole, armement et corruption au sommet de l’Etat américain (vidéo extraite du docu "Le Monde selon Bush")"La Face Cachée du Pétrole" : Les grandes manipulationsDESCRIPTION“La face cachée du pétrole”, documentaire de Patrick Barbéris adapté du livre du même nom d’Éric Laurent, montre en deux fois une heure que “l’or noir” aura été le moteur de l’histoire du XXè siècle et de ce début de XXIè siècle. Des premiers forages de Rockefeller en 1860 jusqu’à l’actuelle guerre en Irak, en passant par la Seconde Guerre mondiale, la Guerre froide et le choc pétrolier de 1973, toute l’histoire géopolitique est intrinsèquement liée à l’or noir.2ème partie: Les grandes manipulationsLe seconde partie du documentaire dissèque les tractations secrètes qui ont eu lieu au Proche-Orient entre les Etats-Unis, la CIA et les grandes monarchies du Golfe. Des témoins directs expliquent notamment comment le choc pétrolier de 1973 ne fut qu’une gigantesque manipulation orchestrée par les compagnies pétrolières américaines qui souhaitaient, en favorisant la hausse des prix du baril, dégager d’importants bénéfices pour favoriser leurs investissements en mer du Nord et en Alaska. Le documentaire explique également comment l’administration Reagan a utilisé l’arme du pétrole saoudien pour faire chuter les cours mondiaux et provoquer l’effondrement de l’Union soviétique… La Face Cachée du Pétrole (2/2) : Les grandes... par ReOpen911 "La Face Cachée du Pétrole" (1/2) : Le partage... par ReOpen911 |
03/07/2012
Les dépenses hors de contrôle du Pentagone
Le 7 juillet 2011, la Chambre des représentants des États-Unis approuvait un amendement, proposé par un membre démocrate du Congrès, Peter DeFazio, exigeant que le Pentagone soit en mesure de produire des états financiers vérifiables. En effet, bien qu’il soit entièrement financé par le contribuable américain, le... [suite]
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05/06/2008
Empire of Oil - The Hidden Story of 9/11L'Empire du Pétrole - L'Histoire Cachée du 11 Septembre 2001
Retrospective chronologique des années 1950 à aujourd'hui, en passant du coup d'Etat contre Mossadeq en Iran à l'Opération Northwoods, des préparatifs contre l'Afghanistan avant le 11/9 à la guerre en Irak, avec bien évidemment les événements du 11 Septembre 2001 comme axe central, démontrant ainsi... [suite]
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05/06/2012
The Crisis of Civilization (Documentaire)
The Crisis of Civilisization du réalisateur Dean Puckett soutient que les changements climatiques, la raréfaction des réserves pétrolières, les pénuries alimentaires, l’instabilité économique, le terrorisme international et la course à l’armement sont en réalité les différents symptômes de la... [suite]
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Cette vidéo extraite du film documentaire « Le Monde selon Bush » dénonce la corruption ayant gangrené l’administration Bush, une corruption qui fut entretenue par l’argent des multinationales du pétrole et de l’armement. A propos du film « Le Monde selon Bush » : Sorti au cinéma en 2004 et diffusé sur France2,... [suite]
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"La Face Cachée du Pétrole" : Les grandes manipulations
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2ème partie: Les grandes manipulations
Le seconde partie du documentaire dissèque les tractations secrètes qui ont eu lieu au Proche-Orient entre les Etats-Unis, la CIA et les grandes monarchies du Golfe. Des témoins directs expliquent notamment comment le choc pétrolier de 1973 ne fut qu’une gigantesque manipulation orchestrée par les compagnies pétrolières américaines qui souhaitaient, en favorisant la hausse des prix du baril, dégager d’importants bénéfices pour favoriser leurs investissements en mer du Nord et en Alaska. Le documentaire explique également comment l’administration Reagan a utilisé l’arme du pétrole saoudien pour faire chuter les cours mondiaux et provoquer l’effondrement de l’Union soviétique… La Face Cachée du Pétrole (2/2) : Les grandes... par ReOpen911 "La Face Cachée du Pétrole" (1/2) : Le partage... par ReOpen911
Dans cette vidéo, qui est la conclusion d'un exposé d'une heure prononcé en 2007 à l’invitation du groupe 9/11 Accountability, Peter Dale Scott explique en détail le programme ultra-secret de la COG (la Continuité du Gouvernement). Ce programme fut mis en place aux Etats-Unis en vertu d'un décret présidentiel top-secret de Ronald... [suite]
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Une enquête fouillée, aussi passionnante qu'angoissante, sur les conséquences de la pénurie de pétrole annoncée sur l'économie et la société américaines et, plus largement, sur celles du monde.A l'origine gros exportateurs, les Etats-Unis sont désormais importateurs d'or noir. Mais les compagnies... [suite]
Une courte vidéo signée Reopen911 qui permet une meilleure compréhension de ce qui s’est joué avant, durant et après le 11 Septembre.La "guerre au terrorisme" est-elle une riposte aux attentats du 11-Septembre ou bien sert-elle de faux prétexte à une stratégie géopolitique américaine planifiée avant même... [suite]
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Paris, le 14 mars 2008 : l'historien Daniele GANSER, professeur à l'université de Bâle, livre avec pédagogie et humour le fruit de ses recherches sur la prétendue « guerre contre la terreur » et le pic pétrolier, ainsi que sur le terrorisme d'Etat.Cette conférence faisait suite à la projection de l'excellent documentaire Oil,... [suite]
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Ce court documentaire réalisé et sous-titré en français par Danny Fernandes Cunha, jeune québecois de Montréal, est un résumé de soixante années d'histoire. Débutant par le bombardement nucléaire de Hiroshima et Nagasaki, en passant par les coups d'États réussis de la CIA à travers le monde et par... [suite]
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Le géopoliticien français Aymeric Chauprade, directeur de la Chaire de Géopolitique du Collège interarmées de défense de 2002 à 2009 [1], nous a accordé une interview filmée à l’occasion de la sortie de la nouvelle édition de son atlas de géopolitique Chronique du choc des civilisations, du 11... [suite]
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17/05/2007
"Oil, Smoke & Mirrors"
Au travers d'une série d'interviews extraordinairement éloquentes, ce documentaire montre que les événements du 11 septembre et la mise en place de la prétendue "guerre contre le terreur" peuvent être mieux compris dans le contexte plus large de l'imminence d'une crise pétrolière. Un film d'une grande qualité qui mérite d'être vu du plus grand nombre. [suite]
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09/07/2012
Le trésor enseveli du Pentagone
Le 11 janvier 2001, Donald Rumsfeld est auditionné par le Comité sénatorial des forces armées à l'occasion de sa nomination à la tête du Pentagone, et le sénateur Robert Byrd l'interpelle au sujet des problèmes de gestion au Pentagone, mentionnant déjà les 2300 milliards de dollars qui ont disparu dans la... [suite]
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Dans les heures précédant les attentats du 11 Septembre, les ordinateurs installés dans les tours ont enregistré un flux de transactions anormalement élevé en taille et en volume. Plus de 100 millions de dollars auraient été transférés illégalement selon l'évaluation de l’expert Richard Wagner de la... [suite]
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Exposé de Marc Chesney, professeur de finance à l'Université de Zurich lors de la soirée "Pic pétrolier, 11 septembre 2001, guerre contre le terrorisme : quels sont les liens ?" organisée par l'association suisse "Le 11 Septembre en question" (association partenaire de ReOpen911) au Forum Meyrin de Genève le 28 février... "Les volumes inhabituels constatés sur les marchés d'options juste avant les attaques terroristes du 11 septembre 2001, correspondent-ils à des délits d'initiés ?" délits d'initiés 11-Septembre (1/2) par m4j1k
délits d'initiés 11-Septembre (2/2) par m4j1k
09/12/2009
Les délits d'initiés & le 11-Septembre : Interview du professeur de finance Marc Chesney sur RMC
Interview de Marc Chesney (professeur de finance à l'Université de Zürich, ancien professeur à HEC) par le journaliste Jean-Jacques Bourdin sur RMC au sujet des étranges opérations boursières effectuées les jours précédant le 11 Septembre. Marc Chesney a effectué une étude sur ces opérations boursieres qui... [suite]
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Les secrets inavouables de la Dynastie Bush par ReOpen911
Bush part en guerre partie2 par snipflo
faut il avoir peur de l'Amérique par veeen
Qui Ignore l'Histoire est Condamné a la Revivre par zingaqs160
Propagande neo-con sur Arte 1/2 par fermetabush
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911 RARE Effondrement de la tour sud du WTC à 9h59 par Cl4VieFrere2010
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